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Citation de "gagnodan"en plus je ne boileau jamais !!
je préfère le pinard et le génépy !!!!!!!!!!!
lol
j'opterais pour le thé et le wiskhy 
bisou mon chaton
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lumiererouge (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "arsinoe"Citation de "gagnodan"et bien vous m'épatez !!!!
j'ai appris tout cela ...
il y a fort longtemps !!
mais se cacher derriere des règles ne me satisfait point !!!
la liberté des artistes est primordiale !!!
je me contente d'écrire pour moi !!!
j'ai eu l'audace de faire lire certains poèmes!!
qui hélas ne respectent point les règles d'apo !!
c'est crai !!
mais je l'ai fait !!!
je n'oserais me mesurer à rimbaud, ronsard ou autre, surtout pas !!
ni les copier !!!
juste me faire plaisir !!!
Tu es le type même de l'individu aliéné. La Parole dominante te dit : jouis pour toi, tu obéis; sans voir que tu deviens le serviteur inconscient d'une parole qui tend à à incruster dans ta psyché : ne vis plus pour autrui, vis pour toi seul. C'est ainsi qu'une société se délite. Plus rien ne peut plus faire communauté quand le bonheur consiste à mesurer son seul plaisir.
Pour ta dernière phrase , je suis d'accord avec toi,
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Il y a des poèmes fait pour les yeux, d'autres sont faits pour l'oreille.
Tout ce qui est vivant se transforme. Les règles doivent sans cesse s'adapter. Le vivant n'est pas la matière[u].[/quote]
Pour une fois, j'aime ce que tu dis. lol
Par contre les poèmes ne sont pas pour les yeux.
Si tu considères cela, c'est que tu ne le lis pas, tu ne le vis pas.
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Citation de "gagnodan"et bien vous m'épatez !!!!
j'ai appris tout cela ...
il y a fort longtemps !!
mais se cacher derriere des règles ne me satisfait point !!!
la liberté des artistes est primordiale !!!
je me contente d'écrire pour moi !!!
j'ai eu l'audace de faire lire certains poèmes!!
qui hélas ne respectent point les règles d'apo !!
c'est crai !!
mais je l'ai fait !!!
je n'oserais me mesurer à rimbaud, ronsard ou autre, surtout pas !!
ni les copier !!!
juste me faire plaisir !!!
Il n'était question là que de la poésie classique.
La poésie en son sens large se base sur de bien plus nombreuses versifications. La prosodie rétablissant l'idée de césure.
La rime, ensuite est bien assez variable que pour transgresser toutes les règles ( sans vraiment les trangresser. lol )
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Citation de "arsinoe"Citation de "gagnodan"et bien vous m'épatez !!!!
j'ai appris tout cela ...
il y a fort longtemps !!
mais se cacher derriere des règles ne me satisfait point !!!
la liberté des artistes est primordiale !!!
je me contente d'écrire pour moi !!!
j'ai eu l'audace de faire lire certains poèmes!!
qui hélas ne respectent point les règles d'apo !!
c'est crai !!
mais je l'ai fait !!!
je n'oserais me mesurer à rimbaud, ronsard ou autre, surtout pas !!
ni les copier !!!
juste me faire plaisir !!!
Tu es le type même de l'individu aliéné. La Parole dominante te dit : jouis pour toi, tu obéis; sans voir que tu deviens le serviteur inconscient d'une parole qui tend à à incruster dans ta psyché : ne vis plus pour autrui, vis pour toi seul. C'est ainsi qu'une société se délite. Plus rien ne peut plus faire communauté quand le bonheur consiste à mesurer son seul plaisir.
ben tu sais dans mon asile, il n'est pas facile d'être communautaire !!!
mais je suis une source de contradiction !!!!
n'est ce pas ???
mdrrrrrrrr
merci d'essayer de mettre un pôvre vieux matou dans le droit chemin !!!!
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Citation de "morganna"Citation de "gagnodan"et bien vous m'épatez !!!!
j'ai appris tout cela ...
il y a fort longtemps !!
mais se cacher derriere des règles ne me satisfait point !!!
la liberté des artistes est primordiale !!!
je me contente d'écrire pour moi !!!
j'ai eu l'audace de faire lire certains poèmes!!
qui hélas ne respectent point les règles d'apo !!
c'est crai !!
mais je l'ai fait !!!
je n'oserais me mesurer à rimbaud, ronsard ou autre, surtout pas !!
ni les copier !!!
juste me faire plaisir !!!
Il n'était question là que de la poésie classique.
La poésie en son sens large se base sur de bien plus nombreuses versifications. La prosodie rétablissant l'idée de césure.
La rime, ensuite est bien assez variable que pour transgresser toutes les règles ( sans vraiment les trangresser. lol )
mdrr
j'ai beaucoup appris sur la poésie !!
trop peut être !!
j'ai eu de trop bons professeurs !!!
lol
c'est pourquoi je me permets de rester moi-même
et ne cherche en rien à copier ou à me plier à certaines règles...
juste faire passer mes émotions ou envies à un instant T !
loll
bisous ma fée
toi en tout cas continues....
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Bien! Ce ne sont pas mes règles, mais celles de la poésie classique –que devaient respecter ceux qui s’astreignaient à versifier jusqu’aux parnassiens.
Quant à la césure, elle n’était pas obligatoire pour les vers de moins de huit pieds.
Ceci dit, la prosodie a changé au fil du temps, si bien qu’il n’y a que la métrique et la rime des poèmes d’antan qui nous révèlent la prononciation d’autrefois.
De fait, la poésie relève du langage, de l’art oratoire, de la déclamation (i.e. de l’éloquence), comme le clame Léo Ferré dans Il n'y a plus rien :
« Toute poésie destinée à n'être que lue et enfermée dans sa typographie n'est pas finie. Elle ne prend son sexe qu'avec la corde vocale... »
Finalement, avec son poème didactique de onze cents alexandrins qui illustre les règles de la versification classique, on constate qu’il n’y a que les béotiens qui déconsidèrent Nicolas Boileau (Paris, 1636 - 1711).
C'est que ces derniers ne conçoivent pas l’effort nécessaire qu'exige l'élaboration d’un poème de cette ampleur, qui développe un thème en respectant les règles de la versification.
C’est à ce jeu de l’intellect que se livraient les versificateurs d’autrefois; c’est ce que je soulignais dans mon intervention initiale sur la poésie, lorsque j’ai écrit que je n’avais pas le temps ni le goût de m’astreindre (sic) à ce loisir exigeant –et ingrat, puisque les exigences de la versification classique sont aujourd’hui méconnues
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Citation de "gagnodan"Citation de "morganna"Citation de "gagnodan"et bien vous m'épatez !!!!
j'ai appris tout cela ...
il y a fort longtemps !!
mais se cacher derriere des règles ne me satisfait point !!!
la liberté des artistes est primordiale !!!
je me contente d'écrire pour moi !!!
j'ai eu l'audace de faire lire certains poèmes!!
qui hélas ne respectent point les règles d'apo !!
c'est crai !!
mais je l'ai fait !!!
je n'oserais me mesurer à rimbaud, ronsard ou autre, surtout pas !!
ni les copier !!!
juste me faire plaisir !!!
Il n'était question là que de la poésie classique.
La poésie en son sens large se base sur de bien plus nombreuses versifications. La prosodie rétablissant l'idée de césure.
La rime, ensuite est bien assez variable que pour transgresser toutes les règles ( sans vraiment les trangresser. lol )
mdrr
j'ai beaucoup appris sur la poésie !!
trop peut être !!
j'ai eu de trop bons professeurs !!!
lol
c'est pourquoi je me permets de rester moi-même
et ne cherche en rien à copier ou à me plier à certaines règles...
juste faire passer mes émotions ou envies à un instant T !
loll
bisous ma fée
toi en tout cas continues....
La spontanéité est souvent le meilleur des chemins.
bisous mon chaton. 
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« Toute poésie destinée à n'être que lue et enfermée dans sa typographie n'est pas finie. Elle ne prend son sexe qu'avec la corde vocale... »
voilà la phrase que j'aurais dû trouver pour répondre à Arsi , tiens.
Mais bon, j'étais dans le même ordre d'idée.
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C’est à ce jeu de l’intellect que se livraient les versificateurs d’autrefois
Un jeu bien plaisant ma foi.
bien le bonjour Apocope 
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"C’est à ce jeu de l’intellect que se livraient les versificateurs d’autrefois
Un jeu bien plaisant ma foi.
bien le bonjour Apocope
Merci! Bonne journée à toi aussi
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Roland Giguère (1929 - 2003, Montréal)
Modifié il y a 8 ans, le dimanche 23 octobre 2016 à 05:38
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L'aube est moins claire...
L'aube est moins claire, l'air moins chaud, le ciel moins pur ;
Le soir brumeux ternit les astres de l'azur.
Les longs jours sont passés ; les mois charmants finissent.
Hélas ! voici déjà les arbres qui jaunissent !
Comme le temps s'en va d'un pas précipité !
Il semble que nos yeux, qu'éblouissait l'été,
Ont à peine eu le temps de voir les feuilles vertes.
Pour qui vit comme moi les fenêtres ouvertes,
L'automne est triste avec sa bise et son brouillard,
Et l'été qui s'enfuit est un ami qui part.
Adieu, dit cette voix qui dans notre âme pleure,
Adieu, ciel bleu ! beau ciel qu'un souffle tiède effleure !
Voluptés du grand air, bruit d'ailes dans les bois,
Promenades, ravins pleins de lointaines voix,
Fleurs, bonheur innocent des âmes apaisées,
Adieu, rayonnements ! aubes ! chansons ! rosées !
Puis tout bas on ajoute : ô jours bénis et doux !
Hélas ! vous reviendrez ! me retrouverez-vous ?
V.Hugo
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Les saisons du nord
Connaissez-vous ces bords qu'arrose la Baltique,
Et dont les souvenirs, aimés du Barde antique,
Ont réveillé la harpe amante des torrents ?
Connaissez-vous ces champs qu'un long hiver assiège,
L'orgueil des noirs sapins que respecte la neige,
Ces rocs couverts de mousse et ces lacs transparents ?
D'un rapide printemps la fugitive haleine
Y ranime en passant et les monts et la plaine ;
Un prompt été le suit, et, prodigue de feux,
Se hâte de mûrir les trésors qu'il nous donne ;
Car l'hiver menaçant laisse à peine à l'automne
Le temps de recueillir ses présents savoureux.
Mais ces rares beaux jours, quel charme les décore !
La nuit demi-voilée y ressemble à l'aurore :
Une molle douceur se répand dans les airs ;
Et cette heure rapide où le soleil repose,
Clisse avec le murmure et les parfums de rose
Des bouleaux agités par la brise des mers.
Hâtez-vous de goûter d'éphémères délices ;
L'hiver qui vous poursuit de ses tristes prémices,
D'un givre étincelant a blanchi ces climats :
Bientôt l'onde s'arrête à sa voix redoutable,
Et sur les champs muets que son empire accable
D'une haleine puissante il souffle les frimas.
Mais aux natals plaisirs lui seul offre un théâtre,
Ses chemins de cristal et ses tapis d'albâtre
Ouvrent leur blanche arène aux traîneaux triomphants ;
Et malgré ses rigueurs et sa morne durée,
Lui seul prête ses traits à l'image sacrée
Qui grave la patrie au cœur de ses enfants.
Beaux climats du Midi, terres du ciel aimées !
Que sont au fils du Nord vos brises embaumées ?
Les jasmins de Grenade et leurs parfums si doux
Ne pourraient l'arracher à sa mélancolie,
Sous vos rameaux en fleurs, citronniers d'Italie,
Il rêve un sol de glace et des cieux en courroux.
A. Tastu.
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ke neu serai la pot hésie sent hein brein de pholie légèreu byse qui kom sot leil neu vien ah poing!
la pot hésie en art vaut mil verre tue! la pot hésie en ascèse n'arriv pah allah cheville dé plu humbles besoins, la pot hésie fêtes sciensse est rééllemen la maure de la légère byse pot hétique.
Crouare en la pot hésie d'une hame aveugle, avoire foie en la pot hésie jusqu'à la con viction religieuz voilà la manière la plus sote qu'il est de tué la pot hésie...
ah que notre léger esprit doigt à Rabelais, prince dé fanté zistes et de dém heusure!
Vivre hé une chansson daunt mourire est le refrein!
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