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Citation de "morganna"Citation de "gagnodan"Citation de "morganna"Citation de "maquis"Morganna a communiqué de superbes poésies
Les baltringues égomaniaques ont répondu de grosses conneries comme d'hab
S'effacer devant la beauté d'un poème ou d'un paysage
Y'en a plein qui sont pas capables de ca ici
Eux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Eux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Eux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Y'a que ca qui les intéresse ............................................................
Bien le bonjour maquis...
Tranquille... juste un mot et ils se sont sentis directement concernés
l'expression est permise à tous, eux périront mais la poésie est immortelle.
hé ho monsieur !!!
ce n'(est pas eux ... eux...
c'est moi ....moi ...........
lolll
mais, si tu es toi... toi.... tu es zobligé de me bizouter
heuuuu
avec plaisir !!
et surtout donner du plaisir...............
heu
te bisouiller de partout ???
lolllllllllllllll
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Il faudrait aborder les règles de la versification française, parce que la plupart ici en font peu de cas.
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oui t'as certainement raison !!
mais on essaie de versifier !!
est ce ton cas ??????
lollllllllllllll
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "gagnodan"oui t'as certainement raison !!
mais on essaie de versifier !!
est ce ton cas ??????
lollllllllllllll
Pas le temps. Les règles de la versifications sont trop strictes...
Boileau a énuméré en deux vers les six règles essentielles de la versification :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
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Citation de "apocope"Citation de "gagnodan"oui t'as certainement raison !!
mais on essaie de versifier !!
est ce ton cas ??????
lollllllllllllll
Pas le temps. Les règles de la versifications sont trop strictes...
Boileau a énuméré en deux vers les six règles essentielles de la versification :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
donc tu reconnais que tu ne peux pas versifier !!!!!!!!!
trop dur pour toi !! tu le reconnais...
alors sois plus cool et sympa dans tes remarques !!
et encourages ceux qui ont le culot et le courage de publier ici des poèmes !!!!!!!!!!!!!
merci de le faire!!!
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "gagnodan"Citation de "apocope"Citation de "gagnodan"oui t'as certainement raison !!
mais on essaie de versifier !!
est ce ton cas ??????
lollllllllllllll
Pas le temps. Les règles de la versifications sont trop strictes...
Boileau a énuméré en deux vers les six règles essentielles de la versification :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
donc tu reconnais que tu ne peux pas versifier !!!!!!!!!
trop dur pour toi !! tu le reconnais...
alors sois plus cool et sympa dans tes remarques !!
et encourages ceux qui ont le culot et le courage de publier ici des poèmes !!!!!!!!!!!!!
merci de le faire!!!
Je vois que je me suis mal fait comprendre :
Les règles de la versification sont strictes, et jusqu'à maintenant aucun des poèmes qui s'affichent ici ne les respecte :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
(Boileau)
C’est que la poésie au sens stricte du terme ne se résume pas à aligner des rimes, prune, lune, flûte, pute, biberon, citron, napperon, chaperon, etc.
Bien au contraire, le poème développe un thème et chaque strophe aborde un sujet qui dévoile le thème.
Et puis, le vers français est syllabique : la mesure détermine le nombre de pieds qui composent le vers.
Par exemple, comme règle syllabique, le e muet final ne compte pas lorsque le mot suivant commence par une voyelle (p. ex. « silence et merveilleux », dans ce cas « silence » compte deux syllabes); le choc de deux voyelles (l’hiatus) est proscrit du vers français : deux mots qui se suivent, dont la lettre finale du premier et l’initiale du second sont des voyelles.
Et puisque la poésie est destinée à être déclamée, le repos scinde (i.e. une césure ) le vers en deux hémistiches :
Boileau donne l’exemple de la césure :
Que toujours dans vos vers | le sens coupant les mots, Suspende l’hémistiche, | en marque le repos.
Modifié il y a 8 ans, le mercredi 19 octobre 2016 à 19:49
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Citation de "apocope"[quote login="gagnodan"][quote login="apocope"][quote login="gagnodan"]oui t'as /quote]
Je vois que je me suis mal fait comprendre :
Les règles de la versification sont strictes, et jusqu'à maintenant aucun des poèmes qui s'affichent ici ne les respecte :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
(Boileau)
C’est que la poésie au sens stricte du terme ne se résume pas à aligner des rimes, prune, lune, flûte, pute, biberon, citron, napperon, chaperon, etc.
Bien au contraire, le poème développe un thème et chaque strophe aborde un sujet qui dévoile le thème.
Et puis, le vers français est syllabique : la mesure détermine le nombre de pieds qui composent le vers.
Par exemple, comme règle syllabique, le e muet final ne compte pas lorsque le mot suivant commence par une voyelle (p. ex. « silence et merveilleux », dans ce cas « silence » compte deux syllabes); le choc de deux voyelles (l’hiatus) est proscrit du vers français : deux mots qui se suivent, dont la lettre finale du premier et l’initiale du second sont des voyelles.
Et puisque la poésie est destinée à être déclamée, le repos scinde (i.e. une césure ) le vers en deux hémistiches :
Boileau donne l’exemple de la césure :
Que toujours dans vos vers | le sens coupant les mots, Suspende l’hémistiche, | en marque le repos.
L'hémistiche étant utilisée en général dans les alexandrins, divisant ainsi le ver en 2 groupes de 6 syllabes. ( exception faite lorsque la 6 ème demande une liaison )
La césure est donc une notion métrique (et non rythmique) : sa place est indépendante de la distribution des accents et découle du type de mètre choisi par le poète. En conséquence, la césure peut être respectée ou non mais ne peut pas être déplacée.
Et, lorsque la position de césure se trouve à l'intérieur d'un mot, l'identification du mètre est rendue impossible. Le vers est non césurable. On peut le considérer comme pseudo-métrique.
ex: " Nous la voulons! Indus//triels, princes, sénats"
Rimbaud
J'ai toutefois, j'avoue, un faible pour les vers léonins.
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arsinoe (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "apocope"[quote login="gagnodan"][quote login="apocope"][quote login="gagnodan"]oui t'as /quote]
Je vois que je me suis mal fait comprendre :
Les règles de la versification sont strictes, et jusqu'à maintenant aucun des poèmes qui s'affichent ici ne les respecte :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
(Boileau)
C’est que la poésie au sens stricte du terme ne se résume pas à aligner des rimes, prune, lune, flûte, pute, biberon, citron, napperon, chaperon, etc.
Bien au contraire, le poème développe un thème et chaque strophe aborde un sujet qui dévoile le thème.
Et puis, le vers français est syllabique : la mesure détermine le nombre de pieds qui composent le vers.
Par exemple, comme règle syllabique, le e muet final ne compte pas lorsque le mot suivant commence par une voyelle (p. ex. « silence et merveilleux », dans ce cas « silence » compte deux syllabes); le choc de deux voyelles (l’hiatus) est proscrit du vers français : deux mots qui se suivent, dont la lettre finale du premier et l’initiale du second sont des voyelles.
Et puisque la poésie est destinée à être déclamée, le repos scinde (i.e. une césure ) le vers en deux hémistiches :
Boileau donne l’exemple de la césure :
Que toujours dans vos vers | le sens coupant les mots, Suspende l’hémistiche, | en marque le repos.
L'hémistiche étant utilisée en général dans les alexandrins, divisant ainsi le ver en 2 groupes de 6 syllabes. ( exception faite lorsque la 6 ème demande une liaison )
La césure est donc une notion métrique (et non rythmique) : sa place est indépendante de la distribution des accents et découle du type de mètre choisi par le poète. En conséquence, la césure peut être respectée ou non mais ne peut pas être déplacée.
Et, lorsque la position de césure se trouve à l'intérieur d'un mot, l'identification du mètre est rendue impossible. Le vers est non césurable. On peut le considérer comme pseudo-métrique.
ex: " Nous la voulons! Indus//triels, princes, sénats"
Rimbaud
J'ai toutefois, j'avoue, un faible pour les vers léonins.
Quand les règles ne peuvent plus être transgressées, alors ce qui est réglé meurt.
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Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"Citation de "apocope"[quote login="gagnodan"][quote login="apocope"][quote login="gagnodan"]oui t'as /quote]
Je vois que je me suis mal fait comprendre :
Les règles de la versification sont strictes, et jusqu'à maintenant aucun des poèmes qui s'affichent ici ne les respecte :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
(Boileau)
C’est que la poésie au sens stricte du terme ne se résume pas à aligner des rimes, prune, lune, flûte, pute, biberon, citron, napperon, chaperon, etc.
Bien au contraire, le poème développe un thème et chaque strophe aborde un sujet qui dévoile le thème.
Et puis, le vers français est syllabique : la mesure détermine le nombre de pieds qui composent le vers.
Par exemple, comme règle syllabique, le e muet final ne compte pas lorsque le mot suivant commence par une voyelle (p. ex. « silence et merveilleux », dans ce cas « silence » compte deux syllabes); le choc de deux voyelles (l’hiatus) est proscrit du vers français : deux mots qui se suivent, dont la lettre finale du premier et l’initiale du second sont des voyelles.
Et puisque la poésie est destinée à être déclamée, le repos scinde (i.e. une césure ) le vers en deux hémistiches :
Boileau donne l’exemple de la césure :
Que toujours dans vos vers | le sens coupant les mots, Suspende l’hémistiche, | en marque le repos.
L'hémistiche étant utilisée en général dans les alexandrins, divisant ainsi le ver en 2 groupes de 6 syllabes. ( exception faite lorsque la 6 ème demande une liaison )
La césure est donc une notion métrique (et non rythmique) : sa place est indépendante de la distribution des accents et découle du type de mètre choisi par le poète. En conséquence, la césure peut être respectée ou non mais ne peut pas être déplacée.
Et, lorsque la position de césure se trouve à l'intérieur d'un mot, l'identification du mètre est rendue impossible. Le vers est non césurable. On peut le considérer comme pseudo-métrique.
ex: " Nous la voulons! Indus//triels, princes, sénats"
Rimbaud
J'ai toutefois, j'avoue, un faible pour les vers léonins.
Quand les règles ne peuvent plus être transgressées, alors ce qui est réglé meurt.
les règles peuvent toujours être transgressées.
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lumiererouge (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Citation de "gagnodan"Citation de "apocope"Citation de "gagnodan"oui t'as certainement raison !!
mais on essaie de versifier !!
est ce ton cas ??????
lollllllllllllll
Pas le temps. Les règles de la versifications sont trop strictes...
Boileau a énuméré en deux vers les six règles essentielles de la versification :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
donc tu reconnais que tu ne peux pas versifier !!!!!!!!!
trop dur pour toi !! tu le reconnais...
alors sois plus cool et sympa dans tes remarques !!
et encourages ceux qui ont le culot et le courage de publier ici des poèmes !!!!!!!!!!!!!
merci de le faire!!!
Je vois que je me suis mal fait comprendre :
Les règles de la versification sont strictes, et jusqu'à maintenant aucun des poèmes qui s'affichent ici ne les respecte :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
(Boileau)
C’est que la poésie au sens stricte du terme ne se résume pas à aligner des rimes, prune, lune, flûte, pute, biberon, citron, napperon, chaperon, etc.
Bien au contraire, le poème développe un thème et chaque strophe aborde un sujet qui dévoile le thème.
Et puis, le vers français est syllabique : la mesure détermine le nombre de pieds qui composent le vers.
Par exemple, comme règle syllabique, le e muet final ne compte pas lorsque le mot suivant commence par une voyelle (p. ex. « silence et merveilleux », dans ce cas « silence » compte deux syllabes); le choc de deux voyelles (l’hiatus) est proscrit du vers français : deux mots qui se suivent, dont la lettre finale du premier et l’initiale du second sont des voyelles.
Et puisque la poésie est destinée à être déclamée, le repos scinde (i.e. une césure ) le vers en deux hémistiches :
Boileau donne l’exemple de la césure :
Que toujours dans vos vers | le sens coupant les mots, Suspende l’hémistiche, | en marque le repos.
Et pourquoi je ferais comme Boileau ???
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et bien vous m'épatez !!!!
j'ai appris tout cela ...
il y a fort longtemps !!
mais se cacher derriere des règles ne me satisfait point !!!
la liberté des artistes est primordiale !!!
je me contente d'écrire pour moi !!!
j'ai eu l'audace de faire lire certains poèmes!!
qui hélas ne respectent point les règles d'apo !!
c'est crai !!
mais je l'ai fait !!!
je n'oserais me mesurer à rimbaud, ronsard ou autre, surtout pas !!
ni les copier !!!
juste me faire plaisir !!!
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en plus je ne boileau jamais !!
je préfère le pinard et le génépy !!!!!!!!!!!
lol
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arsinoe (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"Citation de "apocope"[quote login="gagnodan"][quote login="apocope"][quote login="gagnodan"]oui t'as /quote]
Je vois que je me suis mal fait comprendre :
Les règles de la versification sont strictes, et jusqu'à maintenant aucun des poèmes qui s'affichent ici ne les respecte :
Observez dans vos vers mesure, élision,
Repos, rime, licence et disposition.
(Boileau)
C’est que la poésie au sens stricte du terme ne se résume pas à aligner des rimes, prune, lune, flûte, pute, biberon, citron, napperon, chaperon, etc.
Bien au contraire, le poème développe un thème et chaque strophe aborde un sujet qui dévoile le thème.
Et puis, le vers français est syllabique : la mesure détermine le nombre de pieds qui composent le vers.
Par exemple, comme règle syllabique, le e muet final ne compte pas lorsque le mot suivant commence par une voyelle (p. ex. « silence et merveilleux », dans ce cas « silence » compte deux syllabes); le choc de deux voyelles (l’hiatus) est proscrit du vers français : deux mots qui se suivent, dont la lettre finale du premier et l’initiale du second sont des voyelles.
Et puisque la poésie est destinée à être déclamée, le repos scinde (i.e. une césure ) le vers en deux hémistiches :
Boileau donne l’exemple de la césure :
Que toujours dans vos vers | le sens coupant les mots, Suspende l’hémistiche, | en marque le repos.
L'hémistiche étant utilisée en général dans les alexandrins, divisant ainsi le ver en 2 groupes de 6 syllabes. ( exception faite lorsque la 6 ème demande une liaison )
La césure est donc une notion métrique (et non rythmique) : sa place est indépendante de la distribution des accents et découle du type de mètre choisi par le poète. En conséquence, la césure peut être respectée ou non mais ne peut pas être déplacée.
Et, lorsque la position de césure se trouve à l'intérieur d'un mot, l'identification du mètre est rendue impossible. Le vers est non césurable. On peut le considérer comme pseudo-métrique.
ex: " Nous la voulons! Indus//triels, princes, sénats"
Rimbaud
J'ai toutefois, j'avoue, un faible pour les vers léonins.
Quand les règles ne peuvent plus être transgressées, alors ce qui est réglé meurt.
les règles peuvent toujours être transgressées.
Oui d'autant plus que la langue évolue, certaines syllabes accentuées ne le sont plus...Nous prenons pour un pied un "e" suivi d'une consonne alors qu'il n'est pratiquement plus prononcé. Disons qu'il ne représente plus qu'un quart ou un huitième de temps. Mais, parce qu'il forme une syllabe, nous l'identifions à un pied, à une sonorité pleine. Du coup la poésie n'est plus "écoutée" elle est lue. Le visuel l'emporte sur l'oreille.
Il y a des poèmes fait pour les yeux, d'autres sont faits pour l'oreille.
Tout ce qui est vivant se transforme. Les règles doivent sans cesse s'adapter. Le vivant n'est pas la matière.
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lumiererouge (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "gagnodan"et bien vous m'épatez !!!!
j'ai appris tout cela ...
il y a fort longtemps !!
mais se cacher derriere des règles ne me satisfait point !!!
la liberté des artistes est primordiale !!!
je me contente d'écrire pour moi !!!
j'ai eu l'audace de faire lire certains poèmes!!
qui hélas ne respectent point les règles d'apo !!
c'est crai !!
mais je l'ai fait !!!
je n'oserais me mesurer à rimbaud, ronsard ou autre, surtout pas !!
ni les copier !!!
juste me faire plaisir !!!
T'as bien raison, poil au trognon Lol
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arsinoe (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "gagnodan"et bien vous m'épatez !!!!
j'ai appris tout cela ...
il y a fort longtemps !!
mais se cacher derriere des règles ne me satisfait point !!!
la liberté des artistes est primordiale !!!
je me contente d'écrire pour moi !!!
j'ai eu l'audace de faire lire certains poèmes!!
qui hélas ne respectent point les règles d'apo !!
c'est crai !!
mais je l'ai fait !!!
je n'oserais me mesurer à rimbaud, ronsard ou autre, surtout pas !!
ni les copier !!!
juste me faire plaisir !!!
Tu es le type même de l'individu aliéné. La Parole dominante te dit : jouis pour toi, tu obéis; sans voir que tu deviens le serviteur inconscient d'une parole qui tend à à incruster dans ta psyché : ne vis plus pour autrui, vis pour toi seul. C'est ainsi qu'une société se délite. Plus rien ne peut plus faire communauté quand le bonheur consiste à mesurer son seul plaisir.
Modifié il y a 8 ans, le jeudi 20 octobre 2016 à 09:26
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