Machin's Station Saison 4

Citation de marsubibi380 Merci pour ce joli voyage au travers de vos mots.
Tout comme M'sieur kiri j'aime vous lire .

Les vieux couples... ne sont jamais vraiment vieux
La tendresse les en préserve.
Ils se découvrent de nouvelles occupations régulièrement.....
Du style , douleurs en tous genres !!!

Je déconne!

Marsubibi, merci pour le lien très judicieusement choisi ;
Il faut dire que ce couple, Pete et Beulah MAE, semble de plus après recherche, ne pas en être à leur coup d’essai.

" Les vieux couples... ne sont jamais vraiment vieux ; la tendresse les en préserve. "

Bravo pour l’indication de cette première belle posologie

" Ils se découvrent de nouvelles occupations régulièrement.....
Du style, douleurs en tous genres !!! "

Oui, là, une posologie humoristique parfaite dans cette philosophie qu’elle instille en intraveineuse dans l’intellect lui intimant l’ordre de rendre toute difficulté non insurmontable, dès l’instant où l’on est deux en osmose à l’affronter.

Bon, il y a des limites à la douleur multi articulaires engendrée d’un…heu…rock dansé ; si fait que ces douleurs en tout genre pourraient permettre un effet bénéfique via l’envie de rapprochement par l’intime engendré d’un slow qui viendrait à poindre.
Et là, au plus près de lui, elle pose sa tête sur son épaule, se rappelant même la première fois où elle l’avait fait il y a longtemps, dans un autre temps, dans un autre ailleurs, se sentant en totale confiance d’avec cet être, son si durable compagnon encore en devenir.
Entre maintenant et ce jour si lointain, elle n’avait pas vu le temps passer, comme une sorte de présent constant juste étiré ; c’était peut-être ça le bonheur ultime…la durabilité d’un merveilleux instant présent.

Ils dansaient encore et encore, immobiles pourtant.

Ils ne se voyaient plus, se sachant pourtant si proches.

Parfois le bois d’une de leur chaise craquait.

Depuis combien de temps la musique s’était tue ; les lumières du bal, éteintes ; les derniers autres convives, partis ?

Ils ne s’en souvenaient déjà plus.

Qu’importe, eux deux si près l’un de l’autre, assis maintenant au fond de la salle silencieuse, revivaient en musique, en couleur, en mouvement, chaque centimètre, chaque respiration, chaque regard de la chorégraphie parfaite de leur vie.

Citation de onenri Excellente et flatteuse réponse pour les hommes autant que pour les femmes, en 1 Monsieur Rienousipeu. :)

Pertinence aussi en 2, surtout en deuxième partie. :)

En effet. Bien vu, de préciser " pour les hommes autant que pour les femmes ".

C'est que la gent féminine sait parfois manier à la perfection l'art de nous résister.

Ainsi de " gibier " convoité de nos attentes émotionnelles ou/et charnelles, savent-elles inverser l'affaire en devenant à leur tour, d'un tour de passe-passe qu'elles seules connaissent, chasseresses de nos particularités cachées ou mises en veille par la résistance à nos premières avances afin de nous en faire dévoiler tellement plus de nous-mêmes.