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Citation de "marianneee"Citation de "deumeupeu"Citation de "marianneee"Coucou Dmp !
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Citation de "marianneee"Citation de "gorff"Page 447... 19/10/2016.... 09 : 08'
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Citation de "marianneee"Citation de "deumeupeu"Citation de "madoureva"Je passe faire un gros bisou a ma Fifille Marianne
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" Touche pas à ma police ! Je signe la pétition "
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" Liberté "
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GÉOSTRATÉGIE
Oct 17, 2016 « [...] la synthèse américano-sioniste conduit l'ambiance du temps dominant. [...]Toute la région autour d'Israël est indistinctement regardée comme un « espace vital » par cet État qui a placé l'espace de ce regard régional sous sa menace directe en en faisant un sujet spectaculaire de déstabilisation nécessaire pour mener à terme sa conquête poursuivie de nouveaux territoires et de richesses aquifères. Israël n'est pas un État doté d'une soldatesque omni-présente, c'est la présence omni-étatique d'une armée qui constitue l'unique centralité spectaculaire d'une société factice qui ne peut se maintenir que par la guerre permanente puisque cette dernière permet seule d'unifier artificiellement les diversités si contradictoires des mondes sépharades et ashkénazes en leurs multiples clivages internes. Dans le contexte stratégique et géolitique du « Grand Orient », l'enjeu du secret chaotique est bien sûr israélo-américain. Les pressions chaotiques et secrètes s'exercent donc en conséquence sur tous les fronts et dans toutes les directions d'un tel enjeu. Israël dont le MOSSAD est réputé être spectaculairement le plus puissant service secret du monde dispose par l'histoire de sa diaspora de nombreux relais tactiques possibles et bénéficie de plus d'une très grande facilité à infiltrer tous les types de réseaux arabo-musulmans envisageables, en particulier grâce à son personnel séfarade lequel peut se glisser indistinctement et sans grande difficulté dans la peau symbolique immédiate de tout faux terroriste islamiste. » L'Internationale, Critique De La Société De L'indistinction, 2007 « Tous les États ont toujours été terroristes, mais l’ont été plus violemment à leur naissance et à l’imminence de leur mort. [...] "Nous sommes en guerre", et en guerre contre un ennemi si puissant que toute autre discorde et tout autre conflit seraient des actes de sabotage et de désertion: on n’a le droit d’en venir à la grève générale que pour protester contre le terrorisme. Le terrorisme et « l’état d’urgence » permanents, un état d’urgence et de « vigilance », voilà les seuls problèmes, ou du moins les seuls auxquels il soit permis et même fortement recommandé de se consacrer. Tout le reste n’existe pas, et doit être oublié, en tout cas doit être tu, remisé, refoulé dans l’inconscient social, devant la gravité de la question de l’ « ordre public ». [...] Tous les groupuscules terroristes secrets sont organisés et dirigés selon une hiérarchie clandestine même pour les militants de la clandestinité, hiérarchie qui respecte parfaitement la division du travail et des rôles propre à cette organisation sociale: en haut on décide, en bas on exécute. L’idéologie et la discipline militaire préservent le vrai sommet de tout risque, et la base de tout soupçon. Chaque service secret peut s’inventer un sigle « révolutionnaire » et exécuter un certain nombre d’attentats, bien diffusés par la presse, sur lesquels on fixera habilement un petit groupe de militants naïfs, qu’il dirigera avec la plus grande désinvolture. Mais dans le cas d’un groupuscule terroriste apparu spontanément, il n’y a rien de plus facile au monde, pour les corps séparés de l’État, que de s’y infiltrer, grâce aux moyens dont ils disposent et à l’extrême liberté de manœuvre dont ils jouissent, de se faire prendre en considération par le sommet originel, et de s’y substituer, aidés soit par des arrestations déterminées effectuées au bon moment, soit par l’exécution des chefs originels, ce qui arrive en général dans un conflit armé avec les « forces de l’ordre », prévenues de telle opération par leurs éléments infiltrés. Dès lors, les services parallèles de l’État disposent selon leur bon plaisir d’un organisme parfaitement efficace, formé de militants naïfs ou fanatiques, qui ne demande rien d’autre qu’à être dirigé. Le groupuscule terroriste d’origine, né des mirages de ses militants sur les possibilités de concevoir une offensive stratégique efficace, change de stratèges et ne devient rien d’autre qu’un appendice défensif de l’État, qui le manœuvre avec la plus grande agilité et la plus grande désinvolture, selon les nécessités du moment, ou selon ce qu’il croit que sont ses nécessités. Gianfranco Sanguinetti, Du Terrorisme et de l'État, 1979 Appel sur Skype de Francis Cousin le 17 octobre 2016. |
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Hum !
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