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gorf (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "desmotspassent"Citation de "gorf"vite fait.... su ' gaz...;)... http://actu.orange.fr/culture/dieudonne-retenu-a-son-arrivee-a-hong-kong-risque-l-expulsion-afp_CNT000000iW983.html .../..."On ignore les raisons pour lesquelles l'acteur a été empêché d'entrer sur le territoire.".../... "sic".. ...Aïe! Manu, quand tu nous tiens.... et si tu nous r' gardes... : Morokons! Ma nan ! Faut chercher où sont les connivences... Car enfin,attraper un " dissident " est une tâche autrement plus facile que celle de déjouer un attentat... Bon,ne perdons pas espoir: Au troisième attentat sur le territoire le tir aux canards sera ENCORE plus précis ! Au quatrième,BONUS ! Plus de " dissidents ",mais toujours plus d'attentats ! Y'a pas à dire: ce sont des balèzes nos tribuns ! Hier, assurions la sécurité et la "libre circulation" d' un economic sinistre... compliqué d 'être un opposant..
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gorf (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "trickster"Citation de "desmotspassent"Citation de "maquis" A elle seule cette chanson signe l'échec de la " dissidence " (française ) comme elle existait à l'époque de son écriture. Comme je l'ai écrit dès la première page de ce topic l'Art ne peut rien.Il est à même de magnifier absolument n'importe quoi,mais c'est tout.- Autant dire rien ! Un Staline ( pour ne parler que de lui ) a bien enrôlé des artistes pour mettre en valeur ce qui n'était qu'une épouvantable dictature. L'Art n'aide en rien;un artiste se nourrit de tout ce qui passe à sa portée dès lors qu'il a le sentiment qu'il pourrait y trouver une inspiration quelconque. L'Art est un en-soi vertigineux.Un ogre prêt à tout dévorer - comme le libéralisme échevelé dont nous sommes tous les victimes et les complices. ____________________________________ Au contraire des pratiques matérialiste, qui sont trés idéales, l'art, pratique sprituelle, devient matière. Cette matière, cette pensée prise, ne reste pas moins du spirituel, un livre est un objet au même titre qu'une sculpture. Les livres des Romains de la renaissance, selon du Bellay, supplèent pour les modernes aux monuments de la Rome antique ( Antiquités de Rome ) : premier scintillement d'une pensée qui sera allumée par Victor dans Notre-Dame de Paris trois cents ans plus tard: " Le livre remplacera la pierre ". Parfois une pensée nous traverse et nous ne la concevons pas, il faut quelqu'un d'autre, bien plus tard, incliné de son côté, pour mieux la voir et l'exprimer. A son tour il en manque d'autres, etc.. se mettre ds les pas d 'un autre.... tout un art... et peu importe que l 'on soit doué ou pas pour autre chose (un autre art, un art reconnu). Avoir ce simple talent, ça ne peut s ' acquérir qu ' à force de temps et d 'ouverture, d ' amour de son prochain.... Un art de vivre?... Etre traversé(e) par des idées(d'un (e) autre), qui deviennent alors communément traversantes.... quelle griserie e se sentir moins seul(e)??!!...
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gorf (clôturé)
il y a 8 ans
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gorf (clôturé)
il y a 8 ans
gone for a ride
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gorf (clôturé)
il y a 8 ans
tchôt le post..
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gorf (clôturé)
il y a 8 ans
j 'oubliais...
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gorf (clôturé)
il y a 8 ans
Ma nan ! Faut chercher où sont les connivences... Car enfin,attraper un " dissident " est une tâche autrement plus facile que celle de déjouer un attentat... Bon,ne perdons pas espoir: Au troisième attentat sur le territoire le tir aux canards sera ENCORE plus précis ! Au quatrième,BONUS ! Plus de " dissidents ",mais toujours plus d'attentats ! Y'a pas à dire: ce sont des balèzes nos tribuns ! [/quote] https://francais.rt.com/international/10216-allemagne-negationnisme-condamnation-prison
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trickster (clôturé)
il y a 8 ans
Un journal d'un certain pays lu dans un autre pays, ou d'une certaine région lu dans une autre région, s'évente. Différence du journalisme avec la littérature, qui perd beaucoup moins de substance en voyageant. Je me trouvais dans un patelin irlandais le 12 septembre 2001 (je vous raconterai un autre jour ce qu'était l'aéroport de Roissy le lendemain des attentats de NY, aéroport fantôme en dehors des quelques prétentieux(ses) employés(es) de notre fameuse compagnie nationale). Le Sligo Champion titrait : < Sligoman Among Those Missing in Aftermath of New York Atrocity > (" atrocity " était le cliché que s'était instantanément choisi la presse de langue anglaise)
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larchange (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "trickster" Un journal d'un certain pays lu dans un autre pays, ou d'une certaine région lu dans une autre région, s'évente. Différence du journalisme avec la littérature, qui perd beaucoup moins de substance en voyageant. Je me trouvais dans un patelin irlandais le 12 septembre 2001 (je vous raconterai un autre jour ce qu'était l'aéroport de Roissy le lendemain des attentats de NY, aéroport fantôme en dehors des quelques prétentieux(ses) employés(es) de notre fameuse compagnie nationale). Le Sligo Champion titrait : < Sligoman Among Those Missing in Aftermath of New York Atrocity > (" atrocity " était le cliché que s'était instantanément choisi la presse de langue anglaise) Il faudrait rappeler quel cliché avait choisi la presse française...je ne m'en souviens plus... Je me souviens "Nous sommes tous New-Yorkais" non? Etonnante constance des media français : "Nous sommes tous Charlie", "Nous sommes tous...' c'était quoi, déjà, récemment? Mais nous pouvons revenir plus loin encore, en 1968 : "Nous sommes tous des juifs allemands" C'est étonnant, cela fait donc des décennies, que la réaction, en France, à toute horreur, c'est d'écrire et de dire "Nous sommes tous...", oui étonnante constance.
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larchange (clôturé)
il y a 8 ans
Encore qu'en 1968 il ne s'agissait aucunement d'horreur!
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gorf (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "larchange"Citation de "trickster" Un journal d'un certain pays lu dans un autre pays, ou d'une certaine région lu dans une autre région, s'évente. Différence du journalisme avec la littérature, qui perd beaucoup moins de substance en voyageant. Je me trouvais dans un patelin irlandais le 12 septembre 2001 (je vous raconterai un autre jour ce qu'était l'aéroport de Roissy le lendemain des attentats de NY, aéroport fantôme en dehors des quelques prétentieux(ses) employés(es) de notre fameuse compagnie nationale). Le Sligo Champion titrait : < Sligoman Among Those Missing in Aftermath of New York Atrocity > (" atrocity " était le cliché que s'était instantanément choisi la presse de langue anglaise) Il faudrait rappeler quel cliché avait choisi la presse française...je ne m'en souviens plus... Je me souviens "Nous sommes tous New-Yorkais" non? Etonnante constance des media français : "Nous sommes tous Charlie", "Nous sommes tous...' c'était quoi, déjà, récemment? Mais nous pouvons revenir plus loin encore, en 1968 : "Nous sommes tous des juifs allemands" C'est étonnant, cela fait donc des décennies, que la réaction, en France, à toute horreur, c'est d'écrire et de dire "Nous sommes tous...", oui étonnante constance. des slogans pour empêcher la réflexion... ceux qui les pondent restent en dehors du champ d 'application de ce qu 'ils ont créé.. ceux qui reprennent ces slogans montrent du doigt ceux qui s 'y refusent.... Nous ne sommes pas tous Dieudo!
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