La question posée ici est de savoir si la réponse immunitaire est affectée par le sexe du fœtus ?
La réponse est oui, la réponse immunitaire est affectée s’il s’agit d’un garçon, d’après l’étude donnée en lien et publiée dans Science Magazine !
Eric Billy @EricBillyFR
12h
« Info vaccin COVID Données importantes pour les femmes enceintes, en particulier celles attendant un garçon car leur taux d’anticorps serait moindre. Et donc encore plus à recommander pour la vaccination anti-COVID pour protéger mère et enfant. »
Science Magazine @ScienceMagazine
6:00 AM · Oct 22, 2021
« How does #pregnancy and fetal sex affect immune responses to #COVID19? New research from @ScienceTM links male fetal pregnancies to altered placental immunity and lower maternal antibody counts and transfer. » https://twitter.com/ScienceMagazine/status/1451428147707195398
« Selon une analyse regroupant toutes les études sur le #CovidLong dans le monde, 54 % des personnes ayant eu le #Covid19 présentent encore des symptômes six mois après l’infection. Pour @Sciences_Avenir »
sciencesetavenir.fr
· Oct 18
« Covid-19 et Covid long : la moitié des patients concernés - Sciences et Avenir
54 % des personnes ayant eu le Covid-19 présentent encore des symptômes six mois après. » https://twitter.com/n6g6c/status/1450133820347387912
« Covid-19 : plus de la moitié des malades développent un Covid long » Par Nicolas Gutierrez C. le 18.10.2021 à 17h58 Lecture 3 min.
« Selon une analyse regroupant toutes les études sur le Covid long dans le monde, 54 % des personnes ayant eu le Covid-19, dont la majorité ont été hospitalisés, présentent encore des symptômes six mois après l’infection. »
« Urgences pédiatriques CHU de Bordeaux : « la situation est explosive ! », pourquoi sont-elles saturées ?
»Par Isabelle Castéra - i.castera@sudouest.fr
Publié le 22/10/2021 à 17h00
Mis à jour le 22/10/2021 à 17h37
« Les responsables des urgences pédiatriques du CHU de Bordeaux ont lancé une alerte vendredi 22 octobre. Le service est sursaturé et les a contraints à mettre en place une cellule de veille régionale et une réorganisation interne. Le point
Temps calme ce vendredi matin aux urgences pédiatriques du CHU de Bordeaux. Dixit l’équipe soignante sur place. Pourtant, toutes les places assises de la salle d’attente sont prises, pourtant petits et grands enfants, allongés dans des brancards attendent dans les couloirs, les boxes de consultations et de soins sont tous occupés. Pourtant, on entend des pleurs, des cris stridents, des chouinements. »
« Pourquoi la dose de rappel, dite #3emeDose, est nécessaire pour les plus de 65 ans et les personnes à risque ? Anne-Claude Crémieux, professeure en maladies infectieuses, nous explique. »
Covid-19 - On ne le répétera jamais assez : chez-vous : Aérez !
C dans l'air @Cdanslair
· Oct 23
« "En #France et en #Europe, on a beaucoup négligé la ventilation des espaces clos. Or le #coronavirus ne se transmet presque que dans ces lieux : salles de classe, amphis, open-space, transports publics. On n'investit pas assez." Antoine @FLAHAULT , épidémiologiste »
Une reprise épidémique ? A quand la prochaine 5ème vague ?
C dans l'air @Cdanslair
· Oct 23
« Une reprise de l'#épidémie est-elle observée en #France, comme le dit Gabriel #Attal ? Bertrand Guidet, chef du service de réanimation à l'#hôpital Saint-Antoine, nous explique. »
A ne pas rater, les dernières nouvelles du Front Covid-19 - durée 1h05 :
« Covid : ça repart... En France aussi ? #cdanslair 23.10.202 » 23,785 views - Oct 23, 20211
« Plus d’un an et demi après le début de sa propagation, le Covid n’a pas disparu, loin de là. La pandémie flambe à l’Est de l’Europe, et a fortement repris en Grande-Bretagne.
En Russie, Vladimir Poutine a décrété la quasi-mise à l’arrêt du pays pendant onze jours alors que l’on compte plus de mille morts quotidiens, un niveau inédit depuis le début de l’épidémie. Le président russe implore les nombreux récalcitrants de se faire vacciner. Il souhaite circonscrire une flambée de Covid-19 hors de contrôle, mais aussi donner un nouveau souffle à sa gestion de l'épidémie, jusqu'à présent inefficace.
Aux Etats-Unis, le gouvernement se dit « prêt » à vacciner les enfants de 5 à 11 ans dès novembre. Les injections pourront en effet débuter une fois que l’agence américaine de santé aura recommandé le vaccin Pfizer pour cette tranche d’âge. Dès le mois prochain, ce sont 28 millions d’Américains supplémentaires qui pourront donc être vaccinés.
Chez nous le taux d'incidence remonte légèrement. La situation n’est pas catastrophique mais le gouvernement veut se prémunir. A l'issue de débats souvent électriques, marqués par des divisions au sein même de la majorité, l'Assemblée nationale a d’ailleurs donné dans la nuit de mercredi à jeudi, un premier feu vert au projet de loi "vigilance sanitaire", avec la possibilité de recourir au pass sanitaire jusqu'au 31 juillet 2022. Le projet de loi n’a été adopté que par 10 voix d'écart, 135 voix pour et 125 contre au bout de deux jours de débats marqués par des passes d'armes et invectives dans l'hémicycle. Le texte poursuivra son chemin parlementaire au Sénat le 28 octobre.
Mais d’autres maladies inquiètent également les médecins. Plus discrets depuis l’apparition du coronavirus, les virus hivernaux classiques arrivent tôt et frappent fort. La France a lancé hier, sa campagne annuelle de vaccination contre la grippe saisonnière, dans un contexte particulièrement incertain.
La bronchiolite est également très présente. Après un hiver 2020-2021 historique avec très peu d’hospitalisations, la tendance est déjà complètement inverse dès ce mois d’o ctobre. Ce qui fait surtout craindre aux soignants et scientifiques une « épidémie de bronchiolite de grande ampleur » cette année, c’est la faiblesse des systèmes immunitaires des enfants nés après mars 2020, qui n’ont jusqu’ici pas été confrontés au virus.
S’apprête-t-on à vivre une cinquième vague ?
Avec un possible prolongement du pass sanitaire, l’état d’exception est-il en train de devenir la norme ?
Faut-il craindre une vague d’hospitalisation cet hiver pour les malades atteints de bronchiolite et de grippe ?
Présentation : Axel de Tarlé
Invités :
- PR ANNE-CLAUDE CRÉMIEUX - Professeure en maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Louis - Membre de l’Académie de médecine
- PR BERTRAND GUIDET - Chef du service de réanimation à l'hôpital Saint-Antoine
- PR ANTOINE FLAHAULT - Épidémiologiste - Directeur de l'Institut de santé globale de l'Université de Genève
- EVE ROGER - Directrice adjointe de la rédaction du quotidien « Le Parisien - Aujourd’hui en France»
- ISABELLE FICEK - Journaliste politique - « Les Echos » »
Modifié il y a 3 ans, le lundi 25 octobre 2021 à 05:40
Un article intéressant sur le principe de fonctionnement en image du traitement qui permettrait d'après l'étude clinique du laboratoire américain Merck de réduire la mortalité sur les formes graves de la covid-19 :
Nicolas Berrod @nicolasberrod
« Le Molnupiravir représente un très bel espoir contre les formes graves du #Covid19, mais "pas un remède miracle" : "Il ne faut pas que les gens non vaccinés se disent : youpi! Je ne me fais pas vacciner et j’aurai un médicament si je me fais infecter." »
« Covid-19 : pourquoi la pilule de Merck ne pourra pas remplacer les vaccins » Par Nicolas Berrod
Le 27 octobre 2021 à 16h51, modifié le 28 octobre 2021 à 06h37 « La France a commandé de quoi soigner 50 000 patients avec Molnupiravir, la pilule contre les formes graves qui doit encore être validée par l’Agence européenne des médicaments.
Mais si ce complément à la vaccination est très attendu, il « n’est pas un remède miracle ».
Les choses se précisent. « 50 000 doses » du Molnupiravir, un médicament qui pourrait permettre de limiter le risque de forme sévère du Covid-19, développé par la firme Merck, ont été commandées par la France, a indiqué Olivier Véran à l’Assemblée nationale ce mardi.
Elles seront livrées « à compter des derniers jours de novembre ou des premiers jours de décembre ». Le ministère de la Santé nous précise qu’il s’agit de 50 000 patients à traiter, chacun d’entre eux recevant plusieurs doses. »
Citation de valentin14vanves
Un article intéressant sur le principe de fonctionnement en image du traitement qui permettrait d'après l'étude clinique du laboratoire américain Merck de réduire la mortalité sur les formes graves de la covid-19 :
Nicolas Berrod @nicolasberrod
« Le Molnupiravir représente un très bel espoir contre les formes graves du #Covid19, mais "pas un remède miracle" : "Il ne faut pas que les gens non vaccinés se disent : youpi! Je ne me fais pas vacciner et j’aurai un médicament si je me fais infecter." »
« Covid-19 : pourquoi la pilule de Merck ne pourra pas remplacer les vaccins » Par Nicolas Berrod
Le 27 octobre 2021 à 16h51, modifié le 28 octobre 2021 à 06h37 « La France a commandé de quoi soigner 50 000 patients avec Molnupiravir, la pilule contre les formes graves qui doit encore être validée par l’Agence européenne des médicaments.
Mais si ce complément à la vaccination est très attendu, il « n’est pas un remède miracle ».
Les choses se précisent. « 50 000 doses » du Molnupiravir, un médicament qui pourrait permettre de limiter le risque de forme sévère du Covid-19, développé par la firme Merck, ont été commandées par la France, a indiqué Olivier Véran à l’Assemblée nationale ce mardi.
Elles seront livrées « à compter des derniers jours de novembre ou des premiers jours de décembre ». Le ministère de la Santé nous précise qu’il s’agit de 50 000 patients à traiter, chacun d’entre eux recevant plusieurs doses. »