« Covid-19 Deux cas du variant Omicron détectés en Alsace » Par C.F. - Aujourd'hui à 12:20 | mis à jour aujourd'hui à 14:13
« L’Agence régionale de santé Grand Est et les laboratoires Biogroup ont annoncé ce jeudi 2 décembre que deux cas du variant Omicron ont été détectés en Alsace : le premier dans le Haut-Rhin, le deuxième dans le Bas-Rhin. Il s'agit à chaque fois de personnes revenant d'Afrique du Sud. »
Des nouvelles de la progression des contaminations en Afrique du Sud, dans la région où ce variant a été détecté le Gauteng !
LeDoc / Dʳ Franck Clarot @Le___Doc
· Dec 1
« "We are continuing to work hard on addressing the key questions of severity of disease, and vaxxed vs unvaxxed. When we know, you’ll know. For now, we don’t" »
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John Burn-Murdoch @jburnmurdoch
· Dec 1
« NEW: updated chart showing today’s numbers from Gauteng in South Africa:
• Now with test positivity, for those who have asked whether this is driven by increased testing
• And stating in the title that hospital admissions are a lagging indicator, as many have requested »
« Coronavirus : une vague de non-vaccinés déferle à l'hôpital »
Par Sophie Manelli
vendredi 03/12/2021 à 10h23 - Mis à jour à 10h25 « Reportage à l'unité Covid de la Timone, où la plupart des malades ont trop attendu pour le vaccin »
«
• | Santé
• | Marseille,Édition Marseille
"Ce vaccin, quand on le fait, on ne peut plus avoir d'enfants", "ce vaccin dans 10-15 ans, il va provoquer des maladies", "ce vaccin, il ne sert à rien pour les jeunes" pensait Sam (1).
Mais ça, c'était avant. Avant que sa femme, le voyant s'étouffer sous ses yeux, le conduise catastrophée aux urgences.
Avant qu'il ne se retrouve hospitalisé à l'unité Covid de la Timone, deux tuyaux dans le nez.
Avant qu'il ne comprenne qu'"avec cette maladie, personne n'est à l'abri". Menuisier de profession, Sam, 36 ans, a été contaminé par le Covid-19 sur son lieu de travail.
"J'ai fait un test positif qui ne m'a pas inquiété plus que ça. Je suis jeune, costaud, je ne fume pas, ne bois pas, je n'ai pas de problèmes de santé".
Depuis sa chambre de la Timone, Sam ne cesse d'appeler ses proches pour leur dire d'aller se faire vacciner.
… »
« COVID-19 : 12 cas confirmés du variant du SARS-CoV-2 Omicron (B.1.1.529) rapportés en France » Publié le 3 décembre 2021
« Au 3 décembre 2021 à 16h, 12 cas confirmés d’infection par le variant Omicron (B.1.1.529) ont été rapportés en France.
Circulation du variant Omicron en France
Au 03/12 à 16h, 3 nouveaux cas confirmés d’infection par le variant Omicron ont été rapportés en France.
La France compte désormais 12 cas confirmés d’infection par le variant Omicron. Ces cas sont suivis de près par les autorités de santé pour assurer les actions de contact-tracing et indiquer les messages de prévention dans l’objectif de préserver la santé de la population. »
« Coronavirus : une vague de non-vaccinés déferle à l'hôpital »
Par Sophie Manelli
vendredi 03/12/2021 à 10h23 - Mis à jour à 10h25 « Reportage à l'unité Covid de la Timone, où la plupart des malades ont trop attendu pour le vaccin »
«
• | Santé
• | Marseille,Édition Marseille
"Ce vaccin, quand on le fait, on ne peut plus avoir d'enfants", "ce vaccin dans 10-15 ans, il va provoquer des maladies", "ce vaccin, il ne sert à rien pour les jeunes" pensait Sam (1).
Mais ça, c'était avant. Avant que sa femme, le voyant s'étouffer sous ses yeux, le conduise catastrophée aux urgences.
Avant qu'il ne se retrouve hospitalisé à l'unité Covid de la Timone, deux tuyaux dans le nez.
Avant qu'il ne comprenne qu'"avec cette maladie, personne n'est à l'abri". Menuisier de profession, Sam, 36 ans, a été contaminé par le Covid-19 sur son lieu de travail.
"J'ai fait un test positif qui ne m'a pas inquiété plus que ça. Je suis jeune, costaud, je ne fume pas, ne bois pas, je n'ai pas de problèmes de santé".
Depuis sa chambre de la Timone, Sam ne cesse d'appeler ses proches pour leur dire d'aller se faire vacciner.
… »
si tous les adultes étaient vaccinés, on ne parlerait ptet pas de vacciner les enfants aujourd'hui !!!!!!!!!! ces antivax qui ne pensent qu'à eux !!!!!!!!! et ne s'opposent que par principe, sont des irresponsables !!!!!! combien d'entre eux disent qu'ils refusent le vaccin uniquement parce qu'il est "imposé" !!!!!! aucune conscience donc chez ces gens ???????? à ne pas vouloir voir plus loin que le bout de son nez et de son nombril, on fait prendre des risques à toute une population !!!!!!!!!!! pouahhhhhhhh
Citation de alexinette
si tous les adultes étaient vaccinés, on ne parlerait ptet pas de vacciner les enfants aujourd'hui !!!!!!!!!! ces antivax qui ne pensent qu'à eux !!!!!!!!! et ne s'opposent que par principe, sont des irresponsables !!!!!! combien d'entre eux disent qu'ils refusent le vaccin uniquement parce qu'il est "imposé" !!!!!! aucune conscience donc chez ces gens ???????? à ne pas vouloir voir plus loin que le bout de son nez et de son nombril, on fait prendre des risques à toute une population !!!!!!!!!!! pouahhhhhhhh
Bonsoir Alexinette,
Je comprends ton amertume que de voir des adultes préférer par pur égoïme privilégier leur petite vie avec leurs petites habitudes qu'ils ne veulent absolument pas mettre de côté pour en terminer avec cette pandémie.
Le pire effectivement c'est de prendre en otage les enfants, d'inciter le gouvernement à vacciner les enfants pour préserver les antivax qui ne respectent pas les mesures barrière, ou de faire prendre des risques aux enfants ayant des comorbidités !
Mais voilà 17 % de la population (antiovax) n'a pas compris ce qu'est un citoyen avec ses droits, en oubliant ses devoirs. La liberté n'est pas de faire ce que l'on veut au détriment des autres dans nos démocraties, cela reviendrait à revenir à la loi de la jungle et au darwinisme ! La liberté passe par l'intérêt collectif pour préserver les intérêts des autres, que tous soient traités équitablement et avec justice !
Voici un article très détaillé faisant un point intéressant sur la vaccination des 5 – 11 ans !
J'ai réalisé une petite synthèse de l’article :
La position du ministre de la santé :
- Ouvrir dans un premier temps la vaccination aux 5-11 ans ayant des comorbidités pouvant entraîner des formes graves et de décès en cas d’infection au sars-cov2, à partir du 15 décembre suite aux décisions du Conseil stratégique.
Cela représenterait 364 000 enfants (6,3 % de la classe d’âge des 5-11 ans)
- La Haute Autorité de Santé (HAS) a identifié et détaillé ces comorbidités et facteurs de risques, à savoir :
« les cardiopathies congénitales, les maladies hépatiques chroniques, les maladies cardiaques, hépatiques (foie) et respiratoires chroniques (y compris l’asthme sévère), les maladies neurologiques, l’immunodéficience, l’obésité et le diabète, les hémopathies malignes, la drépanocytose ou encore la trisomie 21. »
- Attendre les retours d’études observationnelles sur les 5-11 ans vaccinés aux US (à ce jour 2,6 millions d’enfants vaccinés) , en Israël, en Autriche, en Italie… pour identifier d’éventuels effets indésirables (EI) rares et très rares, que les études cliniques de Pfizer n’auraient pas identifié faute d’une cohorte insuffisante (il faudrait des millions de patients dans une étude clinique pour identifier les EI très rares !
Cela permettra d’établir une balance bénéfices/risques plus fiable.
Les effets indésirables pour les 5-11 ans sont sensiblement les mêmes que pour les vaccinés 12 ans et plus, sont légers ou modérés et disparaissent en quelques jours, comme une douleur au site d'injection, de la fatigue, des maux de tête (céphalées), des rougeurs et un gonflement au site d'injection, des douleurs musculaires et des frissons. Ces effets sont généralement légers ou modérés et s'améliorent quelques jours après la vaccination.
La Haute Autorité de Santé (HAS) et la l'Académie de médecine et le Conseil scientifique ont un message de prudence et privilégient les feed back des autorités de santé US, israéliennes, autrichiennes ... concernant les EI des jeunes vaccinés de 5 à 11 ans pour mieux évaluer la balance bénéfices /risques, bien qu’elle soit légèrement favorable à ce stade.
En voulant éviter de préconiser la vaccination de cette classe d’âge pour compenser le refus des antivax adultes !
Le lien vers l'article :
« Vaccination des 5-11 ans : où en est-on ? » Juliette Mansour, Sami Acef, AFP France Facebook Twitter Email Publié le samedi 04 décembre 2021 à 09:19
Copyright AFP 2017-2021. Droits de reproduction réservés.
« Etats-Unis, Canada, Israël, Cambodge, Venezuela, Cuba…Plusieurs pays dans le monde ont fait le choix d'autoriser la vaccination contre le Covid-19 pour les enfants de moins de 12 ans. En France, le ministère de la Santé a ouvert la voie courant décembre à une vaccination des enfants risquant de développer des formes graves. Les chercheurs et médecins interrogés par l'AFP restent prudents sur la pertinence d’un élargissement à l’ensemble des 5-11 ans pour lutter contre la 5e vague. »
« Variant Omicron : un risque d’échappement immunitaire » Publié le 06 décembre 2021 par Marc Gozlan
« Le moins qu’on puisse dire est que le nouveau variant Omicron initialement détecté au Botswana et en Afrique du Sud inquiète les spécialistes.
Une étude, publiée sous forme de preprint sur le site medRxiv, rapporte un risque accru de réinfection associé à ce nouveau variant du SARS-CoV-2. En d’autres termes, Omicron présente une capacité accrue à réinfecter des individus préalablement infectés. Selon les auteurs, le variant Omicron serait donc capable d’échappement immunitaire.
Durant la plus grande partie de l’étude, la couverture vaccinale était très faible en Afrique du Sud. Seulement environ un quart de la population sud-africaine (caractérisée par un âge médian de 27 ans) est d’ailleurs aujourd’hui complètement vaccinée. Les chercheurs sus-africains indiquent que le statut vaccinal des individus identifiés durant cette étude comme ayant développé une réinfection n’était pas connu. À noter par ailleurs que les réinfections suspectes n’ont pas été confirmées par le séquençage génomique.
Conduite par des chercheurs sud-africains, cette étude a consisté en une analyse rétrospective des données épidémiologiques. Son objectif était de déterminer si le risque d’être réinfecté par le SARS-CoV-2 avait changé au cours du temps en Afrique du Sud en fonction des variants Beta, Delta et depuis peu Omicron. Pour ce faire, Juilet Pulliam et ses collègues du South African Centre of Excellence in Epidemiological Modelling and Analysis (SACEMA) de l’université Stellenbosch ont utilisé les données des prélèvements recueillis entre le 4 mars 2020 et le 27 novembre 2021. Leurs résultats portent sur 2,79 millions d’individus ayant eu un résultat positif pour le SARS-CoV-2 au moins trois mois avant le 27 novembre 2021.
Les personnes ayant un résultat positif à au moins 90 jours d’intervalle d’un précédent test positif ont été considérées comme présentant une possible réinfection. Une période de 90 jours entre deux tests positifs réduit grandement la possibilité qu’un tel résultat puisse être dû à une excrétion prolongée du virus.
Signal d’échappement immunitaire au niveau populationnel
Les résultats montrent que le variant Omicron est clairement associé, à l’échelle populationnelle, à une capacité notable d’échapper au système immunitaire chez des individus préalablement infectés, ce qui se traduit par un risque accru de réinfection.
Un tel risque de présenter une nouvelle infection après avoir déjà contracté le SARS-CoV-2 n’a en revanche pas été observé avec les variants Beta (ex-variant B.1.351 dit sud-africain) et Delta (ex-variant B.1.617.2 dit indien).
Par conséquent, l’immunité développée vis-à-vis du variant Delta ne semble pas protéger d’une infection ultérieure par le nouveau variant Omicron.
Il s’agit là d’une situation qui tranche singulièrement avec ce que l’on observe habituellement. On estime en effet qu’une infection pré-existante par le SARS-CoV-2 confère une protection d’au moins 80 % vis-à-vis du risque de réinfection à court terme. L’étude des chercheurs sud-africains a utilisé deux méthodes différentes pour déterminer si le risque de réinfection avait changé depuis l’émergence des variants Beta, Delta et Omicron.»
« Covid-19 : vers une vaccination des enfants de 5 à 11 ans «si possible d’ici la fin de l’année» »
Par Nicolas Berrod
Le 6 décembre 2021 à 19h21
« Les enfants fragiles pourront, eux, se faire vacciner dès le 15 décembre, comme l’avait recommandé la Haute Autorité de santé.
Ce sera donc bien à la fin de l’année ou début janvier 2022. Jean Castex a indiqué, ce lundi soir, que les enfants âgés de 5 à 11 ans pourront a priori se faire vacciner contre le Covid-19 dans quelques semaines, « si possible d’ici la fin de l’année ». Cela pourrait débuter dès le 20 décembre, a précisé Olivier Véran.
Les enfants de 5 à 11 ans souffrant de comorbidités ou vivant dans l’entourage de personnes fragiles pourront recevoir leur première injection de vaccin Pfizer dès le 15 décembre, comme l’avait recommandé la Haute Autorité de santé (HAS) fin novembre, a officialisé le Premier ministre.
Le gouvernement avance très prudemment sur ce sujet sensible. À plusieurs reprises ces dernières semaines, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer et celui de la Santé Olivier Véran ont assuré que faire vacciner les enfants de moins de 12 ans serait « facultatif ».
L’accord des parents sera obligatoire. Un nouvel avis de la HAS, ainsi que la position du Comité consultatif national d’éthique, sont attendus dans les prochains jours ou les prochaines semaines. »
« Covid-19 : protocole renforcé dans les écoles, fermeture des discothèques, vaccination des 5-11 ans… Ce qu’il faut retenir des annonces de Jean Castex »
Le Monde avec AFP
Publié hier à 20h59, mis à jour à 04h58
« Le premier ministre a énuméré diverses mesures contre la cinquième vague de Covid-19, sans vouloir recourir à des dispositions « disproportionnées ».
Protocole renforcé dans les écoles, télétravail recommandé, fermeture des discothèques et vaccination des 5-11 ans préconisée… Jean Castex a annoncé, lundi 6 décembre, lors d’une conférence de presse en présence du ministre de la santé Olivier Véran, une batterie de mesures contre la cinquième vague de Covid-19 sans vouloir recourir à des dispositions « disproportionnées », comme les confinements ou les jauges. L’objectif est d’enrayer la progression de l’épidémie qui a dépassé les 50 000 cas quotidiens.
« En baissant de seulement 10 % le taux de contamination », l’hôpital pourrait éviter une nouvelle embolie, a estimé le premier ministre, assurant que la mise en place de « jauges », de « couvre-feux » ou de « confinements » « serait disproportionnée » en l’état actuel de l’épidémie.
« Sans la vaccination, a-t-il insisté, des mesures de confinement auraient certainement déjà été prises, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, et l’objectif, c’est que ce ne soit pas le cas non plus demain. » Il a également rappelé l’importance du rappel vaccinal qui « booste considérablement » la protection, ajoutant qu’au 30 décembre plus de 15 millions de personnes auront reçu une dose de rappel en France. »
Je comprends ton amertume que de voir des adultes préférer par pur égoïme privilégier leur petite vie avec leurs petites habitudes qu'ils ne veulent absolument pas mettre de côté pour en terminer avec cette pandémie.
Le pire effectivement c'est de prendre en otage les enfants, d'inciter le gouvernement à vacciner les enfants pour préserver les antivax qui ne respectent pas les mesures barrière, ou de faire prendre des risques aux enfants ayant des comorbidités !
Mais voilà 17 % de la population (antiovax) n'a pas compris ce qu'est un citoyen avec ses droits, en oubliant ses devoirs. La liberté n'est pas de faire ce que l'on veut au détriment des autres dans nos démocraties, cela reviendrait à revenir à la loi de la jungle et au darwinisme ! La liberté passe par l'intérêt collectif pour préserver les intérêts des autres, que tous soient traités équitablement et avec justice !
Voici un article très détaillé faisant un point intéressant sur la vaccination des 5 – 11 ans !
J'ai réalisé une petite synthèse de l’article :
La position du ministre de la santé :
- Ouvrir dans un premier temps la vaccination aux 5-11 ans ayant des comorbidités pouvant entraîner des formes graves et de décès en cas d’infection au sars-cov2, à partir du 15 décembre suite aux décisions du Conseil stratégique.
Cela représenterait 364 000 enfants (6,3 % de la classe d’âge des 5-11 ans)
- La Haute Autorité de Santé (HAS) a identifié et détaillé ces comorbidités et facteurs de risques, à savoir :
« les cardiopathies congénitales, les maladies hépatiques chroniques, les maladies cardiaques, hépatiques (foie) et respiratoires chroniques (y compris l’asthme sévère), les maladies neurologiques, l’immunodéficience, l’obésité et le diabète, les hémopathies malignes, la drépanocytose ou encore la trisomie 21. »
- Attendre les retours d’études observationnelles sur les 5-11 ans vaccinés aux US (à ce jour 2,6 millions d’enfants vaccinés) , en Israël, en Autriche, en Italie… pour identifier d’éventuels effets indésirables (EI) rares et très rares, que les études cliniques de Pfizer n’auraient pas identifié faute d’une cohorte insuffisante (il faudrait des millions de patients dans une étude clinique pour identifier les EI très rares !
Cela permettra d’établir une balance bénéfices/risques plus fiable.
Les effets indésirables pour les 5-11 ans sont sensiblement les mêmes que pour les vaccinés 12 ans et plus, sont légers ou modérés et disparaissent en quelques jours, comme une douleur au site d'injection, de la fatigue, des maux de tête (céphalées), des rougeurs et un gonflement au site d'injection, des douleurs musculaires et des frissons. Ces effets sont généralement légers ou modérés et s'améliorent quelques jours après la vaccination.
La Haute Autorité de Santé (HAS) et la l'Académie de médecine et le Conseil scientifique ont un message de prudence et privilégient les feed back des autorités de santé US, israéliennes, autrichiennes ... concernant les EI des jeunes vaccinés de 5 à 11 ans pour mieux évaluer la balance bénéfices /risques, bien qu’elle soit légèrement favorable à ce stade.
En voulant éviter de préconiser la vaccination de cette classe d’âge pour compenser le refus des antivax adultes !
Le lien vers l'article :
« Vaccination des 5-11 ans : où en est-on ? » Juliette Mansour, Sami Acef, AFP France Facebook Twitter Email Publié le samedi 04 décembre 2021 à 09:19
Copyright AFP 2017-2021. Droits de reproduction réservés.
« Etats-Unis, Canada, Israël, Cambodge, Venezuela, Cuba…Plusieurs pays dans le monde ont fait le choix d'autoriser la vaccination contre le Covid-19 pour les enfants de moins de 12 ans. En France, le ministère de la Santé a ouvert la voie courant décembre à une vaccination des enfants risquant de développer des formes graves. Les chercheurs et médecins interrogés par l'AFP restent prudents sur la pertinence d’un élargissement à l’ensemble des 5-11 ans pour lutter contre la 5e vague. »
hello valentin !!!!!!! merci pour ce résumé, ça me facilite la tâche de la lecture parfois longue !!!!!!!! je parle bcp avec ma fille de cette vaccination pour les enfants !!!!! elle est très claire à ce sujet !!!!!!! du haut de ses 10 ans, elle ne comprend pas que des adultes ne se vaccinent pas !!!!!!!!! elle se demande pourquoi ils refusent de se protéger et de protéger les autres, surtout les enfants !!!!!!!!!! "c'est que des égoistes, dit elle !!!!!!! comme elle a raison !!!!!!
bonne journée valentin !!!!!!!!!