Deux des principales limites à ces tests RT PCR sont le qualité du prélèvement et la date de prélèvement versus la date de contamination de celle ou celui qui est testé, ce qui peut résulter des faux négatifs ou faux positifs surtout si le virus est concentré autre part que dans les voies respiratoires là où est effectué le prélèvement naso-pharyngé.
Cette propagande a déjà été démontée le 09 septembre 2020 par le journal le monde, la preuve :
« Covid-19 : l’hypersensibilité des tests PCR, entre intox et vrai débat
Peut-on vraiment dire, comme le relaient des messages en ligne, que 90 % des cas confirmés de personnes infectées sont des « faux positifs » ? »
Par Adrien Sénécat Publié le 09 septembre 2020 à 11h48 - Mis à jour le 09 septembre 2020 à 17h18
Temps de Lecture 5 min.
«En France, les tests pratiqués réalisent entre 40 et 45 cycles, selon le conseil scientifique Covid-19. Le sujet était évoqué dans un avis publié le 27 juillet : « Des valeurs de CT élevées sont souvent le reflet d’une quantité de virus faible ou nulle (débris de virus) signalant que la personne testée ne présente pas de risque. »
En résumé, les publications qui prétendent que 90 % des cas confirmés de Covid-19 seraient des « faux positifs » se trompent autant dans les chiffres que sur le fond.» »
Pour ceux qui ne sont toujours pas convaincus il suffit de lire ce qu'a écrit le Comité scientifique sur l'interprétation des tests virologiques RT PCR :
L'avis du Conseil scientifique du 27 juillet, aborde le sujet ... à lire pages 31 à 32 de l'avis au format pdf :
Pages 30 à 31 de l’avis du Conseil scientifique du 27 juillet
« II Tests virologiques et leur interprétation
A. Places respectives, intérêt et interprétation des différents tests virologiques (RT-
PCR) et sérologiques »
b) Interprétation des valeurs de « CT » des résultats virologiques
« De nombreux résultats de RT-PCR sont rendus avec des valeurs de CT qui est le numéro du cycle de PCR qui permet de signaler la détection de l’ARN viral dans l’échantillon testé. En moyenne, les tests réalisent entre 40 et 45 cycles ;
les résultats qui se positivent lors des derniers cycles (au-delà du 40e par exemple) sont le reflet d’une très faible quantité d’ARN viral détecté, fréquemment associé à une absence de particule virale infectieuse.
Se pose pour ces détections dites « tardives » (car après un nombre important de cycle PCR) la question de la présence de virus infectieux. Cette valeur de CT donne une approche semi-quantitative de la quantité d’ARN (et donc potentiellement de virus infectieux) présent dans l’échantillon.
Ainsi, pour des CT élevés, la quantité d’ARN/Virus est faible, et inversement, des CT bas (précoces), la quantité d’ARN/Virus est élevée.
A partir de ces analyses, il est possible de normaliser le test afin d’avoir une vraie valeur de quantification (PCR quantitative normalisée).
Cette mesure est rarement faite.
Lors des études réalisées pour le suivi des patients, il apparait que les quantités de virus détectées dans les prélèvements des voies aériennes supérieures réalisés à l’apparition des symptômes sont très élevées, signalant par la même un risque important de transmission du virus. Au fil des jours, cette quantité diminue, avec une détection par RT-PCR possible parfois plus de 21 jours.
Ces détections dites tardives sont parfois avec des valeurs de CT basses pouvant faire penser à un risque élevé de transmission. Toutefois, deux équipes ont publié des résultats montrant qu’à distance de l’infection, les cultures virales étaient très souvent impossibles, même pour des prélèvements ayant des valeurs de CT compatibles avec la culture virale.
L’interprétation est que des anticorps détectés chez les personnes infectées couvrent les virus et bloquent (neutralisent) la possibilité de la culture et probablement de la contamination.
Ce qui est aussi parfois observé est une négativation de la RT-PCR puis une réapparition d’un signal positif faible, en absence de signes cliniques. Cette situation reflète la possibilité de l’ARN viral de rester à l’état non infectieux dans des cellules à de très faibles concentrations, de l’ordre de 10 a 15 copies d’ARN pour 10 000 cellules. Dès lors, pour l’interprétation des résultats RT-PCR, deux points méritent d’être discutés :
1 – des valeurs de CT élevées sont souvent le reflet d’une quantité de virus faible ou nulle (débris de virus) signalant que la personne testée ne présente pas de risque, notamment si cette détection se fait dans un contexte de montée d’anticorps mesurable.
2 – la reprise de positivité faible tardive n’est que le reflet d’une persistance non infectieuse d’ARN viral, et ne doit pas être considérée comme une ré-infection ou une persistance virale. »
Deux des principales limites à ces tests RT PCR sont le qualité du prélèvement et la date de prélèvement versus la date de contamination de celle ou celui qui est testé, ce qui peut résulter des faux négatifs ou faux positifs surtout si le virus est concentré autre part que dans les voies respiratoires là où est effectué le prélèvement naso-pharyngé.
Cette propagande a déjà été démontée le 09 septembre 2020 par le journal le monde, la preuve :
« Covid-19 : l’hypersensibilité des tests PCR, entre intox et vrai débat
Peut-on vraiment dire, comme le relaient des messages en ligne, que 90 % des cas confirmés de personnes infectées sont des « faux positifs » ? »
Par Adrien Sénécat Publié le 09 septembre 2020 à 11h48 - Mis à jour le 09 septembre 2020 à 17h18
Temps de Lecture 5 min.
«En France, les tests pratiqués réalisent entre 40 et 45 cycles, selon le conseil scientifique Covid-19. Le sujet était évoqué dans un avis publié le 27 juillet : « Des valeurs de CT élevées sont souvent le reflet d’une quantité de virus faible ou nulle (débris de virus) signalant que la personne testée ne présente pas de risque. »
En résumé, les publications qui prétendent que 90 % des cas confirmés de Covid-19 seraient des « faux positifs » se trompent autant dans les chiffres que sur le fond.» »
Pour ceux qui ne sont toujours pas convaincus il suffit de lire ce qu'a écrit le Comité scientifique sur l'interprétation des tests virologiques RT PCR :
L'avis du Conseil scientifique du 27 juillet, aborde le sujet ... à lire pages 31 à 32 de l'avis au format pdf :
Pages 30 à 31 de l’avis du Conseil scientifique du 27 juillet
« II Tests virologiques et leur interprétation
A. Places respectives, intérêt et interprétation des différents tests virologiques (RT-
PCR) et sérologiques »
b) Interprétation des valeurs de « CT » des résultats virologiques
« De nombreux résultats de RT-PCR sont rendus avec des valeurs de CT qui est le numéro du cycle de PCR qui permet de signaler la détection de l’ARN viral dans l’échantillon testé. En moyenne, les tests réalisent entre 40 et 45 cycles ;
les résultats qui se positivent lors des derniers cycles (au-delà du 40e par exemple) sont le reflet d’une très faible quantité d’ARN viral détecté, fréquemment associé à une absence de particule virale infectieuse.
Se pose pour ces détections dites « tardives » (car après un nombre important de cycle PCR) la question de la présence de virus infectieux. Cette valeur de CT donne une approche semi-quantitative de la quantité d’ARN (et donc potentiellement de virus infectieux) présent dans l’échantillon.
Ainsi, pour des CT élevés, la quantité d’ARN/Virus est faible, et inversement, des CT bas (précoces), la quantité d’ARN/Virus est élevée.
A partir de ces analyses, il est possible de normaliser le test afin d’avoir une vraie valeur de quantification (PCR quantitative normalisée).
Cette mesure est rarement faite.
Lors des études réalisées pour le suivi des patients, il apparait que les quantités de virus détectées dans les prélèvements des voies aériennes supérieures réalisés à l’apparition des symptômes sont très élevées, signalant par la même un risque important de transmission du virus. Au fil des jours, cette quantité diminue, avec une détection par RT-PCR possible parfois plus de 21 jours.
Ces détections dites tardives sont parfois avec des valeurs de CT basses pouvant faire penser à un risque élevé de transmission. Toutefois, deux équipes ont publié des résultats montrant qu’à distance de l’infection, les cultures virales étaient très souvent impossibles, même pour des prélèvements ayant des valeurs de CT compatibles avec la culture virale.
L’interprétation est que des anticorps détectés chez les personnes infectées couvrent les virus et bloquent (neutralisent) la possibilité de la culture et probablement de la contamination.
Ce qui est aussi parfois observé est une négativation de la RT-PCR puis une réapparition d’un signal positif faible, en absence de signes cliniques. Cette situation reflète la possibilité de l’ARN viral de rester à l’état non infectieux dans des cellules à de très faibles concentrations, de l’ordre de 10 a 15 copies d’ARN pour 10 000 cellules. Dès lors, pour l’interprétation des résultats RT-PCR, deux points méritent d’être discutés :
1 – des valeurs de CT élevées sont souvent le reflet d’une quantité de virus faible ou nulle (débris de virus) signalant que la personne testée ne présente pas de risque, notamment si cette détection se fait dans un contexte de montée d’anticorps mesurable.
2 – la reprise de positivité faible tardive n’est que le reflet d’une persistance non infectieuse d’ARN viral, et ne doit pas être considérée comme une ré-infection ou une persistance virale. »
CQFD
Salut L'Oss..
Bac + 12 en plomberie..?
et ta femme....?
son cursus..
ménagère ..
bac à vaisselle..
plus 70...
mdr..
Modifié il y a 4 ans, le lundi 21 septembre 2020 à 00:23
" « Ensemble, défendons la liberté » : l’appel inédit d’une centaine de médias français "
Par:
Les médias signataires de l’appel :
Alliance de la presse d’information générale, BFMTV, Canal+, Challenges, Charlie Hebdo, CNews, Courrier international, Europe 1, France Télévisions, L’Alsace, L’Angérien libre, L’Avenir de l’Artois, L’Echo de l’Ouest, L’Echo de la Lys, L’Equipe, L’Essor savoyard, L’Est-Eclair, L’Est républicain, L’Express, L’Hebdo de Charente-Maritime, L’Humanité, L’Humanité Dimanche, L’Indicateur des Flandres, L’Informateur Corse nouvelle, L’Obs, L&rsquoinion, L’Union, La Charente libre, La Croix, La Dépêche du Midi, La Nouvelle République, La Renaissance du Loir-et-Cher, La Renaissance lochoise, La Savoie, La Semaine dans le Boulonnais, La Tribune républicaine, La Vie, La Vie corrézienne, La Voix du Nord, Le Bien public, Le Canard enchaîné, Le Courrier français, Le Courrier de Gironde, Le Courrier de Guadeloupe, Le Courrier de l’Ouest, Le Courrier picard, Le Dauphiné libéré, Le Figaro, Le Journal d’ici, Le Journal des Flandres, Le Journal du dimanche, Le Journal du Médoc, Le Journal de Montreuil, Le Journal de Saône-et-Loire, Le Maine libre, Le Messager, Le Monde, Le Parisien, Le Pays gessien, Le Phare dunkerquois, Le Point, Le Progrès, Le Républicain lorrain, Le Réveil de Berck, Le Semeur hebdo, Le Télégramme, Les Dernières Nouvelles d’Alsace, Les Echos, Les Echos du Touquet, LCI, Libération, Libération Champagne, M6, Marianne, Midi libre, Monaco Matin, Nice Matin, Nord Eclair, Nord Littoral, Ouest France, Paris Match, Paris Normandie, Presse Océan, Radio France, RMC, RTL, Sud Ouest, Télérama, TF1, Var Matin, Vosges Matin.
Ah ben,et le " Petit Canard " du fofo !
Wââââââââââââ !
Râââââââââââââ !
Citation de fouthese
" Pr Christian Perronne : "La France est championne du monde de létalité du COVID" "
_
Les 10 premières minutes sue l'usage du " PCR " donnent d'emblée le ton !
Chez Youyou
Pauvre homme ce Perronne !
« Pr Christian Perronne : "La France est championne du monde de létalité du COVID" »
Encore des mensonges !
Le taux de létalité et le ratio du nombre de morts sur le nombre de testés positifs, ce qui ne veut rien dire en soit, car les décès dépendent de nombreux facteurs que j’ai cité dans mes posts précédents, parmi ceux qui ont le plus d’incidence :
- le nombre de testés et de cas positifs, plus il augmente, plus le taux de létalité baisse : 4 558 040 au Brésil, 6 856 884 aux US, 496 851 en France
- la pyramide des âges et la proportion des plus de 65 ans représentant près de 88,52 % des morts de la COVID en France. 8,61 % de la population a plus de 65 ans au Brésil, 16 % aux US, contre 18,8 % en France ) sans compter les nombreux autres facteurs. CQFD
Ce qu’il dit sur la France championne du monde de la létalité est tout simplement faux !
Il suffit de regarder les chiffres du Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (CRC) qui collecte toutes les données de santé à travers le monde :
- C’est le Yémen avec 28,9 % de taux de létalité le plus élevé à ce jour
- suivie de l’IItalie avec 11,9 %
- du Mexique avec 10,5 %
- du Royaume Uni avec 10,4 %
- de la Belgique avec 9,6 %
- de l’Equateur avec 8,8 %
- du Tchad avec 7 %
- de la Suède avec 6,6% à cause de l’absence de confinement ? La question est posée
- viennent ensuite les Pays-bas et la France avec 6,3 %
- Une raison pour laquelle le Brésil et les US ont un taux de létalité respectivement 3 % et 2,9 % ? Le nombre de testés et de positifs, le taux de personnes de plus de 65 ans dans le pays, la concentration des personnes dans des cités où la densité de population est élevée… .