Sinon......,dans ton 2 pièces mansardées ( avec WC dans la cage d'escalier... ) ......,le dimanche......,ça se passe bien ?
Le contraire du comble,c'est ça ?
Voilà à quoi rêve Fouthese dans ses délires les plus fous, pour combler sa vie lorsque pépère nous fait des gardes le dimanche sur le fofo, tout cela pendant que les autres ont une vie sociale, tu devrais éviter de te faire autant de mal et te ridiculiser tout seul le cénobite !
Alors Fouthese RAS ce dimanche pendant ta garde à l’EPHAD ? Rambo te relève cette nuit ? Tu lui as passé tes con signes !
Citation de fouthese
Non,pas " tout le monde "...
Mais ça vient,tout doucettement...
Une révolution silencieuse s'opère... C'est bien.
À l'ancienne Valentin,à l'ancienne !
Une révolution silencieuse ? Avec toi Fouthese ?
T'as vu la vierge Marie ? Dis nous ?
Tu continues encore dans la prédi caquetation Fouthese à te prendre pour Nostradamus, pourtant ça ta pas trop réussi dans le passé jusqu’à présent hein ! Tu veux des exemples ?
T’aurais pas tout compris des voix du seigneur, t’as un problème de traduction avec le saint Père ?
Tu vas encore te fourvoyer avec tes prédications fantasmatiques, nous faire encore du déni et passer ça sous le tapis ? CQFD
"Le CETA est un accord économique et commercial conclu entre l'UE et le Canada. Cet après-midi, les députés doivent se prononcer sur ce dernier. Il est à noter que dans les faits, ce texte très controversé est déjà entré en vigueur à 90% depuis fin 2017. Quelles sont les principales mesures prévues par cet accord ? Pourquoi est-il si controversé ? Quelles ont été les retombées économiques en France depuis sa mise en vigueur ? - L'édito Eco de Mathieu Jolivet, du mardi 23 juillet 2019, sur BFMTV."
Citation de valentin14vanves
CETA: faut-il s'inquiéter ?
Jul 24, 2019
"Le CETA est un accord économique et commercial conclu entre l'UE et le Canada. Cet après-midi, les députés doivent se prononcer sur ce dernier. Il est à noter que dans les faits, ce texte très controversé est déjà entré en vigueur à 90% depuis fin 2017. Quelles sont les principales mesures prévues par cet accord ? Pourquoi est-il si controversé ? Quelles ont été les retombées économiques en France depuis sa mise en vigueur ? - L'édito Eco de Mathieu Jolivet, du mardi 23 juillet 2019, sur BFMTV."
Des infos précises et concrêtes sur les accords du CETA :
"Mondialisation : faut-il dire non au CETA ?"
#cdanslair 22.07.2019
« Demain, chacun de vous aura plus de pouvoir que tous les ministres de l’Ecologie réunis. (…) Ayez le courage de dire non ». Dans une lettre ouverte, publiée sur France Info, Nicolas Hulot appelle les députés à s&rsquoposer au CETA. Le traité de libre-échange entre l’Union européenne (UE) et le Canada, qui suscite de nombreuses réticences, doit être voté ce mardi 23 juillet à l’Assemblée. Le CETA prévoit notamment la suppression des droits de douane de 98% des produits échangés entre le Canada et l’UE, et renforce la coopération en matière réglementaire. Dans sa tribune,
Nicolas Hulot juge que le texte est néfaste pour la santé, le climat et les agriculteurs. L’ancien ministre de la Transition écologique et solidaire estime que ce type d’accord commercial « emporte toutes nos batailles et leurs conséquences dépassent largement nos frontières ». Et ajoute : « L’Union européenne ne montre aucune volonté de questionner l’utilisation par le Canada de 46 substances interdites en Europe ». « Ce n’est pas le CETA, c’est la cata » avait ironiquement déclaré il y a quelques jours le député PCF Pierre Dharréville, traduisant en grande partie l&rsquoinion de l&rsquoposition. De droite comme de gauche, les détracteurs du CETA pointent du doigt quatre conséquences néfastes qu’impliquerait la ratification de cet accord pour la France : 1- Les répercussions écologiques. Le PS et LFI ont affirmé que le texte allait « entraîner une hausse des émissions de gaz à effet de serre ». 2- Les risques sanitaires. Christian Jacob, chef de file LR a accusé le gouvernement et la majorité de « mensonges » sur les farines animales dont l’utilisation « est autorisée dans l’alimentation des bovins au Canada ». Le député insoumis François Ruffin, lui, a ajouté en commission : « Des animaux nourris avec de la farine de sang d’animaux, du sang d’animaux déshydraté, des poils d’animaux hydrolisés… Voilà, ce que vous allez devoir manger ». 3- Avec la ratification du CETA, l&rsquoposition craint un « un problème social » à venir. Selon Christian Jacob le traité pourrait « déstabiliser la filière bovine » française. 4- Enfin, l&rsquoposition redoute l’influence des multinationales dans les décisions politiques. « C’est un défi pour la démocratie parce qu’on a demain des industriels qui peuvent faire reculer les gouvernements, faire reculer les pays souverains, tout simplement parce qu’ils considèrent que c’est une entrave au commerce », s’est inquiété Olivier Faure, le premier secrétaire du PS. De son côté, le gouvernement a défendu un « accord important » et « qui permet à nos filières d’exporter plus, d’exporter mieux ». Dans les faits, le CETA est déjà entré en vigueur, provisoirement, depuis deux ans.
La majorité a vanté un « bilan très positif » de son application, avec notamment une progression des exportations vers le Canada de 6,6% entre 2017 et 2018, avec des pointes à 10% pour les produits de pharmacie, le mobilier, les cosmétiques et les vêtements. De l’autre côté, l’agriculture canadienne gagne aussi un accès accru au marché européen. Mais pour l’heure, l’invasion tant redouté du bœuf canadien n’a pas eu lieu. Fervent défenseur de l’accord, le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste Lemoyne a affirmé que le traité « organisait et garantissait entre l’Europe et le Canada, des échanges commerciaux fondés sur les règles, respectueux des valeurs » et participait à la « mise en place d’un filet de sécurité » pour garantir « des débouchés commerciaux à notre économie ». Pour la majorité, le CETA est donc un accord « gagnant pour la France » et symbolise un « libre-échange régulé ».
Invités :
- Christophe Barbier - Editorialiste politique à L’Express
- Philippe Dessertine - Directeur de l’Institut de Haute Finance
- Mathieu Plane - Economiste à l’OFCE, directeur adjoint au Département Analyse et Prévision
- Nicole Ouvrard - Directrice des rédactions du groupe REUSSIR AGRA
MANIFESTATION NATIONALE DU 15 OCTOBRE: LA FNSPF APPELLE AU CALME ET DEMANDE DES RÉPONSES AU MALAISE DES SAPEURS-POMPIERS
FÉDÉRATION NATIONALE DES SAPEURS-POMPIERS DE FRANCE - LE 10 OCTOBRE 2019
[ COMMUNIQUE DE PRESSE ] Mardi 15 octobre, les neuf organisations syndicales de sapeurs-pompiers professionnels appellent à une journée de mobilisation pour dénoncer le malaise ressenti chez une grande partie des sapeurs-pompiers face à l’inflation de leur sollicitation opérationnelle en dehors de leur cœur de métier : le secours d’urgence aux personnes et l’incendie, et l’explosion des agressions dont ils sont l’objet en intervention.
Pour la FNSPF, les réponses à ce malaise sont les suivantes :
Réformer rapidement et de manière ambitieuse le système de secours d’urgence, aujourd’hui à bout de souffle
Conformément à la volonté du Président de la République[1], le 112, numéro européen, doit être élevé au rang de numéro unique pour les appels de secours d’urgence.
La création autour de ce numéro unique de centres départementaux d’appels d’urgence (CDAU 112) interservices (pompiers, police, gendarmerie, Smur) doit permettre de construire une nouvelle organisation distinguant la réponse aux appels de secours d’urgence, et le nouveau service d’accès aux soins (annoncé par Agnès Buzyn, ministre de la Santé, le 116117).
Une meilleure reconnaissance de l’engagement pour garantir l’attractivité de l’activité et du métier de sapeur-pompier
Dans un contexte où il faut remettre de l’humain dans les décisions, il est aujourd’hui indispensable de reconnaître ce que font au quotidien nos sapeurs-pompiers, et les personnels administratifs et techniques qui les soutiennent chaque jour dans leurs missions.
Cela passe en priorité par :
La concrétisation rapide de l’initiative française annoncée auprès de l’Union européenne en faveur d’une directive spécifique à toutes les formes d’engagement citoyen, seule à même de protéger les 195.000 sapeurs-pompiers volontaires.
Des mesures fortes et concrètes de soutien, pour certaines de nature législative à l’engagement volontaire des sapeurs-pompiers, conformément aux préconisations faites l’an dernier par la Mission Volontariat.
Principale revendication des sapeurs-pompiers professionnels, la revalorisation de la prime de feu et sa transformation en véritable prime de risque exige qu’une marge de manœuvre financière soit donnée aux SDIS. La FNSPF attend un accord sur ce point lors de la réunion du comité des financeurs des services d’incendie et de secours (SIS)[2] du 10 octobre 2019.
Obtenir de nouvelles mesures pour lutter plus efficacement contre les agressions
La FNSPF salue sur ce point les mesures confirmées le 5 septembre par le ministre de l’Intérieur[3].
Mais face à la multiplication précupante et inacceptable des agressions, dont sont victimes quotidiennement 7 sapeurs-pompiers, il faut aller plus loin et mettre en place un plan global d’action contre les agressions.
La FNSPF demande que ce plan s’appuie sur les préconisations du rapport de la mission sénatoriale d’information sur la sécurité des sapeurs-pompiers en intervention attendu ce mois-ci.