aicha-o0

islam et occident

il y a 17 ans
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aicha-o0 il y a 17 ans

Je voudrais vous faire part de deux articles que j’ai lu dans un magazine au combien critiquable « philosophie magazine ». Il accorde un dossier complet, relativement bien fait, au sujet de l’Islam et l’occident, ce qui s’inscrit directement dans les polémiques lancées ici. Je pense que ce dossier pourrait contribuer à la poursuite de vos réflexions…

L’EXCEPTION ISLAMIQUE.

En terre musulmane, le religieux et le politique ont des liens à la fois plus étroits et plus flous qu’en Occident. L’islam n’ayant aucune autorité religieuse centralisée, concevoir sa séparation d’avec l’Etat est d’une redoutable difficulté. Les raisons d’un divorce impossible. Par Hamadi Redissi

L’islam contemporain tourne en rond : il ne revendique pas l’unité du religieux et du politique comme dans le modèle chrétien médiéval et refuse en même temps le schéma moderne de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, de la laïcité. Deux thèses s’opposent alors. L’islam est sans Eglise institutionnalisée, hiérarchisée et sans clergé monastique. C’est un fait. Il y a bien un corps de docteurs de la loi – les ulémas -, mais ils n’ont guère le monopole de la grâce. Le croyant accède directement à Dieu. L’Eglise n’existant pas, il n’y a pas de confusion possible entre cette entité et l’Etat, il n’est donc pas nécessaire, selon certains, de les séparer. Pour d’autres, au contraire, on peut officialiser une séparation déjà inscrite dans l’économie de la foi musulmane : il suffirait que l’Etat exprime sa neutralité en matière religieuse. On le voit, le religieux et le politique ont noué des rapports plus compliqués qu’en occident.
Dans l’Islam de l’âge classique (9 ème- 19ème siècle), trois visions des rapports entre le religieux et le politique coexistent. Dans la première, théologique, l’autorité politique a une source religieuse et revient au calife, le successeur du prophète dans « la conservation de la religion et de l’administration des intérêts terrestres ». La deuxième confie l’autorité politique au prince mais, pour prétendre régir le royaume, il se doit de mener une vie conforme aux commandements de la tradition et de l’éthique religieuse. Enfin, la troisième vision est philosophique. Son ambition est de construire, en s’inspirant de La République de Platon, une cité idéale pour le meilleur des hommes, le philosophe qui gouverne selon la norme du juste, marginalisant ainsi la rigueur de la charia.
Au siècle des lumières, tandis qu’en Occident la monarchie absolue de droit divin s’éteint, le modèle théologique du califat semble l’emporter en Orient : l’exercice du pouvoir est confié à l’arbitraire d’un seul, tenu en laisse par la charia. Dans Leçon sur l’histoire de la philosophie,Hegel a résumé de façon approximative la situation « En Orient un seul est libre (le despote). » Montesquieu, mieux renseigné, avait, quant à lui, compris que, face au despote, la religion incarne un contre-pouvoir. Le modèle du califat semblerait être la version islamique définitive du théologico-politique, l’identité même de l’Islam.
Contrairement aux idées préconçues, de nombreuses tentatives intellectuelles et politiques ont été faites, depuis le 19ème siècle, pour autonomiser le politique en terre d’Islam. Mais sans succès. Sur le plan des idées, une polémique oppose, en 1905, Farah Anton, un chrétien arabe libanais réfugié au Caire, à Mohamed Adbuh, homme éclairé et mufti (interprète de la loi musulmane) d’Egypte. Le premier, se référant à la loi française de 1905 qui marque la fin du concordat, défend le modèle de la laïcité. L’autre ne voit la nécessité de surajouter une « seconde laïcité » à une religion déjà sans Eglise. Le débat tourne au scandale quand Ali Abderrazak, un jeune théologien ayant séjourné quelque temps en Angleterre, s’attaque dans L’Islam et les fondements du pouvoir (1926) à la mission du prophète et au califat. Bravant les interdits, il affirme que la mission de Mahomet était spirituelle, au même titre que celles de Moïse et de Jésus. Certes, Mahomet a exercé des fonctions politiques, mais celle-ci ne faisaient pas partie de la prophétie. Quant au califat, il n’a aucun fondement scripturaire, l’Ecriture sainte n’en fait pas mention. Rien donc, selon Abderrazak, n’empêche l’islam de se séculariser. Violemment attaqué par la hiérarchie religieuse, le jeune théologien est traduit devant un conseil de discipline et démis de ses fonctions d’enseignant.
Depuis, on a peu avancé. La laïcité demeure un terme sulfureux. La plupart des Constitutions des pays musulmans, tout en garantissant les libertés de base, se réfèrent explicitement à l’islam, qui est religion d’Etat, et la charia est reconnue comme l’une des sources du droit – quand elle n’en est pas la principale. Cela a des conséquences considérables. D’abord, l’Etat est tenu de protéger la religion. Ensuite, le juge est autorisé à se replier sur la charia en cas de silence du droit positif, voire en cas de conflit entre droit positif et la charia. Des problèmes judiciaires pratiques souvent insurmontables en résultent dans le droit de la famille, la liberté de culte et le droit des étrangers non musulmans. Enfin, le fait que la Constitution fasse référence à l’islam pose problème : l’Etat est sans cesse accusé d’en faire trop ou pas assez. Les laï;cs déplorent le statut confessionnel de l’Etat, tandis que les islamistes dénoncent son impiété. Affaibli, l’Etat est en deçà et au-delà de la religion. Le pis est que, si on savait à l’âge classique ce qu’était la charia, elle est devenue aujourd’hui incertaine. Le voile ou le djihad, pour ne citer que des cas médiatisés, en font-ils partie ? En vérité, la charia est à la fois aussi impossible à écarter qu’inapplicable.
Pourquoi le divorce de l’islam et de la politique semble-t-il à ce point impossible ? Les causes structurelles et culturelles sont nombreuses et je voudrais mettre l’accent sur le rapport des musulmans aux valeurs de la modernité. Philosophiquement, l’Islam a rejeté la « souveraineté du sujet » de Descartes ou l’indépendance des individus, au motif de Dieu est aussi souverain. Politiquement, il a refusé d’envisager une rupture révolutionnaire du religieux et du politique sur le modèle français. Socialement, il a refusé la sécularisation des mœurs. L’Islam s’est pensé à part : il est civil par essence, cependant sa civitas est coextensive à la société religieuse fondée sur les trois piliers que sont la croyance, le culte et la moral. Libres, on le veut bien, mais d’adorer Dieu ! De guerre lasse, l’islam a accepté la démocratie, en tant que procédure formelle, délestée de ses valeurs. Formellement disjointes, les autorités religieuse et politique n’ont pas réussi à clarifier leurs rapports mutuels. La crise des valeurs de la modernité occidentale, la globalisation et le climat d’incertitude actuelle ont fini par échauffer les esprits : pour les fondamentalistes, l’islam est la solution. Et s’il était le problème ? Il y aurait là un cas typique de ce que Nietzsche appelle la « transmutation des valeurs » !

L’IMAGE TROUBLE DE L’OCCIDENT

Dépravé, individualiste, impérialiste, sans idéal : l’Occident incarne un contre-modèle pour de nombreux musulmans dans le monde. Stigmatisée par les radicaux, son influence culturelle n’en est pas moins palpable dans les sociétés islamiques. Un brûlant paradoxe. Par Farhad Khosrokhavar.
Le radicalisme islamique n’est plus un phénomène moyen-oriental ou reservé aux seules sociétés musulmanes. En Europe, au Canada, en Australie et même aux Etats-Unis, quelques minorités constituées de borna gain Muslims ou de convertis se radicalisent. Si les attentats du 11 septembre étaient le fait de musulmans arabes (Arabie saoudite et Egypte), les groupes qui se réclament du djihad sont à présent des homegrown, des citoyens français, espagnols ou britanniques nés et éduqués dans ces différents pays, comme dans le cas des attentats déjoués en Angleterre et en Allemagne cet été, ou résidents de longue date.
L’affrontement contemporain tient, pour sa part, à l’importance des symboles, dans l’environnement où les médias jouent un rôle fondamental. Al-Qaida en est l’illustration : c’est bien plus une référence symbolique qu’une réalité organisationnelle. Son rôle effectif est marginal, le nom opérant comme un symbole imaginaire, à l’instar du prolétariat des mouvements gauchistes des années 1970 en Europe. Dans ce monde où les constructions imaginaires revêtent une importance de plus en plus grande, la figure de l’Occident mérites une attention particulière.
L’image que s’en font les représentants de la petite minorité radicalisée à l’intérieur de l’espace occidental et celle des radicaux en terre d’Islam présentent de nombreuses similitudes. D’abord, l’Occident est perçu comme une puissance dominante, voire répressive, un Goliath dont la supériorité militaire et la force brute ne peuvent être égalées que par David capable de transformer sa vie en martyre pour la cause supérieure d’un Islam en danger. Ensuite, l’Occident est le théâtre d’une corruption des mœurs, en particulier l’homosexualité, qui rappelle Sodome et Gomorrhe. Par la voie des industries culturelles et des chaînes de télévision, cet Occident contaminerait les musulmans. Cette double image de l’Occident, comme puissance impériale et comme identité diabolique, renvoie d’un côté à une idéologie d’extrême gauche et de l’autre à des idées d’extrême droite. Dans le premier cas, l’impérialisme occidental devenu une puissance de Taghut est la retranscription en termes islamiques de la vision « gauchistes » traditionnelle. Dans le second, l’égalité entre l’homme et la demme, la disparition de la famille patriarcale traduisent l’effondrement des valeurs « morales » régissant la sexualité et les relations du genre. ( taghut : ce terme désigne les diables, les idoles et fausses divinités condamnés par l’islam, ceux qui ne reconnaissent pas la transcendance de l’uniicité divine ni la mission prophétique de Mahomet sont dans le Taghut).
Aux yeux des musulmans européens, leur situation reproduit l’humiliation de leurs « frères » des territoires palestiniens. Israël réprime les Palestiniens de la même façon que la police réprime les « Arabes », entend-on dans les banlieues et en prison en France. Notons qu’un peu partout en Europe les jeunes hommes musulmans sont de plus en plus nombreux à se trouver exclus ou déviants, et leur proportion en prison est beaucoup plus élévée. Pour ces jeunes, l’Occident dominateur et pervers n’est pas seulement une abstraction, il renvoie à l’expérience quotidienne de l’exclusion sociale et économique. Ces citoyens de second ordre que l’on rejette autant pour leur absence de qualification que pour leur origines s’identifient de plus en plus à l’Islam parce qu’il n’ont plus une conscience claire de ce que signifie être « algérien » ou « marocain ». Etre musulman revient alors à n’être ni « français » ni « nord-africain » et permet de se construire une identité substitutive qui remplace les deux autres, la première parce qu’inaccessible, la seconde parce que lointaine et extérieure. L’accès à l’Islam revêt un sens lié à « la religion des déshérités, des opprimés », mais aussi au rejet d’un monde où la domination s’appuie sur l’absence de « moralité ». C’est en ce sens qu’il faut comprendre le néo-puritanisme des jeunes qui embrasse l’islam.
En terre d’Islam, la situation est différente, mais le constat identique. Il y a le traumatisme de la création d’Israël mais aussi, depuis la disparition de l’Union soviétique, la perte d’un soutient colossal qui donnait un sentiment de sécurité à nombre de pays arabes et de musulmans. Il empêchait que la rancoeur contre l’Etat juif se transforme en ressentiment contre tout l’Occident. Depuis la chute du mur de Berlin, la rancœur contre Israël et le rejet de la domination américaine font percevoir l’Occident comme une altérité absolue par rapport à l’islam. L’occident semble menacer directement l’Islam comme oumma ( mot forgé à partir de oum « source » « matrice » Au temps du prophète, l’oumma était la « mère » des tribus qui se partageaient l’Arabie. Elle est devenue la communauté des croyants) : les nouvelles classes moyennes introduisent des mœurs occidentales, les femmes apparaissent dans l’espace public, les repères traditionnels se perdent et les élites politiques plus ou moins détachées de la société (en Egypte, au Pakistan, en Afghanistan ou encore en Arabie saoudite) semble se soumettre à l’Amérique haïe. Mais cette communauté de croyants qu’on oppose au modèle occidental est elle-même imaginaire. Loin d’avoir existé historiquement, elle représente une « néo-oumma ».
Le djihad que les islamistes brandissent contre l’Occident trouve ses fondements dans cette vision. Or l’Occident maléfique, qui est rejeté, imprègne culturellement les orientations des sociétés musulmanes à travers l’individualisme, le consumérisme et l’hédonisme sous des formes « anti-islamiques ». Cette présence rend de plus en plus incertaine l’identité religieuse du nouvel Homo islamicus. L’hédonisme, un trait qu’au Moyen Age les Occidentaux reprochaient aux musulmans « lascifs » et « lubriques », se tourne contre les Occidentaux, ces nouveaux « pervers ». De même, auparavant, les musulmans dominaient les chrétiens en terre d’Islam et, mis à part en Espagne avant la Reconquista, il n’y avait pas de minorité musulmane importante en terre chrétienne. Les chrétiens avaient à s’adapter aux musulmans, à l’opposé de la situation actuelle.
Pour les représentant de l’islam traditionnel, l’ennemi chrétien gardait un caractère humain, ne serait-ce que par son appartenance aux « gens du Livre ». Trait apparement ancien, l’animosité à l’encontre de l’Occident est, dans l’islamisme contemporain, lié à la crise du monde musulman et à la domination d’un Occident désormais en rupture avec son propre passé et dépourvu de message universel. Aux Etats-Unis comme en Europe prévalent l’absence d’utopie, l’enrichissement et la consommation comme valeurs dominantes, à côté de l’humanitaire comme substitut de l’humanisme. Ils sont nombreux ceux qui, hors d’Occident ou en son sein, jugent hypocrite la condamnation officielle de la violence par les puissances occidentales. L’absence de cohérence et d’homogénéité en Occident rend malaisé, voire impossible, un nouveau discours humaniste opposé à l’islamisme radical qui, à défaut de projet positif de société et de monde, possède la redoutable force dénoncer la « duplicité » occidentale et sa « dépravation » absolue.

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lonsdape13 (clôturé) il y a 17 ans

l'islam n'a rien a faire en europe

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lonsdape13 (clôturé) il y a 17 ans

vas rejoindre tes potes a sangattes!!! ou vas bloquez des lycées

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lonsdape13 (clôturé) il y a 17 ans

Des divinités antiques à la Vierge-Marie, en passant par la tradition de l’amour courtois ou les femmes ayant marqué l’Histoire (telles Catherine de Médicis, Jeanne d’Arc ou les révolutionnaires irlandaises de 1916), les femmes ont toujours été respectées et protégées en Europe.

Et cela bien avant le féminisme ou la parité... Les femmes européennes, et en particulier les jeunes filles, sont aujourd’hui les premières cibles et les premières victimes de l’islamisation de notre société et d’une nouvelle forme de violence, teintée à la fois de sexisme et de racisme anti-blanc dont les fameuses « tournantes » sont la plus odieuse expression.

Parce que nous ne voulons pas voir demain les femmes d’Europe voilées, parce que nous en avons assez des viols collectifs et des agressions verbales ou physiques contre les jeunes filles, les Jeunesses Identitaires ont lancé depuis le 8 mars 2006 une campagne ayant pour slogan « Ni voilée, ni violée : touche pas à ma soeur ».

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lvlaitre.de.s0rcere il y a 17 ans

Il faut se l'avouer, l'Occident a toujours été un model de paix et de respect de l'autre, historiquement parlant. Surtout envers les femmes. Celles qui portent le voile aujourd'hui en France le font majoritairement de leur propre volonté. Je n'ai rien contre, tant que la laïcité est respectée dans les lieux qui la réclame. Pour rappeler ce que Penelope a dit... Tu penses peut-être que de voir une femme voilée c'est pire que de voir à chaque coin de rue, des publicités pour téléphone rose avec des femmes nues dans des positions on ne peut moins séantes ? Oui, inculquons d'une manière barbare la sexualité à nos enfants. Relativisme culturel tu connais ?
Ces tournantes, par ailleurs, n'ont aucun rapport avec l'Islam. Il y a certes des musulmans qui doivent y participer, mais des catholiques aussi. Alors, pas d'amalgames.

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anarion il y a 17 ans

On peut ajouter aux femmes bosniaques les réseaux de prostitution forcée ...

Ou même plus proche de nous en France même, une femme meurt tout les quatres jours sous les coups de son conjoint ...

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anarion il y a 17 ans

Lis mon post convenablement, Guignol.

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anarion il y a 17 ans

Exprime toi mieux alors la prochaine fois.

Et puis le message n'était pas destiné au seul londsape :)

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anarion il y a 17 ans

"Et puis le message n'était pas destiné au seul londsape :)"

Comprend que tu étais un des destinataires.

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lvlaitre.de.s0rcere il y a 17 ans

Je doute que ça soit très journalistique de placer l'Islam au coeur de tout et n'importe quoi. Ca néglige trop ce qu'il y a à côté, ça manipule l'opinion publique et jusqu'à ce qu'il y est une nouvelle canicule, on risquerait de voir tous les vieux se mettre à penser que l'Islam est une religion de haine, de violence, etc. (D'ailleurs, c'est bien l'image qu'on donne aux informations de celle-ci :)

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lvlaitre.de.s0rcere il y a 17 ans

" ce qui me semble grave dans ce que tu dis et qui je pense relève aussi de la manipulation c'est d'éviter complètement le vrai problème. la question n'est pas de trop ou pas assez parler mais de parler avec justesse de quelque chose. les journalistes sont là pour ça, c'est-à;-dire parler et faire parler des problèmes qui gênent. certains le payent de leur vie. "

C'est ce que j'entendais pas " Ca néglige trop ce qu'il y a à côté ". :)

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toupla (clôturé) il y a 17 ans

Cet article montre surtout que, comme les autres grandes religions, l'Islam a un problème avec la sexualité et tout ce qui s'y rapporte ou même l'évoque. Il serait intéressant d'essayer de comprendre d'où cela vient... Méfiance à l'égard du plaisir (peur d'une perte de contrôle)? Rejet du physique face au spirituel?

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toupla (clôturé) il y a 17 ans

Ce n'était qu'une interprétation purement personnelle et donc toute relative. J'aimerais bien savoir ce qued'autres en pensent, autant du dedans que du dehors (adeptes d'une religion ou non).

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va-te-faire-integrer il y a 17 ans

Incompatibilité de l'islam à la modernité et à la démocratie ?

Des millions de musulmans européens démontrent tout le contraire tous les jours et sous vos yeux. Faudrait juste peut-être commencer à les ouvrir (les yeux) et en prendre connaissance. :)

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va-te-faire-integrer il y a 17 ans

Yankee arrete de pourrir tous les topics !

Tu parles encore et toujours d'antisémitisme... alors donne nous un exemple qui prouve ce que tu avances !??

Irene, rend toi à l'évidence que ce que je dis est vrai ! Des millions y vivent sans le moindre problème, il n'y a aucune incompatibilité si ce n'est dans les fantasmes qu'on cherche à exacerber et propager.


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