Quoi ? on t'aurait menti Foutaise ... à l'insu de ton plein gré ?
INTERNATIONAL
01/12/2020 22:43 CET
« L’administration Trump reconnaît qu’il n’y a pas eu de fraude massive lors de l’élection
Donald Trump refuse toujours de concéder sa défaite face à Joe Biden et trouve que son administration ne l'aide pas assez dans son combat. »
• AFP
« PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE - Le ministre américain de la Justice Bill Barr a déclaré ce mardi 1er décembre ne pas avoir constaté “de fraude” suffisante pour invalider la victoire de Joe Biden à la présidentielle, contrairement aux affirmations de Donald Trump.
“À ce stade, nous n’avons pas vu de fraude à une échelle susceptible de changer le résultat de l’élection”, a déclaré ce fidèle soutien du président républicain dans un entretien à l’agence américaine Associated Press.
“Il y a eu des allégations de fraudes systématiques, selon lesquelles des machines auraient été programmées pour fausser les résultats des élections”, a-t-il rappelé.
Mais les ministères de la Sécurité intérieure et de la Justice “ont enquêté et, pour l’instant, n’ont rien trouvé pour les étayer”. »
Citation de iseult
On est au bout du bout !
Quoi dire d'autre tant c'est énooooooooooorme !
Bonsoir,
Yep
Ah ya pas que la dinde de Thanksgiving qui a été graciée, Donald a été plus que généreux cette année pour sa tribu et ses fidèles collaborateurs empêtrés dans des enquêtes en cours et à venir !
Comme quoi, ceux qui critiquent le gouvernement français sur ses actes et crient aux injustices et à une justice exemplaire, vont être aux anges de savoir qu'il peut y avoir des passe-droits ... un peu comme dans les républiques bananières !
Rest à savoir si Trump ne va pas trouver une combine constitutionnelle pour se ou se faire gracier avant son départ ! La question est posée !
" Covid-19 : «Les soignants ont servi de chair à canon lors de la première vague» "
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" A l’issue du point presse tenu par Olivier Véran et Bruno Le Maire le 8 octobre, Thierry Amouroux, porte-parole du Syndicat national des professionnels infirmiers, témoigne de la fatigue du personnel médical et du «mépris», selon lui, dont le gouvernement fait preuve à son égard. "
" La France frappée par la vague des licenciements "
" Malgré les aides massives de l’Etat, plus de 35 000 destructions de postes ont été annoncées depuis septembre dans l’Hexagone, selon les données compilées par Trendeo pour « Le Monde ». Les experts s’alarment d’une explosion des faillites en 2021. "
Publié le 02 décembre 2020 à 04h16, mis à jour hier à 12h42
" TÉMOIGNAGE. Le texte fort d’un médecin, praticien hospitalier, nous faisant partager son quotidien. Radiographie d’un service public exsangue. Miroir d’une société prise sous tous les feux. "
" Les Français ont peur...Peur d’un virus respiratoire qui contamine tout l’Hexagone et au-delà. 548 morts du COVID 19 en 24 heures pour la seule journée du 9 novembre 2020, 20155 nouveaux cas positifs en France. Nous avons dépassé la barre des 4 000 patients hospitalisés en réanimation (Gouvernement.fr, le 9 novembre 2020).
Soit, ces chiffres impressionnent. Ramenons les données à la réalité : 80 à 95 % des personnes infectées ont des formes bénignes : toux, fatigue, fièvre, essoufflement. Les formes graves sont le plus souvent l’apanage des sujets âgés ou avec comorbidités. Le taux de létalité est de 2%.
Si je regarde les données de mon centre hospitalier, dont je tairai le nom (puisqu’il m’est interdit par la direction de communiquer les données dont seule l’ARS possède les droits de diffusion), effectivement, le COVID est en forte progression : entre le 30 octobre 2020 et le 9 novembre 2020, nous sommes passés de 42 hospitalisations pour formes graves de COVID à 73, puis de 4 à 13 patients en réanimation, et enfin de 27 à 37 décès (en nombre cumulatif) en 10 jours.
Ce 9 novembre 2020 où le COVID fait rage, que s’est -il passé pour moi, médecin hospitalier, spécialiste dévoué corps et âme au système public ?
Voici ma journée telle qu’elle s’est déroulée :
Le matin en arrivant au centre hospitalier, j’apprends que ma secrétaire s’est remise pour la énième fois en arrêt maladie. Une fainéante de plus me direz-vous qui coule la Sécurité sociale alors que si elle avait été dans le privé, elle aurait été virée depuis longtemps. Certes...
Bon, je n’ai plus de secrétaire... Je contacte la direction. Personne ne se soucie de savoir pourquoi elle est encore absente. A part moi... C’est étrange, elle est d’ordinaire travailleuse et j’avoue que ses arrêts successifs récents me contrarient moi aussi, tout en me disant qu’elle se « sabote » elle-même. Pourquoi n’est-elle pas venue ce matin ? A-t-elle le COVID ? On lui aurait tout pardonné. Non ! Est-elle malade ? Non. Alors, que fait elle tranquille chez elle ? Et bien, elle boude. Elle est épuisée de travailler sans relâche, sans aucune considération, d’être changée de poste toutes les semaines pour « boucher » les trous, d’être un numéro enfermé dans une « cage à taper », devant un ordinateur, sans un bonjour, sans un au revoir. Alors, oui, elle boude. C’est le seul moyen qu’elle ait trouvé pour exprimer son mécontentement. C’est sûr, en s’absentant, l’administration s’aperçoit subitement qu’elle existe. Mais ma direction ne veut pas savoir pourquoi cette fumiste est en arrêt (ce serait trop de remise en question), mais comment va-t-on la remplacer ? La solution est brillamment trouvée par un des innombrables sous-sous-chefs de l’hôpital. Je reçois un mail (un appel téléphonique aurait été compromettant) : « Docteur, seriez-vous d’accord d’utiliser une reconnaissance vocale ? »
... Quoi ? Je suis sous le choc. Que répondre (par mail, un appel téléphonique aurait déplu). Répondre : « Oui, je suis capable. Capable de dicter mes courriers dans une petite boite. » Mais, mon accord signerait la suppression d’un poste de secrétaire hospitalier. Je ne veux pas être complice. Je décide alors avec « stupeur et tremblements » d’écrire ma pensée profonde : « Non ! ». Comment peut-on « réduire » une secrétaire à une simple machine. Certes, mes courriers peuvent être dictés par un robot (qu’il faudra que je corrige attentivement en prenant sur mes heures supplémentaires). Mais, que dire des prises de rendez-vous, des nombreux appels téléphoniques des patients, de leur accueil lors de mes consultations. Qui va les aider à commander leur ambulance, à déplacer leur fauteuil roulant ? Qui va leur apporter une oreille attentive, un regard ? Il s’agit de patients avec des pathologies lourdes et je sais par expérience qu’un sourire peut leur apporter plus de réconfort que le discours des médecins pressés ! Un robot dicteur vocal peut-il remplacer cela ? Où va l’humanité ?
« Est-ce que ce monde est sérieux ? »
Bref, début de matinée à régler des problèmes de secrétariat. Et ensuite ? Visite au lit des patients. Une mamie de 88 ans est hospitalisée suite à une chute. Elle a une hémorragie cérébrale. La pauvre. Et la malchance s’accumulant, elle a aussi le COVID ! Le pronostic est sombre. Elle risque malheureusement de décéder. Non pas du COVID mais de son hématome cérébral. Elle sera pourtant comptabilisée dans les morts du COVID...
Bon, j’enchaîne : je reçois en consultation non pas un patient mais sa femme. Cette demande de l’épouse, sans la présence du malade lui-même, m’a initialement déplu et je ne comprenais pas sa démarche. Cette dame entre dans mon bureau. Elle est à bout. Son mari est atteint d’une lésion cérébrale rare extensive qui induit des troubles cognitifs et une épilepsie très sévère. Sa malformation trop étendue est inopérable... « L’état de mon mari va t’il s’aggraver, Docteur ? » Oui... « Peut-il mourir de cela ? » Oui... Je comprends alors la détresse de cette femme dont le conjoint âgé à peine de 35 ans nous montre nos limites médicales. Notre impuissance aussi ? Non. J’ai écouté cette femme durant presque 1 heure. Et elle est venue chercher cela. Des réponses franches à ses questions, de l’écoute, du soutien, bref de l’humain... Je n’ai pas compté mon temps, je ne lui ai bien sûr pas comptabilisé la consultation. D’une certaine manière, cet échange n’a donc pas existé sur le plan administratif. Le système hospitalier public permet cette liberté médicale là. Pour combien de temps encore ?
Mon après-midi ? Il est marqué par une réunion de service avec les cadres et les chefs des cadres et les chefs des chefs des cadres. Nous manquons d’infirmières sur un poste spécifique (indépendamment de l’épidémie COVID). Comment allons-nous faire ? Pour une fois, le débat a lieu de visu et non par mail. La réponse médicale est simple : Il nous manque une infirmière spécialisée, embauchons-en une nouvelle, en sachant qu’il y a 5 ans, elles étaient quatre sur ce poste et qu’elles ne sont maintenant plus que deux. Finalement, c’est un chef des chefs des chefs qui a tranché : pas de personnel en plus. La solution : les infirmières ne prendront plus de congés jusqu’à nouvelle ordre.
« Est-ce que ce monde est sérieux ? »
Ensuite, je termine ma journée par des consultations. A la dernière, j’annonce à un patient de 56 ans, qui en 3 mois a perdu l’usage de la marche et de son bras gauche, qu’il est atteint d’une SLA (maladie de Charcot). Pathologie gravissime incurable qui se termine en quelques mois par une paralysie des 4 membres en pleine conscience. Le décès fait suite habituellement à une détresse respiratoire aiguë, car le patient s’étouffe en inhalant sa propre salive. C’est une des maladies les plus effroyables qui touche le sujet jeune et qui fait non pas 2% mais 100% de mortalité. Heureusement, cette pathologie reste rare (incidence 1/50 000). Mais enfin, en 15 ans, j’ai observé une augmentation considérable du nombre de cas. L’incidence est plus élevée dans certaines régions agricoles dont celle de mon hôpital. Le rôle des pesticides est clairement impliqué et a fait l’objet de publications scientifiques. Elle touche ainsi assez fréquemment les agriculteurs. Elle n’affecte donc que peu les hommes politiques. Ouf !
C’est ainsi que s’est déroulée ma journée. Pas de problème lié au COVID mais un personnel sous tension, des robots (et des robots « chefs ») à la place des hommes, un système sanitaire public (bien que j’aime « mon » hôpital !) en pleine transformation dans une logique nationale de rentabilité, une déshumanisation de la santé, avec pourtant des patients en grande souffrance, et enfin une augmentation silencieuse (dans l’indifférence de nos dirigeants) de maladies neurodégénératives incurables, environnementales, induites par notre mode de société.
Alors, oui, moi aussi, comme tous les Français, Aujourd’hui, j’ai peur... " - citation
Citation de arthur_rambo
"Sur ces faits graves, il faut que les forces de l'ordre aient une refonte sur leurs encadrements, une relecture et un rappel sur le code de déontologie de leurs droits mais surtout de leurs devoirs et bien évidemment que la commission des lois réécrive l'article 24 "
Pour le moins, because les lois sont à effet cliquetis..
c'est à dire qu'une fois enclenché le mécanisme ne revient jamais à l'envers...
et on avance doucement mais réellement vers un état policier..
Un état policier, avec une police stupide et mal formée..
ou juste formée et éduquée..
à protéger les riches..
t'appelles ça comment..?
ki;ou Pucette...
Coucou Arthur
On pourrait aussi reprendre les grandes lignes sur le serment d’Hippocrate....
Bon, OK ! Ça c'est pour les médecins et c'est un autre sujet lol<(-_-)>
" Traitement Covid 19 : les revirements ; Une avocate anti Trump change son regard sur le président "
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" Revirements concernant le traitement contre la Covid-19. Le remdesivir, un antiviral encensé il y a quelques mois vient de subir un énorme revers. Dans le même temps, l’hydroxychloroquine tant décriée semble, elle, retrouver une deuxième jeunesse.
Jenna ELLIS, une avocate anti Trump a changé son regard sur le président à son contact. Elle affirme avoir été influencée par le discours des médias classiques qui dressent selon elle un portrait peu flatteur de Donald Trump.
À l’heure où le pays se déconfine, nous reviendrons sur l’utilité du port du masque. Des études semblent prouver son manque d’efficacité. Dans le même temps, un collectif d’avocats dépose plainte contre son port obligatoire pour les enfants âgés de plus de 6 ans, jugeant cette mesure contraire aux droits de l’enfant. "
Ah ya pas que la dinde de Thanksgiving qui a été graciée, Donald a été plus que généreux cette année pour sa tribu et ses fidèles collaborateurs empêtrés dans des enquêtes en cours et à venir !
Comme quoi, ceux qui critiquent le gouvernement français sur ses actes et crient aux injustices et à une justice exemplaire, vont être aux anges de savoir qu'il peut y avoir des passe-droits ... un peu comme dans les républiques bananières !
Rest à savoir si Trump ne va pas trouver une combine constitutionnelle pour se ou se faire gracier avant son départ ! La question est posée !
Bonsoir,
Il gracie toutes les dindes, quoi !
Il avait quand même osé demandé s'il pouvait s'accorder l'amnistie préventivement ainsi qu'à sa famille !
De toute façon, je désapprouve complètement l'immunité présidentielle qui peut devenir pestilentielle .
Modifié il y a 4 ans, le samedi 5 décembre 2020 à 00:11
Il gracie toutes les dindes, quoi !
Il avait quand même osé demandé s'il pouvait s'accorder l'amnistie préventivement ainsi qu'à sa famille !
De toute façon, je désapprouve complètement l'immunité présidentielle qui peut devenir pestilentielle .
Bonsoir,
« Il gracie toutes les dindes, quoi ! »
C'est un bon résumé !
Et les canards, même boiteux ? La question est posée
« De toute façon, je désapprouve complètement l'immunité présidentielle qui peut devenir pestilentielle . »
T'imagines en France, chez les pro trump du forum, ce qu'ils diraient si notre président en faisait le dixième ?
Même la grâce familiale, personnelle ou celle de proches collaborateurs je trouve ça inadmissible pour une république !
Que la ou le gracié n'ait aucun lien avec le président, sa famille ou son cercle d'amis, je peux comprendre, mais là c'est la porte ouverte à toutes les combines !
Il faut dire aussi que Clinton a utilisé la grâce pour son fils, à propos il me semble d'une accusation en justice pour un problème de drogue (à préciser)
Raoult nous fait son Trump à accuser toute la planète sanitaire et scientifique, une conspiration montée contre lui !!
Même en Algérie ils en reviennent de son traitement !
Encore une manipulation de GILEAD ?
Non mais allo quoi !
« Covid-19 : pourquoi l’Algérie utilise de moins en moins la chloroquine »
Société
Par: Younès Djama
18 Nov. 2020 à 08:40
« La chloroquine n’a plus la cote en Algérie. Adopté dès le mois de mars dernier par les autorités sanitaires dans le protocole thérapeutique pour traiter les malades atteints par le Covid-19, l’hydroxychloroquine est, huit mois après, le début de l’épidémie « de moins en moins utilisée » en Algérie, a indiqué le Pr Noureddine Zidouni à TSA il y a quelques jours.
La tendance générale est de moins en moins à l’usage de l’hydroxychloroquine pour soigner les patients Covid-19, selon des témoignages concordants de praticiens.
« Actuellement dans nos hôpitaux, on reçoit de plus en plus de patients à un stade tardif.
Moi-même j’ai constaté que lorsque j’administre la chloroquine à un patient et que je le revois après 5 jours je ne vois pas de changement par rapport aux autres malades qui n’ont pas reçu le médicament », témoigne le Pr Salah Lellou, le chef de service de pneumologie à l’EHU Oran.
« Des études ont démontré que l’hydroxychloroquine n’est pas efficace. Le Pr Didier Raoult (principal promoteur de la chloroquine au niveau mondial) lui-même dit que le médicament n’est efficace que s’il est donné précocement », poursuit le Pr Lellou qui ajoute que « de moins en moins d’études scientifiques recommandent la prescription de la chloroquine ».
Les médecins libéraux ne sont pas en reste. « Il semblerait que l’hydroxychloroquine est de moins en moins prescrite », explique à TSA, Dr Yacine Terkmane, président de la section ordinale régionale des médecins de la wilaya de Blida. »
Citation de fouthese
" Traitement Covid 19 : les revirements ; Une avocate anti Trump change son regard sur le président "
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" Revirements concernant le traitement contre la Covid-19. Le remdesivir, un antiviral encensé il y a quelques mois vient de subir un énorme revers. Dans le même temps, l’hydroxychloroquine tant décriée semble, elle, retrouver une deuxième jeunesse.
Jenna ELLIS, une avocate anti Trump a changé son regard sur le président à son contact. Elle affirme avoir été influencée par le discours des médias classiques qui dressent selon elle un portrait peu flatteur de Donald Trump.
À l’heure où le pays se déconfine, nous reviendrons sur l’utilité du port du masque. Des études semblent prouver son manque d’efficacité. Dans le même temps, un collectif d’avocats dépose plainte contre son port obligatoire pour les enfants âgés de plus de 6 ans, jugeant cette mesure contraire aux droits de l’enfant. "