En Loire-Atlantique précisément dans mon coin, ces jours ci le soleil brille par son absence...
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Hello Cigarillos,
pendant que dans mon coin,taquin,il apparaît puis disparaît...... - Drôle d'été !
Et ce matin le ressenti ( lol ) de mon thermomètre est de: 21° C ! - C'est ça leur " réchauffement climatique "
Bon,aujourd'hui une petiote vidéo dans laquelle il n'y a que de la tendresse !
" L’inflation diminue dans les supermarchés belges, mais pas les prix : “La hausse des marges dans une optique de profit est une explication possible”
Les produits les plus touchés par les hausses de prix, et c’est un véritable problème dans la recherche d’une alimentation saine et équilibrée, sont les légumes. "
" Les scénaristes et acteurs d’Hollywood mobilisés contre l’ubérisation de leurs métiers et la menace de l’Intelligence Artificielle "
Publié le 04 août 2023
" ÉTATS-UNIS - Point sur la grève des scénaristes à Hollywood. Le business des séries rapporte moins, mais Wall Street n'entend pas rogner sur ses bénéfices pour autant. La finance applique son modèle, à savoir couper en priorité dans les budgets des fonctions essentielles à l’industrie, pour ensuite prétexter que l'intelligence artificielle (IA) arrivera très bien à les remplacer. Hollywood est en marche pour se faire broyer par la machine.
La WGA (Writers Guild of America) est le syndicat représentatif des droits des scénaristes aux États-Unis. Il négocie actuellement avec l'Alliance des producteurs de cinéma et de télévision (AMPTP) depuis mai.
Un modèle de financement qui ne tient plus
Les plateformes de streaming sont toutes cotées en Bourse. Une société comme Netflix n’a pas seulement comme actionnaire principal son fondateur, Reed Hastings, on retrouve aussi à son conseil d'administration d’autres actionnaires institutionnels tels que The Vanguard Group ou encore BlackRock.
Les distributeurs de vidé à la demande n’échappent donc pas à la dure loi de Wall Street, qui réclame une croissance constante et infinie. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on note une hausse exponentielle du nombre de séries produites aux États-Unis ces dernières années. En 2021, on ne recensait pas moins de 559 séries diffusées rien qu’au pays de l’Oncle Sam.
Sauf que pour la plupart de ces plateformes, le plafond d’abonnements est atteint. Il faut toutefois bien comprendre que contrairement au monde de la télé, ce genre de service de diffusion ne gagne pas d’argent grâce au nombre de vues, mais grâce au nombre d’abonnements. À un prix d’environ 10 euros par mois, qui a les moyens de s’abonner à la fois à Disney+, HBO, AppleTV+ et Netflix, pour ne citer qu’eux ?
Sans compter que la qualité du contenu diffusé est parfois controversée. Le 20 avril 2022, le magazine Vanity Fair relevait notamment qu’Elon Musk attribuait en partie la perte de vitesse de Netflix au "virus woke" qui rendait la plateforme "irregardable".
Certes, le modèle de financement s’essouffle. Pourtant, les six PDG les plus en vue de l’industrie ont été payés à eux seuls 773 millions de dollars l’année dernière, comme le révèle le magazine américain Variety. Bien évidemment, les actionnaires n’entendent pas renier sur leurs profits, mais bien raboter sur le budget des salariés essentiels à l’activité : les scénaristes.
Uberisation de la créativité
L’arrivée du streaming a sensiblement changé les règles du jeu pour ce corps de métier. Les scénaristes continuent d’être rémunérés au nombre d’épisodes produits, alors que les séries sont devenues si complexes que la logistique déployée pour les réaliser égale maintenant celle d’un film. Il en résulte qu’une saison ne dépasse pas plus d’une dizaine d’épisodes de nos jours. Ce qui n’empêche pas les plateformes de continuer à vouloir minimiser les coûts de production.
Pour cela, elles ont poussé le concept de la "Mini-room" à son paroxysme. Si un service de vidéo à la demande est séduit par un projet de série, il demande au créateur d’écrire le script en un temps record, avec d’autres scénaristes engagés en free-lance, dans la phase dite de "préroduction". C’est une phase très rentable où les créateurs sont payés au minimum légal, même les plus expérimentés d’entre eux. Les plateformes exigent désormais que la totalité de la production soit écrite à ce moment-là, et que les scénaristes n’aient plus la main sur la réalisation.
Pire encore, pendant l’épidémie de Covid, la plupart des Mini-rooms se sont déroulées à distance, en réunion virtuelle. "Une nécessité qui est devenue une norme pour faire des économies", s’est plainte la réalisatrice Laura Jacqmin au magazine The New Yorker, "cela a détruit la camaraderie qui aidait les scénaristes à apprendre les uns des autres", a-t-elle poursuivi. Il est vrai que les nouvelles technologies n’ont pas fini d’inquiéter le milieu.
Pari sur l’intelligence artificielle
La plateforme de streaming de Disney n’a pas caché ses intentions de vouloir utiliser l’intelligence artificielle pour générer des scripts à partir d’œuvres tombées dans le domaine public. Le métier de scénariste est donc voué à disparaître si d’autres studios lui emboîtent le pas.
Pour l’heure, Disney+ vient d’effrayer Hollywood tout entier. En juin dernier, il a diffusé le générique de sa prochaine série Marvel, complètement généré par une intelligence artificielle. "
Document / VIDÉO
pendant que dans mon coin,taquin,il apparaît puis disparaît...... - Drôle d'été !
Et ce matin le ressenti ( lol ) de mon thermomètre est de: 21° C ! - C'est ça leur " réchauffement climatique "
Bon,aujourd'hui une petiote vidéo dans laquelle il n'y a que de la tendresse !
" Le responsable météo en Suisse présente ses excuses au journal télévisé pour avoir augmenté les températures du bassin méditerranéen de 6 à 7 degrés.
Contraint de le faire parce que la mascarade est trop visible.
#réchauffementmoncul #Corruption #météo #Climat "
Trop choupinets, choupinous ces adorables écureuils
BISOU DE LA VIE"
En 1968, l'auteur a reçu le prix Pulitzer pour cette photographie - l'un des prix les plus prestigieux aux États-Unis, qui est décerné pour ses réalisations dans les domaines de la musique, du cinéma, du théâtre et du journalisme.
La photo montre deux électriciens, Randall Champion et Jay Thompson, suspendus à un poteau électrique. Ce jour-là, il y avait une forte chaleur et rien ne prévoyait les ennuis. Le bourdonnement des climatiseurs en juillet 1967 a été entendu dans tout l'État de Floride. À cause d'eux, dans la ville de Jacksonville, il y a eu une surcharge de lignes électriques, et cela a provoqué une surtension de courant.
Randall et Jay faisaient de la maintenance de routine sur une ligne en direct quand Randall a accidentellement touché un des fils. Une décharge de 4000 V a traversé le corps et son cœur s'est arrêté. Pour comprendre : lors de l'exécution en chaise électrique, une tension de 2000 V est utilisée
Le corps sans vie de Randall suspendu au harnais. Mais son partenaire Jay n'a pas perdu la tête, réalisant que chaque seconde est précieuse, il a commencé à lui donner une respiration artificielle juste sur le poteau. C'était très gênant, mais il n'y avait pas d'autre issue. Dans une telle situation, il est difficile de mener une réanimation normale, mais Jay a quand même essayé de démarrer le cœur de son ami jusqu'à ce qu'il ait un pouls faible.
Ce n'est qu'après cela qu'il a débranché l'assurance de son partenaire et, le jetant par-dessus son épaule, il est descendu Au moment où les sauveteurs sont arrivés (ils ont été appelés par le photographe professionnel Rocco Morabito, qui se trouvait sur les lieux), Champion était déjà conscient sur le terrain.
Non seulement il a été sauvé, grâce à Thompson, mais il a vécu 35 ans de plus. L'électricien est décédé en 2003 à l'âge de 64 ans.
Thompson est vivant aujourd'hui.
Pas de moi la photo et les écrits mais d'une connaissance sur un fofo ailleurs qu'ici.........
Trop choupinets, choupinous ces adorables écureuils
BISOU DE LA VIE"
En 1968, l'auteur a reçu le prix Pulitzer pour cette photographie - l'un des prix les plus prestigieux aux États-Unis, qui est décerné pour ses réalisations dans les domaines de la musique, du cinéma, du théâtre et du journalisme.
La photo montre deux électriciens, Randall Champion et Jay Thompson, suspendus à un poteau électrique. Ce jour-là, il y avait une forte chaleur et rien ne prévoyait les ennuis. Le bourdonnement des climatiseurs en juillet 1967 a été entendu dans tout l'État de Floride. À cause d'eux, dans la ville de Jacksonville, il y a eu une surcharge de lignes électriques, et cela a provoqué une surtension de courant.
Randall et Jay faisaient de la maintenance de routine sur une ligne en direct quand Randall a accidentellement touché un des fils. Une décharge de 4000 V a traversé le corps et son cœur s'est arrêté. Pour comprendre : lors de l'exécution en chaise électrique, une tension de 2000 V est utilisée
Le corps sans vie de Randall suspendu au harnais. Mais son partenaire Jay n'a pas perdu la tête, réalisant que chaque seconde est précieuse, il a commencé à lui donner une respiration artificielle juste sur le poteau. C'était très gênant, mais il n'y avait pas d'autre issue. Dans une telle situation, il est difficile de mener une réanimation normale, mais Jay a quand même essayé de démarrer le cœur de son ami jusqu'à ce qu'il ait un pouls faible.
Ce n'est qu'après cela qu'il a débranché l'assurance de son partenaire et, le jetant par-dessus son épaule, il est descendu Au moment où les sauveteurs sont arrivés (ils ont été appelés par le photographe professionnel Rocco Morabito, qui se trouvait sur les lieux), Champion était déjà conscient sur le terrain.
Non seulement il a été sauvé, grâce à Thompson, mais il a vécu 35 ans de plus. L'électricien est décédé en 2003 à l'âge de 64 ans.
Thompson est vivant aujourd'hui.
Pas de moi la photo et les écrits mais d'une connaissance sur un fofo ailleurs qu'ici.........