La situation est simple.
Dans une bagnole un couple baise
A l’extérieur fouthese se branle est profitant du spectacle
Plus loin c'est rampo qui essaye de raviver sa nouille en contemplant le branleur fouthese.
L'échelle sociale de la misère en somme ! (pov bête )
Citation de mephilto
La situation est simple.
Dans une bagnole un couple baise
A l’extérieur fouthese se branle est profitant du spectacle
Plus loin c'est rampo qui essaye de raviver sa nouille en contemplant le branleur fouthese.
L'échelle sociale de la misère en somme ! (pov bête )
Citation de mephilto
La situation est simple.
Dans une bagnole un couple baise
A l’extérieur fouthese se branle est profitant du spectacle
Plus loin c'est rampo qui essaye de raviver sa nouille en contemplant le branleur fouthese.
L'échelle sociale de la misère en somme ! (pov bête )
(rires)
t'as déjà pensé...
à voir un psy..?
juste histoire d’éviter..
des conneries ..
à tes enfants..
Philippe le queutard sans rien..
toujours sur la béquille...
à mater du porno..
dans tes champs de con con bres..
allez z'y va.. dans la pub de jaquie /michel...
qu'on rigole..
merdalors..
sourire..
Modifié il y a 4 ans, le samedi 11 juillet 2020 à 01:26
difficile d'être constamment objectif...
En tout cas je refuse d'être dans le déni de la réalité. - D'un " château à l'autre "... Sinistres plaisanteries dont beaucoup parmi les électeurs ne parviennent pas à se rassasier semble-t-il...
Alerte à la vague psychiatrique suite à la Covid-19 !
« Santé
• Santé mentale
« On redoute un effondrement du système » : après le Covid-19, la crainte d’une « vague psychiatrique » »
« Le secteur psychiatrique estime que 10 % des malades ont été perdus de vue pendant le confinement et voit affluer de nouveaux patients sans antécédents. »
Par Faustine Vincent Publié aujourd’hui à 04h04, mis à jour à 17h03
« La « vague psychiatrique » que redoutent les professionnels de santé depuis le début de la crise liée au Covid-19 commence déjà à monter par endroits et devrait déferler à la rentrée.
« En psychiatrie, les effets ne dessinent pas une courbe en cloche comme dans les pandémies. Les conséquences vont se manifester dans les mois qui viennent, sur toute l’année », prévient Thierry Baubet, psychiatre à l’hôpital Avicenne de Bobigny et pilote de la cellule d’urgence médico-psychologique (CUMP) de Seine-Saint-Denis.
« A partir de septembre, on va voir tous les stress post-traumatiques, les épisodes dépressifs, les burn-out, ceux qui ont perdu un membre de leur famille… Les traumas psychiques vont arriver à la rentrée, c’est clair », confirme Dominique Januel, psychiatre à l’hôpital de Ville-Evrard (Seine-Saint-Denis) et pilote d’une étude d’évaluation clinique du confinement dont les résultats sont prévus en septembre.
Les pédopsychiatres s’attendent également à voir arriver les enfants abusés pendant le confinement, qui auront retrouvé un lieu où pouvoir parler en dehors du cercle familial avec la reprise de l’école. Interrogé mercredi 8 juillet à l’Assemblée nationale, le ministre de la santé, Olivier Véran, s’est d’ailleurs engagé à « mettre le paquet sur la pédopsychiatrie », qualifiant d’« inacceptables » les difficultés d’accès aux soins sur certains territoires. ...»
Euh ……….. les enfants ! c’est ce qui sert, chez les garçons, à fêter la fertilité !
… Autres contrées, autres rites, autres mœurs ! Le Japon célèbre tous les ans, en avril, les divinités locales de fertilité, en l’o ccurrence à Kawasaki le « phallus de fer » !
« Au Japon, le phallus est une fête »
Par Guillaume Loiret
Publié hier à 02h20, mis à jour hier à 14h48
« Reportage
Autrefois associé à des rites de fertilité, le Kanamara matsuri (festival du pénis de fer) à Kawasaki suit un déroulé immuable. Des dizaines de milliers de personnes assistent à la procession de divinités incarnées dans des phallus géants. Depuis dix ans, un tourisme massif et un mercantilisme grivois se sont greffés à l’événement. »
« Ce dimanche 5 avril 2020, dans un bâtiment octogonal d’un bois sombre, un rituel codifié se déroule en silence, comme chaque année depuis 1977. Il est environ 10 heures, dans ce quartier ancien de Kawasaki, vaste cité industrielle située en bordure sud de Tokyo. Le petit temple shintoïste Kanayama est d’ordinaire interdit aux curieux. Mais ce jour est celui du matsuri, la célébration annuelle des divinités locales, et une trentaine d’invités ont pris place.
Un homme apparaît dans un somptueux kimono liturgique. Ses cheveux de jais sont surmontés d’un petit bonnet de cérémonie, son pantalon couleur pourpre indique un rang important. Il serre devant sa poitrine un sceptre rituel. Ce kannushi (« pasteur shinto ») s’appelle Hiroyuki Nakamura, et il préside à la cérémonie, assisté de deux femmes – sa mère et sa sœur. La seconde, Hisae, entonne des incantations après s’être inclinée devant l’autel.
Un officiant vêtu de blanc agite devant lui une baguette de bénédiction, avant de brûler des ex-voto dans un four sacré. Une odeur de cyprès flotte autour des invités, tous masqués contre le Covid-19, qui déposent, en offrande, des branches d’un arbre sacré. »
« La festivité majeure se déroule le premier dimanche d'avril. Le thème central est le pénis — qu'il est ici préférable d'appeler phallus de par la dimension symbolique de ce rituel —, reproduit partout en image, sucre d'orge, légumes sculptés, décorations.
Le Kanamara matsuri a pour centre le sanctuaire de Kanayama (金山神社, Kanayama-jinja?), autrefois fréquenté par les prostituées qui venaient prier pour être protégées contre les maladies vénériennes. Il y a aussi des bénédictions divines pour la prospérité des affaires, l'avenir du clan familial, le mariage, l'accouchement facile, et l'harmonie entre époux.
Le défilé fait parader dans des mikoshi (temple mobile en bois promené par de nombreux porteurs) trois pénis conservés dans le temple :
• le pénis de bois dans le grand mikoshi, le plus ancien,
• le pénis de fer noir dans le mikoshi en forme de bateau,
• le pénis géant rose dans le mikoshi Elisabeth sans toit, porté par des hommes en vêtements féminins.
Une légende raconte qu'un démon aux dents tranchantes s'était caché dans le vagin d'une jeune fille et qu'il avait castré successivement deux jeunes hommes pendant leur nuit de noces.
Un forgeron façonna un phallus de fer pour casser les dents du démon, et l'objet devint une relique sainte. Le centre du sanctuaire est un atelier de forgeron avec enclume et feu de forge. »
Citation de cousin-hubert
On s'y croirait dans une région au nord de Lyon !
Bha c'est de partout ce genre de pratique.
En revanche, chaque fois que j'évoque du sex dans un com l'autre Gwendoline rampo m'apl par mon prénom.
Tu crois qu'il mouille du cul ce porc ?
difficile d'être constamment objectif...
En tout cas je refuse d'être dans le déni de la réalité. - D'un " château à l'autre "... Sinistres plaisanteries dont beaucoup parmi les électeurs ne parviennent pas à se rassasier semble-t-il...
Vive Poupette !
Et tant pis pour les autres...
Salut Mister Fout..
je sais ..
je l'ai remarqué...
lol!
"d'un château de cartes l'autre"...
Ce serait du Céline...
qui aurait pu...
gagner au casino..
mdr...
Modifié il y a 4 ans, le samedi 11 juillet 2020 à 22:11
Citation de mephilto
Bha c'est de partout ce genre de pratique.
En revanche, chaque fois que j'évoque du sex dans un com l'autre Gwendoline rampo m'apl par mon prénom.
Tu crois qu'il mouille du cul ce porc ?
(rires)
Alors l'nabot...
phillipe..
t’ ose plus m'aborder..
face to face...
tu lances tes désirs....
recalés et frustrés..
depuis d'autres..
planètes...
pas nettes..
mdr...!
Modifié il y a 4 ans, le samedi 11 juillet 2020 à 22:24
Citation de mephilto
Bha c'est de partout ce genre de pratique.
En revanche, chaque fois que j'évoque du sex dans un com l'autre Gwendoline rampo m'apl par mon prénom.
Tu crois qu'il mouille du cul ce porc ?
(rires)
Tu dois l'exciter le bougre !
Fais gaffe, il va te coller aux fesses !