" « Mauvaise nouvelle » : Les demandes de prestations d’invalidité « repartent à la hausse » après une progression constante "
Publié 13 juillet 2023
" Ed Dowd, ancien gestionnaire de fonds de Blackrock devenu diseur de vérités, est de retour avec des données qui font réfléchir.
Au début de l’année, M. Dowd et ses partenaires de Phinance Technologies ont révélé une baisse choquante de l’assiduité sur le lieu de travail après l’introduction officielle du vaccin contre le covid-19, sur la base des données du Bureau of Labor Statistcs (BLS).
" Le lapsus révélateur de la vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, qui dit vouloir « Réduire la population » "
Publié le 16 juillet 2023
" Kamala Harris, vice-présidente des États-Unis, vient-elle d’avouer en direct le réel objectif de leur lutte contre le « réchauffement climatique » ? Que veulent-ils vraiment réduire : les gueux, ou le carbone ? Le 14 juillet 2023, lors d’un discours sur le changement climatique à l’Université Coppin State de Baltimore, dans le Maryland, la vice-présidente des États-Unis a dit clairement vouloir « réduire la population ».
« Lorsque nous investissons dans l’énergie propre et les véhicules électriques et que nous réduisons la population, un plus grand nombre de nos enfants peuvent respirer de l’air pur et boire de l’eau propre » Kamala Harris "
" Covid-19 au Canada : le rapport choc de l'armée sur les maisons de retraite "
" L'armée canadienne, appelée en renfort dans les maisons de retraite du Québec, a pointé dans un rapport des pénuries de personnel et d'autres manquements dans les maisons de retraite de la province, la plus durement touchée par la pandémie au Canada. "
" Au lieu d'atténuer la souffrance et d'apporter des remèdes, le gouvernement canadien recommande aux pauvres, aux dépressifs, aux handicapés et aux malades de choisir le suicide. Des universitaires canadiens aussi bien que le gouvernement Trudeau prônent cela comme étant la voie la plus acceptable, pourtant cela équivaut à une relégation de ces personnes au stade d'homme de seconde-classe. "
" Neuf millions de Français en situation de privation matérielle et sociale en 2022, un niveau jamais atteint jusque-là d'après l'Insee "
" Selon l'Insee, qui publie une étude jeudi, la précarité a augmenté en France en 2022. Un ménage sur dix n'avait pas les moyens de chauffer correctement son logement et les Français sont plus nombreux à ne pas pouvoir partir en vacances une semaine.
En France métropolitaine, neuf millions de personnes étaient en "privation matérielle et sociale" en 2022, selon une étude de l'Insee* publiée le jeudi 20 juillet. Cela représente 14% des personnes vivants en logement ordinaire et il s'agit du "plus haut niveau depuis 2013, première année où elle a été mesurée".
L'Insee précise que "cet indicateur repère les personnes ne pouvant pas couvrir les dépenses liées à au moins cinq éléments de la vie courante parmi treize critères". Parmi ces critères, on retrouve notamment le fait de ne pas avoir les moyens de maintenir son logement à bonne température ou de partir en vacances pendant une semaine durant l'année.
L'Insee constate que cette augmentation du taux de privation matérielle et sociale intervient alors qu'en 2021, "l'indicateur atteignait un niveau historiquement bas en raison de la crise sanitaire". Selon l'institut, cela peut s'expliquer par une "reprise des habitudes de vie antérieures à la crise sanitaire" et à "l'inflation [qui] est venue éroder le pouvoir d'achat des ménages".
En 2022, une personne sur dix vivait dans un ménage qui n'a pas les moyens financiers de chauffer correctement son logement. Entre 2014 et 2021, ce taux oscillait entre 5 et 7%. Cette augmentation peut être attribuée, d'après l'Insee, "à la hausse des prix de l'énergie de l'hiver 2021-2022, et en particulier à celle du fioul domestique, combustible de chauffage que les ménages vulnérables utilisent davantage que les autres". Cette hausse des prix énergétiques touche plus durement les habitants des zones rurales, dont les dépenses en chauffage et en carburants sont plus élevées.
Les ménages sont également plus nombreux qu'avant la crise sanitaire à ne pas pouvoir se payer une semaine de vacances (24,4% en 2022 contre 22,3% en 2019). Pourtant, cette proportion "baissait tendanciellement depuis une dizaine d'années", observe l'Insee. Les 13 critères mesurant la privation matérielle et sociale ne sont pas tous concernés par l'augmentation des difficultés rencontrées par les ménages depuis le début de la crise sanitaire. En effet, selon l'Insee en 2022, 4,1% des personnes vivant en logement ordinaire ne pouvaient pas posséder deux paires de chaussures pour des raisons financières, contre 5,7% en 2019. La proportion de ménages déclarant ne pas pouvoir s'acheter des vêtements neufs a également baissé (10,1% en 2022 contre 9,8% en 2019).
Le risque de privation varie selon le niveau de vie, la catégorie socioprofessionnelle, le niveau de diplôme, l'âge, le type de ménage ou encore le lieu de résidence. Il augmente ainsi fortement dans le milieu rural. "Début 2022, la fréquence des situations de privation matérielle et sociale augmente nettement par rapport à 2020 dans les communes rurales (+2 points), et dans une moindre mesure dans les communes urbaines de densité intermédiaire (+1,6 points)" tandis qu'elle "recule dans les grands centres urbains", explique l'Insee.
Les familles monoparentales et les familles nombreuses sont également plus exposées au risque de privation : l'an dernier, "trois personnes sur dix vivant dans des familles monoparentales étaient en situation de privation matérielle et sociale, et deux personnes sur dix au sein des couples avec trois enfants ou plus". "
" Dans tout l’O.ccident, les gens meurent en nombres inhabituels, et personne ne veut savoir pourquoi
Il n'y a qu'une seule explication plausible au silence général sur la surmortalité : les gouvernements, les médias et les autorités de régulation ont peur de ce que les recherches pourraient révéler. "
22 juillet 2023
" Pendant la pandémie, le défi pour chacun d’entre nous a été de garder la tête froide et de ne se laisser entraîner ni par la minorité soudée qui défendaient ardemment l’idée que le Covid était un canular ni par la majorité qui exigeait un alignement total sur un agenda politique dicté par Big Pharma sous le couvert de « la science ».
La peur de vivre sous l’autorité de Big Brother ou de mourir de la peste a poussé de nombreuses personnes non seulement dans les bras de l’un de ces deux camps opposés, mais a également alimenté une hystérie pandémique qui a balayé la raison et de la compassion au profit d’un cynisme inouï ou d’un conformisme absolu. Nous en subissons encore les conséquences.
Au cours des deux dernières années, l’O.ccident a connu une vague de « surmortalité », bien supérieure à celle à laquelle on pouvait s’attendre, et pourtant cette tendance affirmée est universellement ignorée par les gouvernements, les médias officiels et les organismes médicaux. Personne ne proteste. Le culte de la soumission aveugle est toujours d’actualité.
Nous y reviendrons dans un instant.
Mais il convient tout d’abord de se pencher brièvement sur le climat d’intolérance et d’ignorance volontaire qui régnait au plus fort de la pandémie, comme je l’ai documenté en temps réel dans une série d’essais qui ont bouleversé davantage de mes lecteurs que tous ceux que j’avais écrits auparavant. Forcer des gens à se faire vacciner a toujours représenté un abus impardonnable, ne serait-ce que parce que cela viole le principe essentiel de l’autonomie corporelle. Mais l’obligation est devenue complètement démente quand il est apparu clairement – et ce bien plus tôt que ne le laissaient entendre publiquement Big Pharma, l’Organisation mondiale de la santé et les régulateurs nationaux – que les vaccins n’entravaient pas la transmission du virus.
Il a été aussi tout à fait contraire à l’éthique d’intimider les enfants pour qu’ils se soumettent systématiquement au vaccin et aux rappels alors qu’il était évident que le virus ne représentait aucune menace pour l’écrasante majorité d’entre eux – sans compter que les vaccins ARNm étaient basés sur une nouvelle technologie dont le développement avait été accéléré grâce à une licence d’urgence.
Par définition, personne ne pouvait connaître les effets à long terme des vaccins ARNm sur l’homme, car il n’y avait pas eu d’études à long terme. Il s’agissait plus de vœux pieux et de croyances en un miracle que de science, ce qui explique en partie pourquoi le Joint Committee on Vaccinations and Immunisation, l’organe consultatif officiel du gouvernement britannique, a hésité si longtemps, et malgré d’énormes pressions politiques, à recommander la vaccination des enfants.
Et il a toujours été profondément irresponsable de refuser d’envisager, ou même d’étudier, d’autres traitements qui auraient pu avoir un impact sur le virus. Les autorités médicales ont ignoré ou mis en garde le public contre d’éventuels traitements et comportements susceptibles de prévenir la maladie ou de renforcer l’immunité naturelle, même lorsqu’ils auraient pu compléter le rôle des vaccins, sans s’y substituer. Il fallait que la dépendance du public à l’égard des vaccins soit totale et absolue, aucune exception n’était permise. Un exemple frappant est celui de la vitamine D, l’hormone du soleil que chaque cellule du corps humain peut absorber. La plupart des identaux souffrent d’une carence en vitamine D, souvent grave, et les médecins comprennent encore mal les conséquences de cette carence, à part pour l&rsquotéorose.
Même avant le Covid, de nombreuses études suggéraient que la vitamine D était essentielle à la vitalité de notre système immunitaire, notamment pour prévenir les coronavirus et en faciliter la guérison. On en a de plus en plus de preuves. "
" Hugo ne porte pas de masque à l'école il est isolé entre 4 plots et traité de contaminateur par ses camarades, voire même frappé "Pour moi la liberté est de ne pas porter le masque" #hugo hier à #Marseille ac Dr @CaudeHenrion "
" À l'intérieur d'une fabrique de bébés ukrainienne
La guerre a détruit une grande partie de l'économie ukrainienne. Mais une industrie clé - l'accouchement par des mères porteuses - se poursuit au milieu des conflits épiques. "
23/07/2023
" KYIV, Ukraine - Lorsque Tanya, une femme de 45 ans vivant à Los Angeles, a payé 10 000 dollars et envoyé deux embryons à une entreprise de maternité de substitution en Ukraine dans l'espoir de fonder une famille il y a six ans, elle dit qu'elle ne s'attendait pas à l'incertitude et au chagrin processus apporterait.
Tanya voulait désespérément un enfant mais a découvert qu'elle serait incapable de se concevoir. Après avoir découvert à quel point la maternité de substitution aux États-Unis peut coûter cher, elle et son mari ont commencé à rechercher des options à l'étranger – et sont tombés sur la société BioTexCom, basée à Kiev. Les parents de Tanya étaient originaires d'Odessa, elle a donc estimé qu'il y avait quelque chose de bien dans le fait que son futur enfant soit né en Ukraine.
Cependant, une fois que le processus a commencé avec BioTexCom à l'automne 2017, Tanya a eu un sentiment de malaise. Après avoir envoyé ses embryons, dit-elle, on lui a dit qu'ils seraient implantés dans une mère porteuse presque immédiatement – un calendrier qui ne correspondait pas à toutes les recherches que Tanya avait faites sur le processus de maternité de substitution. Lorsque, quelques jours plus tard, l'entreprise lui a dit que le transfert d'embryons avait échoué et a fourni un minimum d'informations sur les raisons pour lesquelles, dit-elle, elle soupçonnait que quelque chose n'allait pas.
Son mari était à Kiev pour le travail quelques semaines plus tard et a décidé de s'arrêter à la clinique pour voir s'il pouvait obtenir des réponses. Il s'est présenté à un membre du personnel de la clinique, qui l'a immédiatement remercié d'avoir fait don de ses embryons à un autre couple. Il était abasourdi : Était-ce ce qui s'était passé lorsque l'entreprise leur avait dit que le processus avait échoué ?
"De toute évidence, c'est là que, vous savez, la merde a frappé le ventilateur", a-t-elle déclaré. À ce moment-là, a-t-elle ajouté, BioTexCom a cessé de répondre à ses messages et ils n'ont jamais reçu ses embryons.
Le récit de Tanya et de son mari était l'une des multiples plaintes que les journalistes de POLITICO et du média allemand WELT ont découvertes lors d'une enquête sur BioTexCom, sans doute l'agence de maternité de substitution la plus populaire au monde. Les plaignants ont obtenu l'anonymat pour discuter d'un sujet sensible. Un couple allemand a déclaré que BioTexCom avait mélangé leurs jumeaux de substitution avec la paire d'un autre couple, les forçant à échanger les bébés lors d'un rendez-vous secret en Allemagne.
Une autre femme allemande a fait part de son incertitude et de son stress après que BioTexCom n'ait jamais rendu tous ses embryons après avoir annulé ses projets de maternité de substitution en Ukraine. WELT s'est également entretenu avec d'anciens procureurs, substituts et avocats en Ukraine qui ont soulevé des allégations concernant le manque de soins appropriés de BioTexCom pour les besoins médicaux et les complications des femmes qui ont porté les bébés. Ils disent que les affaires n'ont pas été poursuivies dans le système judiciaire parfois chaotique du pays, même si le fondateur de l'entreprise a confirmé qu'il avait été assigné à résidence dans le cadre d'une enquête préliminaire.
Tanya, elle aussi, a été contrecarrée dans ses efforts pour lancer une enquête sur ses embryons. Tanya et son mari craignent toujours que leurs embryons aient été implantés et qu'un enfant soit né et donné à un autre couple. Bien qu'elle ait porté plainte auprès de l'agence internationale du crime Interpol, plus de cinq ans plus tard, elle ne sait toujours pas ce qui s'est réellement passé. (Interpol n'a pas répondu à une demande de commentaire de POLITICO.)
"Le côté malheureux est qu'il y a si peu que nous puissions faire à ce sujet, vous savez?" dit-elle. "C'était une situation très traumatisante. … Nous sommes à cinq ans de la situation et je pense que je ne l'ai accepté qu'il y a environ un an. "
" Déclin de la France : neuf millions de Français « en situation de privation matérielle et sociale » en 2022 "
Publié le 26 juillet 2023
" La pauvreté n’existe plus en France, il faut maintenant dire « privation matérielle et sociale ». Selon une récente étude menée par l’Insee, la proportion de personnes en situation de « privation matérielle et sociale » a connu une hausse significative en France en 2022. Ce phénomène inquiétant, qui touche désormais 14,0 % de la population vivant en logement ordinaire, soulève des précupations quant à la précarité croissante au sein de la société française. "