" Le cancérologue Laurent Schwartz : « À l’article de la mort, des cancéreux ne meurent pas… que se passe-t-il ? » "
Publié le 18 août 2023
" Selon la citation d’un auteur inconnu, « Des chercheurs qui cherchent on en trouve, mais des chercheurs qui trouvent on en cherche ! » Une phrase qui se prête parfaitement aux propos du cancérologue. Le Dr Laurent Schwartz était invité sur Beur FM pour présenter son livre « Les clés du cancer : Une nouvelle compréhension de la maladie – Les principes du traitement métabolique ».
Lors de cette interview, le cancérologue avouera humblement que « Les malades semblent souvent beaucoup plus informés que les institutionnels. » Et pour cause : notre médecin voit défiler des cancéreux qui, selon le dogme scientifique de Big Pharma, doivent décéder mais ne meurent pas. « Des malades dont on sait, en tant que cancérologue, qu’ils devraient mourir mais ne meurent pas ou qui meurent plus lentement… J’en vois passer tout de même fréquemment qui ne devraient plus être là. Et quand on les écoute, on se dit évidemment que se passe-t-il ? » Une fois la question posée, le Dr Laurent Schwartz se retrouve en position d’apprenti face à des patients. « Et ce à quoi je crois, c’est que les malades éclairent ce que nous croyons avoir compris. »
Bleu de méthylène, dioxyde de chlore, régime… sont les cauchemars de Big Pharma et ils ne coûtent rien. « Il y a aujourd’hui une forme de dissociation dans la société. Les malades semblent souvent beaucoup plus informés que les institutionnels et, en même temps, les preuves de l’efficacité de ces traitements complémentaires ne sont pas encore là. » "
VIDÉO
" Vous pouvez visionner l’émission entièrement ici : Les clefs du cancer, comprendre pour guérir ! – Dr Laurent Schwartz " - SUR CE SITE:
" La vraie pandémie avec des vrais corps qui jonchent les rues US
Ceci amène une question très simple : si ils en avaient quelque chose à foutre de la santé de quiconque, est-ce qu'ils laisseraient un tel fléau se répandre ? Je vous laisse réfléchir là dessus...
#BigPharma "
" « Malheur à vous, terre et mer ! Car le diable est descendu vers vous. Il souffle de rage, car il sait qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps. » L'humanité ébranlée n'est pas livrée sans protection et sans défense au mal absolu - elle devient une puissance collective... d’Ivo Sasek, fondateur de Kla.TV "
" Dr Véronique Rogez : « Nous sommes dans un combat civilisationnel qui est loin d’être terminé » "
mise à jour le 28/07/23
" Nous avons eu le plaisir d’interviewer le Dr Véronique Rogez qui, dès le début de la « crise sanitaire », a remis en cause le narratif officiel. Elle a en effet, contrairement aux consignes et à la grande majorité des médecins, soigné ses patients, puis a émis des doutes et des critiques lors de l’arrivée du « vaccin ». Son refus de se faire injecter lui a valu une suspension, avant d’être convoquée par le Conseil de l’ordre pour avoir prescrit de l’Ivermectine.
Le Média en 4-4-2 : Bonjour docteur et bienvenue sur Le Média en 4-4-2. Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs qui ne vous connaissent pas encore en nous expliquant quelle était votre situation en mars 2020 et comment vous avez accueilli ce mystérieux virus en provenance de Wuhan ?
Véronique Rogez : Je suis le Dr Véronique Rogez, médecin généraliste à orientation homéathique, installée à Noyon, dans l’Oise. En mars 2020 — ce qui me paraît déjà lointain ! — je consultais normalement, mais commençais à voir des symptômes particuliers, et inquiétants. On entendait parler de ce Covid depuis fin janvier et beaucoup de cas semblaient arriver rapidement, sans qu’il soit possible de faire la différence avec la grippe, puisque les tests n’étaient pas encore sur le marché. L’Italie était alors notre « référence » puisque nous semblions suivre l’épidémie avec quelques jours d’écart avec elle. Je me souviens avoir contacté le Samu, mi mars 2020, très inquiet des évènements et craignant un débordement des urgences.
L’évolution était difficile à appréhender et les incohérences commençaient à se faire jour : toujours pas de masques pour les professionnels, des élections municipales qui se tenaient normalement quand même, le Salon de l’Agriculture bondé de monde dans des lieux clos, Emmanuel Macron qui incitait à aller au théâtre, puis ce confinement le 17 mars (date que je n’oublie pas puisque c’est mon anniversaire !) qui n‘a pas changé grand-chose pour moi puisque j’ai travaillé normalement… En fait, pas tout-à-fait car notre activité était très calme, hors Covid (quelques cas par jour), à tel point que la CPAM a compensé un peu notre manque à gagner pendant cette période…
La peur, peut-être légitime au début, commençait à faire son apparition, et est allée crescendo, alimentée par des éléments médiatiques sans sens comme ce décompte tous les soirs des morts de la journée. J’ai alors commencé à soigner les malades, selon les symptômes, donc en les examinant, et non pas comme le disait la Sécu, en leur disant de rester chez eux avec du Paracétamol ! Ce qui ne s’est jamais vu en médecine.
J’ai vu que les traitements hydroxychloroquine / azithromycine / zinc /vitamine D avaient de très bon résultats donnés précocement ; très peu chers, avec très peu d’effets secondaires, très connus, je ne vois pas pour quelle raison on ne devait pas les utiliser, avec le consentement libre et éclairé des patients. Je tiens à disposition de très nombreux témoignages : j’avais à cœur de demander des nouvelles de mes patients systématiquement quelques jours après.
En avril 2020, j’étais moi-même atteinte : énorme fatigue et grosse dyspnée sans aucun autre symptôme. Très bizarre. J’ai pris ce traitement du Pr Raoult et je n’ai eu besoin que d’une semaine d’arrêt !
J’ai constaté alors les mesures sanitaires idiotes que pourtant tout le monde a acceptées facilement : masque seul dans la rue, seul en forêt, plage dynamique, contrôles et verbalisations iniques, fermetures des rayons « non essentiels », auto-attestation pour sortir son chien, droit de manger assis et non debout, etc.
Je demande solennement à la sécu d'aller voir le devenir de nos patients : très très peu d'hospitalisations et de décès…
C'est une preuve de l'efficacité des traitements,! https://t.co/ZEwT57whFu
— Dr Rogez Véronique (@RogezVeronique) June 4, 2023
« C’est bien la première fois qu’on exige d’un médecin de ne pas voir ses malades et de ne pas les soigner ! » "
" La croissance démographique de la France se poursuivra "essentiellement via l’immigration", qui représente désormais 10% de la population "
Publié le 29 août 2023
" DÉMOGRAPHIE - L’immigration constituera dans les prochaines années "l’essentiel de la croissance de la population française", selon une note de l’Institut Montaigne publiée lundi 28 août 2023. 10% des habitants du pays sont désormais issus de l’immigration, soit près de 7 millions de personnes. Une "proportion inédite" et la croissance de la population se "poursuivra essentiellement via l’immigration".
Si la situation démographique du pays n’est pas inquiétante de l’avis de l’auteur de cette note, Bruno Tertrais, expert associé à l’Institut Montaigne, la France subit non seulement un vieillissement ascendant de la population, mais également une stagnation de son taux de natalité.
Selon les chiffres de l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) auxquels se réfère ce laboratoire d'idées français, la population s'élevait au 1er janvier 2023 à 68 millions d’habitants. Il s’agit, certes, d’une croissance 0,3% en 2022 par rapport à 2021 mais d’un ralentissement démographique en comparaison aux années précédentes (0,5% en 2018, 0,3 en 2020).
Depuis le milieu des années 2000, la France, pays le plus fécond d’Europe, enregistre davantage de décès (667.000 en 2022) et moins de naissances (723.000). Le taux de fécondité était de 1,8 enfant par femme l'année dernière, en dessous de 2, le "seuil de renouvellement" sous lequel la population diminue.
La tendance devrait se poursuivre selon les prévisions de l’Insee puisque la population nationale devrait atteindre en 2040 le pic d’environ 69 millions d’habitants, avant de connaître une décroissance jusqu’en 2070 avec 68,1 millions d’habitants.
10% de la population française est immigrée
En plus d’un taux de natalité "en berne", les Français sont confrontés à un vieillissement qui poursuit une courbe haussière. 21,3% de la population est âgée de plus de 65 ans contre 17,1% en 2012. Si ce vieillissement "résulte tout particulièrement de l’allongement de la durée de la vie", lit-on encore, le faible taux de natalité chez les Français s’explique surtout par l’âge élevé de la première naissance et le nombre d’enfants par femme plutôt que par le nombre peu élevé de femmes en âge d’avoir des enfants. "
" our informer les parents se trouvant hors de nos réseaux sociaux, voici un tract afin qu'ils prennent connaissance des dérives érotiques et pornographiques de l'éducation à la sexualité, et ce dès le plus jeune âge.
Citation de fouthese
" our informer les parents se trouvant hors de nos réseaux sociaux, voici un tract afin qu'ils prennent connaissance des dérives érotiques et pornographiques de l'éducation à la sexualité, et ce dès le plus jeune âge.