" Texte important : Mario Draghi et le super-Etat totalitaire européen (avec Thierry Meyssan). Relire un bon classique : « Pendant ce temps, l’Amérique édifie son plan et se prépare à mettre tout le monde à la portion congrue… La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-àire d’aider politiquement le capital américain à rationner l’Europe (Léon Trotski, en 1924 déjà…). Défaite pour l’instant de l’OMS sinon ; notre Donald Trump réclame quand même la fin des guerres de Biden (rt.com) et l’Amérique semble plus résistante que l’Europe au mondialisme (beau sujet d’essai : on a écrit sur les libertariens…). L’aveuglement de la vieille Europe social-démocrate (Trotski toujours) et chrétienne-démocrate nous laisse pantois. L’Amérique a des défauts mais aussi des qualités alors que la bonne vieille république… La vieille Europe des libertés individuelles veut donc devenir une prison techno-jacobine (voir notre Anglaise et sa Terreur…).
Nous sommes très mal barrés au sens strict et nos gouvernants nous mènent droit à la tyrannie après ces pseudo-élections européennes.
Dans un excellent et récent texte Thierry Meyssan rappelle froidement :
« Le professeur de droit Walter Hallstein conçut le « Nouvel ordre européen » que le chancelier Adolf Hitler tenta de réaliser. Son idée était de fédérer les différents États européens autour d’une Allemagne élargie à tous les territoires de peuples germanophones. Par la force du nombre, Berlin aurait alors gouverné l’Europe. Walter Hallstein n’était probablement pas nazi, mais il fut choisi pour négocier ce projet avec le duce Benito Mussolini. En 1958, il devint le premier président de la Commission européenne, preuve que les États-Unis et le Royaume-Uni avaient adopté, pour leur compte, le « Nouvel ordre européen », une fois l’Allemagne écrasée. C’est pourquoi, au début de cet article, je notais la ressemblance des intentions du président Macron pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec celles du chancelier Adolf Hitler pour les Jeux de Berlin 1936. Dans les deux cas, il s’agit d’une manipulation de masse au service d’un impossible rêve impérial. »
On relira ici mon texte sur De Gaulle et la doctrine Hallstein : comme on sait, après la guerre les nazis ont choisi le parapluie américain pour s’imposer et poursuivre leur rageuse croisade d’extermination contre la Russie.
Nous sommes très mal barrés au sens strict et nos gouvernants nous mènent droit à la tyrannie après ces pseudo-élections européennes.
Dans un excellent et récent texte Thierry Meyssan rappelle froidement :
« Le professeur de droit Walter Hallstein conçut le « Nouvel ordre européen » que le chancelier Adolf Hitler tenta de réaliser. Son idée était de fédérer les différents États européens autour d’une Allemagne élargie à tous les territoires de peuples germanophones. Par la force du nombre, Berlin aurait alors gouverné l’Europe. Walter Hallstein n’était probablement pas nazi, mais il fut choisi pour négocier ce projet avec le duce Benito Mussolini. En 1958, il devint le premier président de la Commission européenne, preuve que les États-Unis et le Royaume-Uni avaient adopté, pour leur compte, le « Nouvel ordre européen », une fois l’Allemagne écrasée. C’est pourquoi, au début de cet article, je notais la ressemblance des intentions du président Macron pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec celles du chancelier Adolf Hitler pour les Jeux de Berlin 1936. Dans les deux cas, il s’agit d’une manipulation de masse au service d’un impossible rêve impérial. »
On relira ici mon texte sur De Gaulle et la doctrine Hallstein : comme on sait, après la guerre les nazis ont choisi le parapluie américain pour s’imposer et poursuivre leur rageuse croisade d’extermination contre la Russie.
Meyssan ajoute que cette Europe totalitaire est le fait de la gauche et du centre-droit (souvenez-vous de la liste Weil et de la liste socialiste en 1979…) :
« Alors que l’Union européenne s’apprête à se transformer en un État unique, son évolution politique prend un pas autoritaire. »
On rassure Meyssan cette fois : l’Europe est depuis longtemps fasciste et techno-totalitaire sous sa verbosité démocratique. C’est une bureaucratie…
Il y aura un débat. Certains partis sont plus égaux que d’autres :
Nous sommes très mal barrés au sens strict et nos gouvernants nous mènent droit à la tyrannie après ces pseudo-élections européennes.
Dans un excellent et récent texte Thierry Meyssan rappelle froidement :
« Le professeur de droit Walter Hallstein conçut le « Nouvel ordre européen » que le chancelier Adolf Hitler tenta de réaliser. Son idée était de fédérer les différents États européens autour d’une Allemagne élargie à tous les territoires de peuples germanophones. Par la force du nombre, Berlin aurait alors gouverné l’Europe. Walter Hallstein n’était probablement pas nazi, mais il fut choisi pour négocier ce projet avec le duce Benito Mussolini. En 1958, il devint le premier président de la Commission européenne, preuve que les États-Unis et le Royaume-Uni avaient adopté, pour leur compte, le « Nouvel ordre européen », une fois l’Allemagne écrasée. C’est pourquoi, au début de cet article, je notais la ressemblance des intentions du président Macron pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec celles du chancelier Adolf Hitler pour les Jeux de Berlin 1936. Dans les deux cas, il s’agit d’une manipulation de masse au service d’un impossible rêve impérial. »
On relira ici mon texte sur De Gaulle et la doctrine Hallstein : comme on sait, après la guerre les nazis ont choisi le parapluie américain pour s’imposer et poursuivre leur rageuse croisade d’extermination contre la Russie.
Meyssan ajoute que cette Europe totalitaire est le fait de la gauche et du centre-droit (souvenez-vous de la liste Weil et de la liste socialiste en 1979…) :
« Alors que l’Union européenne s’apprête à se transformer en un État unique, son évolution politique prend un pas autoritaire. »
On rassure Meyssan cette fois : l’Europe est depuis longtemps fasciste et techno-totalitaire sous sa verbosité démocratique. C’est une bureaucratie…
Il y aura un débat. Certains partis sont plus égaux que d’autres :
« Cinq d’entre eux débattront en eurovision de leur projet pour présider la Commission européenne. Il s’agit de :
• Walter Baier, Gauche européenne ;
• Sandro Gozi, Renouveler l’Europe maintenant ;
• Ursula von der Leyen, Parti populaire européen ;
• Terry Reintke, Verts européens ;
• Nicolas Schmit, Parti socialiste européen. »
Malgré son avilissement et sa soumission la droite identitaire n’aura pas voix au chapitre :
Nous sommes très mal barrés au sens strict et nos gouvernants nous mènent droit à la tyrannie après ces pseudo-élections européennes.
Dans un excellent et récent texte Thierry Meyssan rappelle froidement :
« Le professeur de droit Walter Hallstein conçut le « Nouvel ordre européen » que le chancelier Adolf Hitler tenta de réaliser. Son idée était de fédérer les différents États européens autour d’une Allemagne élargie à tous les territoires de peuples germanophones. Par la force du nombre, Berlin aurait alors gouverné l’Europe. Walter Hallstein n’était probablement pas nazi, mais il fut choisi pour négocier ce projet avec le duce Benito Mussolini. En 1958, il devint le premier président de la Commission européenne, preuve que les États-Unis et le Royaume-Uni avaient adopté, pour leur compte, le « Nouvel ordre européen », une fois l’Allemagne écrasée. C’est pourquoi, au début de cet article, je notais la ressemblance des intentions du président Macron pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec celles du chancelier Adolf Hitler pour les Jeux de Berlin 1936. Dans les deux cas, il s’agit d’une manipulation de masse au service d’un impossible rêve impérial. »
On relira ici mon texte sur De Gaulle et la doctrine Hallstein : comme on sait, après la guerre les nazis ont choisi le parapluie américain pour s’imposer et poursuivre leur rageuse croisade d’extermination contre la Russie.
Meyssan ajoute que cette Europe totalitaire est le fait de la gauche et du centre-droit (souvenez-vous de la liste Weil et de la liste socialiste en 1979…) :
« Alors que l’Union européenne s’apprête à se transformer en un État unique, son évolution politique prend un pas autoritaire. »
On rassure Meyssan cette fois : l’Europe est depuis longtemps fasciste et techno-totalitaire sous sa verbosité démocratique. C’est une bureaucratie…
Il y aura un débat. Certains partis sont plus égaux que d’autres :
« Cinq d’entre eux débattront en eurovision de leur projet pour présider la Commission européenne. Il s’agit de :
• Walter Baier, Gauche européenne ;
• Sandro Gozi, Renouveler l’Europe maintenant ;
• Ursula von der Leyen, Parti populaire européen ;
• Terry Reintke, Verts européens ;
• Nicolas Schmit, Parti socialiste européen. »
Malgré son avilissement et sa soumission la droite identitaire n’aura pas voix au chapitre :
« Le groupe « Identité et démocratie » n’a pas été invité à ce show. Car les cinq groupes précédents ont une conception particulière de la démocratie. Ils considèrent qu’Identité et démocratie ne joue pas le même jeu qu’eux et donc, refusent de débattre avec lui. »
Il y aura un débat, mais en anglais ! Or :
« Mais aucun État n’a demandé que l’anglais soit une des langues de l’Union. Malte, par exemple, qui a fait de l’anglais l’une de ses deux langues officielles, a préféré que ce soit le maltais qui soit utilisé à Bruxelles. Pourtant, l’anglais est devenu, de facto, la 24° langue de l’Union et la seule commune à tous. Cela n’a évidemment aucun rapport avec le fait que l’UE soit, non pas un projet européen, mais un projet anglo-saxon. » "
" Je recommande à mes abonnés la lecture de ce grand classique de l'étude du mondialisme qu'est "La Révolution Mondiale" de Nesta Webster, dont la première édition remonte à 1921.
Le livre commence par montrer que derrière les sociétés secrètes, dont la franc-maçonnerie, se cache la doctrine de l'illuminisme qui vise à établir un gouvernement mondial, liquider la religion, détruire la famille ainsi qu'abolir la propriété privée, c'est-à- dire le projet mondialiste. Pour illustrer son propos, Webster propose plusieurs chapitres exceptionnels et très bien documentés sur la Révolution française, première grande révolution illuministe/mondialiste de l'histoire.
Mais surtout, ce livre révèle comment le plan illuministe s'est poursuivi au XIXe avec le socialisme, le communisme et l'anarchisme. Il s'agit sur ce point du meilleur livre que j'ai pu lire à ce sujet et je recommande sa lecture à tous les marxistes ou gens de "gauche" afin qu'ils comprennent comment le peuple a été instrumentalisé et trahi dès le départ par les agents du mondialisme, à commencer par Marx et Engels.
Webster en profite également pour montrer que le "Jésus socialiste/révolutionnaire" est une pure création de l'illuminisme, qui a rencontré un grand succès en France et continue d'ailleurs de trouver des adeptes aujourd'hui. Elle confirme également les travaux de Sutton sur le financement de la révolution bolchévique par Wall Street et ajoute certains détails sur le sabotage de l'armée de Koltchak (russes anti-bolchéviques) par les agents mondialistes britanniques et américains, dont certains infiltrés.
Pour finir, un mot sur la version française publiée par les éditions Saint Rémi. Celle-ci propose une excellente traduction française (je le dis en étant moi-même traducteur de l'anglais vers le français) et un grand nombre de notes de bas de page rédigées par le traducteur. Autant certaines sont passionnantes et pertinentes, autant d'autres le sont moins et ont parfois la main un peu lourde concernant le "complot juif", jusqu'à parasiter la lecture d'un texte globalement équilibré sur ce point.
Ces quelques défauts desservent un livre remarquable qui gagnerait à être réédité avec une présentation plus moderne et des notes du traducteur un peu moins nombreuses et remaniées, de façon à permettre à un plus large public de découvrir ce livre essentiel. "
" Le nazisme et le fascisme n’ont jamais été les ennemis des Etats-Unis "
" L’un des mythes européen et étasunien est que le fascisme a été vaincu pendant la Seconde Guerre mondiale par les démocraties libérales, et en particulier par les États-Unis. Alors que les archives suggèrent que loin d’être éradiqué à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le fascisme a en fait été réaffecté, ou plutôt redéployé, pour remplir sa fonction historique première : détruire le communisme athée et sa menace pour la mission « civilisatrice capitaliste ». Les diverses officines de sécurité nationale ont fait que le fascisme, loin d’être vaincu lors de la Seconde Guerre mondiale, a été internationalisé avec succès.
Lorsque les États-Unis sont entrés dans la Seconde Guerre mondiale, le futur chef de la CIA, Allen Dulles, a déploré que son pays combattait le mauvais ennemi. Les nazis, comme il l’a expliqué, étaient des chrétiens aryens pro-capitalistes, alors que le véritable ennemi était le communisme athée et son anticapitalisme résolu. Après tout, les États-Unis avaient, seulement 20 ans auparavant, participé à une intervention militaire massive en URSS, avec quatorze pays capitalistes pour, selon Winston Churchill : « étrangler le bébé bolchevique dans son berceau ».
Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, le général Karl Wolff, ancien bras droit de Himmler, est allé voir Allen Dulles à Zurich. Il voulait éviter d’être traduit en justice. Wolff, qui était l’officier SS le plus haut gradé à avoir survécu à la guerre, offrit à Dulles la promesse de développer, avec son équipe nazie, un réseau de renseignement contre Staline pour lutter contre le communisme. Wolff est loin d’être le seul responsable nazi protégé et réhabilité par la CIA. Le cas de Reinhard Gehlen est particulièrement révélateur. Ce général du IIIe Reich avait été responsable du service de renseignement nazi dirigé contre les Soviétiques. Après la guerre, il a été recruté et a ensuite été nommé à la tête du premier service de renseignement allemand, réorganisé par la CIA, où il a commencé à employer un grand nombre de ses collaborateurs nazis. On ne sait pas combien de criminels de guerre ce nazi décoré a engagé, mais Eric Lichtblau estime que quelque quatre mille agents nazis ont été intégrés dans le réseau supervisé par l’agence d’espionnage étasunienne. Dès 1945, l’armée et les services de renseignement EU ont recruté sans état d’âme d’anciens criminels nazis : « les États-Unis venaient de vaincre les nazis avec l’aide des Soviétiques. Ils prévoyaient désormais de vaincre les Soviétiques avec l’aide d’anciens nazis ». La situation était similaire en Italie, l’accord de Dulles avec Wolff faisait partie d’une entreprise plus vaste, appelée « Opération Sunrise », qui a mobilisé les nazis et les fascistes. Dulles a travaillé main dans la main avec le futur chef du contre-espionnage de l’Agence, James Angleton, qui était alors stationné en Italie. Ces deux hommes, qui deviendront deux des acteurs politiques les plus puissants du XXe siècle, ont montré de quoi ils étaient capables dans cette étroite collaboration entre les services de renseignement étasuniens, les nazis et les fascistes. Valerio Borghèse était l’un de ses principaux contacts parce que ce fasciste pur et dur du régime de Mussolini était prêt à servir les EU dans la lutte anticommuniste, et il est devenu l’une des figures de proue internationale du fascisme d’après-guerre.
Une fois la guerre terminée, de hauts responsables du renseignement EU « ont œuvré pour que la dénazification n’ait qu’une portée limitée », selon Frédéric Charpier : « Des généraux, des hauts fonctionnaires, des policiers, des industriels, des avocats, des économistes, des diplomates, des universitaires et de véritables criminels de guerre ont été épargnés et remis à leur poste ». Dulles a rédigé une liste de hauts fonctionnaires de l’État nazi à protéger et à faire passer pour des opposants à Hitler. La CIA a procédé à la reconstruction des États administratifs en Allemagne et en Italie avec leurs alliés anticommunistes. Eric Lichtblau estime que plus de 10 000 nazis ont pu immigrer aux États-Unis dans la période d’après-guerre (au moins 700 membres officiels du parti nazi avaient été autorisés à entrer aux États-Unis dans les années 1930, alors que des réfugiés juifs étaient refoulés). En plus de quelques centaines d’espions allemands et de milliers de SS, l&rsquoération Paperclip, qui a commencé en mai 1945, a amené au moins 1 600 scientifiques nazis aux États-Unis avec leurs familles. Cette entreprise visait à récupérer les grands esprits de la machine de guerre nazie et à mettre leurs recherches sur les fusées, l’aviation, les armes biologiques et chimiques, etc., au service de l’empire américain. Le programme a permis l’immigration de chimistes d’IG Farben (qui avait fourni les gaz mortels utilisés dans les exterminations de masse), de scientifiques qui avaient utilisé des esclaves dans les camps de concentration pour fabriquer des armes, et de médecins qui avaient participé à des expériences sur les Juifs, Roms, communistes, homosexuels et autres prisonniers de guerre. Ces scientifiques, qui ont été décrits par un fonctionnaire du département d’État opposé à Paperclip comme « les anges de la mort d’Hitler », ont été accueillis à bras ouverts dans le pays de la liberté. Ils ont reçu un logement confortable, un laboratoire avec des assistants et la promesse d’une citoyenneté si leur travail portait ses fruits. "
" La France bascule de la démocratie formelle au despotisme réel "
25 mai 2024
" Par Khider Mesloub.
De toute évidence, la France a basculé de la démocratie formelle au despotisme réel. En effet, sous la présidence de Macron on assiste à la fin de la démocratie bourgeoise avec ses Parlements, ses droits, ses pouvoirs et contre-pouvoirs superflus, incarnés notamment par le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État. Car, dorénavant, les lois et les mesures despotiques sont dictées directement par le pouvoir exécutif, sans être ratifiées par le Parlement. Ni invalidées, en cas de saisine, par le Conseil constitutionnel ou le Conseil d’État.
Après le Parlement, court-circuité systématiquement par l’usage du despotique 49.3, prouvant l’inanité de cette chambre d’enregistrement, c’est autour du Conseil constitutionnel et du Conseil d’État, avec leurs arrêts validant automatiquement les projets de loi du gouvernement, ou rejetant toute saisine de requérants institutionnels ou associatifs, d’apporter la preuve de l’imposture démocratique.
Le dernier arrêt rendu par le Conseil d’État relatif au blocage de TikTok en Nouvelle-Calédonie illustre le tournant autoritaire de la France impérialiste et coloniale. En effet, le Conseil d’État a rejeté, dans une décision rendue le 23 mai, les recours en référé demandant la suspension du blocage du réseau social TikTok en Nouvelle-Calédonie, ordonné par le gouvernement Macron. Pour rappel, la Ligue des droits de l’Homme, la Quadrature du Net et trois habitants de Nouvelle-Calédonie avaient déposé un recours en référé-liberté le 17 mai. Ils estimaient que ce blocage portait une atteinte grave aux libertés de communication et d’information. Depuis le 15 mai, le réseau social est inaccessible dans l’archipel.
Le Conseil d’État comme le Conseil constitutionnel sont des institutions totalement inféées à l’État français. En particulier le Conseil constitutionnel.
Comme tous ses arrêts le démontrent, le Conseil constitutionnel ne peut être considéré comme une instance juridictionnelle impartiale. Et pour cause. Ses neufs membres, nommés par le président de la République et par les présidents de la Chambre des députés et du Sénat, ne peuvent rendre que des arrêts conformes aux intérêts de la bourgeoisie française et de son État, aujourd’hui dirigé par le mercenaire du capital occidental, Macron le va-t-en-guerre, personnalité clivée et clivante, animée d’une rage destructive sociale psychopathique. Actuellement, Macron, en voie de radicalisation, mène de front une furieuse guerre sociale et policière à « son » peuple et aux allogènes (musulmans et kanaks), réduits à la paupérisation absolue et soumis au totalitarisme démocratique, une guerre armée à la Russie par Ukraine interposée, et aux Palestiniens par son soutien inconditionnel apporté à l’État nazi d’Israël.
Fondamentalement, la fonction capitale du Conseil constitutionnel dans tous les pays capitalistes est la protection de la propriété privée et des libertés économiques capitalistiques. À plus forte raison, en France le Conseil constitutionnel veille sagement sur les intérêts de la bourgeoisie. "
" L'Éducation nationale contre l'instruction ? – entretien avec Lisa Kamen-Hirsig "
" Écriture inclusive, pédagogisme, propagande écologiste et culte de l'égalité homme-femme... autant d'artifices qui entravent la mission éducative des enseignants, qui font plus souvent de la discipline qu'ils n'enseignent. Pour Lisa Kamen-Hirsig, professeur des écoles, l'Éducation nationale a transformé l'enseignement public en une "grande garderie". C'est d'ailleurs le titre de son essai : La Grande garderie, publié chez Albin Michel. "
" Assange : L’extradition suspendue, la persécution continue "
27 mai 2024
" La Haute Cour britannique a concédé à Julian Assange, le 20 mai, la possibilité de faire appel de la décision d’extradition aux États-Unis. Même si c’est une victoire dans le passage judiciaire spécifique en cours, il faut rappeler que nous sommes face à un procès farce qui continue depuis 5 ans, fondé sur la violation de toute norme du juste procès. La Haute Cour britannique a été utilisée comme instrument de torture dans la persécution politique contre une journaliste qui a déjà fait sans aucun réel motif 5 ans dans une prison de haute sécurité, en isolement, dans des conditions qui ont détérioré sa santé, uniquement parce que lui, citoyen australien, devrait répondre au système judiciaire étasunien qui veut le juger pour espionnage et le condamner à 175 ans de réclusion. Le “délit” commis par ce journaliste d’investigation est, en réalité, celui d’avoir mis en lumière des crimes de guerre commis par les États-Unis d’Amérique. La persécution à son égard est un avertissement que les États-Unis et leurs alliés lancent à quiconque ose violer leurs “règles” en portant la vérité à la lumière.
La Haute Cour britannique a poursuivi son action même quand sont sorties les preuves de la tentative de la CIA d’enlever et d’assassiner Assange alors qu’il était réfugié politique à l’Ambassade de l’Équateur.
La Haute Cour britannique aurait pu, le 20 mai, mettre fin à tout cela, elle aurait pu libérer Assange, elle aurait pu pour le moins décider de le déplacer de la prison de haute sécurité vers un lieu de détention où il aurait pu récupérer sa santé physique et mentale. Elle a au contraire seulement renvoyé l’extradition aux USA, prolongeant de ce fait sa persécution.
Le fait est qu’en ce moment aux États-Unis est en cours la campagne électorale pour les présidentielles : ce serait donc dommageable pour tous les candidats que s’ouvrit un procès contre Julian Assange, dans lequel devraient être listés ses “délits” en ramenant inévitablement au premier plan les crimes de guerre étasuniens. En ce moment, de plus, les plus grands campus universitaires étasuniens sont parcourus par un fort mouvement de solidarité avec la Palestine, qui dénonce les crimes de guerre commis par Israël avec l’appui substantiel des États-Unis. Il serait donc dangereux pour l’establishment étasunien de faire comparaître Julian Assange devant leur propre tribunal, parce que le mouvement des campus se rangerait dans sa défense.
La décision de la Haute Cour britannique de suspendre l’extradition de Julian Assange aux États-Unis, en continuant à le détenir dans des conditions qui minent sa santé physique et mentale, correspond encore une fois à la volonté et aux intérêts des États-Unis d’Amérique. "
" Un réalisateur polonais trouve le moyen de cesser de payer des figurants grâce à l’IA "
28 mai 2024
" Le réalisateur polonais Patryk Vega estime avoir trouvé la solution aux « problèmes de grève » dans le milieu du cinéma en créant 50 000 figurants grâce à l’intelligence artificielle.
C’est un exploit dont certains se passeraient bien. La compagnie du réalisateur, AIO Studios, a créé des images numériques d’acteurs permettant de faire illusion parmi les figurants d’un film. Que ce soit le réalisme quant à l’âge, le sexe, la coiffure ou les habits portés, mais encore le type de mouvement adopté par ces êtres numériques, tout ferait illusion.
Récemment présent à Cannes pour la première d’un film « deepfake » qui met en scène un acteur dont le visage est remplacé par celui de Vladimir Poutine, Vega exprime l’espoir que cette technologie suscite, appelant de ses vœux à ce que celle-ci s’utilise à plus grande échelle.
Cette technologie, créée par son entreprise, permettrait aux réalisateurs de choisir le profil et le nombre de figurants qu’ils souhaitent, puis de les intégrer directement sur les scènes en offrant la possibilité de se mouvoir en arrière-plan. Tout ceci, sans même faire appel à de véritables acteurs.
Non sans écho avec l’actualité, tandis que des productions cinématographiques et télévisuelles ont vu leurs tournages mis à l’arrêt par des grèves pour cause d’utilisation potentielle de l’IA, cette initiative offrirait une efficacité nouvelle pour le monde du cinéma.
De ce fait, certains craignent que l’image et la voix des acteurs soient utilisées en remplacement, sans leur consentement leur coûtant leur travail. Ce sont des dizaines de productions qui ont été suspendues au moment de cette grève de près de cinq mois. En plus de cette mise à l’arrêt forcée, l’économie américaine en aurait pris un coup, perdant environ 5 milliards de dollars. Afin de régler la contestation, un accord a été conclu, garantissant une protection contre la reproduction des images et des voix faites par l’IA.
Solution miracle, Patryk Vega affirme alors ne pas rencontrer de problème avec les droits. Il propose un système de location de ses figurants numériques, avec toute une gamme de mouvements spécifiques reproduits ainsi que d’apparences. Ceci dans l’objectif de reproduire toute une foule faite de différents aspects physiques.
À ceci, il affirme : « J'ai créé 50 000 modèles humains qui n'existent pas dans la réalité. Je n'ai donc pas de problème de droits, ni de problème de grèves à l'avenir. »
Autre facteur jouant sur la corde sensible, il annonce pouvoir « apporter à l'industrie cinématographique un outil qui lui permettra de conserver 50 % de son budget. »
« J'ai décidé d'apporter une solution à l'industrie cinématographique en créant des foules de figurants générées numériquement. » explique-t-il encore.
À son sens, « les figurants représentent l'un des coûts les plus importants du budget. C'est très risqué du point de vue de la production et de l'aspect financier. »
Une solution miracle ?
À l'heure actuelle, les figurants de l'IA portent tous des vêtements et des coiffures modernes, mais l'entreprise prévoit d'étendre la base de données à d'autres époques, ce qui permettra aux réalisateurs d'utiliser ces acteurs en arrière-plan dans des films d'époque. Alors que les risques pour l’art sont souvent mentionnés, les difficultés pour l’emploi dans le milieu cinématographique pourraient bien commencer. "
" Les aliments ultra-transformés, arme ultime de destruction douce "
2024-05-28
" Nous, les serfs du techno-fief qu’est le monde moderne, pouvons — du moins en théorie, du moins pour l’instant — renoncer aux injections d’ARNm, même sous la menace de la perte de nos moyens de subsistance (bien que, en rapport avec le thème de cet article, l’ARNm modifié [ou plus probablement le graphène ? — NDLR] soit de plus en plus souvent ajouté à l’approvisionnement alimentaire, éliminant ainsi le consentement éclairé).
Voir aussi : La FDA criminelle déclare le consentement éclairé nul et non avenu
Nous pouvons jeter les prescriptions pharmaceutiques toxiques à la poubelle aussi vite que les médecins de l’industrie peuvent les rédiger.
Nous pouvons éviter les radiations de la 5G grâce à une relocalisation stratégique.
À ce jour, la plupart des armes biologiques de la technocratie déguisées en thérapies médicales ou en commodités technologiques peuvent être évitées, même si c’est souvent au prix de dépenses et de risques personnels importants.
Mais tout le monde doit manger de la nourriture et tout le monde doit boire de l’eau.
Et, à moins de draguer l’eau de son propre puits et de cultiver sa propre nourriture de manière totalement indépendante (et même dans ce cas, il n’y a aucune protection contre l’épuisement des sols ou l’introduction sur votre propriété d’un ADN OGM provenant d’une exploitation voisine), l’approvisionnement en nourriture et en eau est un environnement riche en cibles que les technocrates dépopulateurs — et les entreprises, les ONG et les gouvernements qui sont dans leurs poches — peuvent exploiter.
Voir aussi : Une action en justice est intentée pour interdire la fluoration de l’eau publique sans consentement éclairé
Il y a quelques années, j’ai pris l’habitude de lire la liste des ingrédients des produits que j’envisageais d’acheter au supermarché ou ailleurs — on pourrait dire (haletant !), de faire mes propres recherches en tant que paysan non diplômé, ce que les « experts » déconseillent sévèrement.
Une règle empirique, un peu de sagesse transmise depuis je ne sais plus où, est que si vous ne pouvez pas prononcer chacun des ingrédients, ou si la liste est plus longue que cinq articles, c’est probablement une bonne idée de passer son chemin.
Via U.S. Right to Know (caractères gras ajoutés) : "
( Affiches de propagande soviétique promouvant la collectivisation de l’agriculture dans les années 1930 )
" En bas à droite de l’affiche, on peut voir un petit homme s’o.pposer à la ligne des paysans en marche. Il est reconnaissable comme un “Koulak“, un des agriculteurs indépendants locaux qui ont été dépossédés et partiellement exterminés pour laisser la place à des fermes collectivisées, considérées comme plus efficaces.
Il existe plusieurs similitudes entre la chute des Koulaks et l’actuel “Grand Reset” qui voit la destruction d’un certain nombre d’activités économiques, telles que le commerce de détail, considérées comme inefficaces par rapport au commerce électronique moderne.
Dans les années 1930, l’Union soviétique a procédé à la “dékoulakisation” (раскулачивание) de l’Ukraine. C’est le terme donné à la suppression des agriculteurs indépendants relativement riches (“koulaks”), pour les remplacer par des fermes collectives. Leurs propriétés ont été confisquées, beaucoup d’entre eux ont été déplacés dans des régions éloignées, et certains ont été exterminés. Nous ne connaissons pas les chiffres exacts, mais ils sont certainement de l’ordre de quelques millions de personnes. Le passage aux fermes collectives a peut-être été l’une des causes de la grande famine ukrainienne du début des années 1930, connue sous le nom de “Holodomor“.
Les raisons de la dékoulakisation sont multiples. Elles sont en partie liées à la croyance que les entreprises à grande échelle, planifiées de manière centralisée, sont le moyen le plus efficace d’organiser la production. Ensuite, les Koulaks étaient considérés comme un ennemi potentiel pour le gouvernement soviétique, alors que la région qu’ils occupaient était un atout stratégique en termes de production alimentaire à une époque où les famines étaient une arme de guerre efficace.
Mais ces considérations ne suffisent pas à expliquer pourquoi les Koulaks ont été si impitoyablement détruites en quelques années seulement. Il s’agissait plutôt d’un simple jeu de pouvoir : le gouvernement soviétique visait à contrôler tous les moyens de production de l’État. Il ne pouvait pas tolérer qu’une partie importante de l’économie, la production alimentaire en Ukraine, soit gérée de manière indépendante. Il est donc intervenu avec toute la puissance que l’appareil d’État pouvait rassembler.
La partie la plus intéressante de cette histoire est que le retrait/extermination n’était pas seulement le résultat de la puissance militaire du gouvernement soviétique. C’est un exemple précoce d’une campagne de diabolisation réussie basée sur la propagande. Les Koulaks étaient constamment présentés dans les médias comme des “ennemis du peuple” inefficaces et peu fiables. Une fois qu’il a été établi qu’un agriculteur indépendant était un ennemi du peuple, toute tentative de défense des Koulaks transformait automatiquement leurs défenseurs en ennemis du peuple. Ainsi, les Koulaks furent complètement dépassés, incapables d’organiser une quelconque résistance collective. Le mieux qu’ils aient pu faire était de résister passivement, par exemple en cachant de la nourriture plutôt qu’en la livrant aux autorités soviétiques. Bien sûr, la propagande a exploité cela pour renforcer le message qu’ils étaient, en effet, des ennemis du peuple. C’est ainsi que fonctionne la propagande. "