" « Depuis que je prends la pilule, mon mari fait ce qu’il veut de mon corps », disait un personnage de Tranches de vie, la BD de Gérard Lauzier. C’est un beau raccourci pour illustrer la pseudo-libération des femmes. Soumission à la technique, disponibilité totale, rythmes effrénés, leur quotidien a vu naître de nouvelles contraintes, d’autant plus lourdes qu’en chassant le mari, les idéologies féministes ont introduit le juge dans la bergerie familiale. À l’heure où le progrès avilit, où le contrôle social s’étend, où les libertés publiques s’amenuisent, que signifie vraiment « être libre » ?
« Femme, réveille-toi ! » Deux siècles après cet appel d’Olympe de Gouges, Anne Trewby et Iseul Turan tirent les leçons du féminisme et proposent un chemin à rebours de la Modernité et de la course aux « droits à… » "
Toute guerre se remporte avec des hommes et des munitions, y compris celle des idées. Aujourd’hui l’histoire, la politique, l’économie, la culture, le droit sont des champs de bataille. À nous d’y triompher de la pensée unique. Beaucoup ont déjà pris la plume, tels Jean Sévillia, Philippe de Villiers ou Mathieu k-Côté. Mais à cette aventure intellectuelle, le droit reste étranger. Chose curieuse, au regard de son immixtion dans nos vies, réglées comme des horloges suisses par ses rouages. Mal interprété, il regorge d’idées fausses, parfois sciemment entretenues par nos législateurs à des fins politiques. Remettre le droit à l’endroit ? C’est l’objet insolite de cet ouvrage.
Les hommes naissent-ils réellement libres et égaux en droit ? Nos élus nous coûtent-ils trop cher ? La naissance d’un étranger en France le rend-elle nécessairement français ? Le droit européen est-il vraiment supérieur au droit national ? Trente questions pour y voir clair et combattre les idées reçues. "
" Interview exclusive de Philippe Guillemant : Les clés d'un avenir positif en toute conscience "
" Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l'Ecole Centrale Paris et de l'Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en Physique et Habilité à Diriger des Recherches. Il exerce son activité au CNRS (UMR 7343, laboratoire IUSTI de Polytech' Marseille) où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe. "
" Le convoi d'Emmanuel Macron quitte #Lyon. Le Président a du annuler sa rencontre avec le maire de la ville en raison notamment de l'envahissement de la mairie du 3eme arrondissement par des manifestants
" Scandale en France : à un an des Jeux Olympiques, Macron veut « expulser » les sans-abris de Paris "
25 mai 2023
" Une décision politique qui a suscité, ces dernières heures, un vif tollé dans la classe politique française. En effet, alors que la France s’apprête à accueillir des touristes venus des quatre coins du monde pour assister aux Jeux Olympiques 2024, l’Etat ne veut surtout pas voir de sans-abris dans les rues de la capitale, ce qui pourrait donner une très mauvaise image de l’une des plus importantes villes européennes.
Et pour ce faire, la solution préconisée par les autorités est toute simple : transférer les sans-abris, principalement les migrants, vers les autres régions du pays. C’est du moins l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 23 mai de plusieurs sources, dont Le Monde.
« Le dispositif suscite inquiétudes et interrogations. A l’approche de la Coupe du monde de rugby, cet automne, et des Jeux olympiques, en 2024, le gouvernement veut inciter des milliers de sans-abri, principalement des migrants, à quitter la région parisienne pour la province, arguant de la baisse du nombre d’hôtels prêts à les héberger », révèle le média français.
Et d’ajouter : « de nombreux hôteliers ne souhaitent, en effet, plus accueillir ces publics précaires, car ils attendent un afflux de clientèle lors de ces deux événements sportifs, observait au début de mai à l’Assemblée nationale le ministre du logement, Olivier Klein. Près de 5 000 chambres ont ainsi été perdues pour l’hébergement d’urgence, précisait de son côté la députée (Modem) Maud Gatel ».
Ainsi, face au refus des hôtels d’accueillir ces publics précaires, l’Etat, d’après Le Monde, a sommé les préfets de s’en charger. « Depuis la mi-mars, l’exécutif a donc demandé aux préfets de créer des ‘sas d’accueil temporaires régionaux’ dans toutes les régions, à l’exception des Hauts-de-France et de la Corse, afin de ‘désengorger les centres d’hébergement’ d’Ile-de-France. Les personnes invitées à partir sont censées être prises en charge pendant trois semaines dans ces ‘sas’ avant d’être ‘orientées’, dans leur nouvelle région, ‘vers le type d’hébergement correspondant à leur situation' », explique la source.
Mais, quels sont les publics concernés? A cette question, Le Monde apporte des réponses : « le dispositif concerne surtout des migrants, très nombreux en Ile-de-France à vivre dans la rue ou en hébergement d’urgence. Toutefois il ne les vise pas spécifiquement, en vertu du ‘principe de l’accueil inconditionnel’, a précisé à l’Agence France-Presse le cabinet du ministre du logement ». "