Citation de valentin14vanves
326 000 américains morts de la covid, des millions de chômeurs, des files d’attente ax banques alimentaires sur des kilomètres 40 millions de personnes menacées d’expulsion . Bon travail !
Et pendant ce temps là ! Des élus républicains et démocrates s'offusquent :
«"Pourri jusqu'à la moelle", a fustigé le sénateur républicain Ben Sasse."
"Trump vient de gracier une autre bande de criminels de son gang" » , a dénoncé l'élu démocrate du Texas Lloyd ...
Le président américain profite de ses derniers jours à la Maison Blanche pour libérer ses proches. »
« Etats-Unis : Donald Trump offre à ses alliés de nouvelles grâces controversées
Ces gestes présidentiels ont provoqué l'indignation jusque dans son propre camp. [/u]
franceinfo avec AFP France Télévisions
Publié le 24/12/2020 11:05 Mis à jour le 24/12/2020 11:05
Après avoir gracié quatre ex-agents de la sulfureuse société de sécurité privée Blackwater, Donald Trump a accordé la grâce à près de trente personnes, dont des personnalités mises en cause dans l’enquête russe.
Des personnalités mises en cause dans l’enquête russe, le père de son gendre Jared Kushner… Donald Trump a accordé mercredi 23 décembre une nouvelle salve de grâces présidentielles controversées, qui ont provoqué l’indignation jusque dans son propre camp.
La Maison Blanche a dévoilé dans la soirée une liste de près de trente grâces et autres mesures de clémence.
Parmi les bénéficiaires figurent Paul Manafort, ex - directeur de campagne de Donald Trump en 2016 et son ancien conseiller Roger Stone : deux personnalités mises en cause dans l’enquête sur l’ingérence russe dans la présidentielle américaine, lors de laquelle Trump avait été élu.
« Les mots sont insuffisants pour exprimer toute notre reconnaissance », a salué Paul Manafort sur Twitter
Ce dernier purgeait une peine de sept ans et demi de prison pour diverses fraudes débusquées dans le cadre de l’enquête du procureur Mueller, deux années d’investigation sur une possible collusion entre la Russie et l’équipe Trump. Il avait été placé en résidence surveillée en mai en raison de l’épidémie de coronavirus. »[/b]
«Une décision vivement critiquée »
«Mais Donald Trump a aussitôt été accusé de recourir - une fois de plus - de façon abusive au droit de grâce : fin novembre, il avait déjà gracié Michael Flynn, son ancien conseiller à la sécurité nationale, également mis en cause dans la même affaire russe.
« Pourri jusqu’à la moelle », a fustigé le sénateur Ben Sasse, un républicain.
« Trump vient de gracier une autre bande de criminels de son gang », a dénoncé l’élu démocrate du Texas Lloyd Doggett sur Twitter.
Le père de Jared Kushner, son jeune gendre et conseiller, figure aussi dans la liste publiée mercredi par l’exécutif américain. Charles Kushner avait été condamné en 2004 à deux ans de prison pour des malversations fiscales.
« Ce spectacle est toujours révoltant. Et c’est loin d’être fini ! », a critiqué David Axelrod, ancien conseiller de Barack Obama.
Donald Trump envisagerait également, selon la presse américaine, d’accorder une grâce préventive à ses enfants, à Jared Kushner et à son avocat personnel Rudy Giuliani, avant de quitter la Maison Blanche en janvier.
Le milliardaire aurait aussi évoqué l’éventualité de se gracier lui-même de crimes pour lesquels il pourrait être poursuivi en relation avec son mandat. En 2018, il avait affirmé avoir « le droit absolu » de prendre cette mesure, qui serait un précédent. »
Il est grand temps que ce guignol prenne ses cliques et ses claques !
C'était à se douter qu'il allait redoubler d'imbécillité jusqu'à la fin !
Chaque jour compte maintenant, mais malgré une désertion de plus en plus importante de son entourage, il n'en reste pas moins d'un très grand danger, ce qui est plutôt inquiétant ! Pratique de la terre brûlée et sabotage en règle, sans parler des conséquences du piratage informatique et des options envisagées pour arriver à obtenir la loi martiale !
Un article éloquent :
« Trump ou la stratégie du pire
À quelques semaines de la passation de pouvoir, le président continue à clamer qu'il a gagné les élections et agit de manière de moins en moins rationnelle.»
De notre correspondante à Washington,, Hélène Vissière
Modifié le 27/12/2020 à 14:54 - Publié le 27/12/2020 à 10:35 | Le Point.fr
« Donald Trump ressemble de plus en plus à un personnage de tragédie shakespearienne. Retranché dans son bunker, il refuse d'accepter sa défaite et concocte toutes sortes de scénarios pour garder le pouvoir.
Même ses plus fidèles conseillers se répandent anonymement dans les médias pour dire qu'il agit de manière de plus en plus irrationnelle et qu'ils ont peur que d'ici le 20 janvier à midi, date de la passation de pouvoir, il ne prenne des décisions dangereuses. »
« Depuis le scrutin, Donald Trump est resté presque totalement cloîtré dans la Maison-Blanche à dénoncer le résultat des élections. « On a gagné ce scrutin par un raz-de-marée », martèle-t-il.
« La fraude électorale n'est pas une théorie complotiste, c'est un fait ! ! ! » ajoute-t-il. Il passe ses journées devant la télé, à tweeter et à téléphoner à tous ses alliés pour qu'ils le défendent.
Il s'est entouré d'un petit groupe de loyalistes, tous plus déjantés les uns que les autres, l'ex-maire de New York Rudy Giuliani, Michael Flynn, son ex- conseiller à la sécurité nationale qu'il a gracié, son ex- stratège de campagne Steve Bannon, lui aussi aux prises avec la justice, et l'inénarrable Sidney Powell, une avocate qui accuse les Clinton, la Chine et même Hugo Chavez, le dictateur vénézuélien, de s'être alliés pour truquer les élections. Ils lui farcissent la tête d'idées délirantes : imposer la loi martiale, faire saisir les machines de vote électronique pour les examiner, envoyer l'armée pour refaire un scrutin dans les États clés qui ont voté pour Biden… Leur plus grand espoir, c'est qu'un groupe d'élus conservateurs à la Chambre se mobilise le 6 janvier – lorsque le Congrès se réunit pour compter formellement les voix du Collège électoral – et conteste les résultats. Il y a très peu de chances qu'ils arrivent à leurs fins.
En revanche, il risque d'y avoir de la violence dans les rues de Washington où les pro-Trump appellent à se rassembler. »
Citation de valentin14vanves
Chaque jour compte maintenant, mais malgré une désertion de plus en plus importante de son entourage, il n'en reste pas moins d'un très grand danger, ce qui est plutôt inquiétant ! Pratique de la terre brûlée et sabotage en règle, sans parler des conséquences du piratage informatique et des options envisagées pour arriver à obtenir la loi martiale !
Un article éloquent :
« Trump ou la stratégie du pire
À quelques semaines de la passation de pouvoir, le président continue à clamer qu'il a gagné les élections et agit de manière de moins en moins rationnelle.»
De notre correspondante à Washington,, Hélène Vissière
Modifié le 27/12/2020 à 14:54 - Publié le 27/12/2020 à 10:35 | Le Point.fr
« Donald Trump ressemble de plus en plus à un personnage de tragédie shakespearienne. Retranché dans son bunker, il refuse d'accepter sa défaite et concocte toutes sortes de scénarios pour garder le pouvoir.
Même ses plus fidèles conseillers se répandent anonymement dans les médias pour dire qu'il agit de manière de plus en plus irrationnelle et qu'ils ont peur que d'ici le 20 janvier à midi, date de la passation de pouvoir, il ne prenne des décisions dangereuses. »
« Depuis le scrutin, Donald Trump est resté presque totalement cloîtré dans la Maison-Blanche à dénoncer le résultat des élections. « On a gagné ce scrutin par un raz-de-marée », martèle-t-il.
« La fraude électorale n'est pas une théorie complotiste, c'est un fait ! ! ! » ajoute-t-il. Il passe ses journées devant la télé, à tweeter et à téléphoner à tous ses alliés pour qu'ils le défendent.
Il s'est entouré d'un petit groupe de loyalistes, tous plus déjantés les uns que les autres, l'ex-maire de New York Rudy Giuliani, Michael Flynn, son ex- conseiller à la sécurité nationale qu'il a gracié, son ex- stratège de campagne Steve Bannon, lui aussi aux prises avec la justice, et l'inénarrable Sidney Powell, une avocate qui accuse les Clinton, la Chine et même Hugo Chavez, le dictateur vénézuélien, de s'être alliés pour truquer les élections. Ils lui farcissent la tête d'idées délirantes : imposer la loi martiale, faire saisir les machines de vote électronique pour les examiner, envoyer l'armée pour refaire un scrutin dans les États clés qui ont voté pour Biden… Leur plus grand espoir, c'est qu'un groupe d'élus conservateurs à la Chambre se mobilise le 6 janvier – lorsque le Congrès se réunit pour compter formellement les voix du Collège électoral – et conteste les résultats. Il y a très peu de chances qu'ils arrivent à leurs fins.
En revanche, il risque d'y avoir de la violence dans les rues de Washington où les pro-Trump appellent à se rassembler. »
Citation de iseult
Et, m'est avis qu'une fois quitté la Maison Blanche, on en entendra encore parler !
Bonsoir,
Hum, on verra !
De la rébellion dans les rangs des républicains ? Le président sortant de plus en plus isolé ?
La question mérite d'être posée !
« Donald Trump humilié par sa majorité, son veto rejeté par le Congrès
Le Parlement américain a choisi, contre l'avis présidentiel, de soutenir (et très largement) le budget de la Défense. »
« Le Congrès balaie le veto de Donald Trump sur le budget de la défense Les élus républicains ont, avec les démocrates, désavoué de manière retentissante le président sortant, qui continue de contester sa défaite face à Joe Biden, moins de trois semaines avant de lui céder la Maison-Blanche. »
Par Corine Lesnes(San Francisco, correspondante)
Publié aujourd’hui à 06h44, mis à jour à 10h56
Temps de Lecture 6 min.
« « Rendez-vous le 6 janvier à Washington ! » Donald Trump a démarré l’année 2021 par un échec majeur, infligé par les républicains du Sénat, qui se sont joints aux démocrates, vendredi 1er janvier, pour renverser le veto qu’il avait opposé, le 22 décembre 2020, au budget de la défense.
Le président américain n’en a pas pour autant changé de stratégie : à dix-neuf jours de la passation des pouvoirs, il continue à encourager ses partisans à contester le résultat de l’élection du 3 novembre. « Le GRAND rassemblement de protestation à Washington aura lieu le 6 janvier, à 11 heures », a-t-il tweeté (et retweeté) depuis sa résidence de Mar-a-Lago (Floride), peu après le vote au Sénat. « Arrêtez le vol ! »
Moins de trois semaines avant son départ de la Maison Blanche, les républicains ont finalement tenu tête au 45e président des Etats-Unis. C’était le neuvième veto de son mandat, mais c’est la première fois que le Congrès réunissait la majorité requise pour passer outre : deux tiers des votes.
La loi (National Defense Authorization Act), qui répartit 740 milliards de dollars (605 milliards d’euros) de dépenses militaires, a été adoptée (81 voix contre 13) par les sénateurs, exceptionnellement réunis un 1er janvier (six n’ont pas pris part au vote). La Chambre des représentants avait déjà voté dans le même sens le 28 décembre ; 109 républicains s’étaient alors joints aux 212 démocrates partisans de contourner le veto. »
Un excellent article récapitulatif de Ouest France sur les actes désespérés de Trump, celui du mauvais loser !
« Donald Trump : ses derniers jours à la Maison-Blanche font froid dans le dos
Contestations persistantes des résultats de l’élection présidentielle, veto répétés contre des lois cruciales, reprise des exécutions fédérales, bruits de bottes en Iran… Les derniers jours du président américain à la Maison Blanche sont à hauts risques. À ce rythme, le 20 janvier, date de la prestation de serment de Joe Biden, semble dangereusement loin.»
Ouest-France Alexandra TURCAT. Publié le 03/01/2021 à 10h00
Curieux ce silence des trumpettes et trumpistes qui nous donnent des leçons de démocratie à propos des mesures, actions, tentatives désespérées de renverser l'élection en sa faveur versus la présidence française !
Le silence est d'or !
« Présidentielle américaine : on vous explique comment Donald Trump a tenté de faire modifier le résultat en Géorgie en un coup de fil
"Tout ce que je veux, c'est trouver 11 780 votes", a demandé le président sortant au secrétaire d'Etat de Géorgie, Brad Raffensperger, dans un enregistrement dévoilé lundi par le "Washington Post".»
franceinfo avec AFP et Reuters
France Télévisions
Publié le 04/01/2021 16:17 Mis à jour le 04/01/2021 16:17
Un moment crucial pour la démocratie américaine que de savoir si Joe Binden aura les moyens de faire passer son programme dans les meilleures conditions possibles pendant la première partie de son mandat !
Un petit rappel, au Sénat, les républicains ont actuellement 2 sièges d’avance avant le vote pour deux sièges du dernier Etat, la Georgie.
Pour que Joe Binden puisse s’assurer d’une majorité au Sénat, il doit impérativement gagner les 2 derniers sièges de la Géorgie, ce qui permettra en cas de vote égalitaire de bénéficier d’une dernière voix, celle de la vice-présidente Kamala Harris qui départagera dans ce cas le vote d’une loi au sénat ou l’approbation les nominations de la nouvelle présidence Biden, à savoir les ministres, les ambassadeurs, les juges et la Cour suprême.
Dans le cas contraire, en cas de majorité républicaine au Sénat, la tâche du Président sera beaucoup plus compliquée pour appliquer son programme et la nomination des nouveaux ministres ainsi que les autres représentants, cités ci-avant, des Etats-Unis.
Pour ceux qui veulent suivre les estimations et résultats presque en temps réel, les bureaux de votes fermant dans 3h30, c'est ici :