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Citation de "savinienjjb"Karaté-gi, judo-gi, kenpo-gi, pour ma part, je suis passé au no-gi depuis quelques années. N'étant pas japonais, ne vivant pas au Japon ni à l'époque à laquelle ces arts martiaux dits traditionnels ont été structuré, il me semble difficile de m'imprégner pleinement de leurs philosophies et nuances. Dès lors après m'être essayé à plusieurs style "traditionnels" japonais, je me suis mis à diverses boxes pieds poings puis j'ai découvert le grappling et le jujitsu brésilien dont la mentalité correspond plus aux occidentaux. alors tu as raison pour les noms des vêtements d 'entrainements il est vrai que j ai donné que le nom keikogi pour pas trop rentrer dans le détail par contre je pense que si tu avais eu un sensei qui connais un minimum les us coutumes de son art martial tu aurais peut être eu une autre approche car avant d être des sports ceux sont des arts martiaux ayant des valeurs morales que l on oubli souvent !!!
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fack (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "soldadufeu"coucou je suis prof 2 eme dan si vous avez dzs questions bisous prof de quoi claquette non
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J'ai eu plusieurs professeurs dans plusieurs disciplines. Seul un d'entre eux semblait bercer de philosophie orientale en plus de martiale. Ce dernier point reste difficile à bien aborder quand on vit dans une société "pacifiste" et que l'on ne connait pas le champs de bataille comme l'ont connu les samouraï. Le Bushido est un très bon écrit, de même que le Gorin no sho, ils sont de bons guides spirituels et même pratiques mais ils ne seront jamais lus ni compris de la même façon par un homme qui a connu la guerre que par un homme qui ne connait que l’affrontement sportif. Il est donc plus simple (et moins dangereux^^) de se tourner vers l'aspect sport que vers l'aspect martial.
Modifié il y a 8 ans, le mardi 24 novembre 2015 à 19:03
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fack (clôturé)
il y a 8 ans
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Citation de "savinienjjb"J'ai eu plusieurs professeurs dans plusieurs disciplines. Seul un d'entre eux semblait bercer de philosophie orientale en plus de martiale. Ce dernier point reste difficile à bien aborder quand on vit dans une société "pacifiste" et que l'on ne connait pas le champs de bataille comme l'ont connu les samouraï. Le Bushido est un très bon écrit, de même que le Gorin no sho, ils sont de bons guides spirituels et même pratique mais ils ne seront jamais lus ni compris de la même façon par un homme qui a connu la guerre que par un homme qui ne connait que l’affrontement sportif. Il est donc plus simple (et moins dangereux^^) de se tourner vers l'aspect sport que vers l'aspect martial. ha je vais te donner un exemple tu as HAGAKURE comme livre il n enseigne pas que l art du combat il y a dedans des textes qui sont même d actualité de nos jours je te met un petit lien mais a mon avis tu dois connaitre ^_^ http://aikido64.free.fr/hagakure/hagakure.htm
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Citation de "fack" et oui le jedi est en faite un samourai car il utilise aussi un sabre et sa philosophie est très proche du bushi
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Citation de "afg"Citation de "savinienjjb"J'ai eu plusieurs professeurs dans plusieurs disciplines. Seul un d'entre eux semblait bercer de philosophie orientale en plus de martiale. Ce dernier point reste difficile à bien aborder quand on vit dans une société "pacifiste" et que l'on ne connait pas le champs de bataille comme l'ont connu les samouraï. Le Bushido est un très bon écrit, de même que le Gorin no sho, ils sont de bons guides spirituels et même pratique mais ils ne seront jamais lus ni compris de la même façon par un homme qui a connu la guerre que par un homme qui ne connait que l’affrontement sportif. Il est donc plus simple (et moins dangereux^^) de se tourner vers l'aspect sport que vers l'aspect martial. ha je vais te donner un exemple tu as HAGAKURE comme livre il n enseigne pas que l art du combat il y a dedans des textes qui sont même d actualité de nos jours je te met un petit lien mais a mon avis tu dois connaitre ^_^ http://aikido64.free.fr/hagakure/hagakure.htm Oui, c'est le livre dont il est lu des passages en voix off dans Ghost Dog
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Citation de "savinienjjb"Citation de "afg"Citation de "savinienjjb"J'ai eu plusieurs professeurs dans plusieurs disciplines. Seul un d'entre eux semblait bercer de philosophie orientale en plus de martiale. Ce dernier point reste difficile à bien aborder quand on vit dans une société "pacifiste" et que l'on ne connait pas le champs de bataille comme l'ont connu les samouraï. Le Bushido est un très bon écrit, de même que le Gorin no sho, ils sont de bons guides spirituels et même pratique mais ils ne seront jamais lus ni compris de la même façon par un homme qui a connu la guerre que par un homme qui ne connait que l’affrontement sportif. Il est donc plus simple (et moins dangereux^^) de se tourner vers l'aspect sport que vers l'aspect martial. ha je vais te donner un exemple tu as HAGAKURE comme livre il n enseigne pas que l art du combat il y a dedans des textes qui sont même d actualité de nos jours je te met un petit lien mais a mon avis tu dois connaitre ^_^ http://aikido64.free.fr/hagakure/hagakure.htm Oui, c'est le livre dont il est lu des passages en voix off dans Ghost Dog tout à fait ^_-
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Citation de "afg"Citation de "fack" et oui le jedi est en faite un samourai car il utilise aussi un sabre et sa philosophie est très proche du bushi Cette saga a le mérite de montrer le côté obscure de la chevalerie, c'est à dire la tentation d'abuser du pouvoir détenu jusqu'à en perdre le contrôle de soi même.
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Citation de "savinienjjb"J'ai eu plusieurs professeurs dans plusieurs disciplines. Seul un d'entre eux semblait bercer de philosophie orientale en plus de martiale. Ce dernier point reste difficile à bien aborder quand on vit dans une société "pacifiste" et que l'on ne connait pas le champs de bataille comme l'ont connu les samouraï. Le Bushido est un très bon écrit, de même que le Gorin no sho, ils sont de bons guides spirituels et même pratiques mais ils ne seront jamais lus ni compris de la même façon par un homme qui a connu la guerre que par un homme qui ne connait que l’affrontement sportif. Il est donc plus simple (et moins dangereux^^) de se tourner vers l'aspect sport que vers l'aspect martial. Un petit extrait tiré des pages du site nihon-zen, rappelant pourquoi nous faisons des arts martiaux: "Autant que des techniques de combat les arts martiaux sont des moyens de se réaliser, d'atteindre la maîtrise et la connaissance de soi. La démarche spirituelle, voire religieuse, fait partie intégrante des arts martiaux. Les grands maîtres ont toujours enseigné que l'important n'est pas de se battre, que l'art de la guerre doit être celui de la paix et que, en définitive, il faut gagner sans se battre. C'est l'harmonie qui triomphe du désordre. Un maître du sabre ne tue pas son ennemi : c'est celui-ci, par manque de sagesse, qui vient se détruire sur le sabre. En quelque sorte, les arts martiaux relèveraient de la dissuasion vis-à-vis des autres, ils constitueraient une méthode pour vaincre l'adversaire (parfois en profitant de ses faiblesses) et seraient surtout une voie pour atteindre l'ultime état de la sagesse." Le meilleur des sabres est celui qui reste dans son fourreau...
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fack (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "savinienjjb"Citation de "afg"Citation de "fack" et oui le jedi est en faite un samourai car il utilise aussi un sabre et sa philosophie est très proche du bushi Cette saga a le mérite de montrer le côté obscure de la chevalerie, c'est à dire la tentation d'abuser du pouvoir détenu jusqu'à en perdre le contrôle de soi même. beaucoup ne le comprenne pas
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Citation de "fack"Citation de "savinienjjb"Citation de "afg"Citation de "fack" et oui le jedi est en faite un samourai car il utilise aussi un sabre et sa philosophie est très proche du bushi Cette saga a le mérite de montrer le côté obscure de la chevalerie, c'est à dire la tentation d'abuser du pouvoir détenu jusqu'à en perdre le contrôle de soi même. beaucoup ne le comprenne pas A l'image du mysticisme qui entoure le folklore des arts martiaux, dans cette saga, les effets spéciaux et les scènes d'action des films qui la composent attirent le spectateur vers la forme et non vers le fond.
Modifié il y a 8 ans, le mardi 24 novembre 2015 à 19:23
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Citation de "afg"Citation de "savinienjjb"J'ai eu plusieurs professeurs dans plusieurs disciplines. Seul un d'entre eux semblait bercer de philosophie orientale en plus de martiale. Ce dernier point reste difficile à bien aborder quand on vit dans une société "pacifiste" et que l'on ne connait pas le champs de bataille comme l'ont connu les samouraï. Le Bushido est un très bon écrit, de même que le Gorin no sho, ils sont de bons guides spirituels et même pratiques mais ils ne seront jamais lus ni compris de la même façon par un homme qui a connu la guerre que par un homme qui ne connait que l’affrontement sportif. Il est donc plus simple (et moins dangereux^^) de se tourner vers l'aspect sport que vers l'aspect martial. Un petit extrait tiré des pages du site nihon-zen, rappelant pourquoi nous faisons des arts martiaux: "Autant que des techniques de combat les arts martiaux sont des moyens de se réaliser, d'atteindre la maîtrise et la connaissance de soi. La démarche spirituelle, voire religieuse, fait partie intégrante des arts martiaux. Les grands maîtres ont toujours enseigné que l'important n'est pas de se battre, que l'art de la guerre doit être celui de la paix et que, en définitive, il faut gagner sans se battre. C'est l'harmonie qui triomphe du désordre. Un maître du sabre ne tue pas son ennemi : c'est celui-ci, par manque de sagesse, qui vient se détruire sur le sabre. En quelque sorte, les arts martiaux relèveraient de la dissuasion vis-à-vis des autres, ils constitueraient une méthode pour vaincre l'adversaire (parfois en profitant de ses faiblesses) et seraient surtout une voie pour atteindre l'ultime état de la sagesse." Le meilleur des sabres est celui qui reste dans son fourreau... Ceci est vrai dès lors que l'on parle du DO, de la voie à laquelle on a le temps de se consacrer en temps de paix, mais avant le Do existe le jitsu, l'aspect purement technique, celui que l'on travaille encore et encore en tout temps et avant lui le Geï, le style brute du champs de bataille, édulcoré, empirique et sans déontologie autre que celle dictée par la nécessité de rester debout quand l'ennemi lui, tombe. Bugeï, Bu Jistsu et Budo. Trois déclinaisons.
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Citation de "savinienjjb"Citation de "afg"Citation de "savinienjjb"J'ai eu plusieurs professeurs dans plusieurs disciplines. Seul un d'entre eux semblait bercer de philosophie orientale en plus de martiale. Ce dernier point reste difficile à bien aborder quand on vit dans une société "pacifiste" et que l'on ne connait pas le champs de bataille comme l'ont connu les samouraï. Le Bushido est un très bon écrit, de même que le Gorin no sho, ils sont de bons guides spirituels et même pratiques mais ils ne seront jamais lus ni compris de la même façon par un homme qui a connu la guerre que par un homme qui ne connait que l’affrontement sportif. Il est donc plus simple (et moins dangereux^^) de se tourner vers l'aspect sport que vers l'aspect martial. Un petit extrait tiré des pages du site nihon-zen, rappelant pourquoi nous faisons des arts martiaux: "Autant que des techniques de combat les arts martiaux sont des moyens de se réaliser, d'atteindre la maîtrise et la connaissance de soi. La démarche spirituelle, voire religieuse, fait partie intégrante des arts martiaux. Les grands maîtres ont toujours enseigné que l'important n'est pas de se battre, que l'art de la guerre doit être celui de la paix et que, en définitive, il faut gagner sans se battre. C'est l'harmonie qui triomphe du désordre. Un maître du sabre ne tue pas son ennemi : c'est celui-ci, par manque de sagesse, qui vient se détruire sur le sabre. En quelque sorte, les arts martiaux relèveraient de la dissuasion vis-à-vis des autres, ils constitueraient une méthode pour vaincre l'adversaire (parfois en profitant de ses faiblesses) et seraient surtout une voie pour atteindre l'ultime état de la sagesse." Le meilleur des sabres est celui qui reste dans son fourreau... Ceci est vrai dès lors que l'on parle du DO, de la voie à laquelle on a le temps de se consacrer en temps de paix, mais avant le Do existe le jitsu, l'aspect purement technique, celui que l'on travaille encore et encore en tout temps et avant lui le Geï, le style brute du champs de bataille, édulcoré, empirique et sans déontologie autre que celle dictée par la nécessité de rester debout quand l'ennemi lui, tombe. Bugeï, Bu Jistsu et Budo. Trois déclinaisons. Le bushidô, dans son application, il mettait l'accent sur l'attitude mentale à avoir au combat et dans la vie, il est vrai qu'à certaines périodes le combat et la vie se confondaient aisément, autant que sur les qualités morales indispensables dans les relations entre les hommes
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Citation de "afg"Citation de "savinienjjb"Citation de "afg"Citation de "savinienjjb"J'ai eu plusieurs professeurs dans plusieurs disciplines. Seul un d'entre eux semblait bercer de philosophie orientale en plus de martiale. Ce dernier point reste difficile à bien aborder quand on vit dans une société "pacifiste" et que l'on ne connait pas le champs de bataille comme l'ont connu les samouraï. Le Bushido est un très bon écrit, de même que le Gorin no sho, ils sont de bons guides spirituels et même pratiques mais ils ne seront jamais lus ni compris de la même façon par un homme qui a connu la guerre que par un homme qui ne connait que l’affrontement sportif. Il est donc plus simple (et moins dangereux^^) de se tourner vers l'aspect sport que vers l'aspect martial. Un petit extrait tiré des pages du site nihon-zen, rappelant pourquoi nous faisons des arts martiaux: "Autant que des techniques de combat les arts martiaux sont des moyens de se réaliser, d'atteindre la maîtrise et la connaissance de soi. La démarche spirituelle, voire religieuse, fait partie intégrante des arts martiaux. Les grands maîtres ont toujours enseigné que l'important n'est pas de se battre, que l'art de la guerre doit être celui de la paix et que, en définitive, il faut gagner sans se battre. C'est l'harmonie qui triomphe du désordre. Un maître du sabre ne tue pas son ennemi : c'est celui-ci, par manque de sagesse, qui vient se détruire sur le sabre. En quelque sorte, les arts martiaux relèveraient de la dissuasion vis-à-vis des autres, ils constitueraient une méthode pour vaincre l'adversaire (parfois en profitant de ses faiblesses) et seraient surtout une voie pour atteindre l'ultime état de la sagesse." Le meilleur des sabres est celui qui reste dans son fourreau... Ceci est vrai dès lors que l'on parle du DO, de la voie à laquelle on a le temps de se consacrer en temps de paix, mais avant le Do existe le jitsu, l'aspect purement technique, celui que l'on travaille encore et encore en tout temps et avant lui le Geï, le style brute du champs de bataille, édulcoré, empirique et sans déontologie autre que celle dictée par la nécessité de rester debout quand l'ennemi lui, tombe. Bugeï, Bu Jistsu et Budo. Trois déclinaisons. Le bushidô, dans son application, il mettait l'accent sur l'attitude mentale à avoir au combat et dans la vie, il est vrai qu'à certaines périodes le combat et la vie se confondaient aisément, autant que sur les qualités morales indispensables dans les relations entre les hommes On devrait s'inspirer aujourd'hui de ces temps révolus.
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