" La Réalité que l'on ne vous montre pas sur l'Ukraine ! "
VIDÉO
" On me signale une forte censure de la journaliste Anne-Laure Blondel qui est depuis des années sur le terrain en Ukraine. Et elle nous montre une réalité à l'o.pposé de ce que les gouvernements et les médias occidentaux, racontent. Pour la protéger, son documentaire doit être vu et partagé par le plus grand nombre. "
" La Russie crache le morceau : « l’Europe est dominée par les USA qui veulent sa mort et son effondrement est proche » "
4 août 2023
" L’Europe est-elle la grande perdante dans cette guerre qui oppose la Russie à l’Ukraine? En tout cas, si en Europe, on refuse de valider cette hypothèse, en Russie, la question ne se pose pas. Pour Moscou, dans ce conflit qui oppose les deux voisins de l’Est, la plus grande perdante est le vieux continent.
Cette analyse avait été faite, il y a un an, par Serguei Lavrov, actuel ministre russe des Affaires étrangères. Un an plus tard, elle vient d’être validée par Nikolay Patrushev, secrétaire russe au Conseil de Sécurité dans une interview accordée au Rossiyskaya Gazeta et relayée par l’agence de presse, Tass.
En effet, parlant de l’avenir de l’Europe, Nikolay Patrushev ne mâche pas ses mots et dit les choses en des termes crus. « L’effondrement de l’Union Européenne n’est pas loin. Les Européens ne toléreront pas la super-structure supranationale qui, non seulement, a du mal à se justifier, mais pousse le Vieux Continent vers une guerre ouverte contre notre pays. Les Etats-Unis sont prêts à combattre la Russie non seulement jusqu’au dernier Ukrainien, mais aussi jusqu’au dernier Européen », confie-t-il.
Pour le stratège russe, ce sont les Américains qui souhaiteraient cet effondrement de l’Europe. Et pour cela, Nikolay Patrushev n’hésite pas à recourir à l’Histoire. Ainsi, à en croire le secrétaire russe au Conseil de Sécurité, durant la Guerre Froide, les Etats-Unis étaient prêts à transformer l’Europe en un désert radioactif face au moindre danger en provenance de la Russie. Et pour lui, les Américains poursuivent toujours ce même objectif. « Il est très peu probable qu’il y a des changements dans le logiciel américain », déplore-t-il.
Mais, alors, pourquoi les Américains auraient-ils intérêt à voir l’Europe s’effondrer comme un chateau de cartes? A cette question, Nikolay Patrushev fournit des réponses. Pour le stratège russe, les Américains ont pour but d’ « éliminer un concurrent économique (l’Europe) et ne pas la laisser prospérer aux dépens d’une coopération avec la Russie ».
« Les Américains se sont donnés beaucoup de peine à s’assurer que le Vieux Continent est déchu de son statut de puissance économique. D’ailleurs, c’est en grande partie pour cette raison que les Etats-Unis ressassent continuellement des sanctions anti-Russes », dit-il. Nikolay Patrushev n’a pas manqué de souligner un autre facteur qui fragilise l’Europe : l’immigration.
Sur ce sujet, la position du stratège russe est sans ambages. Pour lui, l’Europe fait face à une impasse migratoire marquée par l’arrivée de populations étrangères qui, non seulement, ne veulent pas s’intégrer mais « fabriquent leurs propres coutumes, obligeant les autorités et populations locales à accepter leurs lois (les lois des étrangers) ».
Sur les intentions américaines à l’égard de l’Europe, le secrétaire russe auprès du Conseil de Sécurité fait des graves révélations. « Ces dernières années, les commanditaires des attaques terroristes de grande envergure à Londres, Bruxelles et Paris étaient des citoyens européens en provenance des enclaves nationales (banlieue) qui existaient déjà en Europe. Si nous nous souvenons du fait que l’Etat Islamique et d’autres organisations terroristes ont été créées, à leur époque, par les Etats-Unis et que les terroristes en Syrie et en Irak ont été formés par la CIA, alors il est possible que ces mêmes personnes soient derrière les préparations des attentats terroristes en Europe. Leur objectif, c’est de déstabiliser la situation sur le continent car les Etats-Unis s’en fichent royalement de leur avenir (de l’avenir de l’Europe) », explique-t-il.
Dans l’interview a accordée au média russe, Nikolay Patrushev prévient que la Russie ne capitulera pas. « Les Etats-Unis dominent l’Europe, ignorant le fait que le rôle majeur dans le continent revient historiquement à la Russie. Au 19ème siècle, ce fut l’Empire russe. Au 20ème siècle, l’Union Soviétique et ce sera ainsi au 21ème siècle », avertit le proche de Poutine. "
" Pologne : Les combattants de Wagner en Biélorussie tentent de « déstabiliser » l’OTAN "
Publié 6 août 2023
" Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a affirmé jeudi que des combattants Wagner avaient été déployés en Biélorussie dans le but de « déstabiliser » les pays limitrophes de l’OTAN, que l’alliance désigne comme son flanc oriental.
Morawiecki a qualifié la force mercenaire russe d' »extrêmement dangereuse » et a déclaré qu’elle avait été « redéployée sur le flanc oriental de l’OTAN pour le déstabiliser ». Il a estimé qu’il pourrait y avoir plus de 4 000 membres de Wagner en Biélorussie.
Morawiecki a tenu ces propos avec le président lituanien Gitanas Naused lors d’une réunion à la trouée de Suwałki, une bande de terre à la frontière polono-lituanienne qui s’étend de la Biélorussie à l’enclave russe de Kaliningrad. "
" La crise du suicide au sein de l’armée américaine "
Publié 13 août 2023
" Près de la moitié des militaires américains ont envisagé de se suicider depuis qu’ils ont rejoint les forces armées, selon le rapport Members 2022 de l’association américaine des vétérans de l’Irak et de l’Afghanistan (IAVA).
Il s’agit d’une augmentation considérable par rapport aux 9 % qui ont déclaré avoir pensé à mettre fin à leurs jours avant de s’inscrire.
Le graphique suivant, réalisé par Anna Fleck de Statista, montre que les États-Unis sont confrontés à une crise du suicide qui ne semble pas vouloir s’atténuer. Au contraire, la situation s’est aggravée, les données de 2014 faisant état d’un taux légèrement inférieur de 31 % de vétérans ayant eu des pensées suicidaires.
Selon un rapport publié en 2021 par Thomas Howard Suitt de l’université de ton, les taux de suicide parmi le personnel militaire actif et les vétérans des guerres postérieures au 11 septembre 2001 ont augmenté ces dernières années. Si la tendance est la même pour le grand public, elle est encore plus rapide dans la sphère des militaires et des vétérans.
Pour replacer les choses dans leur contexte, on estime actuellement à 30 177 le nombre de suicides parmi le personnel en service actif et les vétérans des guerres postérieures au 11 septembre 2001 – un chiffre élevé, surtout si l’on considère que 7 057 membres des forces armées américaines ont été tués au cours d&rsquoérations de guerre pendant cette période.
Les raisons attribuées au taux de suicide plus élevé chez les militaires et les vétérans sont notamment l’exposition importante aux traumatismes, au stress, à la culture militaire et à l’entraînement.
Toutefois, des facteurs tels que l’augmentation des engins explosifs improvisés (EEI) et les progrès des traitements médicaux qui permettent aux militaires de rester plus longtemps dans l’armée sont également cités. Suitt conclut que ces taux de suicide élevés témoignent de « l’incapacité du gouvernement et de la société américains à gérer les coûts de nos conflits actuels en termes de santé mentale ». "
" Discours de la Présidente de la banque BRICS (NDB), Dilma Rousseff : « L’expansion des BRICS est une force qu’il est impossible d’ignorer. »
ÉCONOMIE29 AOÛT 2023
La Présidente de la NDB, Mme Dilma Rousseff, partage sa vision et son engagement envers le développement stratégique de l'Afrique lors du Dialogue BRICS-Afrique. Les BRICS et la NDB jouent un rôle central dans la transformation économique et l'inclusion financière, avec un accent sur la coopération mutuellement bénéfique et l'expansion des projets interrégionaux. "
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" Allocution de Dilma Rousseff, Présidente de la Banque BRICS (NDB) :
Mesdames et Messieurs,
Les BRICS ainsi que la Banque New Development Bank (NDB) jouent un rôle essentiel dans mon parcours. Pendant mon mandat en tant que président du Brésil, j’ai eu le privilège d’accueillir le sommet de Fortaleza en 2014, où les dirigeants des BRICS ont concrétisé notre institution. Aujourd’hui, en tant que président de la NDB, j’ai la possibilité de donner vie à la vision portée par les pays fondateurs en concrétisant cette vision à travers des actions tangibles pour les BRICS.
Aujourd’hui, j’aimerais discuter de l’importance stratégique du développement de l’Afrique pour le Sud. L’Afrique, continent marqué par les séquelles du colonialisme, de l’exploitation intense et de l’esclavage honteux, est notre terre d’origine. Le 21e siècle offre une opportunité unique de la guérir une fois pour toutes.
C’est pourquoi, en tant que président de la NDB, je suis ravi de m’exprimer dans le cadre du DIALOGUE BRICS-AFRIQUE ET BRICS PLUS.
Le monde traverse actuellement une période extrêmement complexe. Nous sommes confrontés à une crise aux multiples facettes. Une crise climatique grave, des inégalités croissantes, une croissance économique modeste, un protectionnisme qui perturbe les chaînes d’approvisionnement mondiales, ainsi que des conflits géolitiques diversifiés, sans oublier les sanctions et la fragmentation géolitique, contribuent à cette situation.
L’insécurité et l’instabilité sont devenues la règle plutôt que l’exception, créant d’énormes difficultés, mais aussi des opportunités de croissance et de développement dans les pays du Sud si nous savons comment faire face à ces défis.
Dans cette situation, l’importance des BRICS devient encore plus évidente, offrant une opportunité de transformer cette situation. En tant que groupe, nous représentons ensemble plus de 46 % de la population mondiale et environ 35 % du PIB global actuel. En utilisant la parité de pouvoir d’achat comme référence, l’ensemble des économies des BRICS est estimé être plus important que l’économie totale des pays du G7. L’expansion des BRICS crée une influence puissante au sein des nations du Sud, une force qu’il est impossible d’ignorer.
Dans cette optique, les relations économiques, sociales et culturelles entre les BRICS et le continent africain sont profondément ancrées dans l’histoire. L’Afrique, qui représente le berceau de l’humanité, joue un rôle essentiel dans la recherche de solutions pour notre avenir.
Alors que les BRICS se forment et que l’Afrique occupe une position de plus en plus prééminente en tant qu’acteur mondial, de nouvelles opportunités de développement en Afrique et à l’échelle mondiale s’ouvrent à nous.
Les BRICS et les nations africaines partagent une vision commune d’une communauté mondiale dynamique, inclusive et durable. Les efforts légitimes des pays africains pour valoriser leurs ressources contribueront à la prospérité nécessaire pour tous.
Une refonte urgente de l’architecture financière est indispensable afin de mobiliser les ressources essentielles au développement des infrastructures physiques et numériques, à l’avancement de l’éducation et au soutien de l’entrepreneuriat. La Banque New Development Bank (NDB), également connue sous le nom de banque BRICS, représente un élément clé de cette solution. Dans cette entreprise, le groupe BRICS revêt un rôle stratégique qui peut renforcer les effets positifs déjà obtenus.
Ces dernières années, les BRICS ont notablement intensifié leur engagement économique en Afrique. En 2010, la part des BRICS dans les investissements directs étrangers (IDE) sur le continent africain représentait 4,9 % du total mondial. En 2021, cette part a grimpé à 8,8 %, et les perspectives d’augmentation sont prometteuses.
Concernant le commerce international, de 2010 à 2022, les échanges de biens entre les nations BRICS et l’Afrique ont progressé de 280 milliards à 473 milliards de dollars. Les BRICS se positionnent comme des partenaires commerciaux solides pour l’Afrique, avec encore beaucoup de potentiel pour avancer.
Cependant, il est essentiel de reconnaître que malgré ces réussites, des défis subsistent. L’un d’entre eux concerne l’expansion des mécanismes de financement, notamment en favorisant l’utilisation des monnaies locales et d’autres instruments financiers novateurs, pour établir un système financier nouveau, plus multilatéral et inclusif.
Un autre aspect crucial réside dans la promotion croissante de la réalisation de projets collaboratifs entre plusieurs nations, comme c’est le cas des initiatives d’infrastructures interrégionales.
En Afrique, par exemple, un potentiel hydroélectrique d’ampleur mondiale est encore inexploité, symbolisé par le barrage de Grand Inga. Ce projet a le pouvoir de fournir une énergie renouvelable, stable, fondamentale, sécurisée et économique. Sa capacité excède trois fois celle du barrage d’Itaipu au Brésil et est doublée par rapport au barrage des Trois Gorges en Chine. Le barrage de Grand Inga a la capacité de devenir une source d’énergie pour l’ensemble du continent africain.
De plus, il est essentiel que les nations du Sud cherchent à valoriser davantage leurs ressources et leurs atouts durables. L’heure est également venue de promouvoir une réindustrialisation caractérisée par de nouvelles dimensions.
Il est clair qu’il est impératif d’établir un nouveau modèle de financement pour soutenir ces projets renouvelables et efficaces à dimension internationale. Ce changement accélérera l’intégration régionale et approfondira les partenariats au sein des nations du Sud.
Les plateformes multilatérales telles que la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures, la Banque africaine de développement, la Banque islamique de développement et la NDB jouent un rôle stratégique pour parvenir à un rééquilibrage plus équitable et inclusif de l’ordre financier mondial.
La NDB se distingue en tant que première banque de développement créée par et pour les économies émergentes.
Les priorités de la NDB sont en phase avec l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Elle soutient des projets qui réduisent les disparités sociales et de genre, garantissant l’accès aux services de santé, à l’éducation et au logement. Elle vise à améliorer la qualité de vie des communautés marginalisées présentes en Asie, en Afrique et en Amérique latine.
Je tiens à réitérer mon immense honneur en tant que présidente de la Nouvelle Banque de Développement et mon privilège d’être présent en Afrique. Ensemble, nous œuvrons à réduire les inégalités, à créer des opportunités d’emploi et à stimuler la croissance économique dans nos pays membres.
La NDB a le potentiel de devenir un leader dans le financement de projets destinés à répondre aux défis les plus pressants auxquels sont confrontés les pays d’Afrique. Je suis convaincu qu’en unissant nos forces, nous pouvons réaliser cette vision et accomplir notre mission.
" Terrible nouvelle pour l’Europe : les achats de gaz russe ont augmenté de 40% et devraient atteindre 5,3 milliards en 2023 "
31 août 2023
" Une très mauvaise nouvelle pour l’Union Européenne. Un an et demi après le déclenchement de la guerre en Ukraine, l’Europe dépend plus que jamais du gaz russe alors qu’au tout début du conflit, les dirigeants basés à Bruxelles avaient promis d’y mettre fin.
C’est du moins ce que nous a appris, ce 30 août, Le Figaro qui cite les données du cabinet Kpler, relayés par l’ONG dédiée au développement durable Global Witness. En effet, à en croire cette source, les achats par l’UE du gaz naturel liquéfié (GNL) russe ont connu une hausse de 40% sur les 7 premiers mois de l’année.
« L’Union européenne est loin d’avoir mis fin à ses achats de gaz russe, contrairement à une idée répandue. Malgré l’invasion de l’Ukraine, l’Europe ne sanctionne pas le gaz en provenance de Moscou, tout en cherchant à se libérer de sa dépendance aux hydrocarbures russes. Le Kremlin a, de son côté, stoppé une partie de ses livraisons et les gazoducs Nord Stream ont été sabotés. Résultat: les livraisons de la Russie à l’UE par tubes ont fondu », rapporte la source.
Et d’ajouter : « mais les achats par l’UE de gaz naturel liquéfié (GNL) russe, transporté par bateau, ont, à l’inverse, bondi. Ils sont en hausse de 40 % sur les sept premiers mois de l’année, par rapport à la même période de 2021, soit avant l’invasion, indiquent les données du cabinet Kpler, relayés par l’ONG dédiée au développement durable Global Witness ».
Le journal va jusqu’à dévoiler les pays européens qui dépendent le plus de ce gaz russe. « La Belgique, dont le port de Zeebruges est un haut lieu du transbordement du GNL entre navires-citernes de l’Arctique et méthaniers ordinaires, ainsi que l’Espagne, sont devenus respectivement les deuxième et troisième acheteurs de GNL russe, derrière la Chine. L’UE réalise 16 % de ses achats de GNL auprès de Moscou, ce qui fait de la Russie son deuxième fournisseur de ce combustible liquide après les États-Unis. En résumé, la moitié des achats de gaz russe par l’UE pour l’année 2023 concernera du GNL (environ 42 millions de mètres cubes), calcule l’économiste spécialisé Thierry Bros », note le média français.
Mais, combien dépenseront les Européens en 2023 pour acheter du gaz russe? La réponse du Figaro risque de vous surprendre en raison du montant trop élevé. « Sur l’ensemble de l’année 2023, les achats de GNL russe par l’UE devraient atteindre 5,3 milliards d’euros », prédit le média français. "
" Les BRICS+ viennent de jouer un coup superbe! | Idriss Aberkane "
" L'entrée de l'Egypte, des Emirats, de l'Ethiopie, de l'Iran, de l'Arabie Saoudite et de l'Argentine dans les BRICS est un véritable coup de maître géolitique. D'une part elle consolide décisivement leur contrôle du Canal de Suez, du Détroit d'Ormuz et de Bab al Mandeb, d'autre part elle leur garantit plus de 51% des hydrocarbures mondiaux, ce qui confirmé définitivement l'élan de leur nouveau système monétaire.
Cette stratégie démontre aussi à quel point Washington aura été Machiavélique: tous les trous dans la nouvelle raquette des BRICS+ ne sont pas des états alliés aux USA, mais des états soit ruinés, soit détruits, soit faillis (Soudan, Somalie, Yemen, Syrie...) par les bons soins des interventions US, selon la bonne vieille doctrine "Rubbles cause no trouble", les gravats ne causent pas de tracas. "
" Historique : Le billet symbolique des BRICS dévoilé par l’ambassadeur de Russie en Afrique du Sud
Actualités internationales
7 Sep 2023
Pretoria, le mardi soir, a été le témoin d'un événement diplomatique historique alors que l'ambassade des Émirats Arabes Unis a été le lieu d'une cérémonie spéciale marquant l'acceptation de ce pays en tant que membre à part entière des BRICS. Lors de cet événement, l'ambassadeur russe en Afrique du Sud, Ilya Rogachev, a pris la parole, offrant un moment symbolique qui a captivé l'audience.
Selon IRNA, Au cours de son discours bref mais significatif, l’ambassadeur russe a dévoilé un billet de 100 BRICS, affirmant que celui-ci avait été imprimé en Russie. Il a ensuite remis ce billet à l’ambassadeur des Émirats Arabes Unis, scellant ainsi cette initiative symbolique et politique de la Russie.
Ce billet de 100 BRICS présente sur l’une de ses faces les drapeaux des cinq membres actuels du groupe – Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud – placés à l’intérieur d’un anneau, symbolisant l’unité et la diversité au sein de cette alliance. Chaque drapeau est accompagné du nom du pays, écrit dans l’une des langues officielles. Au-dessus du drapeau correspondant se trouve l’image d’un monument architectural ou d’un site culturel associé à chaque pays particulier. De l’autre côté, on peut apercevoir les drapeaux de plusieurs pays comme l’Algérie, l’Argentine, Bahreïn, la Biélorussie, Venezuela, l’Égypte, Zimbabwe, l’Indonésie, l’Iran, Kazakhstan, Mexique, Nigeria. Cette inclusion de drapeaux nationaux étrangers renforce le caractère international de cette démarche. "
Il est à noter que l’impression de ce billet semble avoir précédé l’élection des nouveaux membres des BRICS. De plus, le billet comporte la mention « BRICS New Development Bank », soulignant l’importance accordée à cet organisme financier (NDB) dans le cadre de la coopération entre les pays membres.
Lire aussi : 1,5 milliard d’euros : La banque des BRICS (NDB) finance un projet d’envergure d’infrastructure d’eau en Afrique du Sud
Cette cérémonie constitue un jalon important dans l’histoire des BRICS et témoigne de l’engagement continu de ces nations à renforcer leur coopération économique et politique au niveau international. L’adhésion des Émirats Arabes Unis ouvre de nouvelles perspectives pour ce groupe influent, laissant entrevoir un avenir prometteur pour cette alliance aux multiples facettes. La dédollarisation est bel et bien en marche. "