FICHES DU PERSONNAGE
SELON AMBRE
Force Humaine : -20
Endurance : 20
Combat : 15
Psyché : 35
Sorcellerie Avancée 20
Artefact : Pierre de lumière 43
Vitalité énorme (4pts) Souffle inépuisable (4pts) Indestructible + transfert de qualité (10 pts)
Dégâts mortels (4pts) Intelligence(4pts) Perception extra sensorielle (4pts) Barrière mentale + transfert de qualité (10 pts) ; Autoréparation (1pt) Stockage de sorts recensés (2 pts)
CORRESPONDANCE ADD
Race : Elfe
Classe : Archer-Mage (total des niveaux : 18)
Force : 13
Dextérité : 17
Constitution : 15
Intelligence : 19
Sagesse : 17
Charisme : 19
Alignement : Neutre Stricte
L’ÉQUIPEMENT : ARMES & ARMURES
- Une petite armure en Métal d'Etoile, réalisée avec une nouvelle technique de forge, elle offre une résistance de + 6 mais cause 35 % d'échec de sorts. Elle possède une rune de résistance aux éléments de 35%. Présent de Lfyre, le forgeron d’Ombria.
- Un katana offert par Kai, offrant une certaine résistance à la magie (lvl6).
- Un arc long composite fait d'un alliage d'adamantite et d'acier, assez léger et résistant. Un carquois de flèches à certaines vertus magique.
- Une épée longue à une main, ornée de runes elfiques, assez légère, possédant une lame focale. Elle offre un bonus de pénétration d'armure, présent d’Henki à sa femme, jadis.
ELENDILWËN HALDIRÍEN…
Ar tiruvalye olor aire enyalien i vanwa iswa...
Elendilwën est l’une des dernières représentantes d’un ancien peuple elfique, rares Noldors ayant côtoyés les Terre de la Belle Arda, afin d’y fonder un Royaume en l’ère de son Premier Age: le Peuple de Finarfin dirigé, jadis, par le Roi Turgon en l’endroit de Tirion. Il est dit de ce roi chez les souvenirs Noldors : «Un cri monta soudain, repris de vallée en vallée par le vent du sud, et les Elfes comme les Humains crièrent de surprise et de joie. Sans qu'on l'eût appelé, sans avoir prévenu, Turgon avait brisé l'isolement de Gondolin et était venu à la tête de dix mille soldats aux armures brillantes dont les lances et les épées faisaient comme une forêt. » Ses parents – dont elle n’a jamais cité les noms – étaient renommés et possédaient une place importante aux côtés de la Famille Royale : son père fût bras droit du Roi et Frère de la Grande Elenwë par le Cœur, il était un elfe sage et reconnu d’une grande beauté, se montrant discret mais présent et de bon conseil pour les siens, cette qualité fut transmise à ses descendants. Son épouse était reconnue pour son savoir des Arcanes et sa patience, d’une beauté également illustrement reconnue. L’endroit de Tirion était la première des cités construites par les Elfes d'Aman. Elle se dressait au sommet de la colline de Túna, élevée dans la Calacirya, brèche au sein de la chaîne des Pelóri. La ville possédait des murailles d’albâtre et des marches de cristal. Elle baignait à l’ouest dans la lumière des Deux Arbres et regardait à l’est l’océan et la lumière des étoiles.
Mais un jour, il y eut la terrible traversée de la banquise d’Helcaraxë, qui voit périr de nombreux Noldors dont la Grande Elenwë. Il est dit : « Les Noldors ne surpassèrent jamais l'exploit que fut cette traversée désespérée dans le malheur et la souffrance. Ils perdirent Elenwë, l'épouse de Turgon, et beaucoup d'autres qui périrent, et ce furent des rangs clairsemés qui touchèrent enfin les Terres Extérieures. » Ce fut par miracle que les parents de l’elfe survécurent à cette traversée, mais leur sagesse les guida hors des leurs et c’est ainsi qu’il errèrent plusieurs centaines d’années sur Arda, regardant défiler les Ages de la Terre : en son Second, ils rejoignirent Amroth, fils d'Amdír en un lieu dont ce dernier devint roi : Laurelindorenan, plus sous le nom de Lothlórien ou Lórien. C’est, donc, durant le Second Age d’Arda, que naquit le premier des enfants, frère d’Elendilwën dont le nom est tu par celle-ci. Leur vie ne fut guère paisible et calme ; en effet, c’est lors de ce temps que fut livrée la Bataille de Dargorlad, bien connue, où Isildur, fils d’Elendil trancha l’Anneau Unique de la main de Gorthaur, plus connu sous le nom de Sauron, vassal, jadis, de Melkor. La Paix, qui ne devait être que provisoire reprit au sein d’Arda.
C’est en l’an deux mille cinquante du Troisième Age d’Arda, qu’Amroth quitta la Lórien et que Galadriel et Celeborn devinrent Roi et Dame de Lorien. La seule ville de la Lothlórien étant Caras Galadhon, protégée par un fossé et une palissade gardés précieusement par les Galadrims. L’année trois mille cinq cent du Troisième Age d’Arda vit naître l’elfe que vous connaissez, dont le nom rappelle à ceux qui l’eurent connu, le Grand Elendil, père d’Isildur dont beaucoup racontent l’histoire. Elendilwën, malgré son apparence à la Race des Noldors de par ses deux parents fut une elfe aux cheveux clairs, qualité presque inexistante ; en effet, le peuple de Turgon avait les cheveux sombres, hormis Turgon lui-même. Durant près de cinquante années, le bonheur coulait en cette famille, mais un jour, un messager vint de l’Est : Une guerre se préparait, les parents et le frère d’Elendilwën partirent un triste soir d’hiver sans lune, laissant la plus jeune sous la protection de Galadriel et de Nenya. L’elfe fut éduquée par Haldir de Loríen, et prit donc son nom : Haldiríen. Durant encore une cinquantaine d’années, elle apprit la maîtrise de l’Art Arcanique elfique dont elle tenait le pouvoir de ses parents, se montrant magicienne prometteuse mais cachée sous le voile noire instauré par la Guerre de l’Anneau. Pour cause, elle dut, longtemps, se résoudre à l’utilisation de l’archerie aux arcanes, dont, seul le futur réveillera le souvenir perdu. A la fin de celle ci, elle décida de quitter son pays natal et de voyager en Arda afin d’accroître sans cesse son Art, sa passion ainsi qu’en quête de ses parents et frère mais également de son histoire… la Dame Galadriel était resté bien taiseuse quant à l’histoire des siens. Les recherches menées par l’elfe mirent près de dix années, durant ce temps, elle voyagea en Arda : en Fondcombe et divers lieux habités par les elfes. Dix années pour apprendre que les siens étaient morts en unissant leurs pouvoirs afin d’aider les guerriers dans une guerre restée secrète de ce Troisième Age. Un soir de mélancolie, elle découvrit un portail, oui, un passage sur cette Terre…
Elle se retrouva sur ces Terres que vous connaissez, un univers tout autre et fut seule durant longtemps, essayant de s’accoutumer à la vie en Tavernes qui était, apparemment, dans les mœurs de cette Terre inconnue, essayant de continuer l’apprentissage de l’archerie, tentant de survivre en ce monde, elle en tira une certaine sagesse mais de la mélancolie s’installa qui ne devait plus la quitter. Par une soirée habituelle en la Taverne des Nains, Elendilwën fit la connaissance d’une jeune elfe du nom de Rei et sa vie en ce nouveau monde prit un autre cours ; en effet, elle apprit énormément sur l’organisation de ce monde nouveau et décida de suivre son amie, désormais, en un de ces nombreux clans régnant sur cette Terre : la Loyauty Team, au service des tavernes sous le regard neutre des 9 de Gaïa. Elle y fit la connaissance de bon nombre de personnes, amis, amies et d’un jeune guerrier humain du nom d’Henki à qui elle commenca à confier son cœur et son âme, en devenant un jour sa femme, mais cette idylle n’a pu durer, la perte d’un fils, la peur, le doute et la séparation devraient marquer, à jamais, son cœur, resté longtemps si pur. La LT lui fit connaître un maître des Arcanes, savoir dont elle avait oublié jusqu’à l’existence, pour l’archerie. Mais, par un soir de pleine lune, un rêve, une utopie la marqua… Le souvenir d’un temps passé, de la manipulation des éléments de ce monde, l’Art des Arcanes qui venait de renaître en elle, savoir auquel elle consacrerait, désormais, sa vie, en souvenir des siens : de Maître Serisiann de Fertisio, elle devint l’élève, en la LT. Durant une longue période, ce clan fut sa famille et elle connut plusieurs aventures en son sein, toutes contées sur un parchemin rédigé de la main de Lowendryl-Entrope, un membre de cette famille, ce clan de la Loyauty Team. Mais rien n’est éternel et le masque d’immortalité vous révèle trop vite la fin des bonnes quêtes. Il y eut ce conflit avec Lowendryl et Entrope, séparé, dès lors, en deux épées cosmiques : Lowendryl pour la Lumière, Entrope pour l’Ombre. De là apparu l’Eglise du Soleil Noire et le fléau qui en découla, devant à jamais marquer l’elfe de son sceau, sur l’homoplate gauche.
Une fois ces conflits éradiqué, elle erra donc sans clan durant un long moment, participant quelques fois à divers activités de communautés de sa connaissance, mettant son savoir au service des siens et de l’équilibre cosmique. Son but premier, c’est durant cette période qu’elle le résolut, afin de répondre une bonne fois : Refranchissant le portail, elle revint en Loríen, et, après de longues années de recherches, elle découvrit l’histoire de sa famille, des siens, de son peuple au complet, et pu, alors, prendre du recul sur sa vie et ce qu’on lui en avait inculqué… C’est à compter de cela qu’elle prit la lourde décision de ne pas rejoindre Valinor et revenir sur la Terre qu’elle avait découverte plusieurs années auparavant. Elle y fit la connaissance d’une demi démone du nommée Kai : comment ? Elle ne saurait plus le dire mais l’amitié qui en a découlé est restée forte et malgré la race et l’alignement de Kai, elles sont comme deux sœurs. En suivant sa sœur, Elendilwën entra à la Garde de la Nuit, clan auquel une partie de sa vie fut consacrée, sous la bannière des Phoenix. Elendilwën résida, longtemps, en la Tour des gardes Phoenix, se consacrant entièrement à l’Art des Arcanes aidée par ses Maîtres : Serisiann de Fertisio et Feylann Ysnarot…
La garde Loup lui révéla quelques surprises ; en effet, le guerrier à qui, bons nombres d’années plus tôt, elle offrit un fils, avait rejoint ce clan sous la bannière des guerriers, dans un premier temps, en tant que protecteur des Gardes Licornes, dans un second. Leur complicité, qui n’avait jamais pu, malgré les évènements, être rompu entièrement, reprit peu à peu. La petite braise dans leurs cœurs avec le temps, recommença à consumer le bois de l’amour, un amour éternel car, même si leur raison avait mis un temps certain à les réunir à nouveau, le temps et leur sentiment n’en furent que renforcés, désormais, plus rien ne pourrait séparer ce bonheur. Le temps, les personnes, les clans et les grades tentèrent, de nombreuses fois, de les séparer mais, même, sans se voir leur cœur sont tourné l’un vers l’autre, en regardant la lune chacun de leur côté, chacun savait, au fond de lui, que l’autre la contemplait également de la où il est. Cela mit énormément de temps mais l’elfe comprit que la distance et les ragots ne devraient jamais séparer ce bonheur reconstruit, plus jamais elle ne le perdrait, ce qu’elle cru du moins. En ces jours, la Garde de la Nuit a accomplit sa tâche : amener la paix a Erlandris afin que le peuple puisse vivre sans contrainte ou peur du lendemain. La encore, bon nombres de quêtes et souvenirs heureux ou moins, ornent les murs de ce qui fut, il y a peu encore, une grande forteresse avec, en son sein, naissance de tant d’amitiés et renaissance d’un amour profond.
Ce fut durant cette période qu’elle eut vent d’une légende elfique qui attira son attention: un objet, une pierre au grand pouvoir nommé Elendilmîr. Elle avait la vertu de rendre puissant le pouvoir arcanique élémentaire, mais quel élément, la légende ne le précisait. Elendilwën se mit donc en quête d’information sur cet artefact mythique : quelle est-t-il, où se trouve-t-il, comment se le procurer, comment l’utiliser, etc. Elle trouva réponse à toutes ces interrogations auprès de son Maître, Serisiann de Feristio : l’elendilmîr est un objet commun chez les elfes, une pierre montée en bijou, portée sur le front. La légende ne s’avérait pas fausse pour autant, car, dans une vieille bibliothèque de la Loyauty Team, se logeait un parchemin elfique ramené par Maître Serisiann, lui-même. Il décrivait un rituel précis afin d’offrir à une pierre élémentaire un pouvoir considérable. Après de nombreuses et laborieuses semaines, afin de réunir les objets magiques pour le rituel, fut créé et offert à l’elfe cet objet qui ne devrait plus jamais la quitté : son Elendilmîr, étrangement, Elendilwën lui découvrit une vertu pour la Lumière, plus particulièrement la Lumière Divine, elle s’en rendit compte en priant Elbereth. Durant les mois qui suivirent, l’elfe et le Maître en apprirent l’utilisation et les vertus, poussant l’arcanes jusqu’aux plus profondes évocations de Lumière.
Peu après, l’elfe reprit son errance, rencontrant bons nombres d’amis sur sa route, servant, comme elle le pouvait la balance cosmique et ses compagnons. Elle découvrit, aussi, des plans parallèles, tel Ambre, etc. Jusqu’à ce jour… En effet, par un doux soir d’automne, en revenant d’un de ces nombreux endroits d’où elle appréciait de pouvoir tirer un savoir certain, quelle ne fut pas sa déception de constater ce qui, pour elle était pareil à la mort : celui pour qui elle avait tout donné, allant même jusqu’à quitter les siens, celui qui avait enjoué tant d’années de sa vie venait de transpercer son cœur par une trahison ; en effet, Yuna, jeune demoiselle pour qui elle avait porté tant d’attention, autrefois, se tenait face à elle, Maelys, son amie, était à ses côtés entrain de discuter de ce qu’Henki et Yuna allait bien pouvoir construire ensemble, car il était alors comme fiancés. Cette soirée fut, pour l’elfe, comme une première mort, ses amis Crono, Lfyre et Erina l’obligeant, sur le moment, à affronter cette épreuve courageusement, la soutenant corps et âme, la forçant à reprendre le pas sur la vie. Bon nombre de mois se sont écoulés alors, semblable à une convalescence pour son cœur, où elle fut accueillie en Gaïa, ses amis à ses côtés…
Lorsqu’elle sentit le moment propice, elle quitta Gaïa afin de reprendre le pas sur la vie, son regard trahissant néanmoins la mélancolie des jours passés, ses paroles ayant tendance à éviter tout lien avec son histoire. Ses pas l’ont guidée chez les siens, à la Cité des Elfes, où elle fut chaleureusement accueillie par Loedagan qui n’hésita guère à faire préparer des appartements à Eryn, pour son amie. Ses journées se passaient, dès lors, à la Cité des siens où elle réapprit la vie telle qu’elle lui avait été enseignée, durant son enfance. Ses moments resteront gravés à jamais dans sa mémoire, comme un bond dans le passé, dans un bonheur d’une famille un instant retrouvée.
Pour l’elfe les surprises, heureuses comme tristes ne s’arrêtèrent guère là ; en effet, elle décida, quelques semaines après avoir pris place à Eryn, de se rendre à Celestia, « capitale » de Gaïa. Quel ne fut pas son étonnement d’y tomber le jour de la Fête des Fleurs, découvrant alors les ruelles et la magie dégagée par la population d’une ville dont elle n’avait connu que le palais, lors de la convalescence de son cœur, ainsi que les ragots et rumeurs de ceux-ci, attristant à son cœur quoique compliment pour sa personne même. Cette soirée, elle ne put et ne semble pouvoir oublier le traumatisme vécu, bien que la Fête ne se déroula en présence de ses amis Erina, Crono, Teclis, etc. avec qui, par le passé, elle avait vécu de nombreuses soirée sous le Cerisier Blanc, à s’amuser. Il fallut, encore, plusieurs jours pour que tout revienne en ordre dans son cœur, encore attristé de ce lourd passé, et affronter son appréhension de retourner à Gaïa. Elle le fit, néanmoins, afin de répondre à l’invitation du Prince de Celestia. Une fois sur place, un lourd destin et un irréversible choix s’offrirent à elle ; en effet, Crono en tant que représentant de l’esprit de Gaïa, avait pressentit chez l’elfe un don élémentaire relatif à la lumière. Il lui proposa de « passer le portail élémentaire » de la Mère Gaïa, afin de voir si, oui ou non, elle était des dix Gardiens élémentaire de la Balance Cosmique. L’intuition du jeune se révéla, bien heureusement, juste et, à son grand étonnement, Elendilwën fut, elle ne sait comment ni pourquoi, choisie comme le Gardien de la Lumière de Gaïa.
Depuis ce jour, sa route, telle celle d’un pèlerin, se partage entre divers lieux : Eryn, Gaïa et ses nouveaux Gardiens ainsi que le secteur de la Lumière, les Terres de la Loyauty Team dont elle essaye de garder l’éclat des jardins, etc. Une vie de savoir, passion, d’archerie et d’arcanes…
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