Citation de jaune-d-oeuf
Si t'as la grosse belle-mere sur le dos ,et qui fait kaguer en + , comment aller + vite et + loin ?!
Eh ! Toutes les belles-mères ne sont pas grosses, m'enfin ! Pas plus qu'elles sont sur le dos des enfants et qu'elles font caguer comme tu dis si élégamment ! Je suis la preuve vivante du contraire.
Tu as dû avoir une mauvaise expérience.
Conclusion : choisir la belle-mère avant la fille !
Citation de e_ajar
Si la nana est un canon, oui ! si c'est un boulet, non ! L'une te propulse, l'autre te freine ....
Avez-vous conscience que c'est extrêmement désobligeant vis à vis de celles qui n'ont pas les critères de beauté - ceux ayant cours dans le dictat esthétique de notre société - car ayant opposé le "boulet" au "canon" vous faisiez bien le corolaire à un esthétisme.
De plus, cet apparent bon mot par lequel vous présupposez que la "belle" gente féminine s'en verrait flattée, l'est sans compter le fait que les "jolies" femmes peuvent ne pas l'être que de corps mais aussi d'esprit.
Ainsi, il se pourrait bien que leur esprit tout empreint d'un plus juste discernement, ne leur chuchote :
Mais que voilà donc un "beau" nous flattant !
Mais alors s'il avance à l’encan ainsi son verbe,
celui-ci, bien qu'envers nous, très satisfaisant,
ne vaut-il pas que traduction des envies de sa verge.
Citation de jean-bonbeur
Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin .
Très pertinent et que l'on pourrait - au delà d'une possible référence au couple - étendre à ce qu'est devenue notre société.
- Le plus vite, le toujours plus d'une société quasi enfermée dans le train devenu fou d'un néolibéralisme dévoyé et si outrancier de la finance et de sa recherche presque exclusive et constante du profit.
- L'ensemble qui aurait été comme une autre monnaie d'échange, de prospérité : l'humain
Citation de rienousipeu
Avez-vous conscience que c'est extrêmement désobligeant vis à vis de celles qui n'ont pas les critères de beauté - ceux ayant cours dans le dictat esthétique de notre société - car ayant opposé le "boulet" au "canon" vous faisiez bien le corolaire à un esthétisme.
De plus, cet apparent bon mot par lequel vous présupposez que la "belle" gente féminine s'en verrait flattée, l'est sans compter le fait que les "jolies" femmes peuvent ne pas l'être que de corps mais aussi d'esprit.
Ainsi, il se pourrait bien que leur esprit tout empreint d'un plus juste discernement, ne leur chuchote :
Mais que voilà donc un "beau" nous flattant !
Mais alors s'il avance à l’encan ainsi son verbe,
celui-ci, bien qu'envers nous, très satisfaisant,
ne vaut-il pas que traduction des envies de sa verge.
Si je puis me permettre, je pense qu'il ne faut pas chercher plus loin qu'un simple jeu de mots faisant le parallèle avec l'artillerie ... même s'il n'est pas très heureux de le rapporter aux "critères" de l'esthétique féminine et, comme vous l'évoquez si justement, un boulet fait, pour moi, plus référence au mental qu'au physique.
Bravo pour ce magnifique poème ... s'il est de vous.
Modifié il y a 7 ans, le lundi 10 juillet 2017 à 14:27
Citation de rienousipeu
Avez-vous conscience que c'est extrêmement désobligeant vis à vis de celles qui n'ont pas les critères de beauté - ceux ayant cours dans le dictat esthétique de notre société - car ayant opposé le "boulet" au "canon" vous faisiez bien le corolaire à un esthétisme.
De plus, cet apparent bon mot par lequel vous présupposez que la "belle" gente féminine s'en verrait flattée, l'est sans compter le fait que les "jolies" femmes peuvent ne pas l'être que de corps mais aussi d'esprit.
Ainsi, il se pourrait bien que leur esprit tout empreint d'un plus juste discernement, ne leur chuchote :
Mais que voilà donc un "beau" nous flattant !
Mais alors s'il avance à l’encan ainsi son verbe,
celui-ci, bien qu'envers nous, très satisfaisant,
ne vaut-il pas que traduction des envies de sa verge.
Visiblement, vous ne comprenez pas grand chose à la vastitude de notre idiome; l'humour, dont par ailleurs vous êtes dépourvu, vous est quant à lui, parfaitement étranger.
Votre compagnie doit être d'un ennui ...
Modifié il y a 7 ans, le jeudi 13 juillet 2017 à 17:18
Citation de iseult
Si je puis me permettre, je pense qu'il ne faut pas chercher plus loin qu'un simple jeu de mots faisant le parallèle avec l'artillerie ... même s'il n'est pas très heureux de le rapporter aux "critères" de l'esthétique féminine et, comme vous l'évoquez si justement, un boulet fait, pour moi, plus référence au mental qu'au physique.
Bravo pour ce magnifique poème ... s'il est de vous.
M'dame Iseult, j'en avais compris le possible de l'autre versant des critères mais j'ai voulu titiller, non sur le font mais sur la forme de la facilité.
Pour le poème : oui, il est de moi et c'est d'autant plus facile de le croire qu'à comparer de ceux d'un Rimbaud par exemple, le mien s'en trouverai dans le bac à sable alors que les siens le seraient déjà en terminale si nous n'avions fréquenté la même école....c'est dire l'horizon si lointain que j'entrevois du long chemin encore en devenir dans la quête d'yceux, les mots, par lequel parfois je tente de les faire avancer.
Citation de e_ajar
Visiblement, vous ne comprenez pas grand chose à la vastitude de notre idiome; l'humour, dont par ailleurs vous êtes dépourvu, vous est quant à lui, parfaitement étranger.
Votre compagnie doit être d'un ennui ...
Le présupposé que j’en avais c’est avéré.
Ainsi de l’être dont je présentais une certaine subtilité intellectuelle suite à une attaque du verbe, se commit -il d’une réponse en une certaine adéquation.
Mais il faut comprendre aussi par quel détour l’objet de mon incision, s’est-il vu obligé de procéder ainsi.
Dans le paysage humain au bruissement collectif si prégnant et si nivelant, il est parfois interpellant de constater qu’au cours de posts précédents – par y lui y répondu - de sujets lancés par d’autres, que ce que l’on suppose chez l’être précité de différent et avisé – aux caractéristiques intellectuelles certaines - on soit confondu d’une telle forme de linéarité du verbe ; en l&rsquocurrence certains bons mots apprêtés au seul badinage et non point à tant d’autres sujets plus vastes de société pourtant importants, tel que celui intéressant et évoqué dans ce topic, nous laissant dans une sorte de désert, un no man’s land de tout les autres possibles existentiels de sa pensée et qu’il aurait pu apporter.
Sans doute ou du moins avec une partie, est-il envisageable de supposer qu’au regard du Monde et surtout de ce qu’il est devenu, il se soit pris la conscience de considérer que de tout cela dont il aurait pu apporter une pierre de touche, il en est découlé une sorte d’abandon face à l’inéluctable du plus que probable du devenir de ce Monde ; aussi, que lui reste t-il ?...un pis aller dans ce qu’il est – il est vrai – tellement plus facile d’une récréation des mots., fussent-ils - j'n'ai pas dit fut-il, sauvé d'une obligation de conjugaison - justement plus excitants de par l'objet de leur désir.
Les mots écris pourtant peuvent tellement ; ils sont le bras, la main, l’extrémité de l’être qui les dirigent dans ce fleuve immense et parfois tentaculaire de tout les échanges ; ils sont cet incisif, ce pertinent et surtout cet approprié plus juste ; la main qui geste autrement par toute l’étendue de ce qu’elle pourrait avoir autre à écrire.
D’un autre côté, il se pourrait aussi que faisant fi de la première hypothèse, je me sois commis d’un humour décalé en attente de la façon de sa perception.
C’est que, voyant un être aux capacités intellectuelles certaines être pris dans une quête spécifique de badinage d’avec gente dame, je me sois permis de l’attaquer sachant de façon plus que supposée l’incisif de sa réponse, pour en fait…lui apporter crédit supplémentaire, le laissant voir auprès d’ycelle comme digne chevalier même dans l’adversité.
Ainsi, et sous certaines apparences, on pourrait me supposer ennuyeux alors que dans mon optique, il n’était question que d’aider et valoriser un collègue masculin.
Mais alors de cette deuxième réponse, ne pourrait-on arguer que j’essaie de me raccrocher aux branches d’avoir cette sorte d’humour décalé. Allez savoir ?...et pourquoi pas !
Si l’on considère, par exemple, que l’humain à des bras ; de cet accastillage, pourquoi s’interdirait-il de s’en servir, lorsque, en équilibre précaire sur l’arbre de l’échange sociétal de ce que lui fait croiser ou réagir l’existence, il s’en serve…
Au fait, M'sieur e_ajar, je me sens obligé de vous féliciter de l'absence dans votre réponse, d'insultes ou tout autre débordement langagier, comme il est de coutume d'en croiser au fil, qui ne l'est pas d'un cours d'eau mais plus d'un fleuve, de ce site.
Citation de rienousipeu
M'dame Iseult, j'en avais compris le possible de l'autre versant des critères mais j'ai voulu titiller, non sur le font mais sur la forme de la facilité.
Pour le poème : oui, il est de moi et c'est d'autant plus facile de le croire qu'à comparer de ceux d'un Rimbaud par exemple, le mien s'en trouverai dans le bac à sable alors que les siens le seraient déjà en terminale si nous n'avions fréquenté la même école....c'est dire l'horizon si lointain que j'entrevois du long chemin encore en devenir dans la quête d'yceux, les mots, par lequel parfois je tente de les faire avancer.
Dont acte Monsieur Rienousipeu
Et, je confirme que j'ai bien aimé votre poème, moi qui en suis incapable.
Et, je confirme que j'ai bien aimé votre poème, moi qui en suis incapable.
C'est faux ....!!! tu es capable de beaucoup ...!!! moi qui écrit ...! et tu le sais ..! seulement je pense que tu es seule ...!
et cela n'aide pas ...!!!