Citation de rienousipeu
Le présupposé que j’en avais c’est avéré.
Ainsi de l’être dont je présentais une certaine subtilité intellectuelle suite à une attaque du verbe, se commit -il d’une réponse en une certaine adéquation.
Mais il faut comprendre aussi par quel détour l’objet de mon incision, s’est-il vu obligé de procéder ainsi.
Dans le paysage humain au bruissement collectif si prégnant et si nivelant, il est parfois interpellant de constater qu’au cours de posts précédents – par y lui y répondu - de sujets lancés par d’autres, que ce que l’on suppose chez l’être précité de différent et avisé – aux caractéristiques intellectuelles certaines - on soit confondu d’une telle forme de linéarité du verbe ; en l&rsquocurrence certains bons mots apprêtés au seul badinage et non point à tant d’autres sujets plus vastes de société pourtant importants, tel que celui intéressant et évoqué dans ce topic, nous laissant dans une sorte de désert, un no man’s land de tout les autres possibles existentiels de sa pensée et qu’il aurait pu apporter.
Sans doute ou du moins avec une partie, est-il envisageable de supposer qu’au regard du Monde et surtout de ce qu’il est devenu, il se soit pris la conscience de considérer que de tout cela dont il aurait pu apporter une pierre de touche, il en est découlé une sorte d’abandon face à l’inéluctable du plus que probable du devenir de ce Monde ; aussi, que lui reste t-il ?...un pis aller dans ce qu’il est – il est vrai – tellement plus facile d’une récréation des mots., fussent-ils - j'n'ai pas dit fut-il, sauvé d'une obligation de conjugaison - justement plus excitants de par l'objet de leur désir.
Les mots écris pourtant peuvent tellement ; ils sont le bras, la main, l’extrémité de l’être qui les dirigent dans ce fleuve immense et parfois tentaculaire de tout les échanges ; ils sont cet incisif, ce pertinent et surtout cet approprié plus juste ; la main qui geste autrement par toute l’étendue de ce qu’elle pourrait avoir autre à écrire.
D’un autre côté, il se pourrait aussi que faisant fi de la première hypothèse, je me sois commis d’un humour décalé en attente de la façon de sa perception.
C’est que, voyant un être aux capacités intellectuelles certaines être pris dans une quête spécifique de badinage d’avec gente dame, je me sois permis de l’attaquer sachant de façon plus que supposée l’incisif de sa réponse, pour en fait…lui apporter crédit supplémentaire, le laissant voir auprès d’ycelle comme digne chevalier même dans l’adversité.
Ainsi, et sous certaines apparences, on pourrait me supposer ennuyeux alors que dans mon optique, il n’était question que d’aider et valoriser un collègue masculin.
Mais alors de cette deuxième réponse, ne pourrait-on arguer que j’essaie de me raccrocher aux branches d’avoir cette sorte d’humour décalé. Allez savoir ?...et pourquoi pas !
Si l’on considère, par exemple, que l’humain à des bras ; de cet accastillage, pourquoi s’interdirait-il de s’en servir, lorsque, en équilibre précaire sur l’arbre de l’échange sociétal de ce que lui fait croiser ou réagir l’existence, il s’en serve…
Au fait, M'sieur e_ajar, je me sens obligé de vous féliciter de l'absence dans votre réponse, d'insultes ou tout autre débordement langagier, comme il est de coutume d'en croiser au fil, qui ne l'est pas d'un cours d'eau mais plus d'un fleuve, de ce site.
Mortel ! ... l'ennui.