Citation de alexinette
c'est un crétin imbibé qui ne sait plus ce qu'il raconte depuis bien longtemps !!!!!!!!! j'ai bien remarqué aussi chez lui cette demande qu'on le lâche!!!!!!!!!!!!! alors que c'est lui qui est collé à nos semelles comme une crotte de caniche !!!!!!!!
" Comment Jean-Luc Tavernier protège l'Insee des mauvais coups de la campagne électorale "
Edition du 31/01/2022
" Doué d'un grand sens politique, le directeur général de l'Insee Jean-Luc Tavernier a préparé sa maison aux secousses de la campagne. Sur l'inflation par exemple, un système de veille et riposte vise à éteindre les controverses, dans un contexte chamboulé par la multiplication des données et la concurrence entre analystes. [...] "
" n oubli entache le soutien qu’apportent depuis 2014 les grands médias occidentaux aux dirigeants ukrainiens dans leur face-à-face avec Moscou : la promotion par Kiev de politiques mémorielles révisionnistes et l’indulgence des autorités vis-à-vis des néonazis qui s’affichent dans l’espace public.
Après la révolte du Maïdan, le début de la guerre civile au Donbass et l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, le président ukrainien Petro Porochenko promulgue, en mai 2015, les « lois de décommunisation (1) ». Elles punissent la promotion des idées communistes, interdisent les symboles soviétiques et élèvent au rang de « combattants pour l’indépendance » des groupes antisémites ayant collaboré avec les nazis : l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), dont les milices participèrent à l’extermination des Juifs, et sa branche militaire, l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA), responsable entre autres du massacre de cent mille Polonais. L’une et l’autre bénéficient désormais d’un hommage national, le 14 octobre. Et chaque 1er janvier, à Kiev, une marche aux flambeaux honore la mémoire de Stepan Bandera, dirigeant de ces deux organisations et collaborateur du IIIe Reich. Ce sympathique tableau serait incomplet sans mentionner l’intégration à l’armée, en mai 2014, du bataillon Azov, une milice néonazie qui emprunte son emblème à la division SS Das Reich.
Issu d’une famille juive, le président Volodymyr Zelensky se tient à distance de cette fureur à laquelle on ne saurait résumer la vie politique ukrainienne. Mais tout de même : le 28 avril dernier, des centaines de personnes défilaient dans la capitale pour célébrer la division SS Galicie, formée de volontaires ukrainiens (2). Les médias français n’en ont soufflé mot — auraient-ils fait le même choix si le Kremlin avait autorisé un rassemblement néonazi sur la place Rouge ?
Aux États-Unis, l’observatoire du journalisme Fairness and Accuracy in Reporting (FAIR) a effectué un comptage éclairant : entre le 6 décembre 2021 et le 6 janvier 2022, le New York Times a publié 228 articles mentionnant l’Ukraine ; 9 comportaient le mot « nazi » sous une forme ou une autre ; et aucun ne faisait état du révisionnisme officiel, de la tolérance des autorités envers les mobilisations fascistes ou la présence de néonazis au sein des forces armées. Dans les colonnes du Washington Post, les chiffres étaient respectivement de 201, 6 et zéro. Or, notait FAIR, ces éléments « auraient sûrement un impact sur la formation de l&rsquoinion publique américaine — du moins si le public en était informé ». Bien entendu, précisait l’association, « cela ne donne pas à la Russie le droit d’attaquer l’Ukraine, mais les médias américains devraient informer les Américains sur ce pays qu’arme l’argent de leurs impôts »
Qu’en est-il en France ? Entre le 1er janvier et le 15 février 2022, sur les 152 articles mentionnant l’Ukraine parus dans Le Monde (dont 14 sans lien avec le conflit actuel), 5 comportaient le mot « nazi ». Deux évoquent le penchant fascisant de certains nationalistes, mais seulement pour signaler que Moscou instrumentalise la situation (8 et 11 février 2022). Un autre relatait la participation des milices ukrainiennes au génocide des Juifs, mais il s’agit… d’une recension d’un ouvrage sur l’histoire de la seconde guerre mondiale (21 janvier 2022). L’inventaire des colonnes du Figaro aboutit au même résultat : 171 articles mentionnent l’Ukraine (18 sans rapport avec la situation internationale), dont 8 comportent le mot « nazi ». L’un rend compte d’un livre sur l’extermination des Juifs en Europe et cite bien entendu l’Ukraine. Aucun n’informe sur des faits d’ordinaire jugés intolérables par la presse. Mais qui, parce qu’ils se déroulent dans un pays allié des identaux contre la Russie, passent cette fois sans encombre le tamis moral des journalistes.
" Xavier Moreau signe un nouvel essai attendu sur un des sujets les plus occultés par les médias (et pour cause, la plupart des journalistes étant juge et partie) : la vraie nature de la Gauche Française, révélée à travers ses racines idéologiques et spirituelles, sa naissance philosophique et ses accomplissements historiques. Les faits relatés sont loins de la légende dorée du parti qui revendique toujours le “monopole du cœur”, du progrès, de la Morale et du Bien…
Résumé:
La gauche française prétend depuis son apparition sur la scène politique française à la supériorité morale non seulement sur une droite conservatrice rarement représentée mais sur le peuple français en tant que tel. Elle en serait le guide vers un meilleur des mondes progressiste. Pourtant lorsque l’on regarde les accomplissements de la gauche depuis 1792, on y perçoit sur l’essentiel qu’une succession de crimes et de trahisons dont à aucun moment elle n’a eu l’intention de s’amender. C’est cette histoire sans concession de la gauche française qui est retracée dans ce livre. "
" Être de gauche : les désillusions d’un homme du peuple "
Publié le 5 mars 2022
" Aujourd’hui considéré comme un lieu commun, l’abandon des classes populaires par une grande partie de la gauche est le résultat de décennies de trahisons politiques, comme en témoigne notre lecteur.
J’ai vécu dans ces milieux ouvriers par ma famille et par d'autres personnes ; j’ai travaillé dans l’usine de textile (où mon père travaillait) dès 15 ans l’été, car c’est normal dans cette culture prolétarienne qui est la mienne, d’user de ces mains et de son corps très jeune, d’être un homme à 11 ans, de bêcher, de brasser le béton, de soulever des sacs de ciment, de manier la pioche, de couper le bois, de ramasser les patates avec le paysan du village…
Mais j’étais un bon élève et j’aimais étudier, écrire des rédactions, dessiner (premier texte publié avec un dessin de l’église de mon village dans la revue de l’instituteur). Ce monde des livres existait en parallèle de mon milieu ouvrier et sans l’école, je serai devenu un manuel, c’est certain. Et si Zemmour avait été au pouvoir, il m’aurait destiné à mon milieu d’origine. Très jeune, je me nourrissais de ce savoir scolaire et un crayon à la main, je pouvais écrire, dessiner sur ces pages d’un vieux cahier abandonné. Me serais-je un jour imaginé écrire des livres (à compte d’auteur, les éditeurs parisiens trop loin), composer des poèmes ou des haïkus avec facilité, peindre des tableaux par centaine, ou faire des expos dans les villages avec naturel et passion ? C'était inimaginable !
Mon père et mon grand-père syndicalistes m’ont donné malgré eux cette foi dans la lutte des classes. Et je percevais dans le bourgeois, déjà dans la classe de l’école ou lycée, une manière malsaine et artificielle de vivre : leurs loisirs de sports d’hiver ou de bateau en mer faisaient gronder en moi la révolte. Et que dire quand je découvrais que mon grand-père andalou avait été aux côtés des républicains en Espagne, et donc que le sang de ce peuple opprimé ou massacré coulait en moi ! Au lycée, ce fut le combat contre la droite, le RPR et moi, je prenais ma carte au PS et m’abonnais à L’Unité. C’était étrange, ces lycéens embourgeoisés, je les sentais comme différents de moi, trop à penser aux filles, aux vacances, aux plaisirs matériels, et mon esprit révolté s’engageait contre ces types qui avaient la vie trop facile. Les années Giscard, je me les représentais comme une escroquerie, et le pire, comme me disait mon père, comment des ouvriers pouvaient voter pour un type de droite !
10 mai 1981, mon père déboucha le champagne, la gauche revenait enfin au pouvoir ! Les idéaux prolétaires au pouvoir, enfin, la reconnaissance de ma classe exploitée, écrasée, méprisée, un souffle nouveau… Et puis, la trahison : 1983, le tournant de la rigueur… l’usine de mon père ferme, et le voilà au chômage avec des centaines d’autres, leurs vies sociales brisées et ailleurs comme des dominos les usines tombaient… Des centaines d’existences parties à vau-l’eau dans le désespoir et les excès. Des morts prématurés, car la souffrance fut inhumaine, le vide et les usines détruites comme leurs vies…
Mais j’ai cru encore, le PS avec Hollande — « mon ennemi c’est la finance » — et puis à nouveau, le mensonge… Stop… Cette gauche socialiste n’était qu’un repère d’ambitieux obsédés par le pouvoir et les places confortables en affirmant une bonne fois pour toutes, son rejet de la classe ouvrière. Je m’étais fait rouler depuis Mitterrand et tous mes ancêtres avec moi, Mitterrand n’a jamais été de gauche, il méprisait ma classe, ce que j’étais, un fils de prolétaire, lui, le bourgeois de droite extrême, l’ennemi juré de mon sang paternel. J’avais compris, nous ne sommes que dans un système politique qui se gave de profit et de prébendes, étroitement lié au monde de la finance.
Et puis surgit alors le mouvement des Gilets jaunes. J’y crois : enfin le réveil du peuple et sa voix sacrée contre ce jeune blanc-bec méprisant et insultant. Je les soutiens sur les ronds-points. Combattants pour le mieux vivre, plus de démocratie, le RIC peint en grosses lettres sur des fourgonnettes, vive la liberté du peuple ! Naïvement, je croyais qu’à Paris, les journalistes, les politiciens seraient fiers de ce peuple de France, mais non, ils l’ont insulté, ont prétendu que ce n’était pas le peuple, uniquement de la racaille raciste !
Comment, je ne comprends pas, ce mouvement révolutionnaire, chair de notre histoire, réprimé avec violence et mépris ! À nouveau la Commune ! Et j’ai compris que ces technocrates, ces politiciens, ces journalistes qui s’expriment sur les plateaux télé n’ont que faire des gens. Je prends conscience de leur novlangue orwellienne, nous ne sommes que du stock comme le dit Macron et il faut organiser du flux, du contrôle, de la désinformation, la mondialisation, la dilution de la réalité des émotions de nos campagnes, monde de nos ancêtres sacrifiés… "
" le cadeau caché de Macron: les lanceurs d’alerte mettent en garde, l’Ukraine plaque tournante de DAESH et des djihadistes "
Publié le 6 mars 2022
" Zélensky s’appuie sur ceux qui détestent le plus les Russes, les djihadistes et les occidentaux devraient prendre garde à ne pas recommencer l’erreur de l’Afghanistan en distribuant les armes dans la nature
Tout ce qui suit est l’oeuvre de Mohamed Louizi un courageux militant de la lutte contre les islamistes et particulièrement les Frères Musulmans .
Faites glissez ci dessous ou regardez les copiés collés Le contenu ne m’engage pas. Vous constaterez son soutien à Zemmour, n’en déduisez rien pour ce qui me concerne "
" Censure européenne ? La présidente de RT France s'explique
VIDEO. Dans le cadre des sanctions économiques et diplomatiques visant la Russie, l'UE a interdit toute diffusion des médias RT et Sputnik. Accusés de propagande, ils sont désormais inaccessibles dans l'espace européen. Une censure arbitraire ? La présidente de RT France, Xenia Fedorova, sort du silence. "
La Chine vient d'exiger que l'OTAN déclassifie les détails des laboratoires d'armes biologiques opérant en Ukraine. Le ministère chinois des Affaires étrangères a demandé aux États-Unis d'expliquer la présence de ces installations en Ukraine et de rendre publics les renseignements sur les virus qui y ont été développés. Le récit s'effondre ! Vladimir Poutine a dépassé la cible !
La Russie et la Chine exposent les élites et dévoilent la vérité derrière COVID-19. "