eireen

Lumière sombre

il y a 6 ans
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Photo de eireen
eireen (clôturé) il y a 6 ans

Un thriller n'est jamais anodin, un livre à suspense, captive par son contenu, de pages en pages, allant de rebondissements de part ses énigmes policières, en émotion, quand s'y trouve impliquées des histoires d'amour.
Et si nous nous essayions à remplir ces pages, d'un roman, agencé, et inventé de toute pièce , par nos soins.

Du bout des doigts Neil déchira, le mince film plastique, et fut prise d'un recul,, des gouttes perlaient à son front.
Comment aurait-elle pu imaginer , avant ouverture, ce qui se trouvait à l'intérieur de l'enveloppe, quelle avait eu tant de peine à décacheter. Ses mains tremblaient, l'enveloppe tomba. ...

Modifié il y a 6 ans, le mercredi 10 octobre 2018 à 21:44

Photo de rienousipeu
rienousipeu il y a 6 ans

Plus que ce qu'elle avait vu, ce qui la troubla d'abord, choqua ensuite, c’est ce qu’elle devina.

Si sombre, presque noir en était l’ensemble de cette photo qu’en lumière moins vive que celle de la lampe de son bureau, elle n’aurait pas compris.

Une photo entièrement noire ?

Mais non, par malchance et ce dès l'ouverture, la lampe puissante avait fouillé comme l’intérieur de la photo, dévoilant des détails, infimes certes, mais au signifiant terrible quand à ce qu’ils évoquaient ; éclaboussaient même pour qui comprenait.

Photo de mr.robert
mr.robert il y a 6 ans

C'est en regardant attentivement la photographie devant la lampe que Neil découvre cet étrange filigrane.
Ce curieux dessin qui n'est pas sans évoquer quelques cartes maritimes de l'ancien temps. Du XVème peut-être…

Neil saisit une loupe à fort grossissement. Elle scrute avec plus d'attention encore. Davantage de concentration.
Au fur et à mesure de son analyse, le mystère ne fait que s'épaissir encore. Elle procède de même avec l'enveloppe en papier kraft.

Quel n'est pas l'étonnement de Neil en découvrant que le dessin du timbre est l'image miniature de la photographie. Cette fois, le mystère devient énigme. En frissonnant, excitée par sa découverte, Neil prend des photographies.

Là, sur l'écran de l'ordinateur, avec un agrandissement maximal, Neil observe attentivement chaque détail. Elle est fébrile, en quête d'un détail, même infime, qui pourrait constituer un début de piste. Neil fait tourner le cliché.

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

C'est alors que : Toc-toc ! Toc.
Neil se fige, respirant à peine, immobile. Un long silence, puis elle se lève lentement et va jusqu'à la porte. Elle jette un œil au petit œilleton, rien. Elle hésite, puis ouvre. Personne. L'étroit couloir menant jusque l'escalier est désert, les voisins absents. Pas un bruit. La petite fenêtre donnant sur l'extérieur est fermée. Il n'y a pas d'ascenseur dans ce vieil immeuble. Elle s'apprête à rentrer lorsqu'elle aperçoit une autre enveloppe, là, par terre, déposée sur le vieux tapis-brosse où sont inscrits les mots : La clé est sous le paillasson.
Neil retourne à son bureau et s'assied, pensive. Le cœur battant un peu vite, ne comprenant pas. De moins en moins. Cette seconde enveloppe est la même que la première.
La première, songe-t-elle. Et elle se souvient...

Photo de alice-2
alice-2 il y a 6 ans

... elle se souvient de cette nuit qui pesait sur la ville, si épaisse que la lumière des réverbères avait du mal à la faire disparaître. Elle roulait doucement, vitre baissée et au fur et à mesure de sa progression, le murmure de la forêt s'amplifiait, grand fouillis végétal se gorgeant des rayons de la lune. Il suffisait d'un moment d'inattention pour que cette jungle vous engloutisse comme un serpent affamé

Photo de eireen
eireen (clôturé) il y a 6 ans

Neill s'éveilla enfin, l'esprit engourdi, que lui était-il arrivée? Du sang coulait de sa lèvre tuméfiée. Elle essaya de se relever, et tituba. Elle entendit un bruit sourd, non défini. Comme un bruit de feuilles ! Non pas ! Un bruit indistinct de pas. Elle se tapit au sol, sans bouger, espérant que ces bruits, étaient le reflet de son imagination.
Une voix forte se fit entendre :

Modifié il y a 6 ans, le samedi 13 octobre 2018 à 23:25

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

- La voilà, là !
Presqu'aussitôt des mains fortes la saisirent et l'emmenèrent, sans ménagement.

Elle repris conscience peu à peu. L'endroit était sombre, humide et froid. C'était une sorte de cellule, non, c'en était bien une. Une simple pièce, sans fenêtre, éclairée d'une petite ampoule 2o watts descendant du plafond, avec juste une porte. Et des pas dans le couloirs qui se rapprochaient, encore...

Ses seuls et derniers souvenirs pour le moment étaient ceux d'une jungle électrique, aux lumières clignotantes qui défilaient tout autour d'elle. Elle roulait tranquillement, comme dans un grand courant d'air qui l'emportait vers le fin-fond de la nuit jusque l'autre bout de la ville où elle avait rendez-vous. Un certain Monsieur R. devant lui remettre une certaine enveloppe à propos de quelquechose qu'elle comprendrait. Que de mystère ! souriait-elle, mais son e-mail n'en disait pas plus.
Et puis soudain, plus rien. Au carrefour de la rue Boudu et du boulevard des Hommes et Femmes de la préhistoire, au niveau du feu rouge, un grand choc tout d'abord, suivi d'un flash et d'un vide profond. L'oubli. Un noir complet.
Neil s'était réveillé dans cette forêt. Comment ? Pourquoi ? Combien de temps s'était-il passé ? Elle tremblait, à demie blessée. Un pan de son chemisier arraché. Elle avait peur. Ses pensées se rassemblaient peu à peu, ses idées aussi. Lentement. Et puis des gens qui marchaient, là, soudain. Vers elle.

Photo de alice-2
alice-2 il y a 6 ans

Elle se passa la main sur le visage, mouillé de sueur. Sa lèvre la brûlait, son coeur battait la chamade.
Et cette odeur de crasse qui lui envahissait les naseaux
- ça pue comme l'enfer, s'était elle dit, au bord de la nausée. Une puanteur qui lui rappelait celle qui flotte autour des clochards de son bled. Un mélange de pisse, de sueur et de chair pourrie. Une table, deux chaises et des caisses en bois meublaient la pièce. Elle avait peur et glissa sa main sous l'étoffe de sa chemise déchirée, cachant ainsi un sein ferme au mamelon durcit par le froid

Modifié il y a 6 ans, le lundi 15 octobre 2018 à 03:40

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

Dessous son sein brûlant, ses doigts tressautaient presque à chacun de ses battement de cœur qui s'accéléraient toujours. De plus en plus vite. Ses tempes tambourinaient l'une l'autre, suant en cadence et cognant contre les parois du crâne. Elle flambait littéralement du dedans, tremblant pourtant de la tête aux pieds, cependant que dehors, dans le couloir, le bruit des pas ne faisait que s'amplifier lui aussi, au fur et à mesure que tout se mettait à tourner dans la pièce et que les murs dansaient, les deux chaises se balançaient de chaque côté de la table, les caisses virevoltaient tout autour, ça tournait et tournoyait en tout sens dans une sorte de grande voltige aérienne, hallucinante et vertigineuse. Neil commençait de tourner de l'œil, ne sachant plus à quoi se raccrocher pour ne pas tomber alors qu'elle s'était recroquevillée dans le recoin du mur qui faisait face à la porte, à demie accroupie par-terre, en position fœtale et quasiment rentrée en elle-même, affolée, se sentant prise au piège telle une bête traquée et acculée par la meute qui se rapprochaient, tandis qu'à l'extérieur le choc des pas sur le sol devenait si fort et intense qu'il lui semblait entendre comme d'énormes blocs de pierres se percutant et se répercutant les uns contre les autres, en un chaos terrifiant, démentiel, dégringolant de tout là-haut, tel un torrent de caillou, tombant en pluie, en avalanche, dévalant quelque abrupte pente de montagne et semblant ne plus devoir jamais s'arrêter. Tout s'effondrait en son esprit, tout fondait en elle, dans une gigantesque cascade de rocs et de roulements de rochers l'emportant avec eux au loin, quelquepart au bord de l'évanouissement, de la perte de conscience totale, de l'oubli, du vide et du néant. De la mort. Mais non, alors qu'elle allait se laisser aller dans cette chute infinie hors de tout, elle entendit du milieu de cette tempête la douceur d'une voix humaine bien connue qui dominait par-dessus ce grand tumulte, puis c'est alors que lui apparut un beau et rond soleil dans un ciel tout bleu où tout semblait apaisé soudain, une accalmie au milieu d'une vallée en fleurs jaunes et rouges où un petit ruisseau coulait, tranquille, parmi le chant des oiseaux et les herbes folles, toutes vertes, comme dans un dessin d'enfant. Et puis ce silence. Neil ? où es-tu ? C'était son père qui l'appelait doucement. Neil ? Je te vois... Dans sa mémoire, elle se revoyait à présent petite fille pendant les dernières grandes vacances avant que ses parents ne disparaissent tous les deux lors d'une éruption volcanique en Indonésie, dévorés vivants et emportés par une vaste coulée pyroclastique, en 1997. Ils étaient volcanologues en mission. Elle avait 8 ans 1/2. Neil ? c'est papa. Je t'ai vu ! Elle avait toujours bien aimé jouer à cache-cache avec lui et elle adorait se cacher, observer les choses de loin, à l'abri, ou alors faire des farces en s'amusant à leur faire peur tout -à- coup. Coucou ! Sa mère s'y laissait toujours prendre et hurlait de peur. Neil riait aux éclats. Son père aussi. Quel bel été ce fut cette année-là. Allô ? maman. Oui, ça va. Mamie et pépé sont gentils, oui. J'ai fait un gâteau, etc. Oui, des bisous. Le reste se perdait dans son souvenir. C'était leur dernier coup de téléphone avant d'embarquer à l'aéroport et de s'envoler pour 3 semaines. Pour toujours. Les sons et les images oubliés s'en allaient et lui revenaient à présent avec une force chaque fois nouvelle, soudaine, le volcan explosant et s'ouvrant en deux, la lave, les projections incandescentes, les fumées. Les cris. Un bruit monstrueux qui lui fonçait dessus pour la manger, elle. Comme un animal qui lui courrait après dans un grondement de tonnerre, un hurlement semblant mille voix. Un roulement d'éclairs aveuglants, assourdissants. Elle allait s'évanouir quand tout cessa une fois encore. Tout retomba, là. Ici.
La porte s'ouvrit et deux silhouettes apparurent dans l'encadrement. Elle ne distinguait plus rien, ses oreilles bourdonnaient, ses yeux piquaient, la brûlaient. Une des ombres s'avança et Neil comprit que c'était un homme, le corps massif, un peu trapu et courbé mais sans visage. Il portait quelquechose entre ses mains qu'il posa sur la table sans même la regarder. L'autre fit pareil à son tour, plus fin, plus grand aussi. Puis ils ressortirent. La porte se referma et un verrou tourna sur deux tours. Elle les entendit s'éloigner en riant, pas très fort non, comme s'ils plaisantaient d'un rien entre eux.
Elle souffla longuement, retrouvant son calme et ses esprits, peu à peu. Respirant mieux aussi.

Modifié il y a 6 ans, le vendredi 19 octobre 2018 à 23:10

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

Sur la table, de la nourriture et des objets. Une boîte de saucisses-lentilles à peine décongelée dont le couvercle était à demi relevé avec une petite cuillère plantée dedans, toute tordue. Un morceau de pain plutôt sec, deux pommes, et une bouteille d'eau déjà ouverte, à peine fraîche. Trois cigarettes et 3 allumettes avec un petit bout de grattoir. Un bloc de papier à spirales, un stylo à bille noir, avec une photographie, ou plutôt une impression à jet d'encre sur une feuille A4 pliée en deux, en couleurs.
C'était elle, Neil. Ses sourcils se soulevèrent puis se fronçèrent. On la voyait étendue parmi les feuilles, au pied d'un arbre, et visiblement sans connaissance, dans cette même forêt où ces hommes l'avaient ramassé quelques heures plus tôt après son accident de voiture avant de l'emmener ici. Elle reconnaissait l'endroit. Ses yeux s'exorbitèrent. Il y avait également couchés à ses côtés trois hommes inconnus, et visiblement morts d'une balle dans la tête chacun. Elle frissonna. Et du s'asseoir, sous le choc, ne pouvant plus détacher son regard de cette horreur. Affreux. Était-ce réel ? ou une simple mise en scène d'une scène de... oui, de meurtre. Un triple meurtre.
Lentement, elle ouvrit le petit bloc de papier et y lu ces quelques lignes manuscrites : " Où étiez-vous durant ces dernières 72 heures selon vous ? Les hommes qui vous ont enlevé après qu'une autre automobile vous ai percuté de plein fouet il y a trois jours, ceux-là même qui vous suivaient dans l'espoir que vous les conduisiez jusqu'à Mr. R., ce soir-là, ont cherché à vous faire parler en vous droguant, mais vous leur avait échappé à temps - Dieu sait comment -, suite à quoi j'ai pu intervenir de mon côté avant qu'ils ne vous rattrapent et ne vous tuent. Je vous ai sauvé la vie. Donnez-moi par écrit le code de connection du compte de Maître Robert, et je vous libérerais. Sans quoi vous resterez ici et personne ne vous retrouvera jamais ni ne viendra à votre secours. (PS: vous ne verrez jamais mon visage)"...
Il y avait une signature. Signé duschnockdu.

Modifié il y a 6 ans, le vendredi 19 octobre 2018 à 22:51

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

Elle ne connaissait rien de ce « duschnockdu » ou quasiment rien, si ce n’est qu’ils avaient peut-être échangé une fois ou deux sur le forum, se souvenait-elle, un soir, oui, il y a longtemps... Quant à Monsieur R., elle lisait en effet ses posts qu’elle appréciait selon l’humeur du jour, mais quel rapport avec elle ? Et comment connaîtrait-elle ses propres codes de connexion ? Pour quoi faire ? Merde à la fin, qu’est-ce que c’est que tout ce pataquès ! Quel psychopathe !
Neil mangea un peu. Tout. Elle vida aussi la bouteille d’eau. Puis fuma une cigarette, lentement, les yeux dans le vague, se balançant doucement sur sa chaise, comme se berçant. Enfin, elle se leva et alla jusqu’à la porte puis écouta. Aucun bruit. Elle avait envie d’uriner, bordel. Neil se mit à frapper de toutes ses forces contre, en vain. Silence total. La pauvre jeune femme dut se résoudre à se soulager dans un coin de la pièce. L’enculé, cracha t-elle entre ses dents, sans desserrer les mâchoires. Fils de pute !
Les codes de connexion. Bon. Elle prit le stylo-bic et écrivit : Gisèle Fronchiar. Au hasard. Un nom qui revenait souvent dans les personnages de Maître Robert, une héroïne d’une de ses nombreuses histoires de cul, enfin, de fesses. Bref. Une autre question la hantait, qui étaient donc les 3 hommes assassinés ? Sans doute des fakes ou des trolls, des faux - profils, arnaqueurs, brouteurs, etc. Comment savoir.
Ensuite, la fatigue commençant à peser dans tout son corps, endolorie de partout, elle se roula en boule à même le sol, le long d’un des murs semblant le plus propre, et sombra presqu’aussitôt dans le sommeil.

Modifié il y a 6 ans, le vendredi 19 octobre 2018 à 23:20

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

Quelqu’un la secouait, de loin. Du fin-fond de la nuit. Ehéé - Ooh ! Ça va, mademoiselle ?
Neil ouvrit les yeux. Il faisait grand jour. Elle était allongé dans l’herbe, sur un petit parking à promeneurs du dimanche, dans la forêt de Fontainebleau, près du carrefour de la Croix - Domingues. Un garde-forestier était penché sur elle. Un autre attendait, à côté, accoudé à leur voiture. La radio parlait d’un vol à main armé en plein Paris ce matin, mais tout de suite les prévisions météo, bla-blabla, il est 7h57.
Les deux employés de l’ONF la déposèrent devant la gare où elle prit le train et rentra chez elle, au-dessus des Buttes-Chaumont, dans le XIXe arrdt. Sur son palier, une enveloppe de papier craft. La première.

Modifié il y a 6 ans, le vendredi 19 octobre 2018 à 23:05

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

RÉSUMÉ :

Le pseudo duschnockdu, écrivain sans talent et bien piètre poète, fou de jalousie, cherche à obtenir par tous les moyens les codes de connexion de Maître Robert dans le but de détruire ses œuvres littéraires forumiques, allant pour cela jusqu’à tuer d’autres membres ou à enlever Neil, copie conforme de Eireen, auteur de ce topic.
Monsieur R., averti par un 6e sens hors du commun proche de l’omniscience, cherche à aider Neil à piéger et se défaire de ce « schnock », devenu dangereux. Il envoie alors un message à Neil/Eireen et lui donne rendez-vous afin de lui remettre des infos. Or, elle a un petit accident de voiture sans gravité en s’y rendant, et est alors enlevé par une bande de 3 faux brouteurs africains blancs qui eux, veulent la peau de ce Mr. Robert qui leur en met plein la tronche sur le forum en les ridiculisant et les dénonçant. Ils espèrent qu’elle leur donnera quelque renseignement sur le lieu de rendez-vous ou un moyen de lui mettre la main dessus, mais elle s’échappe dans la forêt proche. Ils la poursuivent et c’est alors que moi, le chnoque (qui surveillait tout ça de près), je les zigouille un à un et la sauve. Puis je prend une photo de la scène et enlève à mon tour Neil pour qu’elle me donne les fameux codes de Maître R. – car je les soupçonne tous les deux de n’être qu’un ou qu’une. Ce qui est bien entendu une erreur de jugement de ma part, aveuglé de haine que je suis. Mais bref, passons. Elle me donne un nom, au pif. Connexion impossible. Me rendant compte de mon erreur et de sa bonne foi, j'hésite, puis la relâche dans la nature.
Quant aux deux pseudos Alice et « rienousipeu », nul ne sait encore quel rôle leur est dévolu...


Voilà, en gros.
J’espère être retombé sur mes pieds.

Modifié il y a 6 ans, le samedi 20 octobre 2018 à 22:19

Photo de rienousipeu
rienousipeu il y a 6 ans

Le sieur rienousipeu s'étant commis et ce dès les prémices de l'histoire, d'une telle précipitation à brosser une atmosphère des plus lugubres, il se rendit compte qu'il fallait qu'il s'eclipse pour laisser aux autres une plus salutaire respiration de l'écrit leur permettant, tout à loisir et talent, de faire autrement mieux vivre cette histoire, en la séquençant de façon plus progressive vers ce qui pourrait être son déroulemant intriguant ou fantastique, etc...

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

LA 1ère intervention (non trop précipitée à mon sens, au contraire) de rienousipeu était concernant une certaine photographie, entièrement noire, dont on pourrait se demander si elle ne serait pas celle d'un membre, ou l'une des clefs permettant d'en découvrir la véritable identité cachée, ou encore quelqu'indice permettant d'avancer dans l'énigme et menant à sa résolution. Mr. Robert parle d'une image en filigrane. Une piste à creuser. Deux interventions à explorer plus avant.
Nous en étions au moment où Neil retourne le cliché de la première enveloppe...


Participants

Photo de rienousipeu Photo de mr.robert Photo de duschnock Photo de alice-2 Photo de arthur_rambo Photo de tortue-punk