|
loloh2o (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de cecil28
Tout à fait ! indispensable !
faut s'entretenir hein ,tu attend quoi que je te soutienne ahahah
|
|
cecil28 (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de loloh2o
faut s'entretenir hein ,tu attend quoi que je te soutienne ahahah
Non , rire ! bien que discuter , échanger c'est aussi ça ...tu as le mot juste , s'entretenir ....et prendre soin de soi ...
Belle journée lolo !
|
|
loloh2o (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de cecil28
Non , rire ! bien que discuter , échanger c'est aussi ça ...tu as le mot juste , s'entretenir ....et prendre soin de soi ...
Belle journée lolo !
a oui c'est une des mes occupations aussi
bonne journée a toi ^^
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
bonjour les amoureux !!
profitez profitez !
ce post est ouvert aux échanges langoureux !!
mdrrrrrrrrrrrrrrrrr
douce journée
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Il avait l'air malheureux
Assis sur le palier
Je le connaissais un peu
Je lui ai dit de monter.
Mains menottés
Derrière le dos,
Son père l'avait laissé
depuis le matin tôt.
Il s'assit dans le salon
J'allais à la cuisine
J'entends le pauvre garçon
Qui se plaint et rumine.
Je m'approche doucement
Curieuse et inquiète
Il me dit timidement
Qu'il doit aller aux toilettes.
Il me regarde implorant
Et on se sent très gênés
Je l'entraîne lentement
Jusque dans les WC.
Je me tiens à ses cotés
Et déboutonne sa braguette
Puis ma main va chercher
son zizi, sa quequette.
Quand je le prends en main
tous mes poils se herissent
C'est encore un gamin
Quel énorme penis!!
Je lui sors la queue
Avec un peu de mal
Je n'en crois pas mes yeux
C'est une queue de cheval!
Il me faut les deux mains
Pour lui dégager le gland
Qui apparaît soudain
Bien lisse et luisant.
Une fois soulagé,
Je lui secoue la queue
Qui se met à enfler
Et grossit peu à peu.
Là je m'agenouille
Et la détaille longuement
Je dégage ses couilles
Et les serre doucement.
Sa queue devient énorme
Pas très longue mais épaisse
D'une très jolie forme
Qui raidit et se dresse
Je le regarde dans les yeux
Et approche ma bouche
Son gland enfle encore un peu
dès que je le touche.
De mes deux mains
Je coulisse sa peau
J'essaie mais en vain,
Il est trop gros.
Je le ramène jusqu'au salon,
Et l'assois au bord du divan
Je lui baisse le pantalon,
J'enlève slip et collant.
Au dessus de lui, jambes écartées
Je me caresse avec sa grosse queue.
Bien que ma chatte soit toute mouillée,
M'empaler dessus serait monstrueux.
Alors je pivote, me mets sur le coté
Avec mes mains J'ouvre ma chatte,
Me pose sur son gland sans appuyer,
Recouvre de mes lèvres cette boule écarlate.
Tout doucement je descend,
Et jusqu'à la garde je l'enfonce en moi.
Au centre de ma chair un afflux de sang
Et une secousse me font gémir tout bas.
Ma chatte explose et se vide
Mais l'emboîtement est si fort
Que de tout mon brûlant liquide
Pas une seule goutte n'en sort.
Ma peau se détend peu à peu
Et je coulisse sur son membre en douceur.
Je suis remplie de sa queue
Sur toute ma voûte intérieure.
Ce gros morceau de chair en moi
Gonfle et bat comme un coeur
Je sens sur toutes mes parois
Se répandre une chaude liqueur.
Les battements de sa queue
Accentuent la cadence,
Nos liquides se mélangent entre eux,
Je perds connaissance.
Je me réveille, allongée sur le canapé,
Un lait encore tiède entre les cuisses,
Je me lève et ouvre la porte d'entrée,
Assis sur le palier, il me jette un regard complice.
merci ma cop pour ce poème torride!!
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Dans sa robe moulante, troublante elle était
J’observais ses seins nus qui remuaient
En forme de poire à l’aréole bombée
Au travers le tissu les reliefs transparaissaient
Elle avait toujours les jambes à l’air
Elle était Mère redevenue célibataire
Son petit garçon pour le week-end chez son Père
Une jolie Mère en bord de mer
Revenue avec le bon matériel, allons y c’est parti
Une position inconfortable, allongé sous l’évier un défi
j’avais quelques soucis avec la vieille robinetterie
Que je tente de dévisser, mais que nenni
Voisine il va falloir que vous m'aidiez
Par dessous l’écrou est rouillé, grippé
Quand je dévisse, le robinet se met à tourner
Il faudrait que vous le mainteniez
Elle m’enjambât, de part et d’autre
Je vois sous sa robe, je ne suis pas un apôtre!
Diable! Pas de culotte! Vous faites des vôtres!
Coquine voisine! Vous m’en direz d’autres !
Déconcentré, déconcerté, décentré
Ne sais plus dans quel sens l’écrou doit dévisser
Sous ses jambes en "V", c’est ma tête qui se met à tourner
Ce sexe nu, je peux le contempler à volonté
Claire a le mérite, sur ses désirs d’être claire
Elle s’appelait Claire, me montrait son huître perlière
Pas une fine de claire, mais une bien en chair
Surplombée d’une anémone de mer
Sur son bas ventre trônait un trapèze de poils
Le reste était clair comme un ciel d’étoiles
Lippes et contours, aucun poil, c’est pile-poil !
Sans voile Claire se dévoile
Entre ses gigues une paire d’amygdales
Se suspendaient ses petites labiales
Pour Claire « petites » c’est non convenable
Elles étaient magistrales
L’huître de Claire m’excite, m’amuse
Maintenant turgescente, a l’air d’une méduse
Humide, organique, mes yeux fusent
Point recluse derrière une bruyère, Claire tu abuses !
Quand tu me demandes si tout se passe bien
Je te réponds que la vue me rend aérien
Alors tes jambes fléchissent tout en s'ouvrant fort bien
Pétales dénudés, tu m'offres ta rose, ton écrin
Ta robe tu la remontes jusqu'au nombril
Découvrant ton pubis aux poils volubiles
Tes cuisses, tu ne peux les ouvrir plus, mes yeux trillent
Les sillons se déplissent, révèlent tes draperies, je frétille
Tes rideaux trempés se disjointent, se décollent
Entre tes jambes s'ouvre ta corolle, Claire tu es folle!
Je vois l'intime rose clair, de tes chairs cavernicoles
En clair, ton arcade vaginale, je perds mon self-control
Le sacristain pas encore vu, dans sa chapelle bien caché
De tes doigts son capuchon vermillon tu viens lui ôter
Découvert le clitoris! Débusqué le petit poucet!
Ma langue ... Grand léchant mou! Viendra le dévorer
Claire tu t'impatientes, et commences à rouler du bassin
Ta main droite sur ton coquelicot vas et vient
Tes doigts distendent les peaux de la soufrière, je vois ton vagin
Ma lampe à leds depuis le début éclaire, bien clair ton gredin
De mes mains sales, cette beauté point je ne touche
Je les laverais dehors au robinet, pas d’escarmouches
C’est avec ma bouche que je ferais touche touche
Torride bouche à bouche, le plaisir fait mouche
Le travail pas encore fini le lendemain, le paresseux !
Jusqu’au matin avons fait les heureux
Eau coupée pas de douche, obligés de demeurer crémeux
Nos fluides glutineux mélangés, nos attributs onctueux
Allons donc Claire ! Ne nous lavons pas à l’eau claire
Marions encore nos corps et nos fluides, jolie Claire
De tes chairs, de toi je suis amoureux, il n’y a pas d’impairs
Demain nous irons prendre nus, un bain de mer
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
petit essai !!!
Pour une nuit encor
Je pleure sur mon sort.
Vision enchanteresse,
Je rêve de vos fesses.
Dodu, charnu à souhait,
Le derrière parfait.
Votre raie au milieu
Est un trait malicieux
Qui montre le chemin
Vers un endroit malin.
J'adore cette robe,
Qui à mes yeux dérobe
Votre rotondité.
Mes yeux exorbités
Voient ces trésors cachés
Et que je vais toucher.
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
ouaip !peu de poètes ici !
snifffffffff
|
|
cecil28 (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de fredvienne
ouaip !peu de poètes ici !
snifffffffff
Pas poétesse ! mais les paroles de ce slam à sa place ici
Les 5 sens en éveil à l'approche de la Belle
Les capteurs s'émerveillent, répondant à l'appel
En un battement de cils, ils oscillent dociles
Vulnérables et puissants, équilibre fragile
Ça commence par la vue, rien n'est fait au hasard
Comme elle ôte ses vêtements, il l'habille du regard
Il la parcourt doucement, il n'a d'yeux que pour elle
Elle le tient et il y tient, comme à leurs prunelles
Elle n'a pas froid aux yeux, lui son œil est rincé
Comme il navigue à vue, il voudrait l'embrasser
Elle approche fébrile pour amorcer le jeu
Son visage et son corps, il en a plein les yeux
Elle est tout près de lui, imposant son aura
Comme un réflexe bestial se réveille l'odorat
Les pupilles se dilatent, les paupières sont fermées
Maintenant s'il la voit, c'est bien à vue de nez
Il respire son parfum et l'odeur de sa peau
Son arôme est si fin, c'est un nouveau cadeau
Et puisqu'il a du flair, elle va lui en donner
Il adore qu'elle le mène, par le bout du nez
Leurs bouches se rejoignent, le baiser le plus doux
Ses lèvres et puis sa langue, il aime déjà leur goût
Comme elle goûte à son charme, ils iront jusqu'au bout
C'est une femme de classe et un homme de goût
On dépasse la tendresse, maintenant le temps presse
Les pulsions apparaissent au départ des caresses
Car le sens qui prend place est celui du toucher
Ils étaient bien debout, ils seront mieux couchés
Il l'effleure de ses doigts, de ses mains, de sa bouche
Il sent bien que sa manière de la toucher la touche
Comme c'est un touche-à-tout, bien sûr il n'oublie rien
Elle n'est pas sainte-ni-touche, alors elle lui rend bien
Pour être consentant, il est bon qu'on s'entende
Cette écoute est mutuelle et les muscles se tendent
Oui le dernier des 5 sens est celui de l'ouïe
Il est proche de la transe quand elle susurre un "oui"
Y a pas que les murs qu'ont des oreilles, les voisins vont comprendre
Quand le jour se fait attendre, l'amour se fait entendre
Car de bouche à oreille, j'entends dire aujourd'hui
Que l'éveil des 5 sens a de beaux jours devant lui
GCM ..
Une belle journée et une bise
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de cecil28
Pas poétesse ! mais les paroles de ce slam à sa place ici
Les 5 sens en éveil à l'approche de la Belle
Les capteurs s'émerveillent, répondant à l'appel
En un battement de cils, ils oscillent dociles
Vulnérables et puissants, équilibre fragile
Ça commence par la vue, rien n'est fait au hasard
Comme elle ôte ses vêtements, il l'habille du regard
Il la parcourt doucement, il n'a d'yeux que pour elle
Elle le tient et il y tient, comme à leurs prunelles
Elle n'a pas froid aux yeux, lui son œil est rincé
Comme il navigue à vue, il voudrait l'embrasser
Elle approche fébrile pour amorcer le jeu
Son visage et son corps, il en a plein les yeux
Elle est tout près de lui, imposant son aura
Comme un réflexe bestial se réveille l'odorat
Les pupilles se dilatent, les paupières sont fermées
Maintenant s'il la voit, c'est bien à vue de nez
Il respire son parfum et l'odeur de sa peau
Son arôme est si fin, c'est un nouveau cadeau
Et puisqu'il a du flair, elle va lui en donner
Il adore qu'elle le mène, par le bout du nez
Leurs bouches se rejoignent, le baiser le plus doux
Ses lèvres et puis sa langue, il aime déjà leur goût
Comme elle goûte à son charme, ils iront jusqu'au bout
C'est une femme de classe et un homme de goût
On dépasse la tendresse, maintenant le temps presse
Les pulsions apparaissent au départ des caresses
Car le sens qui prend place est celui du toucher
Ils étaient bien debout, ils seront mieux couchés
Il l'effleure de ses doigts, de ses mains, de sa bouche
Il sent bien que sa manière de la toucher la touche
Comme c'est un touche-à-tout, bien sûr il n'oublie rien
Elle n'est pas sainte-ni-touche, alors elle lui rend bien
Pour être consentant, il est bon qu'on s'entende
Cette écoute est mutuelle et les muscles se tendent
Oui le dernier des 5 sens est celui de l'ouïe
Il est proche de la transe quand elle susurre un "oui"
Y a pas que les murs qu'ont des oreilles, les voisins vont comprendre
Quand le jour se fait attendre, l'amour se fait entendre
Car de bouche à oreille, j'entends dire aujourd'hui
Que l'éveil des 5 sens a de beaux jours devant lui
GCM ..
Une belle journée et une bise
merci !
humm
le slam et certaines chansons ont aussi leur place ici !!
gainsbourg avait fait chanter france gall avec '"" les sucettes à l'anis ""
mdrrr
bisous et douce journée
merci encore
|
|
julienne56 (clôturé)
il y a 7 ans
Passage en coup de vent .....
pour faire voler les jupes des filles
Comme promis
Cette poésie est dans mon anthologie , je l'ai recherché sur le net ( pour ne pas la taper , suis paresseuse!) et j'ai été surprise de découvrir des couplets qui ne sont pas dans mon bouquin et réciproquement donc lorsque je serais plus courageuse je rajouterai les couplets manquants
Il était inspiré le Môsieur!
Ode au vagin
Quand une femme est en chemise
Les épaules de marbre blanc,
Le cul, forme encore indécise
Dans les plis du voile tremblant,
Le parfum épars dans la chambre,
L'orteil, le mollet qui se cambre,
Les nichons rosés d'un émoi,
Les bras, la taille forte ou frêle,
Tout t'annonce, tout te révèle,
Rien n'est attirant que pour toi.
Le voile glisse. Extase ! Aurore !
Exquis prélude des bons coups !
Les cuisses te cachent encore,
Mais voici ton poil souple et doux,
Ton poil, touffe d'or ou d'ébène
Que l'on croirait posée à peine
Au bas du ventre point plissé,
Et qui, lentement caressée,
Allonge sa pointe frisée
Comme un triangle renversé.
Mais les cuisses s'ouvrent. Victoire !
Voici le con dans sa beauté,
Sous sa frisure blonde ou noire
Adorablement abrité,
Humide comme une prunelle,
Frissonnant déjà comme une aile
Dans le fouillis des rameaux verts,
Détendu sur sa fente rose,
Et l'air tout de même un peu chose,
Avec son sourire en travers !
La main de l'amant t'entrebâille
Vivante rose de cypris,
Et de tout de suite elle travaille,
D'un doigt léger, le clitoris.
Fin chef-d’œuvre de la nature,
Vit d'oiseau, pine en miniature,
Bouton subitement durci,
Qui, dans l'écartement des lèvres,
Tout baigné d'amoureuses fièvres,
Dresse la tête et bande aussi.
Ô paradis ! Joie étoilée !
Explosion du désir fou !
La langue, la langue effilée,
Toute la langue dans le trou !
Pendant que, de ses mains savantes,
Il étreint les fesses mouvantes
Ou chatouille le bout des seins,
Et que, la chevelure éparse,
L'impétueuse et belle garce
Halète en mordant les coussins !
Et d'abord il faut que je dise,
En un rythme savant et clair
Comment ta forme se précise
Dans le poème de la chair.
Mais quel baiseur - fut-il un maître
Dans l'art de s'égayer l'urètre -
A t-il seulement soupçonné
Comment tu t'ouvres et te fermes,
Et de quels subtils épidermes
La nature t'a façonné ?
Tu reste pour lui le mystère,
Sous sa main comme sous ses yeux,
L'énigme auguste de la terre,
Le secret énorme des cieux,
Le gouffre petit, mais terrible,
Le fantastique trou du crible,
L'enfoncement sombre et béni,
La réalité dans le rêve,
L'inexplicable fente d'Eve
Sur la nuit et l'infini.
Quand on t'ouvre et qu'on te regarde
Dans ta sublime étrangeté,
La prunelle devient hagarde
Comme au bord d'un flot redouté.
Curiosités dangereuses !
Tu t'élargis et tu te creuses :
Les doigts effarés doutent d'eux.
La lèvre, délicate et rose,
S'amincit et se superpose :
On croirait que vous êtes deux !
Quelle floraison magnifique
Au divin jardin des amours !
Ainsi que le Protée antique,
Tu changes partout et toujours,
Tantôt plus fermée qu'une digue,
Tantôt béant comme une figue
Quand au soleil elle se fend,
Tantôt mi-clos à la décharge,
Tout petitet, juste assez large
Pour le frêle doigt d'un enfant.
Clovis Hugues
|
|
julienne56 (clôturé)
il y a 7 ans
oups ! j'ai oublié bonjour Fred et le monde.
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de julienne56
Passage en coup de vent .....
pour faire voler les jupes des filles
Comme promis
Cette poésie est dans mon anthologie , je l'ai recherché sur le net ( pour ne pas la taper , suis paresseuse!) et j'ai été surprise de découvrir des couplets qui ne sont pas dans mon bouquin et réciproquement donc lorsque je serais plus courageuse je rajouterai les couplets manquants
Il était inspiré le Môsieur!
Ode au vagin
Quand une femme est en chemise
Les épaules de marbre blanc,
Le cul, forme encore indécise
Dans les plis du voile tremblant,
Le parfum épars dans la chambre,
L'orteil, le mollet qui se cambre,
Les nichons rosés d'un émoi,
Les bras, la taille forte ou frêle,
Tout t'annonce, tout te révèle,
Rien n'est attirant que pour toi.
Le voile glisse. Extase ! Aurore !
Exquis prélude des bons coups !
Les cuisses te cachent encore,
Mais voici ton poil souple et doux,
Ton poil, touffe d'or ou d'ébène
Que l'on croirait posée à peine
Au bas du ventre point plissé,
Et qui, lentement caressée,
Allonge sa pointe frisée
Comme un triangle renversé.
Mais les cuisses s'ouvrent. Victoire !
Voici le con dans sa beauté,
Sous sa frisure blonde ou noire
Adorablement abrité,
Humide comme une prunelle,
Frissonnant déjà comme une aile
Dans le fouillis des rameaux verts,
Détendu sur sa fente rose,
Et l'air tout de même un peu chose,
Avec son sourire en travers !
La main de l'amant t'entrebâille
Vivante rose de cypris,
Et de tout de suite elle travaille,
D'un doigt léger, le clitoris.
Fin chef-d’œuvre de la nature,
Vit d'oiseau, pine en miniature,
Bouton subitement durci,
Qui, dans l'écartement des lèvres,
Tout baigné d'amoureuses fièvres,
Dresse la tête et bande aussi.
Ô paradis ! Joie étoilée !
Explosion du désir fou !
La langue, la langue effilée,
Toute la langue dans le trou !
Pendant que, de ses mains savantes,
Il étreint les fesses mouvantes
Ou chatouille le bout des seins,
Et que, la chevelure éparse,
L'impétueuse et belle garce
Halète en mordant les coussins !
Et d'abord il faut que je dise,
En un rythme savant et clair
Comment ta forme se précise
Dans le poème de la chair.
Mais quel baiseur - fut-il un maître
Dans l'art de s'égayer l'urètre -
A t-il seulement soupçonné
Comment tu t'ouvres et te fermes,
Et de quels subtils épidermes
La nature t'a façonné ?
Tu reste pour lui le mystère,
Sous sa main comme sous ses yeux,
L'énigme auguste de la terre,
Le secret énorme des cieux,
Le gouffre petit, mais terrible,
Le fantastique trou du crible,
L'enfoncement sombre et béni,
La réalité dans le rêve,
L'inexplicable fente d'Eve
Sur la nuit et l'infini.
Quand on t'ouvre et qu'on te regarde
Dans ta sublime étrangeté,
La prunelle devient hagarde
Comme au bord d'un flot redouté.
Curiosités dangereuses !
Tu t'élargis et tu te creuses :
Les doigts effarés doutent d'eux.
La lèvre, délicate et rose,
S'amincit et se superpose :
On croirait que vous êtes deux !
Quelle floraison magnifique
Au divin jardin des amours !
Ainsi que le Protée antique,
Tu changes partout et toujours,
Tantôt plus fermée qu'une digue,
Tantôt béant comme une figue
Quand au soleil elle se fend,
Tantôt mi-clos à la décharge,
Tout petitet, juste assez large
Pour le frêle doigt d'un enfant.
Clovis Hugues
outchhhhh
il te décris vraiment très bien !!
merc i pour ce poème que je ne connaissais pas !
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de julienne56
oups ! j'ai oublié bonjour Fred et le monde.
t'es pardonnée
vu comme tu a été décrite..
un régal !!!!!!!!!!!!!!!
bises
|
|
fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
L’Orchidée De Bacchus
Non, ce n’est pas la douce Pénélope,
Non, ce n’est pas la fille qu’on rêve d’avoir,
Oui, c’est une bien douce salope,
Oui, c’est une fille des trottoirs.
Non, elle ne demande pas de parure d’or,
Non, elle ne signe pas de « oui » fatidique,
Oui, elle soupire « encore ! encore ! »,
Oui, elle m’a fait vivre un instant unique.
Non, elle ne sermonne pas à tout-va,
Non, elle ne pousse pas de crise de nerfs,
Oui, elle se cambre à tes appâts,
Oui, elle te fait décoller de par terre.
Non, elle n’est pas de ces âmes livides,
Non, elle n’adhère pas à la vie sans gaietés,
Oui, elle a l’amour coquinement perfide,
Oui, elle vit une jeunesse emplie de frivolités.
Oui, ce poème sonne un peu mélancolique,
Oui, ce souvenir à jamais dans ma pensée,
Oui, elle m’a offert un plaisir orgasmique,
Non, je n’ai pas regretté l’avoir quittée.
|