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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de elnetta
C'est un jour tableau noir, aucune inspiration, la craie tombée je ne peux constater que seul le néant me veut du bien!
le néant ??
aie !
il eut été préférable que ce fusse un méat !!!!
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
HARMONIEUSES EPOUSAILLES
Tu es là!
Nue
Sur le drap
Et ton ventre et tes seins et tes cuisses
En sueur
Se jouent de la lumière
Dans les giclures de l’ombre.
Je te veux
A cru
Tout à moi.
Viens te planter profond
Généreux en ma terre.
Viens!
En dévastateur
Laboure mes entrailles
A faire germer ma peau
Regarde.
Je suis là
Nu devant tes yeux.
J’ai au ventre un miracle de chair désirante.
Tendu
Dressé
Gonflé
Il n’est jamais aussi dur que lorsqu’il est doux à l’extrême
Prêt à s’aboucher à tes flancs
Qui déjà s’inondent.
Oh! Laisse- moi le temps
De laper l’eau de tes aisselles
Respirer cette odeur de femelle entre tes cuisses
Te piller
T’incendier
Te dévaster
Sous ma bouche qui te fouille.
Je t'aime!
Je t'aime tant.
Toute en appel de toi j'implore ta chaleur
A ton membre durci je veux coller mes lèvres
T'éblouir des dix mille soleils de mon aura
T'offrir dix mille étoiles
A t'éclater de moi
Là
Où le ciel épouse la Mer
Là
Où le vent secoue la Terre
Ivres des éléments
En osmose
Hors du temps
En suspension
A faire jaillir dix mille laves
Des cratères de la passion
Nous renaîtrons ensemble
Dans le creuset de nos orgasmes
Poème écrit de concert par
François D ALAYRAC et MarionLUBREAC
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Parmi l'onde vêtue aux vertus de son teint,
Dans un rêve perdu entre hier et ses mains,
J'éclos d'une inconnue butinant ses satins
Et portant à ma vue.., mes nues en son jardin
L'eau se baigne auprès d'elle jusqu'à humer sa peau
Qui plisse sensuelle la courbe de ses flots
Ô froisse sur l'autel de mes pensées bateau..
Ces parfums qu'elle épelle à la source des mots
La chute de ses reins sait l'exquise promesse
Où s'ouvre le chemin de l'intime caresse,
Qu'ell' glisse de son sein ferme et luisant de liesse,
Au cœur.. de son bassin.., callipyge déesse !
Ses hanches me ruissellent, déversent en un bouquet..
Ce buisson de dentelles clairsemé.. de rosées,
Qu'embrassent mes prunelles et mimant son toucher,
Je Suis.. la gestuelle que son épaule, émet..
Mais la bouche d'un ciel florifère où je pleus
Dépose en grand mes ailes en lisièr' de ses yeux,
Et je plonge éternel au fond nu de ses cieux
D'où m'aspire ô m'appelle, le vent de ses cheveux
Sens mon cœur engorgé d'ineffables apogées
S'éprendre à dessiner ses lèvres esseulées
Sur ces miennes lovées par tant d'éternités,
Qui s'ouvrent à ma portée quand son regard me vêt..
..Soudain, de son sourire je suis Le désigné..
Alors, par les halos que mon torse défait
J'approche.., ô son désir et tandis qu'ell' nous sait,
La nudité de l'eau présage en ses reflets
En surface ce lien nous tissant de plus belle,
Se fait si court enfin ! ...Nous prolonge charnels :
M'épouse son divin ; ell' déflore rebelle
Tout un printemps qu'en vain, j'aurais cueilli pour Elle
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
un peu de poème lesbien ???
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Citation de fredvienne
HARMONIEUSES EPOUSAILLES
Tu es là!
Nue
Sur le drap
Et ton ventre et tes seins et tes cuisses
En sueur
Se jouent de la lumière
Dans les giclures de l’ombre.
Je te veux
A cru
Tout à moi.
Viens te planter profond
Généreux en ma terre.
Viens!
En dévastateur
Laboure mes entrailles
A faire germer ma peau
Regarde.
Je suis là
Nu devant tes yeux.
J’ai au ventre un miracle de chair désirante.
Tendu
Dressé
Gonflé
Il n’est jamais aussi dur que lorsqu’il est doux à l’extrême
Prêt à s’aboucher à tes flancs
Qui déjà s’inondent.
Oh! Laisse- moi le temps
De laper l’eau de tes aisselles
Respirer cette odeur de femelle entre tes cuisses
Te piller
T’incendier
Te dévaster
Sous ma bouche qui te fouille.
Je t'aime!
Je t'aime tant.
Toute en appel de toi j'implore ta chaleur
A ton membre durci je veux coller mes lèvres
T'éblouir des dix mille soleils de mon aura
T'offrir dix mille étoiles
A t'éclater de moi
Là
Où le ciel épouse la Mer
Là
Où le vent secoue la Terre
Ivres des éléments
En osmose
Hors du temps
En suspension
A faire jaillir dix mille laves
Des cratères de la passion
Nous renaîtrons ensemble
Dans le creuset de nos orgasmes
Poème écrit de concert par
François D ALAYRAC et MarionLUBREAC
Rassure moi François et Marion sont encore en vie!
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Les flambeaux de nos étreintes
J’erre avec toi,
ma Divine,
par les bois et les prés du Maine
qui ont vu éclore les rimes de notre Passion, et
la beauté de nos noces
parmi l’ivresse des saisons,
tu n’as que seize ans comme moi,
mais la grappe de tes seins,
et l’enclos de tes hanches ont ouvert mon coeur
aux flambeaux de nos étreintes.
Je compose pour toi chaque jour
des odes saphiques que je te récite à genoux, et
il n’en est rare quand nous rentrons en notre borde le soir
de gagner notre chambre,
et de célébrer la messe de nos chairs si belles.
Aujourd’hui, ma langue et mes doigts
t’ont câlinée des heures durant, nous avons jouté de pureté,
tu étais si belle, et tu as geint de Grâce,
tes seins de magnificence ont durci alors,
l’archipel de ton pertuis m’a réclamée,
tes soupirs sont montés par delà les bourgs, et les cités de fer,
et ont délivré au monde
les hymnes de ta langueur et de ton ivresse,
puis j’ai vendangé le miel de ta Jouissance
que j’ai récolté en tremblant.
Nous reposons maintenant l’une dans l’autre,
tes yeux de clarté me fixent,
et étendue contre la paroi de tes aisselles,
je te déclame
des strophes d’amour et de splendeur !
Sophie Rivière
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de elnetta
Rassure moi François et Marion sont encore en vie!
bien sur !!
mdrrrrrrrrrrrr
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
J’ai effeuillé la virginité de tes désirs
J’adore la langueur de tes baisers,
ma Douce,
quand penchée contre moi,
à l’aurore,
tu me fixes, ardente,
en robe de nudité,
sur notre couche dévastée
par nos duels d’Eros.
Dehors, des freux griffent l’horizon,
l’azur voluptueux déroule les hanches de l’été,
le cristal des rimes monte dans les bocages
au-dessus de nos prunelles,
tu n’aimes rien tant alors
que de plaquer
les lys de tes seins pigeonnants,
arrogants et lourds,
qui se balancent au gré de tes mouvements,
contre les miens.
J’ai effeuillé cette nuit
la virginité de tes désirs,
et l’hymne des tribades
que tu affectionnes tant,
ô mon Impératrice d’Infini,
et l’ivresse de nos moiteurs d’alcôve,
tu m’as prêté allégeance,
et nos avons bu en la coupe de mes paumes
le miel de ta chair,
célèbre maintenant
avec tes lèvres et tes paumes
le continent de mes sens inassouvis,
l’archipel de mes émois et de nos étreintes,
découvre la grotte secrète de ma matrice
jusqu’à la délivrance de ma Jouissance si belle et si douce !
Sophie Rivière
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Citation de fredvienne
un peu de poème lesbien ???
Si le cour tandis mdrrrrrrrrr!
Adieu langin!!!
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de elnetta
Si le cour tandis mdrrrrrrrrr!
Adieu langin!!!
adieu !!
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Citation de fredvienne
adieu !!
Courte cette poésie. mdrrrrrrr!
Oh m'amuse, que serais-je sans toi!!!!
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
pour toi
je suis sur que c'est toi qui me l'a ecrit ...
Fais moi m’essouffler,
Respirer… si suave,
Fais moi m’écrouler,
Ne sois pas si sage…
J’aime quand tout est contrôlé,
Par toi je suis si enchaînée,
Tu es le maître de nos jeux érotiques,
Soumise je suis durant ces plaisirs électriques.
Glisse vers moi, mords moi,
Glisse ton foutre vers moi…
Mange moi, fesse moi
Prend ton temps mais baise moi…
Tue moi de toi,
Noie moi, étouffe moi de toi.
Examine moi comme une patiente
Si persévérante avec toi.
Punie moi si je ne suis pas canine
Ne me pardonne pas même si je suis câline,
Contre le mur plaque moi,
Malgré mes cris tu sais que j’aime ça.
Et jusqu’au bout si je ne suis pas chienne,
Ose partout, malgré les « non » je suis la tienne.
Maître pervers affine moi,
Car tous ces vers sont pour toi.
Mon corps tremblant sous tes doigts,
Te réclame… Sa chaleur sera bientôt gelée…
D’un liquide délicat…
Analyse moi…
Retourne moi, et fais de moi,
Ce que le maître préfère,
Je m’écarte pour lui,
Il me prépare et je luis.
Quand tout se mélange
Ca donne un goût étrange
Un goût qui fait mal,
Et restera dans les annales…
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Théhile Gautier (1811-1872)
Concordances
Dieu fit le con, ogive énorme,
our les chrétiens,
Et le cul, plein-cintre difforme,
Pour les païens ;
Pour les sétons et les cautères,
Il fit les poix,
Et pour les pines solitaires,
Il fit les doigts.
*
Bonheur Parfait
Que les chiens sont heureux
Dans leur humeur badine
Ils se sucent la pine
Ils s'enculent entre eux
Que les chiens sont heureux
*
Le Godemichet de la gloire
Un vit sur la place Vendôme,
Gamahuché par l'aquilon,
Décalotte son large dôme
Ayant pour gland Napoléon.
Veuve de son foufeur, la Gloire,
La nuit dans son con souverain,
Enfonce — tirage illusoire ! —
Ce grand godemichet d'airain..
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ils se reconnaitrons.
Ce qui nous donne lieu de ne pas en faire plus!
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
pas sur !!!!!!!!!!
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