" Biais Éditorial covid19 du BMJ – Impact sur les Politiques de Confinement et Vaccinales "
27 juin 2024
" Dans cet Article:
Qu'est-ce que le BMJ ?
Synthèse Critique
Est-ce que le BMJ pourrait être attaqué en justice ?
Traduction Reaction19 : Biais de plaidoyer COVID-19 dans le BMJ
Original : Biais de plaidoyer COVID-19 dans le BMJ
Publication publiée :27 juin 2024
Dans cet Article:
Qu'est-ce que le BMJ ?
Synthèse Critique
Est-ce que le BMJ pourrait être attaqué en justice ?
Traduction Reaction19 : Biais de plaidoyer COVID-19 dans le BMJ
Original : Biais de plaidoyer COVID-19 dans le BMJ
1. Qu'est-ce que le BMJ ?
Le BMJ, autrefois connu sous le nom de British Medical Journal, est une revue médicale de premier plan au niveau mondial. Il est reconnu pour la publication de recherches médicales, d'articles d'opinion, de revues systématiques, et de commentaires sur divers sujets de santé et de médecine. Le BMJ est réputé pour son engagement en faveur de la médecine fondée sur des preuves et joue un rôle influent dans la communauté médicale et scientifique.
2. Synthèse Critique
Objectifs
Cette étude visait à évaluer la présence et les biais potentiels des points de vue plaidoyers publiés par le BMJ, une revue médicale de premier plan, pendant la pandémie de COVID-19. L'objectif était de déterminer si le BMJ avait favorisé des positions spécifiques influençant les politiques de confinement, les passes vaccinales et les obligations vaccinales.
" «Pénétrer la forteresse médiatique, c’est possible»
Le cardiologue britannique Aseem Malhotra a patiemment tissé depuis dix ans un réseau de journalistes, politiciens et médecins. Grâce auquel il fait sortir des infos solides sur les vaccins ou les projets de l’OMS."
12 juin 2024
" Au Royaume-Uni, les médias ne se gênent plus de questionner la politique sanitaire des autorités. On l’a encore vu le 4 juin avec l’article du Telegraph (lire notre article y relatif) mettant en lien les 3 millions de morts excédentaires observées en ident de 2020 à 2022 avec les effets du vaccin Covid. Alors que les critiques sur ce point restent quasi absentes dans les pays francophones.
Le Dr Aseem Malhotra a largement contribué à cette ouverture. Ce cardiologue s’est fait connaître depuis dix ans en dénonçant les ravages du sucre dans l’alimentation industrielle. Lors de la crise Covid, il s’est d’abord fait vacciner deux fois, avant d’étudier de près les effets de ces injections sur les patients, en travaillant avec des journalistes médicaux et des lanceurs d’alerte de Pfizer.
" Mesdames et messieurs, bienvenue au Sommet biomédical sur la prévention du VIH 2023 à Las Vegas. Entrera sur scène, le Dr Demeter Daskalakis, coordinateur national adjoint de la Maison Blanche pour la réponse à la variole du singe.
" Bonne nouvelle!
La vaccination des canards n'est obligatoire que pour les élevages de plus de 250 canards
Vous pouvez encore manger du canard sans ARNm! "
" Rudolf Steiner : le Culte des vaccins et le déclin de la spiritualité en Europe "
" On n’a pas assez relié le développement des vaccins avec la disparition des génies artistiques et littéraires en occident : à partir des années 1880, ils se raréfient au niveau de naissances, ensuite ils disparaissent. Qui a succédé à Broch, Musil, Strauss, Ravel, Céline, Bernanos, Bartok ou Ives ? La disparition de la grande culture pressentie par Zweig dans les années trente est une donnée du monde d’après 1945.
On entre dans l’ère du citoyen superflu dont parle Nietzsche dans Zarathoustra, citoyen tellement superflu qu’il se laisse emprisonner et exterminer sans réagir. La culture devient du savoir congelé (Debord) ou de la pensée et de la musique jetable. La poésie a disparu : tout ce qui importe c’est de jouir et survivre. La panique Covid et le code QR n’ont pas d’autre cause.
Le déclin de la spiritualité accompagna aussi la modernité et ses vaccins (voyez ce pape et ces cathos) ; et c’est là que je vais reprendre Rudolf Steiner et ses conférences de 1917. Steiner est un grand esprit qui n’est pas ma tasse de thé, pas plus que Lévi-Strauss. Je les cite ici parce qu’ils ont raison ou ouvrent une vraie question sur un certain point de la monstruosité moderne. Quod verum est meum est, comme dit Sénèque à Lucilius (lui oui est un de mes maîtres).
Steiner voit donc le vide spirituel arriver avec son cortège de démons :
« En fait, rien ne reste tout a fait vide. Et dès lors que l’âme de l’homme se retire de plus en plus de son corps, celui-ci est de plus en plus exposé au danger d’être habité par autre chose. Si les âmes ne veulent pas faire effort pour s’ouvrir à des impulsions spirituelles qui ne peuvent prendre naissance que dans la connaissance du spirituel, le corps sera habité par des êtres démoniaques. Voilà le sort vers lequel marche l’humanité ; les corps peuvent être entièrement habités par des puissances ahrimaniennes démoniaques. »
Il est bon, disait Léon Bloy (qui redoutait Pasteur comme la peste) d’exaspérer les imbéciles et de rafraîchir l’imagination des bons chrétiens ; alors poursuivons dans la même veine :
« La nostalgie du diable qu’a ressentie Ricarda Huch a vraiment un lien avec ce qui se prépare. Les institutions, les concepts, les idées sociales que conçoivent aujourd’hui les gens sont des abstractions grossières par rapport aux conditions complexes qui vont se créer. Et parce que les humains ne sont pas capables de saisir à l’aide de leurs concepts, de leurs représentations, la réalité qui est là, ils glissent de plus en plus au chaos, comme le révèlent suffisamment les évènements de cette guerre. »
Car on est en 1917. Steiner ajoute :
« Autrefois, au concile de Constantinople, l’esprit a été éliminé, on a institué un dogme : l’homme n’est fait que d’une âme et d’un corps, parler d’esprit est une hérésie. On aspirera sous une autre forme à éliminer l’âme, la vie de l’âme. »
Si un christianisme déjà dévoyé a éliminé l’esprit, le scientisme moderne élimine, lui, l’âme ; c’est là que le vaccin va l’aider :
« Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une « saine vue des choses », on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. »
Seul le corps doit rester, l’âme et l’esprit doivent disparaître :
« Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps « sains », c’est à dire constitués de telle façon qu’ils ne parleront plus de ces sottises que sont l’âme et l’esprit, mais, parce qu’ils seront « sains », des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitués les planêtes et le Soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps.é
Rôle du médecin moderne :
« On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l’humanité des âmes. Oui, ceux qui croient qu’on peut prévoir l’avenir à l’aide d’idées qui jouent avec la réalité, sont bien dans l’erreur. »
La liquidation spirituelle des enfants est déjà à l’ordre du jour :
3Je vous ai expliqué que les esprits des ténèbres souffleront à leurs hôtes, aux hommes qu’ils habiteront, de découvrir un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité. On vaccine aujourd’hui contre telle ou telle maladie, à l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut trés bien composer, et qui empêchera les enfants de développer en eux les « folies » de la vie spirituelle, « folie » dans la perspective matérialiste, bien entendu.
C’est à cette époque très freudienne qu’on cherche à traiter chimiquement ou cliniquement les génies :
« La chose a déjà commencé, dans le domaine littéraire du moins, où elle est moins nocive. Des écrits de médecins trés savants ont déjà paru qui traitent de la pathologie de différents génies. Conrad Ferdinand Meyer, Victor Scheffel, Nietzsche, Schopenhauer, Goethe, on a essayé de les comprendre tout en faisant état de tel ou tel trait pathologique avéré. Et ce qui est le plus bouleversant dans ce domaine, c’est qu’on a aussi essayé de comprendre le Christ Jésus et les Évangiles en se plaçant au point de vue de la pathologie. »
Les siècles du totalitarisme et des camps de concentration arrivent. Dans un esprit proche de Guénon et de Bernanos, Steiner écrit :
« Mais tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie, on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. »
Cela explique très certainement la faible résistance à la tyrannie sanitaire et au Reset. Les peuples abêtis et grégaires ont été anesthésiés (cf. Payne et aussi Ortega Y Gasset) par le consumérisme, la massification, les médias mais aussi par les vaccins. Le culte obligatoire des vaccins actuels, promu par 99% des élites mondiales et par ce pape monstrueux, n’est certes pas fortuit.
" Rappel – La conseillère de Macron, Anastasia Colosimo : « Laisser mourir les non-vaccinés est un bon moyen de sélection naturelle »
Pour un devoir de mémoire, nous avons décidé de remettre en avant les articles où des personnalités (ou pas) s'en sont prises frontalement à une minorité de la population, en l'occurrence les non-vaccinés. Afin de ne pas oublier les souffrances, les injures et la violence qu'ils ont subies avec l'aval des gouvernements. "
30 juin 2024
" Dans la série tout est permis, Anastasia Colosimo y va de sa petite phrase assassine des plus scandaleuses. Invitée sur le plateau de David Pujadas, mercredi 27 décembre 2021, pour discuter sur le thème : Non-vaccinés à l’hôpital : Le dilemme des médecins, l’enseignante en théologie politique dépasse les bornes en espérant le décès d’une catégorie de Français qui ne semblent pas mériter une place sur cette Terre.
David Doukhan – rédacteur en chef du service politique du Parisien/Aujourd’hui en France — argumente sur le refus de soigner les non-vaccinés : « Imaginer que l’on puisse refuser de soigner quelqu’un parce qu’il a fait un choix — que l’on peut considérer comme stupide si vous voulez. Alors parce qu’on est stupide, on est condamné à mort ? » C’est à ce moment-là qu’Anastasia Colosimo — docteur en théologie politique — décide d’intervenir de la façon la plus détestable possible en affirmant, tout sourire, que « ce serait un bon moyen de sélection naturelle ! » David Doukhan, hébété par les propos d’Anastasia, rétorque « Mais ça va pas bien ? ». La politologue se réjouit et espère la mort d’une partie de la population française. Nous espérons tout de même qu’elle n’enseignera pas cette nouvelle discipline mortifère à ses élèves de Sciences Po à Paris. "
" La pandémie de COVID-19 a révélé des failles profondes dans la gestion des crises sanitaires globales. Elle a entraîné des mesures sans précédent comme les confinements, les restrictions de voyage et les campagnes de vaccination massives.
Initialement perçues comme nécessaires, ces mesures ont rapidement été sujettes à controverse, marquées par des accusations de corruption, de mauvaise gestion et de désinformation.
Le débat central s'est cristallisé autour de l'équilibre entre les impératifs de santé publique et les libertés individuelles, exacerbé par des conflits d'intérêts économiques qui ont influencé les décisions politiques.
La manière dont les informations ont été relayées par les médias et les plateformes numériques a également joué un rôle crucial, façonnant la perception publique et modulant les réactions aux politiques sanitaires, imposant une vision autoritaire liberticide.
La pandémie a été accompagnée d'une guerre d'information complexe, où vérités, demi-vérités et fausses informations se sont entremêlées, créant un climat de méfiance et de scepticisme généralisé. Cette situation a mis en évidence les critiques adressées à la rapidité des décisions politiques, à la gestion des ressources médicales, à la transparence des données et à l'influence des lobbies pharmaceutiques. "
" La pandémie de COVID-19 a révélé des failles profondes dans la gestion des crises sanitaires globales. Elle a entraîné des mesures sans précédent comme les confinements, les restrictions de voyage et les campagnes de vaccination massives.
Initialement perçues comme nécessaires, ces mesures ont rapidement été sujettes à controverse, marquées par des accusations de corruption, de mauvaise gestion et de désinformation.
Le débat central s'est cristallisé autour de l'équilibre entre les impératifs de santé publique et les libertés individuelles, exacerbé par des conflits d'intérêts économiques qui ont influencé les décisions politiques.
La manière dont les informations ont été relayées par les médias et les plateformes numériques a également joué un rôle crucial, façonnant la perception publique et modulant les réactions aux politiques sanitaires, imposant une vision autoritaire liberticide.
La pandémie a été accompagnée d'une guerre d'information complexe, où vérités, demi-vérités et fausses informations se sont entremêlées, créant un climat de méfiance et de scepticisme généralisé. Cette situation a mis en évidence les critiques adressées à la rapidité des décisions politiques, à la gestion des ressources médicales, à la transparence des données et à l'influence des lobbies pharmaceutiques. "
" Quand les cabinets de conseil et les laboratoires pharmaceutiques vendent l’o.piacé mortel, le Fentanyl, puis son vaccin
Le Fentanyl, ce nom résonne de plus en plus comme une sinistre mélodie dans le monde entier. Cet opioïde synthétique d'une puissance inouïe se retrouve au cœur de bien des débats internationaux. Il est temps de prendre conscience de la toile complexe entre les cabinets de conseil en gestion et les laboratoires pharmaceutiques, qui contribuent à cette crise dévastatrice. "
30 juin 2024
" Imaginez une substance 50 fois plus puissante que l’héroïne et 100 fois plus forte que la morphine. Le Fentanyl, c’est cela. « En moyenne, toutes les sept minutes, une personne meurt aux États-Unis d’une overdose au fentanyl », rapporte le Washington Post. Et il est produit en grande partie dans la tristement célèbre ville de Wuhan, en Chine, ce qui ajoute une dimension internationale à ce problème déjà épouvantable. "
" Avec Jean-Dominique Michel Anthropologue, expert en santé publique, essayiste, auteur de plusieurs ouvrages dont dernièrement “La fabrication du désastre”
" Un petit coup de "gain de fonction" sur le virus et ils sont capables de nous refaire la même, aussi soyez prévenus...
Après nous avoir avertis pendant des mois que 2024 pourrait être le théâtre d'une nouvelle pandémie mortelle, le corps médical et les organisations sanitaires gouvernementales tirent la sonnette d'alarme au sujet de la grippe aviaire.
Non seulement ils établissent des comparaisons avec le COVID-19, mais ils affirment en fait que la grippe aviaire pourrait être 100 fois plus mortelle !
Mais devons-nous vraiment nous inquiéter de la grippe aviaire ?
Le Dr Peter McCullough s'exprime à ce sujet :
Avec la campagne alarmiste de la "maladie X" parrainée par la Coalition for Epidemic Preparedness and Innovation (CEPI), les gens se demandent quel sera le prochain virus à infecter le monde. Il y a quelques jours, le CDC a émis un avis sanitaire concernant la grippe aviaire H5N1, détectée chez un ouvrier d'une ferme laitière du Texas [1]. Son seul symptôme était une conjonctivite, c'est-àire une inflammation de l'œil. À ce jour, il n'y a pas eu de transmission interhumaine et le H5N1 ne présente donc qu'un risque limité pour l'homme. Toutefois, cette situation pourrait changer dans un avenir proche, surtout si l'on considère la sombre histoire de la recherche sur le gain de fonction (GOF) en ce qui concerne le H5N1.
Si le Dr McCullough estime que le H5N1 ne représente actuellement qu'une faible menace pour l'homme, il souligne néanmoins qu'une pandémie de grippe aviaire mutante servirait plusieurs des objectifs des mondialistes. Vous vous souvenez de la maladie X ?
Bill Gates et le Forum économique mondial (FEM) estiment que nous devrions réduire notre dépendance à l'égard des produits alimentaires d'origine animale dans le cadre de leur vision mondialiste... Ainsi, une alerte alimentaire dans les pays occidentaux avec des rappels de marché et la destruction de la volaille et de la viande contribuerait à la réalisation des objectifs dystopiques du club de Davos]. Le H5N1 a un taux de létalité historique de 52,16 % chez l'homme et la peur à elle seule pourrait susciter une anxiété considérable dans de vastes populations, non seulement à propos de l'exposition par le biais de la nourriture, mais aussi des animaux de compagnie et d'autres êtres humains.
Il est difficile de déterminer si le H5N1 est la prochaine "maladie X" à l'heure actuelle. C'est possible en raison de l'abondance des recherches du GOF et des intérêts biotechnologiques, des vaccins prêts à l'emploi et des puissants moteurs de la panique collective qui se profilent à l'horizon. Si davantage de cas se présentent sous forme de grappes ou de véritables épidémies avec transmission interhumaine, nous pourrions être en bonne voie pour une crise de pandémie de grippe aviaire en 2024.
Bien sûr, il y a un vaccin qui attend dans les coulisses "
" Je ne suis pas fan des publications de Zoé Sagan mais elle a raison sur ce point : télécharger vos attestations de vaccinations sur votre profil Amélie car tout va être effacé avant la fin de l’été Ce document est indispensable si vous souhaitez engager un recours "