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" L'OMS montre enfin son vrai visage ! Celui de l'organisation voulant créé un Etat mondial policier !
Un haut responsable de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a exhorté les gouvernements du monde à donner la priorité aux "mesures susceptibles de restreindre les libertés individuelles". Cette exigence a été formulée par le Dr. Abdullah Assiri, coprésident d'un groupe de travail de l'OMS chargé d'étudier les modifications du droit international qui élargiraient les pouvoirs de l'OMS, lors d'une réunion la semaine dernière. "
Document
4 juin 2023
https://echelledejacob.blogspot.com/2023/06/blog-post_53.html
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" Une proposition de loi autorisant la reconnaissance faciale en débat au Parlement "
Publié le 06 juin 2023
" Le 31 mai, parallèlement au débat sur la réforme des retraites, la proposition de loi autorisant "la reconnaissance biométrique dans l'espace public " a été examinée en Commission des lois. Alors que la reconnaissance faciale avait été écartée du débat parlementaire à l&rsquocasion du vote de " la loi sur les JO ", les Sénateurs viennent d’autoriser une expérimentation du dispositif pour une durée de 3 ans. Le secrétaire général de la CNIL a pourtant mis en garde : "choisir d'expérimenter, c'est choisir de créer ".
Les Sénateurs Marc-Philippe Daubresse (LR) et Arnaud de Belenet (Union Centriste) ont déposé le texte au Sénat le 5 avril dernier. Il a été amendé par la Commission des lois le 31 mai et sera débattu à l’Assemblée nationale le 12 juin prochain.
Un dispositif de reconnaissance faciale hors cadre des Jeux olympiques
Cette proposition de loi porte sur un dispositif de reconnaissance faciale généralisé à l'espace public. Elle n’est pas à confondre avec les dispositions prévues par la loi relative aux Jeux olympiques de 2024. Adoptée définitivement par le Parlement le 19 mai dernier, “la loi sur les JO” permet la vidéurveillance dite "intelligente " pour couvrir l’évènement sportif, mais exclut le traitement de données biométriques.
Quand on parle de dispositif de reconnaissance faciale à l’aide de vidéurveillance, il s’agit en réalité de faire appel à un logiciel qui compare des images à une base de données. L’utilisation de la reconnaissance biométrique permet d’identifier une personne à l’aide de l’intelligence artificielle, pas seulement de la filmer.
Lors de la session de Commission des lois du 31 mai, Philippe Bas (LR), le rapporteur désigné sur le texte, a précisé qu’« à l'époque » des débats entourant la loi sur les Jeux olympiques "nous n'avons pas souhaité instaurer un dispositif de reconnaissance faciale". Mais quelques semaines plus tard, voilà que cette proposition de loi atterrit en toute discrétion sur le bureau de la Commission.
Une expérimentation de 3 ans, attention à l’effet cliquet
Malgré les risques qu’elle peut emporter, Philippe Bas salue les bienfaits que présente la reconnaissance faciale. "Elle permet notamment de prévenir des attentats ou encore de retrouver des criminels". Le rapporteur du texte promet de mettre en place un cadre législatif strict pour empêcher "le développement d'une société de surveillance à la chinoise ". Il souhaite interdire l'identification à distance sans consentement et assure qu’une intervention humaine sera toujours à l’origine du traitement des données.
Le Sénateur Jérôme Durain (PS) lui rappelle toutefois que très récemment, de telles justifications ont permis certaines dérives : "À Dijon, un système de vidéurveillance a permis d'envoyer au domicile de chaque « délinquant » une amende pour avoir osé taper sur une casserole". Son groupe ne soutiendra pas la proposition de loi et met en garde contre "l’effet cliquet", en évoquant les mots prononcés par le secrétaire général de la CNIL lors de son audition devant la Commission : "choisir d'expérimenter, c'est choisir de créer".
Sauf intervention du législateur, l’expérimentation de la reconnaissance biométrique ne durerait que 3 ans. Ce qui serait pour le moins étonnant, puisqu’un règlement sur l’intelligence artificielle est dans les cartons de la Commission européenne.
C’est la faute à Bruxelles
"Nous risquions d'être soumis, à l'insu de notre plein gré et sans avoir notre mot à dire, à des législations supranationales", s’est justifié Marc-Philippe Daubresse (LR), un des auteurs de la proposition de loi. Effectivement, Bruxelles prépare l’adoption d’un règlement à horizon 2023-2024 qui viendrait régir le recours à la reconnaissance faciale sur l’ensemble du territoire européen.
Le règlement européen prévoira-t-il une "clause d’autodestruction" lorsque l’expérimentation française sera arrivée à son terme ? Permettez-nous d’en douter. "
https://www.francesoir.fr/politique-france/la-reconnaissance-faciale-en-debat-au-parlement
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07 juin 2023
" L’OMS et l’UE annoncent l’arrivée de la surveillance numérique mondiale "
" Mettre en place un certificat numérique sanitaire mondial : ce projet, qui a émergé officiellement avec le COVID, mais qui était préparé avant le COVID, que le COVID a accéléré, prend forme sous la houlette de l’OMS et de l’Union Européenne. L’OMS vient de s’en faire l’écho : elle noue un partenariat officiel avec l’UE pour mettre en place cette sorte de passeport mondial qui regroupera toutes les données de santé des humains, faciles à consulter, à commencer par leur statut vaccinal.
L’objectif de ce certificat numérique est de réserver les déplacements internationaux aux seuls détenteurs “en règle”, notamment d’un point de vue vaccinal, comme on l’a vu au moment de la “pandémie”. Le moment venu, cet outil, qui fusionne, comme le souhaite Gabriel Attal en France, la carte d’identité et le dossier de santé, pourra bien entendu servir de “passe sanitaire”, c’est-àire de base à un crédit social à la chinoise.
Donc, l’Union Européenne et l’Organisation mondiale de la Santé viennent d’annoncer un partenariat “historique” pour mettre en place un système international d’identité sanitaire numérique. Dans la pratique, l’OMS utilisera la technologie du certificat numérique européen, développé par la Commission Européenne, pour fonder son système mondial appelé Global Digital Health Certification Network (GDHCN), c’est-àire le réseau mondial de certification numérique en santé. Le nom dit tout : il s’agit d’établir un document d’identité mondial qui intégrera les données de santé de l’humanité entière… "
La suite de l'article ici:
https://echelledejacob.blogspot.com/2023/06/loms-et-lue-annoncent-larrivee-de-la.html
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" Comment l'Union Européenne veut contrôler l'information grâce aux Big Techs. Partie 4) La dépendance des médias et l'avènement du fact-checking "
Publié le 09 juin 2023
" Enquête en plusieurs parties - Comment l'Union Européenne veut contrôler l'information grâce aux Big Techs. Du fact-checking aux agences de renseignements américaines : aux origines d’une prison digitale.
Retrouvez la partie 1) Politique et info, un vieux couple français
Partie 2) La toute-puissance financière des Big Techs
Partie 3) Algorithmes et dépendances
INTRODUCTION - Pendant la crise du Covid-19, les principaux médias français ont relayé, sans réelle distanciation, la communication gouvernementale et les positions de l'industrie pharmaceutique. La défense des confinements et du “tout-vaccin” est devenue un axiome inattaquable, défiant toute approche scientifique raisonnable et équilibrée. Au lieu d'enquêter, de vérifier et de varier les sources afin de nourrir un débat contradictoire, des cellules de "fact-checking", intégrées au sein des rédactions de presse et financées par les Big Techs, ont court-circuité le rôle du journaliste et ont torpillé tout débat critique et complexe. Sous prétexte de lutte contre la désinformation, ces partenariats invasifs ont été appuyés par l'Union Européenne, y compris avec des subventions. Ils font apparaître un nouveau mécanisme capable d’influencer les opinions publiques sur n’importe quel sujet. En coulisses, d’autres acteurs troubles modèlent l’information, des think-tanks mais aussi diverses agences internationales du renseignement. Au sein de ce décor, le journalisme se transforme peu à peu en un inquiétant outil de contrôle et de surveillance des idées, avec des velléités de museler la liberté d’expression. L'Europe est-elle en train de devenir une prison digitale de l'information ? "
La suite de l'article ici:
https://www.francesoir.fr/societe-sante-science-tech/UE-controle-info-big-techs-partie-4
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" Scandale France : en pleine attaque terroriste à Annecy, le Sénat valide une loi pour espionner les téléphones des citoyens "
9 juin 2023
" Le Sénat valide finalement la très controversée Loi Justice.
Ce 01 juin, Lecourrier-du-soir.com s’est prononcé sur la Loi Justice que le gouvernement voulait adopter pour transformer nos appareils électroniques (téléphones portables, ordinateurs, téléviseurs…) en mouchards. Une mesure vertement condamnée par la Quadrature du Net qui dénonce une « atteinte grave à la Liberté ».
Pourtant, malgré cette farouche opposition, la mesure liberticide est finalement approuvée par le Sénat ce mercredi 07 juin. Mais, en raison de l’attaque abjecte qui s’est produite à Annecy ce 08 juin, très peu de citoyens en ont eu vent et la probabilité que ces derniers s’y opposent est presque nulle.
« Ce mercredi 7 juin, le Sénat a donné son aval pour la mise en place du déclenchement à distance des appareils connectés (smartphones, ordinateurs) dans le cadre de certaines enquêtes. Cette disposition est inclue dans l’article 3 du projet de loi du garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti », révèle RTL.
Et la source d’ajouter : « examiné en première lecture par les sénateurs, le texte apporte plusieurs modifications à la procédure pénale. L’une d’elles prévoit d’autoriser l’activation à distance des ordinateurs et autres appareils connectés, à l’insu des personnes visées, avec deux finalités différentes. D’une part, la géolocalisation en temps réel pour certaines infractions. D’autre part, l’activation de micros et caméras pour capter son et images, qui serait elle réservée aux affaires de terrorisme, de délinquance et criminalité organisées ».
Pour rappel, dans un communiqué publié ce 01 juin et intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com, la Quadrature du Net, organisme chargé de veiller au respect des libertés individuelles, alertait sur les dangers d’une telle loi. « Le projet de loi ‘Orientation et programmation du ministère de la Justice 2023-2027’ a commencé à être discuté au Sénat, et son article 3 fait déjà polémique. À raison », dénonce le communiqué.
Et la Quadrature du Net de s’expliquer : « au milieu de dispositions qui visent à entériner pêle-mêle les interventions à distance des médecins en cas de prolongation de la garde à vue et des interprètes dès le début de la garde à vue, ou l’extension des possibilités des perquisitions de nuit à des crimes de droit commun, est créé un nouvel outil d’enquête permettant d’activer, à distance, les appareils électroniques d’une personne à son insu pour obtenir sa géolocalisation en temps réel ou capter des images et des sons. Art. 3 points 12° et 13° et 17° à 19°. En clair, il s’agira par exemple pour les enquêteurs judiciaires de géolocaliser une voiture en temps réel à partir de son système informatique, d’écouter et enregistrer tout ce qui se dit autour du micro d’un téléphone même sans appel en cours, ou encore d’activer la caméra d’un ordinateur pour filmer ce qui est dans le champ de l’objectif, même si elle n’est pas allumée par son propriétaire. Techniquement, les policiers exploiteront les failles de sécurité de ces appareils (notamment, s’ils ne sont pas mis à jour en y accédant, ou à distance) pour installer un logiciel qui permet d’en prendre le contrôle et transformer vos outils, ceux de vos proches ou de différents lieux en mouchards ». "
https://lecourrier-du-soir.com/scandale-france-en-pleine-attaque-terroriste-a-annecy-le-senat-valide-une-loi-pour-espionner-les-telephones-des-citoyens/
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" Snowden affirme que les technologies de surveillance actuelles font passer 2013 pour une « promenade dans un parc » "
Publié 10 juin 2023
" « Nous faisions confiance au gouvernement pour ne pas nous entuber », a déclaré Edward Snowden.
« Mais ils l’ont fait. Nous faisions confiance aux entreprises technologiques pour qu’elles ne profitent pas de nous. Mais elles l’ont fait. Cela va se reproduire, parce que c’est la nature même du pouvoir ».
Alors que cette semaine marque le dixième anniversaire de la divulgation par le lanceur d’alerte Edward Snowden à des journalistes d’informations sur l’espionnage gouvernemental généralisé par les agences américaines et britanniques, l’ancien contractant de la National Security Agency s’est joint jeudi à d’autres défenseurs pour avertir que la lutte pour le droit à la vie privée, bien qu’elle ait fait plusieurs percées au cours de la dernière décennie, est devenue plus difficile en raison des changements majeurs survenus dans la technologie.
« Si nous pensons à ce que nous avons vu en 2013 et aux capacités des gouvernements aujourd’hui », a déclaré Snowden au Guardian, « 2013 semble être une promenade dans un parc ».
Snowden a déclaré que l’avènement de produits de surveillance disponibles dans le commerce, tels que les caméras Ring, le logiciel espion Pegasus et la technologie de reconnaissance faciale, posait de nouveaux dangers.
Comme l’a rapporté Common Dreams, la société de sécurité domestique Ring a dû faire face à des poursuites judiciaires en raison de problèmes de sécurité et de la vulnérabilité de ses produits au piratage, et a été critiquée par des groupes de défense des droits pour s’être associée à plus de 1 000 services de police – dont certains ont des antécédents de violence policière – et avoir laissé des membres de la communauté vulnérables au harcèlement ou à des arrestations injustifiées.
Les forces de l’ordre ont également commencé à utiliser la technologie de la reconnaissance faciale pour identifier les personnes soupçonnées d’avoir commis un crime, bien que ce logiciel soit connu pour identifier souvent de manière erronée les personnes de couleur, ce qui a conduit à l’arrestation et à la détention injustifiées, au début de cette année, de Randal Reid en Géorgie, entre autres cas.
Le mois dernier, des journalistes et des groupes de la société civile ont demandé un moratoire mondial sur la vente et le transfert de logiciels espions tels que Pegasus, qui ont été utilisés pour cibler des dizaines de journalistes dans au moins dix pays.
Protéger le public de la surveillance « est un processus continu », a déclaré Snowden au Guardian jeudi. « Et nous devrons y travailler jusqu’à la fin de notre vie et de celle de nos enfants, et même au-delà. "
La suite de l'article ici:
https://www.aubedigitale.com/snowden-affirme-que-les-technologies-de-surveillance-actuelles-font-passer-2013-pour-une-promenade-dans-un-parc/
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" Une société d’identification biométrique se vante d’avoir rejoint le Forum économique mondial "
16 juin 2023
" Le Forum économique mondial promeut les cartes d’identité numériques.
Fingerprint Cards, la société suédoise de biométrie, a fait un grand pas dans la communauté des nouveaux champions du Forum économique mondial (FEM), une assemblée d’entreprises de taille moyenne.
Nous savons que le FEM tient à promouvoir les formes biométriques d’identification numérique et, en affichant la distinction d’être la première entreprise biométrique de la Communauté, Fingerprint Cards a pour objectif sous-jacent d’être le phare de la technologie biométrique et le gardien de « l’inclusion sociale ».
Ce qui se passe : Le calendrier de la communauté des nouveaux champions prévoit une réunion à Tianjin, en Chine, du 27 au 29 juin, à l&rsquocasion de la rencontre estivale du FEM à Davos.
Un mot de l’intérieur : Charles Burgeat, vice-président senior de la stratégie chez Fingerprint Cards, a transmis ce qu’il considère comme une pépite de sagesse : « En tant que fier membre du programme New Champions Community du FEM, nous voulons être reconnus comme une entreprise motivée qui contribue positivement aux changements nécessaires pour opérer dans le nouveau monde numérisé. En rejoignant cette communauté, nous nous réjouissons de réfléchir et d’échanger des idées avec nos pairs, et d’apporter notre expertise du secteur de la biométrie. »
Mise en contexte : Fingerprint Cards a été confrontée à des eaux troubles au premier trimestre 2023, affichant une perte de 70 millions de couronnes suédoises (6,4 millions de dollars) pour un chiffre d’affaires de 117 millions de couronnes suédoises (10,8 millions de dollars), selon Biometric Update. Cependant, l’entreprise est allée de l’avant et a atteint des étapes clés, notamment l’intégration de sa biométrie d’empreintes digitales dans 700 smartphones Android et l’expédition d’un million de modules de capteurs biométriques pour les cartes de paiement. Le Redmi K60 de Xiaomi s’est distingué en étant le premier smartphone doté de la technologie de la carte à empreintes digitales sous l’écran. Xiaomi est une entreprise technologique chinoise.
Le FEM et la biométrie : Le Forum économique mondial, déjà bien au fait de la tapisserie numérique de la biométrie, continue de défendre le secteur. L’organisation a déjà intégré Yoti dans une coalition associée.
Lire aussi : La Commission européenne veut autoriser la surveillance par identification biométrique en temps réel dans certaines circonstances "
https://www.anguillesousroche.com/technologie/une-societe-didentification-biometrique-se-vante-davoir-rejoint-le-forum-economique-mondial/
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" L'ancien patron de la LKA, Kranz, dépose une plainte constitutionnelle contre les contrats de l'OMS "
17 juin 2023
" L'ancien chef de l'Office national de la police criminelle de Thuringe, Ltd. L'ancien Ministerialrat Uwe Kranz et Marianne Grimmenstein du lobby du bien-être public GWL ont déposé conjointement une plainte constitutionnelle auprès de la Cour constitutionnelle fédérale contre les prétentions de l'OMS à l'omnipotence. Ils considèrent les efforts de l'OMS pour intervenir dans les affaires nationales comme une violation du droit fondamental et international applicable. Le tribunal est prié d'examiner. Il s'agit aussi de se défendre contre l'imminente censure à venir.
Communiqué de presse par Uwe Kranz et Marianne Grimmenstein
Compte tenu de la surveillance totale imminente et de la restriction de la liberté de voyager via le système mondial de certificats de santé (GHCS) de l'OMS, qui est basé sur le certificat COVID de l'UE, et de la menace générale de restrictions des droits fondamentaux après la signature du durcissement de l'accord international Règlement sanitaire (RSI) en cours de négociation et l'Accord de la Convention de l'OMS (CA+), Mme Marianne Grimmenstein du 'Common Good Lobby (GWL)' and Ltd. Ministerialrat aD Uwe Kranz de l'association 'Médecins et Scientifiques pour la Santé, la Liberté et la Démocratie (MWGFD)' pour passer personnellement à l'offensive. Avant les vacances parlementaires d'étéLe 16 juin 2023, ils ont déposé un recours constitutionnel auprès de la Cour constitutionnelle fédérale de Karlsruhe avec une demande d'injonction temporaire contre les deux contrats prévus.
L'objet du recours constitutionnel et de la demande d'injonction est la version des deux projets de traités présentée ci-dessus, qui viole la Loi fondamentale et le droit international, à savoir les nombreuses violations des droits fondamentaux et humains issues de la Loi fondamentale, du Traité UE ( Traité de l'UE), la Déclaration universelle des droits de l'homme (DUDH). ), le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (Pacte civil des Nations Unies, ILPR), le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (Pacte social des Nations Unies, PIDESC), la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) et la Charte des droits fondamentaux de l'UE. "
La suite de l'article ici:
https://report24.news/ehemaliger-lka-chef-kranz-reicht-verfassungsbeschwerde-gegen-who-vertraege-ein/
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" Stanford a refusé de divulguer ses opérations. "
Publié 17 juin 2023
" Jim Jordan (R-OH), président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, s’en prend à l’université de Stanford pour son refus de fournir des documents sur son implication dans la censure. L’Observatoire de l’Internet de Stanford (SIO) a mis en place deux programmes de détection de la « désinformation » en ligne : le Projet Viralité (VP) et le Partenariat pour l’intégrité des élections (EIP).
Dans une lettre adressée la semaine dernière à l’équipe juridique de Stanford, M. Jordan a déclaré que l’université n’avait pas fourni suffisamment de documents en réponse à une citation à comparaître envoyée en avril et demandant des documents relatifs à l’implication de l’OSI dans la censure des « discours désagréables ».
Nous avons obtenu une copie de la lettre ici.
M. Jordan a donné à l’université jusqu’au 14 juin, faute de quoi la commission « sera contrainte d’envisager l’utilisation d’un ou de plusieurs mécanismes d’application ».
L’implication du SIO dans la censure a été révélée dans les « Twitter Files », publiés par le journaliste Michael Shellenberger.
Les documents internes montrent que l’EIP et le VP ont signalé des contenus. Les deux groupes ont signalé les allégations de fraude électorale et les affirmations selon lesquelles les vaccins COVID-19 étaient inefficaces.
« Des personnes affiliées à l’AIR ont suivi des messages spécifiques et des “récits” entiers par le biais du système de tickets Jira et les ont partagés, au minimum, avec de grandes entreprises de médias sociaux », a déclaré M. Jordan.
« Les informations publiques et non publiques obtenues par la commission confirment que les grandes entreprises de médias sociaux ont modéré le contenu sur la base de ces tickets et d’autres informations partagées par le personnel de Stanford. »
Lire aussi : Mon université a sacrifié les idées pour l’idéologie. Alors aujourd’hui, je démissionne
Source : Reclaim The Net "
https://www.anguillesousroche.com/censure/luniversite-de-stanford-fait-lobjet-de-pressions-pour-ne-pas-avoir-fourni-de-documents-sur-son-projet-de-censure-en-ligne/
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" Le smartphone, un outil de contrôle social
D’un usage de plus en plus addictif pour la majorité des gens, les téléphones portables sont devenus, grâce au Covid, technologiquement prêts pour servir de laissez-passer universel. Comment opérer une «détox digitale» ? "
23 mai 2023
" Par Rodolphe Bacquet, rédacteur en chef, Alternatif bien-être
(texte adapté par Covidhub)
Il y a quelques jours, je racontais à un ami que j’avais oublié la veille mon téléphone quelque part, et que je ne l’avais retrouvé que le matin suivant.
«Moi, quand ça m’arrive, c’est l’angoisse! Une émotion vraiment intense. Mon téléphone, ça fait partie de moi maintenant!», m’a-t-il dit.
Son cas n’est pas isolé, il exprime une névrose d’un nouveau genre qu’on nomme la nomophobie. C’est la contraction de no mobile phobia, autrement dit: la phobie d’être sans son portable.
Tous rivés sur nos écrans
En 2012, un article de presse mentionnait déjà une enquête établissant que deux tiers des utilisateurs de téléphones portables se disaient «très angoissés» à l’idée de le perdre – une proportion montant à 76% chez les 18-24 ans.
Je mettrais ma main à couper qu’aujourd’hui, 90% de la population au bas mot est «nomophobe». Faites le test dans le métro, dans le bus ou dans la rue: les gens qui n’ont pas les yeux rivés sur leur smartphone sont tellement rares qu’ils passent pour des «originaux», autrement dit une anomalie comme moi avec mon livre dans le bus.
Il y a trois jours j’ai même vu une mère traverser la rue, la poignée de sa poussette dans une main, son téléphone dans l’autre, les yeux rivés sur l’écran, manquer de se prendre une voiture.
Comme une drogue
Le téléphone portable, pour l’immense majorité d’entre nous, n’est plus un outil à notre service: c’est un objet addictif, exerçant la même emprise qu’une drogue.
Vous croyez ne pas en dépendre, mais son absence imprévue ou subie provoque un sentiment de panique, de désarroi, voire de désespoir.
Elle provoque un handicap social: ce phénomène, plus encore que l’addiction aux réseaux sociaux ou aux jeux compulsifs, nous devons le regarder avec beaucoup de prudence.
Un progrès technique remarquable… mais pas un progrès humain "
La suite de l'article ici:
https://www.covidhub.ch/smartphone-outil-controle/
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Citation de fouthese
" Le smartphone, un outil de contrôle social
D’un usage de plus en plus addictif pour la majorité des gens, les téléphones portables sont devenus, grâce au Covid, technologiquement prêts pour servir de laissez-passer universel. Comment opérer une «détox digitale» ? "
23 mai 2023
" Par Rodolphe Bacquet, rédacteur en chef, Alternatif bien-être
(texte adapté par Covidhub)
Il y a quelques jours, je racontais à un ami que j’avais oublié la veille mon téléphone quelque part, et que je ne l’avais retrouvé que le matin suivant.
«Moi, quand ça m’arrive, c’est l’angoisse! Une émotion vraiment intense. Mon téléphone, ça fait partie de moi maintenant!», m’a-t-il dit.
Son cas n’est pas isolé, il exprime une névrose d’un nouveau genre qu’on nomme la nomophobie. C’est la contraction de no mobile phobia, autrement dit: la phobie d’être sans son portable.
Tous rivés sur nos écrans
En 2012, un article de presse mentionnait déjà une enquête établissant que deux tiers des utilisateurs de téléphones portables se disaient «très angoissés» à l’idée de le perdre – une proportion montant à 76% chez les 18-24 ans.
Je mettrais ma main à couper qu’aujourd’hui, 90% de la population au bas mot est «nomophobe». Faites le test dans le métro, dans le bus ou dans la rue: les gens qui n’ont pas les yeux rivés sur leur smartphone sont tellement rares qu’ils passent pour des «originaux», autrement dit une anomalie comme moi avec mon livre dans le bus.
Il y a trois jours j’ai même vu une mère traverser la rue, la poignée de sa poussette dans une main, son téléphone dans l’autre, les yeux rivés sur l’écran, manquer de se prendre une voiture.
Comme une drogue
Le téléphone portable, pour l’immense majorité d’entre nous, n’est plus un outil à notre service: c’est un objet addictif, exerçant la même emprise qu’une drogue.
Vous croyez ne pas en dépendre, mais son absence imprévue ou subie provoque un sentiment de panique, de désarroi, voire de désespoir.
Elle provoque un handicap social: ce phénomène, plus encore que l’addiction aux réseaux sociaux ou aux jeux compulsifs, nous devons le regarder avec beaucoup de prudence.
Un progrès technique remarquable… mais pas un progrès humain "
La suite de l'article ici:
https://www.covidhub.ch/smartphone-outil-controle/
ET:
" Le gouvernement britannique prévoit de « libérer la puissance des données de localisation » et de surveiller les mouvements de la population "
Publié 21 juin 2023
" Le gouvernement britannique a publié sa stratégie gépatiale 2030, une mise à jour de celle dévoilée il y a dix ans – et l’accent est désormais mis sur « l’exploitation du pouvoir des données de localisation », ainsi que sur la surveillance des mouvements de population.
Le document, préparé par la commission gépatiale du ministère de la science, de l’innovation et de la technologie, créée il y a cinq ans, affirme que la mise en œuvre de la nouvelle stratégie permettra de « débloquer » des milliards de livres sterling grâce à « l’innovation fondée sur la localisation », grâce à l’utilisation de l’IA, de l’imagerie satellitaire et des données en temps réel.
Les auteurs de la stratégie la présentent comme un moyen d’améliorer les services publics, de créer des emplois mieux rémunérés et de stimuler la croissance économique.
Pour y parvenir, le gouvernement propose d’agir dans trois directions principales : permettre à la technologie d’accélérer ce qu’il appelle l’innovation gépatiale, encourager une plus grande utilisation des applications gépatiales dans l’économie et, dans le cadre de la « mission 3 », « renforcer la confiance dans le futur écosystème gépatial ».
La première mission, qui doit être achevée d’ici 2025, est la révision de l’accord gépatial du secteur public (PSGA), qui est décrit comme le plus grand investissement du secteur public dans les données de localisation.
La même échéance est fixée pour que le Registre national des biens souterrains (NUAR) devienne pleinement opérationnel, selon la stratégie.
Quel est l’exemple d’une situation où les informations géolocalisées se sont révélées particulièrement précieuses ? Le président de la Commission, Sir Bernard Silverman, a la réponse : pendant la pandémie, lorsque le suivi des épidémies s’est avéré d’une importance « cruciale » pour la prise de décisions pertinentes en matière de santé publique.
Et à l’avenir, ce même type d’informations sera à nouveau très utile en ce qui concerne le changement climatique, la sécurité énergétique et la croissance économique, a déclaré M. Silverman. "
La suite de l'article ici:
https://www.aubedigitale.com/le-gouvernement-britannique-prevoit-de-liberer-la-puissance-des-donnees-de-localisation-et-de-surveiller-les-mouvements-de-la-population/
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ET:
" Le ministère de la sécurité intérieure cherche à attribuer des « scores de risque » de type « crédit social » aux utilisateurs des médias sociaux.Révèlent des documents récemment obtenus. "
Publié 21 juin 2023
" Des documents récemment divulgués ont mis en lumière l’interaction entre la sécurité nationale et la protection de la vie privée. Ils révèlent que le Département de la sécurité intérieure (DHS) a conclu un contrat avec l’Université de l’Alabama à Birmingham (UAB) en 2018 pour développer un projet, baptisé « Night Fury », destiné à analyser et à attribuer des « scores de risque » aux comptes de médias sociaux.
Le Brennan Center for Justice s’est procuré ces documents par le biais d’une demande de documents publics, et Motherboard a été le premier à en faire état. Le projet Night Fury visait à utiliser l’automatisation pour détecter et évaluer les comptes de médias sociaux afin de déterminer s’ils étaient liés au terrorisme, à la distribution illégale d’o.pioïdes, mais aussi aux campagnes de désinformation.
Le document du DHS indique que « le contractant doit développer ces attributs pour créer une méthodologie permettant d’établir un classement, ou “score de risque”, associé aux comptes identifiés ».
Document
La suite de l'article ici:
https://www.anguillesousroche.com/technologie/le-ministere-de-la-securite-interieure-cherche-a-attribuer-des-scores-de-risque-de-type-credit-social-aux-utilisateurs-des-medias-sociaux/
Modifié il y a 1 an, le mercredi 21 juin 2023 à 18:47
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