Citation de arsinoee
Ah ben dis donc, tu as bien appris ta leçon mon mammamouchi !
Le doliprane est la première cause de mortalité par surdosage.
ET alors ? Les services de santé ont droit pour le coup de jouer avec la vie des patients ?
Pour info, le dosage de la chloroquine pour le paludisme c’est 400 mg / semaine en préventif.
Le traitement de Raoult c’est 600 mg / jour, près de 10,5 fois la dose journalière… sans compter les effets cumulés de l’azithromicine associée ! CQFD
La posologie originale chinoise , à partir de laquelle s’est inspiré Raoult c’est 2 fois 500 mg !
De nombreux cas ont été constatés en France et à travers le monde, y compris dans la plupart des études sérieuses comportant un ou des bras hydroxychloroquine et hydroxychloroquine + azithromycine. CQFD
La preuve :
« Covid-19: augmentation des signalements d'"effets secondaires graves" des traitements » Par AFP le 25.04.2020 à 12h04
« Les signalements d'effets indésirables liés aux traitements testés contre le Covid-19 ont continué à augmenter ces dernières semaines, atteignant plus de 300 cas, a annoncé l'Agence du médicament (ANSM), qui confirme en particulier le "signal de vigilance" concernant l'hydroxychloroquine.
"Au 22 avril 2020, 321 cas d’effets indésirables ont été déclarés en lien avec une infection à Covid-19, dont 80% de cas graves", détaille l'Agence nationale de sécurité du médicament, qui avait annoncé une centaine de cas le 10 avril.
Dans les deux tiers des cas (soit 215 personnes), l'enquête de pharmacovigilance a pu conclure à un lien probable entre l'effet observé et le médicament administré au patient atteint de Covid-19.
Parmi ceu x - ci, plus de la moitié concernent des patients atteints du coronavirus traités par hydroxychloroquine (23%) ou par ce médicament associé à l'antibiotique azithromycine (31%), tandis que 42% portent sur le Kaletra (un antiretroviral combinant lopinavir et ritonavir).
[/u]Le nombre de décès constatés dans ce cadre est toujours de quatre, tous liés à l'hydroxychloroquine et survenus en milieu hospitalier. » [/u]
Tout cela n’a aucune valeur scientifique, surtout sur un aussi petit échantillon : « 291 cas positifs, dont 178 ont été déclarés guéris. 111 personnes sont toujours hospitalisées, dont une seule en réanimation. » comme le souligne le médecin sénégalais :
« Ce qui est clair, c’est que l’étude de Didier Raoult a des failles et ceux qui essaient de dénigrer son travail ont jusqu’à présent aussi ont des failles. Les seules études qui nous permettront d’être plus à l’aise, ce sont celles de l’OMS avec un test sur 800 patients, ou encore l’essai clinique européen Discovery. Il s’agira d’études plus posées et certainement mieux documentées. Celles-ci permettront de se questionner sur nos attitudes et ainsi juger si elles sont condamnables sur le plan scientifique, pas sur le plan médical. »
Tout à fait d’accord !
« Marianne : Le Sénégal enregistre très peu de cas graves et un faible taux de mortalité. Comment expliquer ces bons résultats, alors que les mesures sanitaires sont a priori plus souples que dans d’autres pays du continent ? »
[i]« Moussa Seydi : L’explication peut tenir en plusieurs points.
D’abord, il y a eu des mesures fortes dès le départ concernant la fermeture des frontières, ce qui a empêché la multiplication des cas de Covid-19 importés.
L’interdiction des grands rassemblements comme les prières du vendredi nous ont également permis de réduire d’emblée le flux de nouveaux cas.
Ensuite, nous avons pris en charge les cas que nous avons eu de manière assez précoce.
Dès le 19 mars, nous avons mis en place un protocole de prise en charge des patients les moins graves avec un traitement à l'hydroxychloroquine – molécule dérivée de la chloroquine, ndlr. Traitement sur lequel pour l’instant j’observe de bons résultats concernant la réduction de la charge virale.
Enfin, le troisième facteur est la jeunesse de la population. De fait, nous n’avons pas beaucoup de cas graves. »
Je vous fais un dessin ou êtes-vous capable de comprendre toute seule ?
Avec les statistiques démographiques du Sénégal (espérance de vie âge médian) aurait-on un nombre de décès identique à ceux constatés à ce jour en France ?
Sans le rassemblement évangélique dans l’Est de la France les statistiques Covid seraient-elles les mêmes ?
Pour info le médecin, Moussa Seydi, précise :
« Dès le 19 mars, nous avons mis en place un protocole de prise en charge des patients les moins graves avec un traitement à l'hydroxychloroquine
Ah ! Et les patients les plus graves ont été traité avec quoi ?
Modifié il y a 4 ans, le dimanche 6 septembre 2020 à 16:06
Plus personne ne croit à la toxicité de l'HCQ, les études montrant son efficacité se multiplient.
Pour les militants anti-HCQ, une seule solution : kill the messenger.
Le site de revue de la littérature le plus complet :
https://c19study.com/
En ce jour du 5 juin, un vendredi en fin de journée (comme pour la fameuse étude du Lancet retirée depuis, coïncidence ?), l’essai clinique randomisé appelé Recovery annonce que le traitement à base d’hydroxychloroquine (HCQ) ne fonctionne pas et recommande le retrait immédiat de l’inclusion des patients sur ce traitement.
Rappel concernant la chronologie des derniers évènements (car nous surfons de rebondissements en rebondissements depuis quelques temps)
Le 22 mai Mehra publie dans le Journal The Lancet une étude sur 96000 dossiers de patients l’hydroxychloroquine est inefficace mais en plus qu’elle s’avère dangereuse.
Le 28 mai, un communiqué du comité de contrôle de Recovery indiquait qu'il n'y avait aucun problème avec l’hydroxychloroquineet celui-ci recommandait donc de poursuivre le recrutement sans interruption jusqu'à la prochaine réunion prévue le 11 juin.
Le 29 mai L'Indian Council of Medical Research avait alerté l'Organisation Mondiale de la Santé du taux incroyablement élévé d'hydroxychloroquine dans les essais Recovery (4 fois supérieur à celui utilisé dans les essais indiens).
Le jeudi 4 juin le MHRA (équivalent de l’Autorité Nationale de Sécurité du Médicament) demandait à Recovery de regarder les résultats de l’étude plus particulièrement pour l’hydroxychloroquine, vraisemblablement liée à l’annonce de l’étude Boulware et dans la continuité de l’étude Mehra. Cela correspondrait à la demande du ministre de la Santé du samedi 30 mai 2020 de suspendre l’hydroxychloroquine de manière hâtive.
Le 4 juin, Le journal The Lancet rétractait la publication en s’excusant, à l’instar du NEJM qui retirait une publication similaire du même auteur s’appuyant également sur les données de cette fameuse société Surgisphère.
Le 4 juin, FranceSoir dénonçait l’étude du New England Journal of Medecine pour des raisons statistiques.
Le 5 juin, Recovery annonce la suspension des essais avec HCQ pour non-efficacité et un taux de létalité important.
Cette étude est entre-autre financée par la Fondation Bill Gates, qui subventionnait également l’hôpital Brigham and Women's à ton, d’où est sortie la fameuse étude Mehra retirée depuis. Coïncidence ?
Mais déjà quels sont les résultats annoncés ?
« Au total, 1542 patients ont été randomisés pour recevoir de l'hydroxychloroquine et par rapport à 3132 patients randomisés pour les seuls soins habituels. Il n'y avait pas de différence significative dans le critère principal de mortalité à 28 jours (25,7% d'hydroxychloroquine vs 23,5% de soins habituels).
Les détails de l’étude ne sont bien sûr pas encore en ligne et il faudrait en savoir bien plus pour se faire une opinion sur cette étude, car n’oublions pas que « le diable est dans les détails ».
Les points qui vont immédiatement attirer notre attention sont les suivants :
Le taux de mortalité (23.6%) est très élevé par rapport aux études précédentes. Notamment, celle de Rosenberg et al. dans Jama, montrait 12,7% de mortalité dans le groupe témoin sur des patients sévères hospitalisés, ainsi que les statistiques France à 18.1% et dans les Bouches-du-Rhône de 12.9%. Bizarre.
Le profil des patients âgés de 50 à 82 ans révèle que 76% des patients qui nécessitent un apport en l&rsquoygène, avec 27% de diabétiques, 27% de malades avec des problèmes cardiaques et 22% avec des affections pulmonaires. Ces patients paraissent particulièrement malades. Un début d’explication au taux élevé de mortalité ?
Les doses d’hydroxychloroquine données aux patients au protocole de l’étude Recovery, sont de 2400mg (12 cachets de 200mg) donc 1860 mg d'hydroxychloroquine dans les premières 24h et 9600mg d’hydroxychloroquine pour l’ensemble du traitement. L’Autorisation de mise sur le marché en France considère le taux de surdosage est de 25mg/kg de hydroxychloroquine soit pour un patient de 75kg, 1875mg pour une journée et impose une hospitalisation au service d'urgence. Cette posologie est largement au-dessus de ce qui est utilisé dans l'essai Discovery (800mg le premier jour pour un adulte testé positif au SRAS Cov2) et préconisée par l'AMM en France.
L'alerte du Indian Clinical Medical Research, sur le biais potentiellement crée par le dosage quatre fois plus élevé d'hyrdoxychloroquine dans l'essai Recovery, est restée sans réponse.
Ce n’est pas la peine d’aller plus loin dans l’analyse de cette étude qui prescrit des quantités considérées comme sur-dosage par notre propre AMM et entrainent d’être hospitalisé immédiatement. Même sans être positif à la Covid 19 vous vous retrouverez directement à la case Urgence. Coïncidence ? Bizarre ?
Le professeur Perronne nous dit :
« la dose maximum autorisée par l'AMM (Autorisation de mise sur le marché) est de 3 comprimés à 200 mg par jour. Avec Recovery, c'est 12 comprimés le premier jour »
« Suicide, mode d'emploi ».
Il devient urgent pour la santé et la confiance de Français que nos institutions se saisissent rapidement de cette affaire au risque que cela devienne la série tragique de l'été.
Le Collectif Citoyen est un groupe formé de citoyens engagés qui travaillent aux décryptages, recherches, analyses, vérifications et validations de l'information de manière collaborative. Ils sont de formations diverses : docteurs, ingénieurs, économistes, avocats, entrepreneurs, analystes financiers, statisticiens, expert-comptables, informaticiens, professeurs, geeks, militaires, journalistes, mais avant tout ont une expérience sincère de la vie et un engagement sans faille à la recherche de la vérité sans polémique aucune, sans parti pris.
Citation de arsinoee
Plus personne ne croit à la toxicité de l'HCQ, les études montrant son efficacité se multiplient.
Pour les militants anti-HCQ, une seule solution : kill the messenger.
Le site de revue de la littérature le plus complet :
https://c19study.com/
Ecoutez ce que dit le Pr. Gaudry dans la vidéo en bas de ce post :
« Il y a maintenant un concensus international qui dit que ce traitement Hydroxychloroquine est inefficace et que quand parfois il est associé avec d’autres thérapeutiques comme l’azithromycine il peut éventuellement être dangereux.
Arrêtez de réver ! CQFD
« Le Pr. Stéphane Gaudry Médecine intensive Hôpital Avicenne – Bobigny et « La société de réanimation de langue française » ouvrent une tribune sur le site du journal Libération contre la fraude scientifique »
« Tribune.Cette pandémie est la première dans l’histoire de la science moderne. Les moyens déployés et la mobilisation des chercheurs ont été sans précédents. Tous les projecteurs étaient braqués sur le monde de la recherche, ce qui aurait contribué à démocratiser et rendre attractif ce domaine parfois vu comme lointain ou inaccessible. Nos concitoyens étaient en droit d’exiger la science la plus sérieuse et honnête, dans l’intérêt supérieur de l’humanité. Force est de constater qu’ils ont été surpris et déçus. » [/b]
« Mais la France a aussi été un mauvais élève. »
« Quelques chercheurs minoritaires mais surmédiatisés, afin d’embellir artificiellement leurs résultats, ont exclu de leurs statistiques des patients dont le traitement n’a pas fonctionné et qui sont décédés, ont inventé des données de manière avantageuse lorsqu’elles étaient manquantes, n’ont pas fourni des informations pourtant facilement accessibles telles que les comorbidités de leurs patients et ont refusé de transmettre à leurs pairs les données permettant de vérifier l’authenticité de leurs résultats. La liste est encore longue. Ils ont ainsi durablement déformé et altéré l’image de la science et de la recherche. »
« Voies sans issue »
« Publier hâtivement, sur une plateforme de vidéo s en ligne, un graphique biaisé issu de tests non fiables, de données partiellement inventées après avoir écarté celles qui ne sont pas favorables, est une communication trompeuse, abusant un public en attente de solutions et faisant naître de faux espoirs.
User de notoriété pour provoquer une augmentation des prescriptions d’un médicament, puis argumenter qu’il guérit en se basant sur des sondages ou le nombre de prescriptions, relève davantage de la prophétie autoréalisatrice que de la preuve scientifique.
Proclamer qu’un traitement guérit sur la base de comparaisons trompeuses, de patients plus jeunes ou en meilleure santé relève de la mauvaise foi. » ...
« Contre la fraude scientifique aussi, le «monde d’après» ne doit pas ressembler à celui d’avant. »
1mn37 : Pr. Stéphane Gaudry Médecine intensive Hôpital Avicenne – Bobigny « Il y a maintenant un concensus international qui dit que ce traitement Hydroxychloroquine est inefficace et que quand parfois il est associé avec d’autres thérapeutiques comme l’azithromycine il peut éventuellement être dangereux, sachez qu’il (Raoult) ne fait pas de la science, il fait la promotion de sa personne, c’est une personne qui considère qu’il ne s’est jamais trompé et ne se trompera jamais, c’est une erreur ... » »
Modifié il y a 4 ans, le dimanche 6 septembre 2020 à 19:30
Dobn Raoult en est en partie la cause, beaucoup de patients souhaitaient participer à condition de faire partie de ceux recevant le traitement de Raoult. Beaucoup de temps a été perdu à cause de ça, à cause dur recrutement ! CQFD
De toute façon ça n'a pas été un fiasco puisque les essais essais européens se sont poursuivis et ont donné des résultats !
La preuve :
«Covid-19 : l'OMS valide l'utilisation des corticoïdes » Par Nathalie Raulin — 3 septembre 2020 à 13:19 (mis à jour le 4 septembre 2020 à 12:36)
« Une méta-analyse coordonnée par l'Organisation mondiale de la santé estime qu'un traitement par corticoïdes diminue de 21% les risques de mortalité des cas graves. En pratique, l'hôpital administre déjà largement ces médicaments aux patients Covid. »
« Les conclusions des chercheurs ont levé les doutes : pris collectivement, les résultats de leurs travaux montrent qu’un traitement par corticoïdes diminuerait de 21% le risque de mortalité des formes sévères de Covid-19.
L’analyse compile les données de 1 703 patients sévères provenant de douze pays qui ont reçu, par tirage au sort, soit les soins standards, soit un placebo associé aux soins standards, soit un corticoïde (dexaméthasone, hydrocortisone ou méthylprednisolone).
Elle conclut que le taux de survie avoisine 68% après un traitement aux corticoïdes, contre environ 60% en l’absence de ces molécules.
[u]Aucun médicament n’ayant à ce jour démontré une efficacité significative contre le Covid, le progrès est réel. »
« « La science confirme le bon sens» »
« Le changement de pied de l’OMS doit beaucoup aux Anglais. Le 17 juillet, la publication des résultats d’une partie du vaste essai britannique randomisé Recovery avait jeté un pavé dans la mare. Selon ses auteurs, un traitement par dexaméthasone, un corticoïde de synthèse, diminuait d’environ 11% la mortalité à quatre semaines chez les patients hospitalisés pour un Covid-19, par rapport au traitement usuel. Ce bénéfice ne concernait toutefois que les patients recevant de l’o xygène et était plus important chez les patients sous ventilation mécanique, dont la mortalité relative diminuait de près de 30%. De quoi inciter l’OMS à étendre et pousser l’analyse. » ...
« Pour les hospitaliers toutefois, rien de neuf sous le soleil. «La science confirme le bon sens,Citer c’est une bonne nouvelle», se félicite le professeur Eric Caumes, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière, à Paris. C’est que les praticiens n’ont pas attendu les conclusions des chercheurs pour administrer des corticoïdes à leurs patients sévères. «Dès la fin mars, on avait compris que l’essentiel des dégâts était lié à l’orage de cytokines, donc à un emballement du système immunitaire fortement inflammatoire, explique l’infectiologue.
Quel traitement avons-nous contre les réactions inflammatoires ? Les corticoïdes. On a tous fait de la prescription sauvage. Nos seules questions portaient sur les meilleures modalités d’administration et les dosages.» »
Washington Times - Dr Scott Atlas:
« l’#Hydroxychloroquine est très sûre, la science fondamentale est claire, la molécule est efficace en début de maladie ... il faut arrêter avec les études poubelles anti chloroquine »
SCANDALEUX - En 10 jours, 5 études CLINIQUES, 3 Drapeau de l'Union européenne+1Drapeau de la France+1Drapeau des États-Unis rétrospectives multicentriques et multivariées ont toutes montré une forte Flèche vers le bas de la mortalité sous #HCQ
AUCUN RELAIS MÉDIATIQUE
1 MetaAnalyse frauduleuse d'étudiants anti HCQ fera le tour du monde...
Citation de arsinoee
Washington Times - Dr Scott Atlas:
« l’#Hydroxychloroquine est très sûre, la science fondamentale est claire, la molécule est efficace en début de maladie ... il faut arrêter avec les études poubelles anti chloroquine »
Ecoutez donc les praticiens de terrain, comme les Pr. Eric Caumes, Juvin, Gaudry et tant d'autres qui sont tout sauf pro Macron ! La grande majorité de ces professionnels de santé n'ont pas attendu après Raoult pour utiliser l'Hydroxychloroquine aux dosages préconisés par Raoult , y compris dans des études cliniques sérieuses... sans trouver d'efficacité du traitement !
Vous vous faites abuser par Raoult qui, par exemple, affirme que les résultats sont positifs pour l'hydroxychloroquine, c'est à dire l'inverse des résultats de l'étude récente sur des singes et celle un peu moins récentes dans laquelle le professeur Caumes a participé directement. Et Raoult donne les résultats inverses de cette étude à la grande stupéfaction du Pr. Eric Caumes qui a dirigé l'étude ! Cf. 17mn25 Et 17mn35 sur les études chinoises dont faisait référence Raoult pour justifier sa potion ! CQFD
« Interview de Éric Caumes sur LCI le 27/06/2020 »
17mn25 : Hydroxychloroquine, les résultats des études et l’étude des Hôpitaux de Paris
17mn35 : Etude chinoise sur l’Hydroxychloroquine
18mn25 : Efficacité sur l’Hydroxychloroquine de Etude des hopitaux de Paris
19mn38 : Les défenseurs de l’hydroxychloroquine et Pr. Jean-François Delfraissy
21mn24 : liens d’intérêts du Pr. Caumes participant à une étude sur l’hydroxychloroquine
Citation de arsinoee
SCANDALEUX - En 10 jours, 5 études CLINIQUES, 3 Drapeau de l'Union européenne+1Drapeau de la France+1Drapeau des États-Unis rétrospectives multicentriques et multivariées ont toutes montré une forte Flèche vers le bas de la mortalité sous #HCQ
AUCUN RELAIS MÉDIATIQUE
1 MetaAnalyse frauduleuse d'étudiants anti HCQ fera le tour du monde...
Je n'en sais rien, pour cela il faut que les professionnels de santé valident ces études, pour en vérifier la valeur scientifique, les biais etc... !
Un exemple, pour démontrer les réserves à avoir sur les études publiées :
« Un étude a démontré l'efficacité de l'hydroxychloroquine pour prévenir les accidents de trottinette., oui vous ne rêvez pas, pour prévenir les accidents de trottinette »
Avec un certain Didier Lembrouille et des test effectués à à Montcuq (région O ccitanie), France !
«Hydroxychloroquine et trottinettes : le canular qui dénonce les revues "prédatrices"
Par L’express.fr»
publié le 17/08/2020 à 18:43 , mis à jour à 18:49
« Une étude, complètement fausse et loufoque et qui fait intervenir un certain "Didier Lembrouille", vise à démontrer la légèreté de la relecture de certaines revues. »
« Des médecins et chercheurs sont parvenus à faire publier dans la revue scientifique Asian Journal of Medicine and Health (AJMH) un article démontrant l'efficacité de l'hydroxychloroquine pour prévenir les accidents de trottinette. »
C'est pour cette raison que j'ai dit j'usqu'à preuve du contraire ! En sciences la vérité d'un jour n'est que relative ! Mais avec toutes les âneries, les biais les manipuations et les mensonges de Raoult, je reste plutôt circonspect sur les résultats, d'autant plus qu'il avait la possibilité de faire des tests dans les règles de l'art, randomisés avec groupe témoin... Pourquoi ne l'a t-il pas fait ? C'est la question que se posent tous les professionnels de santé de terrain et scientifiques ! CQFD
Je pense que si le traitement avait une efficacité évidente, les médecins de réanimation de France, de Navarre et dans le monde auraient déjà changé d'avis, surtout en Région Parisienne ou dans le grand-Est où la volumétrie aux urgences était suffisante pour en tirer des conclusions ! CQFD
Je reconnais que vous avez malgré tout du mérite ... dans votre obstination ... contrairement aux autres !
Modifié il y a 4 ans, le dimanche 6 septembre 2020 à 20:29