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Citation de schnockdu
La mère iseult court après sa queue...
Il lui arrive même parfois de se la mordre, quand elle l’attrape !
Quant à moi qui soit-disant comprend tout, en effet, je ne te le fais pas dire. Seconde chose sensée que tu auras dite sur ce topic, et là encore, ça a le mérite d’être souligné – tu pourras donc également te l’encadrer celle-ci.
Je vois clair. Tu te justifies toi aussi mais tu n’as rien dit à l’auteur du texte. Rien en face ni rien sur son post. Les 3 font la paire.
Moi, j'appelle ça des porcs !
Faudrait-il qu'elle en ait !
Une fois de plus, tu renvoies ce que tu fais .... et ce que tu ne fais pas car tu ne lui as rien dit non plus !
Donc, si je te suis bien, tu es un porc !
Quant à moi, comme déjà dit, eut -il fallu que je le lise en entier pour me permettre d'émettre la moindre opinion.
Quant à comprendre tout, c'était de l'ironie, hein, la preuve en est s'il en était besoin.
Ça soulage une p'tite insulte à plus d'une heure du matin ?
J'espère que ça t'a aidé à trouver le sommeil ?
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Marrant....le génome du porc est très proche de celui de l'humain....combien d'individus bénéficient de vivre grâce à une "valve aortique issue d'un "cochon"
Rendons au "porc"....sa noblesse
Modifié il y a 5 ans, le mercredi 5 juin 2019 à 10:44
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Citation de iseult
Faudrait-il qu'elle en ait !
Une fois de plus, tu renvoies ce que tu fais .... et ce que tu ne fais pas car tu ne lui as rien dit non plus !
Donc, si je te suis bien, tu es un porc !
Quant à moi, comme déjà dit, eut -il fallu que je le lise en entier pour me permettre d'émettre la moindre opinion.
Quant à comprendre tout, c'était de l'ironie, hein, la preuve en est s'il en était besoin.
Ça soulage une p'tite insulte à plus d'une heure du matin ?
J'espère que ça t'a aidé à trouver le sommeil ?
Dans le monde animal, la queue n’est pas l’apanage du mâle.
Si tu lisais le topic sur lequel tu interviens, tu aurais vu 2 de mes coms la concernant au sujet de ce texte. Nulle moquerie gratuite ou raillerie de ma part, ni descente en flèche par-derrière, dans le dos, malgré tes insinuations malsaines et malhonnêtes. Encore une fois, tu n’assumes rien toi non plus. Vous êtes les mêmes. Aussitôt que pris le nez dans votre caca merdeux, vous hurlez vos grands dieux : C’est pas moi, c’est l’autre !
Des porcs, oui.
Tout comme na0, loreen, iseult...
Tu es incapable de rebondir d’aucune façon sur aucun message depuis la première page jusqu’à la dernière, ni d’aucune manière pertinente (sauf exception) ou intéressante sur quoi que ce soit ici, comme ailleurs, sinon sur toi-même et ta petite personne.
Puante de sales idées et de mauvaises pensées, comme de l’arrière-train.
Merdique, jusqu’à l’ os.
Et tout autant péteuse que chiasseuse. Remueuse de crotte et de fond de cuvette de chiottes. Colporteuse d’étrons ou tartineuse de fions, c’est selon.
T’en veux combien de l’insulte ?
Y a quelques grammes en plus, j’te l’mets quand même ?
___
PS : Finalement, il se pourrait que le streumon en question, ce soit toi.
Citation
si je t’essuies bien
Non, merci.
Va plutôt en torcher un autre. Le tien, par exemple.
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Citation de peyrac75
Marrant....le génome du porc est très proche de celui de l'humain....combien d'individus bénéficient de vivre grâce à une "valve aortique issue d'un "cochon"
Rendons au "porc"....sa noblesse
Pas seulement marrant.
Ça appelle à la réflexion, à l'humilité, ou ça le devrait.
Ce n'est pas le porc qui manque de noblesse, c'est l'Homme !
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LE PORC : un animal aux mœurs des plus cochonnes.
En ce qui concerne les mâles, leur rapport aux truies est des plus ambigu, voire contre-nature, zoophile et anthropophage. Tandis que pour ce qui est des femelles, elles s'offrent nues et s'étalent de tout leur long telle que de la confiture à des cochons, sans distinction ni classe ou élégance aucune, indifférentes au sort qu'ils leur feront subir, à savoir, un grand barbecue sauvage et barbare, sexuellement ardent, hardeux, consistant à les enfiler depuis la barbe jusqu'au cul, littéralement, les embrocher bel et bien vivantes et toutes gigotantes encore, bâillonnées, pieds et poings liés, salées, poivrées, puis les faire rôtir et dorer au-dessus des flammes d'un infernal feu de camp, ivres de joie, folles et fous, jusqu'à les faire tourner lentement à la manivelle sur elles-mêmes pour mieux les cuire à point, au cœur et au jus, cependant que s'écoulent déjà de tous leurs pores des flots de graisses, du futur saindoux, et qu'explosent en l'air et de plaisir, les chairs, la viande à vif, cellulites ou autres kilotonnes fondantes et suintantes, grésillantes de ah, de oh, de aie et d’ouille, d’encore, de non, de oui, crépitantes et craquantes les unes après les autres dans de grands couinements extatiques et des grognements orgiaques, orgasmiques, dionysiaques, de ces râlements "sangliesques" semblant ressurgir des bas-fonds oubliés de quelque vieille porcherie d'antan, moyen-âgeuse et à la limite du préhistorique, ou de quelqu'interlope et ni casher ni hallal mais bien française boucherie-charcuterie d’entre-deux guerres, de celle que l'on voit refleurir lors de certaines périodes des plus sombres de l'histoire et dédiée au marché noir, clandestin, ou à la traite des boudins dits de smail, des saucissons et des jambons, andouillettes, pâtés, rillettes, cornichons et autres terrines féminines ou gratons, fritons et rillons masculins.
Modifié il y a 5 ans, le mercredi 5 juin 2019 à 13:22
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Citation de schnockdu
Dans le monde animal, la queue n’est pas l’apanage du mâle.
Si tu lisais le topic sur lequel tu interviens, tu aurais vu 2 de mes coms la concernant au sujet de ce texte. Nulle moquerie gratuite ou raillerie de ma part, ni descente en flèche par-derrière, dans le dos, malgré tes insinuations malsaines et malhonnêtes. Encore une fois, tu n’assumes rien toi non plus. Vous êtes les mêmes. Aussitôt que pris le nez dans votre caca merdeux, vous hurlez vos grands dieux : C’est pas moi, c’est l’autre !
Des porcs, oui.
Tout comme na0, loreen, iseult...
Tu es incapable de rebondir d’aucune façon sur aucun message depuis la première page jusqu’à la dernière, ni d’aucune manière pertinente (sauf exception) ou intéressante sur quoi que ce soit ici, comme ailleurs, sinon sur toi-même et ta petite personne.
Puante de sales idées et de mauvaises pensées, comme de l’arrière-train.
Merdique, jusqu’à l’ os.
Et tout autant péteuse que chiasseuse. Remueuse de crotte et de fond de cuvette de chiottes. Colporteuse d’étrons ou tartineuse de fions, c’est selon.
T’en veux combien de l’insulte ?
Y a quelques grammes en plus, j’te l’mets quand même ?
___
PS : Finalement, il se pourrait que le streumon en question, ce soit toi.
Citation
si je t’essuies bien
Non, merci.
Va plutôt en torcher un autre. Le tien, par exemple.
Mais, si toi, tu te considères comme un animal, pas moi !
Mais, c'est sur son topic qu'il fallait intervenir.
Et, je réitère, puisqu'il en est besoin, que ce n'est pas d'elle que je me suis moquée.
Et, toi, tu n'as rien écrit la concernant ou concernant son texte ; tu as juste insulté ceux qui se moquaient d'elle !
De plus, tu as beau jeu car tu t'es bien moqué d'elle sur ce topic ! Je te renvoie à tes échanges avec elle pages 5 & 6 ... entre autres.
" ... ni descente en flèche par-derrière, dans le dos, malgré tes insinuations malsaines et malhonnêtes"
Où ai-je insinué cela ?
Qui est le plus malhonnête ?
" Encore une fois, tu n’assumes rien toi non plus"
Que n'assumé-je pas ?
Pour le reste toujours aussi redondant, pas la peine de rebondir sauf à dire que j'ai le cul propre, moi !
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Citation de iseult
Mais, si toi, tu te considères comme un animal, pas moi !
Mais, c'est sur son topic qu'il fallait intervenir.
Et, je réitère, puisqu'il en est besoin, que ce n'est pas d'elle que je me suis moquée.
Et, toi, tu n'as rien écrit la concernant ou concernant son texte ; tu as juste insulté ceux qui se moquaient d'elle !
De plus, tu as beau jeu car tu t'es bien moqué d'elle sur ce topic ! Je te renvoie à tes échanges avec elle pages 5 & 6 ... entre autres.
" ... ni descente en flèche par-derrière, dans le dos, malgré tes insinuations malsaines et malhonnêtes"
Où ai-je insinué cela ?
Qui est le plus malhonnête ?
" Encore une fois, tu n’assumes rien toi non plus"
Que n'assumé-je pas ?
Pour le reste toujours aussi redondant, pas la peine de rebondir sauf à dire que j'ai le cul propre, moi !
Quel bourbier !
Et quelle bouze...
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Citation de schnockdu
Quel bourbier !
Et quelle bouze...
Bien moins long que tes placards fielleux et malhonnêtes !
C'est sûr, quand ont te met devant tes contradictions, qu'on reprend tes propres phrases ....c'est forcément de la bourbe et de la bouze !
Modifié il y a 5 ans, le mercredi 5 juin 2019 à 14:19
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Citation de iseult
Bien moins long que tes placards fielleux et malhonnêtes !
C'est sûr, quand ont te met devant tes contradictions, qu'on reprend tes propres phrases ....c'est forcément de la bourbe et de la bouze !
Page 7 et page 1o.
Il n'y a aucune contradiction.
Je sais ce que je postes, où et à qui, quand et pourquoi.
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Citation de schnockdu
Page 7 et page 1o.
Il n'y a aucune contradiction.
Je sais ce que je postes, où et à qui, quand et pourquoi.
"On dirait parfois une pub pour location de maison de vacances... "
Ce n'est pas se moquer d'elle, peut-être ?
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Citation de schnockdu
LE PORC : un animal aux mœurs des plus cochonnes.
En ce qui concerne les mâles, leur rapport aux truies est des plus ambigu, voire contre-nature, zoophile et anthropophage. Tandis que pour ce qui est des femelles, elles s'offrent nues et s'étalent de tout leur long telle que de la confiture à des cochons, sans distinction ni classe ou élégance aucune, indifférentes au sort qu'ils leur feront subir, à savoir, un grand barbecue sauvage et barbare, sexuellement ardent, hardeux, consistant à les enfiler depuis la barbe jusqu'au cul, littéralement, les embrocher bel et bien vivantes et toutes gigotantes encore, bâillonnées, pieds et poings liés, salées, poivrées, puis les faire rôtir et dorer au-dessus des flammes d'un infernal feu de camp, ivres de joie, folles et fous, jusqu'à les faire tourner lentement à la manivelle sur elles-mêmes pour mieux les cuire à point, au cœur et au jus, cependant que s'écoulent déjà de tous leurs pores des flots de graisses, du futur saindoux, et qu'explosent en l'air et de plaisir, les chairs, la viande à vif, cellulites ou autres kilotonnes fondantes et suintantes, grésillantes de ah, de oh, de aie et d’ouille, d’encore, de non, de oui, crépitantes et craquantes les unes après les autres dans de grands couinements extatiques et des grognements orgiaques, orgasmiques, dionysiaques, de ces râlements "sangliesques" semblant ressurgir des bas-fonds oubliés de quelque vieille porcherie d'antan, moyen-âgeuse et à la limite du préhistorique, ou de quelqu'interlope et ni casher ni hallal mais bien française boucherie-charcuterie d’entre-deux guerres, de celle que l'on voit refleurir lors de certaines périodes des plus sombres de l'histoire et dédiée au marché noir, clandestin, ou à la traite des boudins dits de smail, des saucissons et des jambons, andouillettes, pâtés, rillettes, cornichons et autres terrines féminines ou gratons, fritons et rillons masculins.
"éloge du porc" par Sollers
Contrairement à sa légende impure, le porc est une merveille de netteté, de charme et de complétude. Sade, en prison, a envie d'en manger, il écrit donc à sa femme en l'appelant « porc frais de mes pensées ». Mozart était très amateur de « carbonade », et c'est peut-être l'une d'elles qui l'a empoisonné à Vienne. Claudel, enfin, dans son apologie Le Porc, n'oublie pas de rappeler que le sang de porc « sert à fixer l'or ».
Le dictionnaire nous dit que « porc », appliqué à un être humain, veut dire « homme sale, débauché, glouton ». Quelle erreur ! La viande de porc est la variété et la délicatesse mêmes. Voilà un animal alchimiste qui transforme toute ordure en or. Le comportement pig est un ratage de ce processus d'une finesse extrême. J'ai peu à peu abandonné le bœuf pour le porc, en ne gardant, comme viandes, que la tête et le ris de veau. D'une certaine façon, j'allais vers la Chine qui, comme on sait, a son Année du Cochon.
Le porc, cette perle. Tout est bon, chez lui, rôti, côtelettes, jambon, jambonneau, saucisson, saucisses, travers, pied. Le féminin de porc, «truie», ne convient pas. Il faut dire porce. Dans Une saison en enfer, Rimbaud dit qu'il « a aimé un porc ». Je peux exprimer, sans me vanter exagérément, que j'ai aimé bien des porces, je veux dire des femmes vraiment mangeables, ce qui n'est pas si courant.
Demandez à ma femme, Julia Kristeva, de vous préparer une palette de porc, avec des rondelles d'ananas et des clous de girofle. Ce plat est une splendeur. Vous buvez en même temps un margaux, et la perfection est là. Le rôti de porc, selon moi, doit se manger froid, et le choix de la moutarde compte. Pour les amateurs impénitents de mayonnaise, c'est le moment de l'employer savamment.
Le saucisson va avec le whisky, ils s'appellent.
Et maintenant vous allez nous dire que vous aimez la choucroute en hiver ? Évidemment.
Avec le porc, vous êtes d'emblée dans la grande culture occidentale, en France, en Allemagne, en Espagne, en Italie. Comment ne pas évoquer le jambon très fin (le San Daniele), et le mot d'entrée, prosciutto, avant le dîner? Le jambon de Parme vous fait penser à Stendhal ? Vous avez raison. Le porc, enfin, se marie on ne peut mieux avec les pâtes : goûtez-moi cette carbonara.
On m'a compris : le porc est rejeté ou haï à cause de son infini. Je garde quand même le poulet, mais il faut qu'il soit préparé, une fois par an, dans l'île de Ré, par Valérie Solvit. Sinon, poisson, et encore poisson.
Mais ceci est une autre histoire.
Bon appétit.....
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Citation de iseult
"On dirait parfois une pub pour location de maison de vacances... "
Ce n'est pas se moquer d'elle, peut-être ?
En effet.
Si je ne lui avais dit que cette seule phrase. Ce qui n'est pas le cas.
Ne serait-ce pas plutôt toi, la malhonnête ?
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Citation de peyrac75
"éloge du porc" par Sollers
Contrairement à sa légende impure, le porc est une merveille de netteté, de charme et de complétude. Sade, en prison, a envie d'en manger, il écrit donc à sa femme en l'appelant « porc frais de mes pensées ». Mozart était très amateur de « carbonade », et c'est peut-être l'une d'elles qui l'a empoisonné à Vienne. Claudel, enfin, dans son apologie Le Porc, n'oublie pas de rappeler que le sang de porc « sert à fixer l'or ».
Le dictionnaire nous dit que « porc », appliqué à un être humain, veut dire « homme sale, débauché, glouton ». Quelle erreur ! La viande de porc est la variété et la délicatesse mêmes. Voilà un animal alchimiste qui transforme toute ordure en or. Le comportement pig est un ratage de ce processus d'une finesse extrême. J'ai peu à peu abandonné le bœuf pour le porc, en ne gardant, comme viandes, que la tête et le ris de veau. D'une certaine façon, j'allais vers la Chine qui, comme on sait, a son Année du Cochon.
Le porc, cette perle. Tout est bon, chez lui, rôti, côtelettes, jambon, jambonneau, saucisson, saucisses, travers, pied. Le féminin de porc, «truie», ne convient pas. Il faut dire porce. Dans Une saison en enfer, Rimbaud dit qu'il « a aimé un porc ». Je peux exprimer, sans me vanter exagérément, que j'ai aimé bien des porces, je veux dire des femmes vraiment mangeables, ce qui n'est pas si courant.
Demandez à ma femme, Julia Kristeva, de vous préparer une palette de porc, avec des rondelles d'ananas et des clous de girofle. Ce plat est une splendeur. Vous buvez en même temps un margaux, et la perfection est là. Le rôti de porc, selon moi, doit se manger froid, et le choix de la moutarde compte. Pour les amateurs impénitents de mayonnaise, c'est le moment de l'employer savamment.
Le saucisson va avec le whisky, ils s'appellent.
Et maintenant vous allez nous dire que vous aimez la choucroute en hiver ? Évidemment.
Avec le porc, vous êtes d'emblée dans la grande culture occidentale, en France, en Allemagne, en Espagne, en Italie. Comment ne pas évoquer le jambon très fin (le San Daniele), et le mot d'entrée, prosciutto, avant le dîner? Le jambon de Parme vous fait penser à Stendhal ? Vous avez raison. Le porc, enfin, se marie on ne peut mieux avec les pâtes : goûtez-moi cette carbonara.
On m'a compris : le porc est rejeté ou haï à cause de son infini. Je garde quand même le poulet, mais il faut qu'il soit préparé, une fois par an, dans l'île de Ré, par Valérie Solvit. Sinon, poisson, et encore poisson.
Mais ceci est une autre histoire.
Bon appétit.....
Bouais...
C'est plus l'éloge de "son" porc à lui que celle du simple cochon, l'animal.
Modifié il y a 5 ans, le mercredi 5 juin 2019 à 19:18
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Mœurs. (suite)
Cervelles et Cervelets.
LES PORCS aiment à se satisfaire entre eux et ne se laisser prendre qu’homo. Par-derrière, toujours. Ils redoutent plus que tout le moindre face-à-face, l’affrontement direct, honnête et franc. Naturel. Tout choc frontal et viril ne leur inspire que crainte et grande frayeur. D’où leur fuite en avant dans la marche arrière, la tête la première et toute entière dans l’intime fondement du précédent, et ainsi de suite.
À la queue-leu-leu !
Paradoxalement, ils sont incapables de prendre aucun recul sur eux-mêmes. Ni d’embrasser aucune profondeur. Terre-à-terre et terreux, glèbeux, ils se plaisent à se rouler ensemble dans leur propre soue à cochons, leur fosse à purin, commune, s’y sentant bien et comme chez eux, dans cet entre-soi qui leur sied et les rassure.
Les mots, donc, ainsi que les mille et un détours qu’ils engendrent au gré des phrases et des tournures d’esprit, des images ou des paysages, des portes et des fenêtres, des routes sans fin, des chemins de traverse, des cieux et ô combien d’infinis ciels, leur sont inconnus et ne leur apparaissent que pour ce qu’ils sont, à première vue et de prime abord : de simples caractères d’imprimerie, du graffiti, des gribouillis ponctués ça et là de virgules et de petits points tel que l’on en retrouve sur les murs de leur chambre-du-trône, leur petit coin commun. Sourds et aveugles à toute autre lecture que binaire et basique, disais-je, ignorants et ignares, béotiens-nés, intellectuellement pauvres et sdf de l’âme humaine, à la rue de l’amour, hors de vie, démunis de toute idée du poids des mots autre que celui du seul pied de la lettre et ni plus ni moins que miséreux ou misérables de pensée, de raison comme de toute réflexion au sujet de leur force comme de leur vraie hauteur et dimension, les porcs n’en comprennent ni le sens ni l’essence.
Le spirituel est une insulte à leur yeux.
La vérité ? une fleur à arracher, à écraser de leur grossier et immonde fessier dont ils se servent à réfléchir, à bien-penser, et sur lequel ces gens-là s’assoient de tout leur poids. Et pèsent. Aussi peu que rien.
Ils ne verront jamais ni n'iront nulle part aussi loin que le bout de leur groin.
Modifié il y a 5 ans, le mercredi 5 juin 2019 à 15:17
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Citation de schnockdu
En effet.
Si je ne lui avais dit que cette seule phrase. Ce qui n'est pas le cas.
Ne serait-ce pas plutôt toi, la malhonnête ?
Arrête un peu !
Le reste n'est pas mieux !
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