Citation de lizbeth-sallander
Que BB était jolie.....
merci Mamour...
:)
Et Dario ? Hein.
Un chanteur fantaisiste de talent, sous son aspect voulu sud américain, il était né en Turquie mais en réalité faisait partie de la communauté israélite.
C'était il y a quarante ans, jour pour jour : le 9 octobre 1981, la peine de mort était officiellement abolie en France, avec la promulgation de la loi défendue au Parlement par Robert Badinter. "La peine de mort est vouée à disparaître de ce monde parce qu'elle est une honte pour l'humanité", a déclaré l'ancien ministre de la Justice, quatre décennies plus tard, lors d'une commémoration organisée au Panthéon, samedi 9 octobre. Suivez en direct cette journée.
Un retour en arrière "serait une aberration". Robert Badinter dit ne pas croire à la possibilité d'un retour de la peine capitale en France. "Pour la patrie des droits de l'homme, ce serait une aberration", a-t-il estimé, samedi, sur CNews et Europe 1. Une telle éventualité ne pourrait, selon lui, intervenir que si la France devenait "une dictature totalitaire", car la peine de mort est "l'apanage des dictatures". "Je me refuse à cette idée", assure-t-il.
Macron au Panthéon. Emmanuel Macron a participé, à la mi-journée, aux cérémonies du 40e anniversaire de l'abolition de la peine de mort, en présence de Robert Badinter. Le président a prononcé à cette occasion un discours, après celui de l'ancien garde des Sceaux, aujourd'hui âgé de 93 ans. L'actuel ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, a participé également aux commémorations.
Une exposition anniversaire. Après son discours, le chef de l'Etat visite l'exposition Un combat capital, qui retrace, au Panthéon, "l'histoire du combat politique pour l'abolition de la peine de mort en France, du XVIIIe siècle à nos jours". Jusqu'au 9 janvier, photographies, gravures, manuscrits, unes de presse ou documents d'archives sont visibles. De nombreux extraits sonores, dont la chanson de Michel Sardou Je suis pour en faveur de la peine de mort, sont proposés en écoute.
Un combat qui se poursuit. La peine de mort reste en vigueur dans 55 pays dans le monde. "Il faut que nous soyons le porte-drapeau de la chasse à la barbarie", appelle l'avocat Georges Catala, qui a plaidé au début des années 1980 aux côtés de Robert Badinter. "Il faudrait continuer à avoir un rayonnement international pour que cet assassinat légal, qui est source d'erreurs judiciaires qui sont irréversibles, puisse disparaître de notre monde."