Citation de superforme60
Un retour d'expérience !
Discutant d'un sujet actuel,les élections Européennes,après avoir livré mes intentions sans ambiguïtés,il m'a été répondu,mais alors tu es Poutine toi !
J'eu pu me vexer,mais la bête mérite de vivre elle m'est si attachiante.
D'ou vient cette rhétorique?
Il y a très longtemps,pour mettre fin à des scandales consistant à mettre à contribution les grandes entreprises pour financer les candidats aux élections ( affaire Urba),il a été décidé que les candidats pouvaient s'adresser aux banques françaises et européennes afin d'obtenir un prêt pour financer leur campagne.
Tous les candidats de tous les partis ont obtenu des prêts,sauf le FN à l'époque qui a essuyé un refus de tout le système bancaire de France et d'Europe.
Ce parti afin de pouvoir effectuer sa campagne,c'est tourné vers la Russie qui lui a accordé ce prêt afin de pouvoir effectuer sa campagne.rien de plus,rien de moins .
Mais attardons-nous sur Poutine,ce personnage extrêmement dangereux,qui a été reçu chez nous en France avec tous les honneurs républicains.
Chirac a reçu Poutine en grande pompe
Sarkozy a reçu Poutine en grande pompe
Hollande a reçu Poutine en grande pompe
Macron a reçu Poutine en grande pompe
De plus,à titre personnel,j'ai lu que le peuple Russe a un amour inconsidéré pour la France,depuis la campagne de Russie de Napoléon où malgré sa cuisante défaite,le courage de nos soldats est vénèré encore aujourd'hui.
Je crois,et tant mieux que l'agitation des drapeaux noirs,l'éradication de la peste grise,ça marche plus,il y a les réseaux sociaux,les medias,les voyages ou l'on voit,l'on entend autre chose que ce qu'on s'efforce de nous faire croire......
au début du siècle dernier,même Jaurès tenait des propos antisémite,qui l'eût cru dirait Lustucru.
Il y a les listes officielles gouvernementales pour s'informer en France sur le chômage,l'insécurité,la violence,la criminologie, la décribilisation de nos institutions éducatives,la dégradation du milieu hospitalier,le manque de lieu d'incarcération,et le pompon,la dérive des lois interdisant aux forces de l'ordre d'arrêter un délinquant refusant d'obtempérer,le laisser faire dans les cités soit disant pour acheter la paix sociale.......le Mexique qui subie le narco trafic,vient de prévenir la France que si elle ne faisait rien,dans 10 ans se sera pire qu'au Mexique !
Tout ce qui est excessif est insignifiant...mais quand même !
DOMINUS VOBISCUM
Oh oh, on a déniché un Vieil Offenbach !
Avec Géry Boulet bien entendu.
Boulet est décédé depuis 1990, ça fait donc un bail !
Citation de charrette
Quand je pense que tu traites les autres de cons...
Tu crois avoir inventé un pseudo qu'on retrouve à tous les coins de forum ? arthur rambo c'est comme harry cover , c'est un pseudo répandu depuis des années que tu croises dans tous les coins de forums...
Bientot tu vas nous sortir le fil à couper le beurre mdr
Après si tu te prends pour l'inspirateur du film, (ben oui tu n'es pas à ça près) on ne peut plus rien pour toi...
Lol....
J' t kif' Leïla....
Dans tous les coins du forum...
Arthur, c’était moi...
sourire..
Si tu veux , on peut faire un duo...
"Harry Cover ...
et
Léa Ricossecs..."
se produisent en boite...
Sourire...
Biz'où Leïla....
et tes blobs...
comment vont ils...?
Modifié il y a 5 mois, le vendredi 7 juin 2024 à 02:42
Charles de Gaulle
Dans notre Normandie glorieuse et mutilée, Bayeux et ses environs ont été les témoins d'un des plus grands événements de l'Histoire et nous attestons qu'ils l'ont bien mérité et qu'ils s'en sont montrés dignes. Ici, quatre années après le désastre initial de la France et des alliés, commença la victoire finale des alliés et de la France ! Ici, l'effort de ceux qui n'avaient jamais cédé et autour desquels, à cause de cela, s'étaient rassemblé l'instinct national et reformée la puissance française, trouva sa décisive justification. En même temps, c'est ici que, sur le sol des ancêtres, réapparut l'Etat, l'Etat légitime. Sa volonté de survivre et de triompher n'avait jamais tenu le désastre de 1940 pour autre chose que pour une péripétie dans la lutte mondiale où la France servait d'avant-garde. Si beaucoup se plièrent par force aux circonstances, le nombre de ceux qui les acceptèrent dans leur esprit et dans leur coeur fut littéralement infime. Jamais, non pas une seconde, la France ne crût que l'ennemi n'était pas l'ennemi et que le salut était ailleurs que du côté des âmes de la liberté. Partout où se déchiraient les voiles, le sentiment profond du pays apparaissait dans sa réalité. Partout, où paraissait notre Croix de Lorraine, s'écroulait l'échafaudage d'une autorité fictive bien qu'elle fut en apparence constitutionnellement fondée, tant qu'il est vrai que les pouvoirs publics ne valent que s'ils reposent sur l'intérêt supérieur du pays et sur l'adhésion générale des citoyens. En matière d'institutions, bâtir sur autre chose, ce serait bâtir sur du sable, ce serait risquer que l'édifice s'écroule. Une fois de plus, à l'occasion d'une de ces crises auxquelles, par la nature des choses, notre pays se trouve si souvent exposé. Voilà pourquoi, une fois assuré le salut de l'Etat dans la victoire remportée et dans l'unité nationale maintenue, aucune tâche n'était plus urgente et plus essentielle que de bâtir les institutions nouvelles de la France. Dès que cela fut possible, le peuple français fut donc invité à élire ses constituants tout en fixant à leur mandat des limites déterminées et en se réservant à lui-même la décision définitive. Puis le train mis sur ses rails, nous-mêmes, nous sommes retirés de la scène pour ne pas jeter dans les luttes politiques ce que, en vertu des événements, nous pouvons symboliser, qui appartient à la nation tout entière ! Et aussi, pour qu'aucune considération relative à un homme, tandis ce que (...) fédéraux et municipaux, et qui aura pour tâche d'amener la première assemblée à réviser, s'il y a lieu, ses premières décisions ou à examiner d'autres projets. Il sera normal d'y introduire également des représentants des grandes organisations économiques, familiales, intellectuelles de telle manière que, à l'intérieur même de l'Etat, se fasse entendre la voix des grandes activités du pays. Les membres de cette deuxième assemblée, se réunissant avec les représentants désignés par les assemblées locales des territoires d'outre-mer, constitueront le grand Conseil de l'Union française, apte à délibérer des questions et des lois qui concernent l'Union française, en particulier les relations extérieures, les budgets, les rapports intérieurs, la défense nationale, l'économie et les communications. Du Parlement ainsi composé de deux chambres, il est clair que ne peut pas et ne doit pas procéder le pouvoir exécutif sous peine d'aboutir à cette confusion des pouvoirs, qui aurait pour résultat que le gouvernement de la France ne serait bientôt plus qu'un assemblage de délégations ! Sans doute aura-t-il fallu, pendant la période transitoire où nous sommes, faire élire par l'Assemblée nationale constituante le Président du gouvernement provisoire parce que, sur la table rase, il n'y avait pas d'autres procédés acceptables de désignation, mais cela ne peut être qu'un expédient du moment. En vérité, l'unité, la cohésion, la discipline, l'intérieur du gouvernement de la France doivent être tenus pour des choses sacrées, et sous peine que la direction même du pays ne soit bientôt impuissante et disqualifiée. Et comment cette unité, cette cohésion et cette discipline seraient-elles maintenues à la longue si le pouvoir exécutif procédait de l'autre pouvoir auquel il doit faire équilibre ? Et si chaque membre du gouvernement, lequel est collectivement responsable devant la représentation nationale, chaque membre du gouvernement n'était à son poste que le mandataire d'un parti ! C'est donc du chef de l'Etat, élu par un collège électoral qui englobe le Parlement mais qui le dépasse largement de manière à en faire le Président de l'Union française en même temps que celui de la République... C'est du chef de l'Etat que doit procéder le pouvoir exécutif. A lui, la charge d'accorder les nécessités générales concernant le choix des hommes avec l'orientation qui se dégage du Parlement. A lui, la mission de nommer les ministres et d'abord, naturellement, le Premier qui a la charge, lui, de diriger l'action, la politique et le travail du gouvernement. Au chef de l'Etat, la fonction de promulguer les lois et de prendre les décrets parce que c'est vis-à-vis de l'Etat tout entier que ceui comme ceux-là engagent les citoyens. A lui, l'attribution de servir d'arbitre, d'abord, normalement, par le Conseil et puis, dans les cas de grande confusion, en invitant le pays à faire connaître par des élections sa volonté et sa décision souveraine. A lui encore, la tâche de présider les conseils du gouvernement de manière à y assurer la continuité au milieu (et) dont une nation ne se passe pas. A lui enfin, si le péril extérieur devait une fois de plus peser sur la France. A lui, le devoir d'être cette fois le garant de l'indépendance nationale et des traités conclus par la France. Des Grecs jadis demandaient au sage Solon : " Quelle est la meilleure constitution ? " Il leur répondait : " Dites-moi d'abord pour quel peuple et à quelle époque " Aujourd'hui, c'est du peuple français et des peuples de l'Union française qu'il s'agit, et à une époque bien dure et bien dangereuse. Prenons-nous tels que nous sommes ! Prenons le siècle comme il est ! Nous avons à accomplir une rénovation profonde malgré l'immense difficulté, une rénovation qui conduit chaque homme et chaque femme de chez nous à plus d'aisance, à plus de sécurité et à plus de joie et qui nous fasse tous ensemble plus nombreux, plus puissants, plus fraternels. Nous avons à conserver la liberté sauvée avec tant et tant de peine. Nous avons à assurer le destin de la France malgré tous les obstacles qui se dressent sur sa route et sur celle de la paix. Nous avons à déployer, parmi nos frères les hommes, tout ce dont nous sommes capables pour aider notre pauvre vieille mère, la Terre. Tout cela, c'est une tâche infiniment difficile.