vyseee

A quand une catégorie de forum incluant l'écologie ?

il y a 9 ans
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sepulveda il y a 9 ans

Citation de "sepulveda"Citation de "sepulveda"Tu disais Sibélius?

Ecologie...?


Cà m'intéresse.

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sepulveda il y a 9 ans

Citation de "sibelius"Citation de "vyseee"Ou d'autres concepts moins oisifs...

Cinéma, télévision, jeux vidé;os, auto-moto, coin détente...
Cela a t'il était crée de manière arbitraire par Smail
ou est que ça correspond statistiquement aux sujets les plus usités par la faune locale ?

D'aucuns me répéteront que je me suis trompé de site... tout de même !


C'est une très bonne idée, en effet !

Ne pas oublier que nous dépendons de la Terre !

Dis moi miss... toujours Poutinienne?

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sepulveda il y a 9 ans

Citation de "sepulveda"Citation de "sibelius"Citation de "vyseee"Ou d'autres concepts moins oisifs...

Cinéma, télévision, jeux vidé;os, auto-moto, coin détente...
Cela a t'il était crée de manière arbitraire par Smail
ou est que ça correspond statistiquement aux sujets les plus usités par la faune locale ?

D'aucuns me répéteront que je me suis trompé de site... tout de même !


C'est une très bonne idée, en effet !

Ne pas oublier que nous dépendons de la Terre !

Dis moi miss... toujours Poutinienne?


J'aime ta vision de l'écologie.

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sibelius il y a 9 ans

Reven ue. Laissez donc Slate dire et déformer ce qu'ils veulent :-) Ils sont payés pour ! :-)

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sibelius il y a 9 ans

Citation de "sepulveda"
Dis moi miss... toujours Poutinienne?


encore et toujours, et russienne (ça n'existe pas en français), jusqu'au bout des ongles :-)

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sibelius il y a 9 ans

http://img.bfmtv.com/c/1256/708/eb7/ab940e168e6ca2ea2dc0b14749896.jpg

Sépu, que voyez-vous, là ?

Un président ?

ben non, ce qu'il faut voir .. c'est une belle rivière et son environnement, tout simplement :-)

Je sais laquelle, et sa province, son histoire, ses montagnes, son aridité, ses frontières, sa faune, ses troupeaux, ses (maigres) ressources agricoles, ses glaciers, ses forteresses antiques sorties des glaces, etc .. :-)

:@)

Modifié il y a 9 ans, le mardi 11 août 2015 à 01:05

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sibelius il y a 9 ans

TABAC ET TERRES AGRICOLES

Culture du tabac : les impacts socio-économiques et environnementaux

Pollution, déforestation, maladies professionnelles, travail des enfants… La production de tabac a des effets néfastes importants sur l’environnement et les hommes, en particulier dans les pays en voie de développement ou nouvellement industrialisés où la grande majorité du tabac produit dans le monde est cultivé.

Culture du tabac : un désastre écologique et sanitaire

Chaque année, 6,2 millions de tonnes de tabac sont produites, dans 120 pays.

Les champs de tabac représentent à l’échelle planétaire 36 000 km2, dont 90% sont situés dans les pays en voie de développement.

Cette culture représente un grave problème pour l’environnement.

La production de tabac nécessite en effet l’usage d’engrais et de pesticides en grande quantité. Jusqu’à 150 produits chimiques peuvent être nécessaires !

Conséquences : la pollution des terres, des rivières et des nappes phréatiques.

De plus, la culture du tabac appauvrit de façon rapide les sols en drainant les éléments nutritifs.


Le tabac absorbe en effet plus d’azote, de phosphore et de potassium que n’importe quel autre produit agricole.

Il faut donc sans arrêt de nouvelles terres pour planter le tabac. Pour cela, les forêts sont défrichées.

Le séchage du tabac nécessite en outre de grandes quantités de bois : il faut plus de 8 kg de bois pour sécher 1 kg de tabac.

Selon l’OMS, 200 000 hectares de forêts seraient détruites chaque année pour la production de tabac. Une grave menace pour l’écosystème.

Avec des conséquences pour les hommes aussi : glissements de terrain, inondations.

La culture du tabac entraîne également de graves problèmes sanitaires. Les travailleurs sur les plantations de tabac sont exposés aux dangereux pesticides utilisés dans la culture du tabac, dont l'aldicarbe, le chlorpyrifos, etc ...en particulier lorsqu'ils sont utilisés sans équipement de protection, ce qui est le plus souvent le cas.

Une étude sur les cultivateurs de tabac au Brésil a montré que 48% des membres de leur famille ont des problèmes de santé liés à l’exposition aux pesticides.

On pense que l’exposition à des pesticides organophosphatés aurait des effets neuropsychiatriques inquiétants.

Ainsi, au Brésil, chez les producteurs de tabac, le taux de suicide est particulièrement élevé.

En outre, de nombreux ouvriers agricoles souffrent de la « maladie du tabac vert » due à l’absorption cutanée de nicotine lors de la récolte de feuilles de tabac humides. Les symptômes ? Nausées, vomissements, malaises, maux de tête, vertiges, crampes abdominales, difficultés respiratoires, arythmie cardiaque…

Culture du tabac: un facteur de pauvreté

La culture du tabac n’est pas une activité rentable pour les exploitants. Ce sont les cigarettiers qui font fortune.

Les producteurs de tabac, eux, demeurent pauvres, malgré les nombreuses années passées à cultiver le tabac, du fait des coûts d’exploitation élevés.

Les cultures de tabac consomment en effet beaucoup de main d’œuvre et de moyens de production. Des chercheurs brésiliens estiment que jusqu’à 3 000 heures de travail par an et par personne sont nécessaires pour cultiver un hectare de tabac, ce qui équivaut à 8 heures de travail par jour et par personne sur 365 jours.

A titre de comparaison, la culture du maïs ne demande que 265 heures par an.

Des chiffres édifiants : un cultivateur de tabac moyen au Brésil gagne environ en six ans l’équivalent de ce que le directeur de BAT gagne en un seul jour, et il devrait attendre 2140 ans pour toucher l’équivalent de son salaire annuel.

En outre, les cultivateurs sont le plus souvent endettés à cause du système de « contrats » mis en place par les industriels du tabac dans plusieurs pays producteurs.

Le principe ? Les industriels du tabac accordent un crédit sous forme de semences, d’engrais et de pesticides aux cultivateurs.

Ceux-ci, en contrepartie, s’engagent à vendre toute leur production à la même compagnie pour un prix fixé bien sûr par celle-ci.

Les sommes récoltées n’égalent pas toujours le crédit de départ, ce qui ne permet pas aux exploitants de rembourser leurs dettes : ainsi commence le cycle d’endettement qui empêche les agriculteurs d’arrêter la culture du tabac pour se consacrer à d’autres, demandant moins de travail et moins de produits chimiques.

Un grand nombre de cultures sont plus rentables que le tabac, telles que la culture de roses aux Zimbabwe, celle du tournesol au Bangladesh ou encore la production de denrées alimentaires en Inde du Sud.

De plus, la production de tabac nécessite l’occupation de millions d’hectares de surfaces cultivables, au détriment des cultures vivrières, pourtant nécessaires à la survie de la population.

Si l’on plantait des cultures alimentaires à la place des cultures de tabac, on estime que plus de 15 millions de personnes pourraient être nourries.

Culture du tabac : le scandale du travail des enfants

Il est impossible de déterminer avec exactitude combien d’enfants sont employés dans la culture du tabac mais on sait qu’ils sont très nombreux.

La production de tabac demande une main d’œuvre importante et les exploitants préfèrent faire travailler leurs enfants plutôt que de payer des adultes supplémentaires.

Ils sont exposés à un risque accru d’accidents et de maladies. Les enfants exposés aux pesticides souffrent de troubles de la peau, des yeux, du système respiratoire ou du système nerveux.

Selon des données recueillies au Sri Lanka, les décès dus à l’exposition aux pesticides sont plus nombreux, chez ces enfants, que ceux dus aux maladies infantiles, à la malaria et au tétanos.

Les enfants travaillant dans les plantations de tabac sont les premiers touchés par la maladie du tabac vert.

Un rapport de l’association Plan sur les enfants du Malawi intitulé «Travailler dur, pour un salaire ridicule et de longues heures» révèle que ces enfants qui travaillent dans les champs de tabac, parfois dès l'âge de cinq ans, souffrent de graves symptômes physiques - fortes migraines, douleurs abdominales, faiblesse musculaire, difficultés respiratoires entre autres- dus à l'absorption de près de 54 milligrammes de nicotine par jour à travers leur peau, soit l'équivalent de 50 cigarettes.

De plus, ces enfants employés dans les champs ou les usines de tabac ne vont pas à l’école, ce qui les prive de l’espoir d’un avenir meilleur et contribue à la pauvreté multi-générationnelle.

Le tabac n’est pas nocif que pour ceux qui le fument…

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La culture du tabac nécessite 5,3 millions d'hectares (53 000 km²) dans le monde et contribue significativement à la déforestation dans certains pays comme le Zimbabwe.

La culture du tabac serait ainsi responsable de 5 % de la déforestation dans les pays en développement.

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La FAO, elle, OSE dire cela :

Du fait que le tabac joue un rôle de premier plan dans les économies de maints pays, une réduction mondiale de la demande de tabac, comme celle que pourrait entraîner le succès des efforts internationaux de lutte antitabac, pourrait avoir un impact énorme sur les revenus des agriculteurs et sur les économies des pays producteurs.

Même dans les pays où la production de tabac est relativement négligeable au niveau national, les agriculteurs de certaines zones pourraient néanmoins souffrir beaucoup de la contraction éventuelle de leurs marchés.

La mesure de l’impact de tout ralentissement de la demande de tabac dépendrait de la capacité des secteurs agricole et autres d’absorber la main-d’oeuvre et les autres ressources affectées précédemment à l’agriculture, et des revenus pouvant être réalisées dans des entreprises de remplacement.

Dans la plupart, voire la totalité, des zones productrices de tabac, il existe d’autres cultures qui peuvent remplacer le tabac, ainsi que des entreprises non agricoles qui peuvent intégrer toute la main-d’oeuvre quittant le secteur agricole.

Cependant, des cultures de remplacement sont normalement moins rémunératrices pour les agriculteurs.

En outre, le processus d’ajustement inhérent au passage de la production de tabac à celle d’autres cultures est susceptible de prendre du temps et d’exiger des investissements et des compétences considérables qui pourraient s’avérer indisponibles dans l’immédiat.

Même s’il existait des cultures suffisamment rémunératrices, de grosses pertes pourraient se produire pendant la période de transition.

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(gna gna gna :-s6 )





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sibelius il y a 9 ans

http://fr.starafrica.com/actualites/le-botswana-reglemente-la-coupe-dherbe-pour-la-chaume.html

Le Botswana réglemente la coupe d’herbe pour la chaume
par: APA publié le : 13/07/2015

Dans : Afrique

Le Botswana a pris un train de des mesures strictes pour contrôler la coupe d’herbe utilisée comme chaume, a appris APA lundi sur place.

Le Ministre de l’environnement, de la faune et du tourisme, Annah Bogatsu, a déclaré qu’à cause de la demande croissante de chaume, sa coupe était actuellement devenue une activité commerciale causant ainsi une montée de la concurrence entre les acteurs.

Bogatsu a indiqué par conséquent que cela posait une menace potentielle à cette ressource de grande valeur et qu’à cet effet il fallait un contrôle de cette coupe à travers un système de permis définissant des quotas de récolte pour différentes utilisations.

« Pour une gestion et une conservation durable de la chaume au profit constant de tous ceux qui comptent sur cette ressource, le département de la foresterie et des parcs naturels encourage les pratiques de récolte durable qui impliquent la coupe de la paille lorsqu’elle arrive à maturité et, à cet effet, une saison de récolte a été acceptée », a-t-elle indiqué.

Elle a ajouté que dorénavant, la coupe ne serait autorisée que durant la période du 15 juillet au 20 octobre de chaque année.

Signature : APA

Modifié il y a 9 ans, le mardi 11 août 2015 à 14:42

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sibelius il y a 9 ans

En Californie, la «soif» inextinguible des «data centers»

http://www.rfi.fr/hebdo/20150814-californie-data-centers-secheresse-climatisation-eau-silicon-valley-serveurs-informat

ETATS-UNIS NOUVELLES TECHNOLOGIES CLIMAT
Publié le 14-08-2015
En Californie, la «soif» inextinguible des «data centers»
Par Anne Frintz

Le fonctionnement des «data centers» repose sur leur climatisation.

En un an, les 800 et quelques data centers de Californie « boivent » l’équivalent de 158 000 piscines olympiques pour se « rafraîchir ».

Pour maintenir les machines qui stockent les informations numériques à une température inférieure à 40°C, les climatisations consomment des centaines de milliards de litres d’eau par an.

Si leur « soif » commence à poser problème, c’est que, dans le berceau de la Silicon Valley, sévit depuis quatre ans une sécheresse endémique.

L’appétit des data centers, les centres de sauvegarde de données informatiques, pour l’énergie électrique est bien connue.

Les serveurs informatiques, ces machines qui stockent les informations numériques, alignés côte à côte dans des salles dédiées, tournent 24 heures sur 24 et sont forcément très gourmands en électricité.

Mais leur « soif » d’eau était jusqu’à présent quasi ignorée du grand public.

Dans un récent article du Wall Street Journal, Drew Fitzgerald révèle l’énorme consommation d’eau des data centers californiens.

Le journaliste pointe que, selon le cabinet de consultance en technologies 451 Research LLC, plus de 800 data centers sont implantés en Californie, le berceau de la Silicon Valley.

Se basant sur ce chiffre et une estimation de leur consommation d’eau (produite par le secteur industriel lui-même), il calcule que la totalité des centres de stockage de données informatiques de cet Etat du sud-ouest des Etats-Unis utilisent à l’année autant d’eau que nécessiterait un remplissage de 158 000 piscines olympiques.

Le fonctionnement des data centers repose, surtout en Californie où les températures grimpent jusqu’à plus de 40°C l’été, sur leur climatisation.

En effet, les centaines de serveurs informatiques utilisés pour le stockage des données ont besoin d’un environnement tempéré pour être efficaces et nécessitent donc d’être refroidis toute l’année, ce qui requiert beaucoup d’électricité… et d’eau, les climatiseurs utilisés dans les data centers californiens étant le plus souvent des climatiseurs dits « à eau perdue », dont l'eau utilisée pour refroidir l'air est évacuée ensuite par les égoûts, ou à eau glacée.

Sécheresse endémique

Un centre de sauvegarde de données de taille moyenne (15 mégawatts), par exemple, aura besoin de 300 à 490 millions de litres d’eau par an pour rafraîchir ses machines.

Chaque data center de cette taille consomme à l’année autant d’eau que trois hôpitaux, un peu plus d’eau que 200 hectares d’amandiers - une culture traditionnelle en Californie -, et plus d’eau que deux golfs de 18 trous.

La plus grande « ferme à serveurs » de Californie grandit de 4% sa taille par an.

La compagnie Emerson Electric, qui vend des climatiseurs aux data centers, prévoit - en plus de cette croissance particulière - une multiplication des centres.

Chaque opérateur devrait construire trois nouveaux data centers de taille moyenne par an en Californie, selon ses estimations.

Bientôt, le marché des data centers sera le plus rentable de l’Etat.

Et si les centres de sauvegarde de données informatiques consomment aujourd’hui bien moins d’eau que l’agriculture (le secteur engloutit 80% de l’eau de l’Etat) ou les producteurs d’électricité, leur inévitable croissance entraînera une pression de plus en plus forte sur l’environnement, d’autant plus que les data centers ont généralement besoin de l’eau traitée par la municipalité, la même que celle utilisée par les restaurants et les hôtels.

(L’agriculture se sert dans les lacs et les sources, et les installations électriques peuvent, elles, employer de l’eau salée quelques fois).

Depuis quatre années, la Californie est confrontée à une sécheresse endémique.

Le niveau d’eau douce des rivières et des nappes phréatiques est historiquement bas, certaines sont déjà asséchées.

La situation est si pré;occupante que le gouverneur de l’Etat, Jerry Brown, a ordonné aux villes californiennes de réduire de 25% leur consommation annuelle d’eau.

Mais les entreprises ont été largement épargnées par ses économies, même si le secteur agricole a récemment décidé de freiner sa consommation.

Les officiels californiens ne s’en cachent pas : les restrictions en eau ne doivent pas entraver le développement économique.

Photo : Un amandier mort à Bakersfield, le 23 juillet 2015, à cause d'une sécheresse historique en Californie.
REUTERS/Lucy Nicholson

Récolter l'eau de pluie

Pour moins dépendre de l’eau potable des villes, certains centres de données essaient tout de même de diversifier leurs « fournisseurs » en eau.

Microsoft Corporated, qui dirige plus de cent data centers en Californie, éteint ses climatiseurs lorsque la température extérieure n’est pas trop élevée, ce qui est une façon de réduire sa consommation en eau.

Google Incorporated tente de récolter l’eau de pluie et d’autres ressources hydriques non potables.

Digital Reality Trust Incorporated a passé des contrats avec des mairies afin de recycler les eaux usées des communes, mais ces eaux, qui ne doivent pas être souillées par les déjections humaines, ne sont pas toujours disponibles.

L’hébergeur de Twitter, lui, a construit des puits… surtout pour sécuriser son accès à l’eau au cas où il y aurait des coupures, et pour dépenser moins d’argent.

Un autre hébergeur a installé des réservoirs d’eau géants pour les mêmes raisons.

Ce n’est pas l’écologie qui guide leurs actes en premier lieu.

Rares sont les data centers qui s’appuient sur des climatiseurs économes en eau, car ceux-ci sont plus énergivores.

Chez Emerson Electric, on est clair : « L’eau est moins chère que l’électricité », dit son vice-président en charge du développement des affaires à Drew Fitzgerald.

« Si le prix de l’eau n’augmente pas, il y aura une pénurie d’eau pour tout le monde ».

En Californie, l’électricité coûte chère par rapport à l’eau et par rapport à son prix dans d’autres Etats du pays.

Mais l’eau, bien que moins onéreuse, reste chère.

Et rare !

« Il est très surprenant de continuer à installer des data centers en Californie », lâche Pierre Leca, chef du département Sciences de la simulation et de l’information (DSSI) au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) - Direction des applications militaires (DAM) d’Ile-de-France.

« Par rapport au climat et aux prix de l’électricité et de l’eau, d'autres Etats offrent un meilleur environnement. L’Oregon, par exemple, semble beaucoup plus propice à accueillir des data centers », détaille-t-il.

(L’Oregon, au nord de la Californie, est devenu le nouvel eldorado des centres de données).

Refroidir au plus près les processeurs

Le CEA français possède deux data centers en région parisienne.

Ils abritent des supercalculateurs plutôt que des serveurs de stockage de données numériques, mais ils sont soumis aux mêmes impératifs de refroidissement des processeurs (ou unités centrales) de leurs machines.

Les chercheurs et ingénieurs du CEA ont trouvé le moyen entre 2000, année de construction de leur premier data center, et 2010, lancement du second chantier, de réduire de 30% la consommation d’eau de leur système de refroidissement.

Ils utilisent plus d’électricité, certes, mais l’opération s’avère rentable économiquement et bénéfique pour l’environnement.

Leur plus récent centre de données « boit » 7 millions de litres d’eau par an, quand l’ancien en « pompait » 200 !

Outre sept tours de refroidissement aéroréfrigérantes dites « hybrides » - car consommant très peu d’eau, en ruissèlement - qui soufflent de l’air froid dans les salles, ils ont installé des « portes à eau » directement sur les armoires renfermant leurs machines pour les rafraîchir mieux et en utilisant moins de ce précieux liquide.

OVH, le géant français et européen des data centers, troisième au rang mondial, amène, lui, l’eau, directement sur les unités centrales de ses machines via de minces tuyaux, pour refroidir au plus près les processeurs. Mais toutes ces optimisations ne sont possibles que si elles sont mises en place à la construction du centre de données… ou à sa totale rénovation.

Un groupe de production d'eau glacée dans l'un des « data centers » du Commissariat français à l'énergie atomique et aux énergies alternatives, en région parisienne.

« Une fois qu’un data center est en fonction, il est très difficile de rationnaliser ses besoins en eau et en électricité.

Concernant ceux de Californie déjà en service, il faudrait investir, faire des travaux et tout rénover pour qu’ils consomment moins », conclut Pierre Leca.

Mais aucune loi ni aucun label n'exhorte ou ne pousse les entreprises installées en Californie à effectuer ces changements.

« En Europe, la Commission européenne a publié un code de bonnes conduites à mettre en place pour maîtriser les consommations de fluides et d’énergie dans les data centers, et nous l’appliquons depuis sa sortie en 2000 », ajoute le chef du DSSI au CEA.

Une centaine d’institutions, d’universités et d’entreprises privées de l’Union européenne optimisent ainsi leur fonctionnement.

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sibelius il y a 9 ans

La Sologne a presque toujours conservé un caractère sauvage et humide voire précaire. Son sol pauvre, argilo-sableux est humide l'hiver et sec l'été. Il est défavorable à l'agriculture et a également longtemps constitué un facteur d'insalubrité

Les cours d'eau sont nombreux : le Barangeon, le Beuvron, la Bonneure, le Cher, le Cosson, la Nère, la Rère, la Grande Sauldre, la Petite Sauldre, la Sauldre, la Tharonne et le canal de la Sauldre.
Plus de 3 000 étangs dont les principaux sont : du Puits, de Beaumont, de la Giraudière, de Teillay, de la Noue, Neuf, Perret, de la Prée, de la Grande Corbois, de Marcilly, des Binoches, Grand étang de Rhuys, de l'Aiguillon, des Landes.

La forêt couvre les trois quart du pays solognot. Elle est constituée de plusieurs grands types forestiers : la chênaie-charmaie, la plus rare mais surtout la plus diversifiée, la vallée de la Sauldre, les forêts domaniales, les vastes propriétés forestières. On y rencontre les chênes pédonculés et sessiles, le charme, l'érable champêtre, le sycomore, le noisetier, le bouleau, le pin sylvestre, le pin maritime, le Douglas, quelques hêtres, trembles et frênes. Au printemps, grâce à leur floraison, on distingue des fruitiers sauvages tels que : poiriers, pommiers, alisier blanc ou merisiers.

Très très prometteur, tout ça :-)

Pour un peu qu'en plus, il y ait des tourbières .. :-)

Modifié il y a 9 ans, le samedi 15 août 2015 à 01:51

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carmencitalarevoila (clôturé) il y a 9 ans

http://www.sante.gouv.fr/qualite-de-l-eau-potable

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sibelius il y a 9 ans

Citation de "carmencitalarevoila"http://www.sante.gouv.fr/qualite-de-l-eau-potable[/quote]

Merci, merci :-)2 (f)2

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carmencitalarevoila (clôturé) il y a 9 ans

Autre info intéressante sur la nutrition
Je la mets sur ta discu, pour que lunebrune ne vienne rien pourrirhttp://www.medisite.fr/conseils-nutritionnels-9-aliments-qui-contiennent-trop-daluminium.630941.72.html?xtor=EPR-39-887004[Medisite-Nutrition-Minceur]-20150815
Et je rigole, je viens de me taper une glace au chocolat, donc je suis bardée d'aluminium


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sibelius il y a 9 ans

Pensée de ce matin : il faut redonner de l'organique à la terre.

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sibelius il y a 9 ans

Il faudrait voir les pratiques d'épandage dans le monde entier.


Participants

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