|
Mais c'est déjà ça !
|
|
truc-machin (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "i"salut Juste pour le fun....avec le navigateur Tor...j'ai changer 4 fois d'identité,cela aurait pu étre 20 fois ou cent fois...il faut juste avoir une nouvelle adresse mail à chaque fois(de n'importe qui) Donc j'ai signé 4 fois....une pétition électronique n'a malheureusement qu'une valeur tout à fait relative. Oui, tout comme tes "actions" pour connaître l'IP des personnes connectées ici.
|
|
truc-machin (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "sibelius"Le journal LA TRIBUNE a titré : La Loi EL MACRON Certains ont signalé le fait qu'elle a un malaise, un accident domestique pour éviter de s'exposer.
|
|
opi (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "truc-machin"Citation de "i"salut Juste pour le fun....avec le navigateur Tor...j'ai changer 4 fois d'identité,cela aurait pu étre 20 fois ou cent fois...il faut juste avoir une nouvelle adresse mail à chaque fois(de n'importe qui) Donc j'ai signé 4 fois....une pétition électronique n'a malheureusement qu'une valeur tout à fait relative. Oui, tout comme tes "actions" pour connaître l'IP des personnes connectées ici. çà reste confidentiel
|
|
C'est aujourd'hui le jour des manifestations protestataires contre ce texte de loi !
C'est la Lutte Finale ! ! !
( Et Gattaz, à coudre dans le même sac ! )
|
|
ha ha : ce 9 mars, jour de manif :
http://www.usinenouvelle.com/editorial/tanger-casablanca-rabat-la-campagne-du-maroc-de-pierre-gattaz-et-du-medef.N383183
Tanger, Casablanca, Rabat : la campagne du Maroc de Pierre Gattaz et du Medef
A la tête d'une forte délégation, Pierre Gattaz, président du Medef conduit ces 10 et 11 mars une mission marathon au Maroc en association avec le patronat marocain où il rencontrera plusieurs membres du gouvernement. Objectif : relancer les exportations françaises dans le royaume et nouer des partenariats autour de l'Afrique et du climat.
Une bonne centaine. C’est le nombre de patrons de grandes entreprises, ETI et autres PME qui vont former la délégation du Medef au Maroc les 10 et 11 mars avec à sa tête son président Pierre Gattaz (un avion spécial sera même affrété pour l&rsquocasion).
Autres têtes d’affiche, les deux coprésidents français du Conseil des chefs d’entreprises France — Maroc, à savoir Xavier Beulin, patron de la FNSEA et du groupe agroalimentaire Avril présent au Maroc via sa filiale Lesieur Cristal ainsi que Jean-Paul Herteman, l’ancien numéro 1 de Safran et président du conseil d’administration du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM).
L’objectif est clair redynamiser les échanges : "la France a connu avec le Maroc une période de fragilité politique mais ce temps est révolu. Notre pays se doit désormais de retrouver la première place en termes de flux commerciaux avec le Maroc" a indiqué en préambule à ce voyage Pierre Gattaz.
Pour le patron des patrons français, "la France doit exporter plus pour retrouver la croissance, il faut qu’elle aille la chercher et non l’attendre".
Plus dynamiques, moins chères, les entreprises espagnoles ont damé le pion aux françaises depuis trois ans. Madrid est ainsi devenu le premier partenaire commercial du Maroc qui monte, par ailleurs, en gamme notamment dans l’automobile.
Selon Xavier Beulin, la France est ainsi passée de 20% de parts de marché dans les années 2000 à environ 13 à 14% désormais. Au premier semestre 2015, la France a même affiché un déficit commercial avec le Maroc, une première.
L'Hexagone reste néanmoins de loin le partenaire principal du Maroc en matière d’investissements directs étrangers (IDE) avec un stock de l’ordre de 40% du volume total. Un record mondial pour Paris.
La France compte environ 750 filiales d’entreprises au Maroc. Et 36 des 40 groupes du CAC 40 (90%!) conduisent des activités directes au Maroc dont les plus en vue sont Danone, Lafarge, Safran, Airbus, Engie, Alstom ou bien sûr dans l’automobile Renault et PSA qui doit ouvrir une usine en 2019.
Le voyage organisé par le Medef (hormis la présence prévue de Bruno Lafont coprésident non exécutif de Lafarge Holcim) ne compte pourtant pas de grandes têtes d’affiche.
La campagne marocaine express de Pierre Gattaz se déroulera en trois escales : Tanger, Casablanca et Rabat.
A Tanger seront développées notamment les thématiques de l’automobile avec le mega site Renault ouvert début 2012 ou encore les grands projets d’infrastructure de la cité du Détroit : le port Tanger Med ou encore l'aménagement de Tanger-Ville.
La délégation des patrons français fera ensuite une halte à Casablanca, capitale économique du royaume.
Après un passage par l’Institut des métiers de l’aéronautique (IMA) en partie le fruit d’une coopération avec l’UIMM et la zone franche aéronautique Midparc où va s'installer notamment Stelia Aerospace, la ville blanche sera hôte de la principale rencontre avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), le patronat marocain présidé par Miriem Bensalah Chaqroun.
Parmi les thématiques importantes, les enjeux de la COP22 qui se déroulera à Marrakech en novembre et succèdera à la COP21 parisienne figurent au premier plan. Ce sera l&rsquocasion de porter ensemble notamment auprès des gouvernements, l’idée de fixer un prix au carbone.
"Une idée partagée par la CGEM dont nous espérons qu’elle l’appuie, comme nous, auprès des autres patronats d’Afrique de l’ouest, région où le Maroc est très actif", selon Pierre Gattaz qui avait notamment étrotement associé la CGEM aux débats de la COP21 dans le cadre du "Business dialogue".
Les idées de co-localisation et co-investissement vers l'Afrique de l'ouest font aussi partie des thématiques sous-tendant ce séjour marocain des patrons français. "Il faut donner de la substance à la verticale Europe - Méditerranée - Afrique. C'est bon pour les affaires et la stabilité régionale", a appuyé Xavier Beulin
SUSCITER DES RELATIONS D'AFFAIRES ENTRE ENTREPRISES, PME SURTOUT
En marge des exposés officiels, l'objectif est aussi de susciter des relations d'affaires entre entreprises, (PME surtout), des deux pays via des créneaux de networking, "une demande de la CGEM, avec qui nous avons un partenariat depuis près de 40 ans et de plus en plus étroit", selon Pierre Gattaz qui avait accueilli le patronat marocain à Paris fin mai 2015, à l&rsquocasion de la 12e Rencontre de haut niveau franco-marocaine et la venue du chef de Gouvernement Abdelilah Benkirane.
Les thèmes mis en avant seront notamment le numérique, l'énergie, la ville et la mobilité durable. Plusieurs partenariats dans ces domaines devraient se nouer entre entreprises françaises et marocaines et être officialisés à l'occasion du passage de la délégation française.
Côté politique enfin, la délégation du patronat français doit échanger notamment avec Moulay Hafid Elalamy, ministre de l'industrie et Mohamed Boussaid, ministre des finances du royaume.
Pour rappel, le Maroc, qui connaitra le 7 octobre la tenue de ses législatives à l’issue de la mandature du premier chef de Gouvernement islamiste qu’a connu le royaume, est côté croissance, en phase de décélération conjoncturelle.
Après un bond estimé à au moins 4,5% l’an dernier, la progression du PIB marocain devrait être inférieure en 2016 à 2% en raison d’une récolte agricole au mieux médiocre, du fait d’un net déficit pluviométrique ces derniers mois.
Pour rappel, l’agriculture compte au Maroc, pour près de 15% du PIB avec un fort effet d'entrainement sur le reste de l'économie.
Mais des pluies récentes ainsi que des chutes de neige sur l’Atlas permettent, semble-t-il, d’écarter un scénario catastrophe pour l’année. S’il pouvait encore pleuvoir pour le passage du Medef, ce serait de bonne augure pour les patrons français.
Mais Pierre Gattaz n'est pas François Hollande, cela se saurait.
N.D. et P-O.R
|
|
Loi sur le Travail : Article 1 :
|
|
Loi sur le Travail : Article 2
|
|
Loi sur le Travail : Article 3 :
|
|
Loi sur le Travail : Article 4 :
Adieu le temps
Où courant par les chemins
Je suivais le lièvre malin
Adieu les champs
Sous la lune qui répand
Sur les cases son éclat troublant
Combien de jours
Qui s'enchaînent à la nuit
Ont marqué nos peines depuis ?
Pas un espoir
Ne traverse le ciel noir
Ma maison du Kentucky, bonsoir
À quoi bon tant de pleurs ?
Rions de nos malheurs
Souriez, ma mie
Et chantez entre mes bras
Notre toit du Kentucky
Tout là-bas
Sous le destin
Notre échine doit plier
Notre front toujours se courber
En tous les lieux
Où le Nègre s'en ira
Le malheur suivra toujours ses pas
Un jour j'irai
Sans un geste, sans un mot
Emportant mon triste fardeau
Dire à la mort
Que Dieu garde en son pouvoir
Ma maison du Kentucky, bonsoir
|
|
Loi sur le Travail : Article 5 :
(Spécial Gattaz .. )
|
|
J'aimerais assez que l'on m'explique comment appauvrir et précariser une population .. peut permettre de remplir son carnet de commandes ?
A part, peut-être, pour les commandes de cordes de chanvre ....
|
|
lefoll (clôturé)
il y a 8 ans
sandrinne eddyl1717@gmail.com
je suis sandrinne de la France je suis à la recherche de prêt d’argent depuis plusieurs mois et j’ai été 4 fois victimes d’escroquerie avec les faut prêteurs qui m’ont ruiné,j’ai fait une tentative de suicide à cause d’eux. Car j’avais des dettes et des factures à payer. Je croyais que c’était fini pour moi je n’ai plus le sens de vivre.
Mais heureusement j'ai vu des témoignages faites par beaucoup des personnes sur Mr JEAN , c’est ainsi que je l’ai contacté pour obtenir mon prêt pour régler mes dettes et réaliser mon projet. C’est avec Mr JEAN que la vie, ma sourie a nouveau c'est un MR de cœur simple et très compréhensive. Méfiez-vous des prêteurs venants de l'Afrique car, il existe bel et bien des particuliers prêteurs ici en France
Si vous avez besoin de financement ; de prêt d’argent ou de n’importe qu’elle projet a réalisé ce Mr va vous aider a le réaliser et vous soutenir financièrement
Contacte: lefolljean@gmail.com
|
|
Citation de "cedric060"Ce n'est pas de l'hyper protection, le code du travail sert seulement à défendre les salariés contre les patrons...
Cite moi un autre contrat qui comme un CDI n'a pas de clauses de rupture connues et chiffrées à l'avance.
|
|
http://www.rfi.fr/france/20160323-organisations-patronales-unisson-contre-loi-travail-remaniee
Les organisations patronales à l'unisson contre la loi Travail remaniée
Par RFI Publié le 23-03-2016 Modifié le 23-03-2016 à 09:48
media
Le Medef de Pierre Gattaz et six autres organisations patronales ont rejetté la loi Travail remaniée.
REUTERS/Charles Platiau
Le projet de loi Travail sera examiné jeudi matin, le 24 mars, en Conseil des ministres, dans sa version revue et corrigée par le gouvernement face à la colère des syndicats. Mais cette version ne convient pas au patronat. Sept organisations, dont le Medef et la CGPME, se sont unies pour exprimer leur déception et réclamer de nouveaux aménagements.
« Terrible, terrifiant. » Sophie de Menthon, présidente d’Entreprises de taille humaine, indépendantes et de croissance (Ethic), n'a pas de mot assez fort pour qualifier les modifications apportées à la loi Travail : « Autant nous avons envie d’aider un gouvernement qui a envie de réformer, autant la loi en l’état n’est juste pas acceptable. Il faut faire très attention et prendre en compte le moral des entrepreneurs et leur rejet complet. Ils ne veulent même plus voir ce qui est bien. Il y a un rejet absolu. »
Un rejet et du pessimisme. Pierre Gattaz, le président du Mouvement des entreprises de France (Medef), craint un détricotage supplémentaire lors de l'examen parlementaire : « Quand vous entendez des élus, certains secrétaires généraux de syndicats, dire, le combat va continuer, on a extrêmement peur. »
Six propositions
Alors, le Medef, la Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises (CGPME) et cinq autres organisations ont avancé six propositions, avec en tête le rétablissement du plafonnement des indemnités prud'homales. Les revendications portent aussi sur l'assouplissement du temps de travail.
Des mesures indispensables pour François Asselin, le numéro un de la CGPME : « Ce texte, s’il devait en rester là, ne nous concerne plus. Nous, patrons de PME et de très petites entreprises, si nos propositions ne sont pas reprises, effectivement nous appelons à ce que ce texte ne soit pas voté. »
La CGPME va désormais tenter de convaincre les parlementaires. Mais avec peu d'espoir. François Asselin estime que l'approche de la présidentielle 2017 ne joue pas en faveur du patronat.
|