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chupa-chupi4 (clôturé)
il y a 8 ans
je propose qu'on oblige la boite qui veut se séparer de quelqu'un à lui trouver un poste ailleurs avant. ce qui serait la moindre des choses pour faire preuve de bonne volonté.
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iphigenie (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "sibelius"Bonne idée ! ! Excellente idée. Au moins il n' y aura plus de polémiques.
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truc-machin (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "chupa-chupi4"je propose qu'on oblige la boite qui veut se séparer de quelqu'un à lui trouver un poste ailleurs avant. ce qui serait la moindre des choses pour faire preuve de bonne volonté. Tu devrais savoir qu'on jette comme un malotru ou, que l'on impose une clause de non-concurrence avec des Euros... C'est la loi du "marché" qui n'est pas défendable aux "prud'homme". Une société fait ce qu'elle veut, apporte des témoignages pour discréditer le plaignant.
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iphigenie (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "truc-machin"Citation de "chupa-chupi4"je propose qu'on oblige la boite qui veut se séparer de quelqu'un à lui trouver un poste ailleurs avant.
ce qui serait la moindre des choses pour faire preuve de bonne volonté.
Tu devrais savoir qu'on jette comme un malotru ou, que l'on impose une clause de non-concurrence avec des Euros...
C'est la loi du "marché" qui n'est pas défendable aux "prud'homme".
Une société fait ce qu'elle veut, apporte des témoignages pour discréditer le plaignant.
Chupa ne parle pas de ce qui existe, il parle de ce que nous devrions mettre en place.
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chupa-chupi4 (clôturé)
il y a 8 ans
pour les prud’hommes il faut un dossier en béton armé avec des pièces, des preuves matérielles, des témoignages. soit des articles pas toujours évidents à fournir beaucoup de chefs d'entreprise ou personnel le savent et en jouent. on rajoute un budget avocat à 150€ de l'heure par dessus. 2 bonnes années d'attente de traitement.
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trickster (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "flo056"Citation de "chupa-chupi4"Citation Je suis désolée mais je ne suis pas d'accord avec vous. On a l'impression qu'on est arrivé au système américain mais c'est faux. Dans tous les cas, comme aujourd'hui d'ailleurs c'est la justice qui tranche et le licenciement devra être prouvé. On a pas laissé la bride sur le cou au patronat mais on essaye d'adapter la loi primo à la jurisprudence et secundo au pme pmi. Si on continue à ne rien faire nos emplois continueront à baisser. Être contre est un fait ne pas amener de solution et rester dans l'immobilisme est une autre chose. L'emploi à vie n'existe plus et même l'administration bientôt ne pourra plus garantir l'emploi. On est un des peuples les moins mobiles du monde avec toujours de très grosses lacunes en langues étrangères et on continue à ne rien vouloir changer ? On se tire une balle dans le pied Pertinent ! Même les chinois fervents pratiquant du protectionnisme se mettent à importer c'est dire . Vendre du frenchi en France ce n'est pas rentable par contre l'exporter est très juteux,mais bon pour ça faut que nos pignoufs de concitoyens arrêtent de pleurer et se bougent Et se bouger , c'est pas se remuer sur un forum ou dans son quartier hein !
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truc-machin (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "iphigenie"Citation de "truc-machin"Citation de "chupa-chupi4"je propose qu'on oblige la boite qui veut se séparer de quelqu'un à lui trouver un poste ailleurs avant. ce qui serait la moindre des choses pour faire preuve de bonne volonté. Tu devrais savoir qu'on jette comme un malotru ou, que l'on impose une clause de non-concurrence avec des Euros... C'est la loi du "marché" qui n'est pas défendable aux "prud'homme". Une société fait ce qu'elle veut, apporte des témoignages pour discréditer le plaignant. Chupa ne parle pas de ce qui existe, il parle de ce que nous devrions mettre en place. Chupa est "utopiste". Ce n'est pas réalisable. C'est comme si on mettait les employés sur la foire au bétail, vendre une vache ou un taureau pour renouveler le cheptel. Qu'il parte dans un élevage ou à la boucherie !
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truc-machin (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "chupa-chupi4"pour les prud’hommes
il faut un dossier en béton armé avec des pièces, des preuves matérielles, des témoignages.
soit des articles pas toujours évidents à fournir
beaucoup de chefs d'entreprise ou personnel le savent et en jouent.
on rajoute un budget avocat à 150€ de l'heure par dessus.
2 bonnes années d'attente de traitement.
Par expérience : le patronat manipule les prud’homme.
Il suffit de quelques témoignages "arrachés" au sein de l'entreprise.
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iphigenie (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "truc-machin"Citation de "chupa-chupi4"pour les prud’hommes il faut un dossier en béton armé avec des pièces, des preuves matérielles, des témoignages. soit des articles pas toujours évidents à fournir beaucoup de chefs d'entreprise ou personnel le savent et en jouent. on rajoute un budget avocat à 150€ de l'heure par dessus. 2 bonnes années d'attente de traitement. Par expérience : le patronat manipule les prud’homme. Il suffit de quelques témoignages "arrachés" au sein de l'entreprise. L'expérience n'empêche pas de créer une nouvelle façon de vivre ensemble.
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chupa-chupi4 (clôturé)
il y a 8 ans
c'est pour le coté donnant donnant de la magouille. je trouve ça plus équitable sans aller jusqu'à proposer une mutation en europe de l'est. vu que les prud'hommes c'est mort à la base du truc. j'y rajouterai le transfert de l'ancienneté. des congés dus l'acquis du droit à la formation. aussi envisageable comme phase de transition en poste lors d'un transfert de salarié vers un monde plus flexible. un mauvais manager fera toujours passer son incompétence sur le dos d'un sacrifié. les chiens se battront pour les premières places, mais ça sera plus dur pour eux aussi. il y a comme un manque d'organisation de la flexibilité pour en démontrer l'avancée, laissé à la seule charge du salarié éjectable. on traite mieux la marchandise.
Modifié il y a 8 ans, le samedi 5 mars 2016 à 14:39
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ARticle trouvé ce jour : http://www.slate.fr/story/114989/loi-travail-economistes Ce que nous apprennent les économistes sur la loi travail Faute de connaissance du réel, c’est aujourd'hui la conception idéologique des relations du travail qui prévaut dans le débat. La loi El Khomri rompt justement avec les tabous immobilistes de ceux qui s’accrochent à un système social devenu fondamentalement injuste. «Qui peut croire que favoriser les licenciements va permettre de lutter contre le chômage?» demande Pierre Jacquemain, le conseiller de la ministre du Travail, Myriam El Khomri, dans une déclaration où il annonce sa démission. Le conseiller en fait le cœur de son fier refus: favoriser les licenciements n’aidera pas à réduire le chômage, au contraire. N’est-ce pas? Le bon sens nous le dit. Cette loi n’est qu’une soumission «aux demandes patronales». L’interrogation du conseiller met en lumière deux erreurs: d’une part, une conception idéologique des relations du travail et, d’autre part, une ignorance coupable des travaux des économistes sur ces questions. Les deux vont ensemble: c’est l’absence de connaissances du monde réel qui pousse à se réfugier dans la vieille lutte des classes, intellectuellement confortable à défaut d’être encore pertinente. Cette vision idéologique est aussi nourrie par une autre vieillerie: une conception simpliste de la pensée économique. L’économie est constituée, au niveau fondamental, de théories issues des écoles de pensée: libérale, marxiste, keynésienne. Il s’agit de visions de la réalité, plus ou moins datées, empaquetées dans des convictions. Puis, concernant l’analyse des pays ou des secteurs, par exemple, le marché du travail, deuxième niveau, sont venues depuis trente ans des études de comparaisons internationales. Pourquoi les taux de chômage sont-ils si disparates dans une zone assez homogène comme l’Europe? L’OCDE ou le FMI se sont livrés à beaucoup de recherches sur ces questions. Malheureusement, les conclusions sont décevantes tant les différences entre les pays sont grandes. Il est difficile de savoir dans le taux de chômage français ce qui relève des lois françaises de ce qui est surdéterminé par les institutions, la culture, l’histoire. Cette difficulté est aussitôt utilisée par les simplificateurs dont nous parlons: chaque pays est différent, la France est la France, pas la peine de regarder de qui marche ailleurs. Les minojobs en Allemagne sont ainsi accusés d’accroître la pauvreté et ils sont mis en avant pour repousser tout enseignement comparatif des réformes germaniques. Redynamiser la productivité Mais, depuis une quinzaine d’années, l’économie s’est transformée grâce aux ordinateurs et aux innombrables données qu’ils peuvent traiter. L’économie s’est approchée des méthodes statistiques de la pharmacie. Pour revenir au travail, l’économiste David Autor a étudié les États américains où avait été mise progressivement en place une juridiction contre les licenciements abusifs à la fin des années 1970. Il a pu mesurer les différences entre les États avec la législation et les autres ainsi que l’évolution «clinique» de l’emploi et des salaires. Résultat: la protection a réduit le niveau d’emploi dans les États l’ayant mise en place et l’impact a été le plus fort pour les femmes et les peu qualifiés. De nombreuses autres études ont été menées par la suite. La conclusion est partout la même: «la législation contraignante est défavorable à l’emploi en particulier pour les personnes dont l’insertion dans le marché du travail est la plus difficile, les jeunes, les femmes et les plus âgés», résume Pierre Cahuc. En France, la protection de l’emploi «accentue la segmentation entre les salariés protégés et les salariés contraints d’accepter des contrats à durée limitée et les chômeurs». En clair, réduire les protections contre les licenciements ne va pas créer des emplois. Le Medef ne devrait pas se livrer à des promesses sur ce sujet comme le «million d’emplois» de Pierre Gattaz. François Hollande ne peut pas espérer une inversion de la courbe du chômage. Mais la loi travail devrait avoir un impact pour ouvrir le marché du travail, pour que les jeunes puissent plus facilement entrer et, au total, pour améliorer le taux d’emploi, le nombre de gens au travail. La loi vient corriger la segmentation du marché du travail, le mal le plus fondamental. Accessoirement, autre résultat des travaux des économistes: cette loi devrait redynamiser un peu la productivité, c’est-àire la croissance. Tabous immobilistes Pierre Jacquemain dénonce «l’invasion, à tous les étages, de la technostructure» et il se demande si «la technocratie aura raison de la politique». Met-il les économistes au rang de ces «technos»? Jean Tirole, Olivier Blanchard, Pierre Cahuc et d’autres économistes ont publié un texte de soutien à la loi. La France souffre de cette vision prétendument «politique» qui, plutôt que d’accepter des réalités dérangeantes ou complexes, plutôt que d’imaginer des solutions pragmatiques, préfère se couper des connaissances qu’apportent les scientifiques «technos» pour ne pas remettre en question une vieille idéologie confortable. La loi travail est déséquilibrée, il faut l’accompagner d’une avancée majeure vers le compte personnel d’activité. Mais c’est une loi qui rompt avec les tabous immobilistes de ceux qui s’accrochent à un système social devenu fondamentalement injuste. Et, si des dérives apparaissent, des corrections seront installées. Le droit du travail avait été écrit pour toujours, par empilement de textes considérés comme autant de conquêtes. Il devra demain bouger à la vitesse de l’économie, il ne peut être conçu que comme mouvant, au fur et à mesure que les «technos économistes» lui trouvent, par des évaluations, des défauts et des qualités. Un monde d’humbles vérités prouvées pour remplacer les dogmes d’hier et les postures faciles qui vont avec. Eric Le Boucher
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Le journal LA TRIBUNE a titré : La Loi EL MACRON
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opi (clôturé)
il y a 8 ans
salut Juste pour le fun....avec le navigateur Tor...j'ai changer 4 fois d'identité,cela aurait pu étre 20 fois ou cent fois...il faut juste avoir une nouvelle adresse mail à chaque fois(de n'importe qui) Donc j'ai signé 4 fois....une pétition électronique n'a malheureusement qu'une valeur tout à fait relative.
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