desmotspassent

Bohème sur la septième...

il y a 8 ans
Auteur Message
Photo de gorf
gorf (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "mislead"Ah ben oui...biz aussi... et au post:-)

XD

Photo de gorf
gorf (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "gigidelamar"
Les rêves deviennent brumeux au retour vers la "réalité" mais ils sont toujours présents tout au fond...


Dr^ole de monde que celui que nous empruntons une fois endormi(e)s........ la réalité est bien relative, à n 'en pas douter...

Photo de rienousipeu
rienousipeu il y a 8 ans

Citation de "gigidelamar"Il pleut, het regent, euriaegiten avida (muxu bat Marianne. Cherchez pas c'est un rituel),it's raining, ça pleut (version arverne), pluat (non ! là y'a plus. Finito) partout !
Et dans vos coeurs comme il pleut sur l... (arrête Gigi ! C'est trop là !)

Allons ! Pensons plutôt aux zeureux sapins derrière chez Doc, aux lapins roses de Maquis (mouillés c'est sexy parait), à Annie Cordy la chanteuse préférée de Gorf (scusi Gorfy c'était pour faire plus joyeux), aux paysages enchanteurs de Marianne, au sanglier mort et... (oups non ! ça va pas coller... tant pis on fait comme si...), aux salauds de pourr...(non plus !).
Ecoutons, ressentons, frissonnons chez la Miss.

Laissons à d'autres le soin de nous torturer l'esprit, ils sont payés pour ça.

Vive nos arrière-boutiques et que notre joie demeure !

Bien le bonsoir par ici ! :-)


Un va et vient...

Le va et vient du pinceau dessine des étoiles devant mes yeux. L'extase devant la magie de l'artiste, je m'abandonne à...tout ce qu’il a à me dire.

Et il me le dit si fort et si dense depuis que je le fréquente, lui ou elle.

Lui ou elle, comment le nommer cet imaginaire, être éthéré, si immatériel ?

C’est de son immatérialité qu’il en devient plausible à mes yeux car il ne singularise rien.

Mais un rien tellement immense dans le plausible qu’il laisse entrouvert de son monde, non nommé, non signifié, où c’est tellement le voyageur qui s’y aventure, qui en découvre au gré de son avancé, le paysage de ses envies ou des désirs de sa curiosité.

Car envie, il y a chez tout être qui ne s’ignore pas, de cette ignorance qui est trop souvent comme un sommeil de son être.

Alors l’être voulant se reposer d’abord, s’en éloigner ensuite, de ses amers, de ses abimes, d’une vie soi-disant inscrite et toute tracée, veut-il quitter la terrifiante matérialité d’ycelle où ses principaux sens sont parfois mis à mal.

Un mal de voir, d’entendre, de respirer, de sentir, de toucher, de ressentir, de penser, toutes ces réalités, parfois à l’enfermement multidimensionnel certain.

Fuir tout cela, un temps, le premier où l’on s’en est cru possible, ensuite de temps en temps quand l’habitude viendra, telle une rivière au flot secourable, un fluide naissant.

Circulation d’un fluide, d’un autre fluide, que l’on s’autorise, fluide d’une pensée libérée de certains cartésianismes parfois outranciers.

Outranciers qu’ils sont pour son intime, cet intime qui voulait explorer d’autres horizons, fussent-ils de prime abord d’un apparent "sérieux penser", comme trop décalé.

Le décalage, si étrange, parfois néfaste si non perçu pour ce qu’il est et non contrôlé, est parfois magique.

Magique si on l’aborde en connaissance de cause et en en acceptant les contraintes de sa particularité.

Magique, ce va et vient, le plus significatif, le plus prégnant, celui de l’alternance de ce que simplement et seulement l’on est d’avec ce que l’on s’autoriserait à imaginer tellement – pas autre, mais juste – être !

Va et vient, inlassable mouvement, quasiment, que dis-je ? Assurément, jubilatoire, que son existence à ce va et vient.

Cette dualité, cette échappatoire de l’une par rapport à l’autre, sont-elles de merveilleuses complices dans les rouages de cette étonnante et salutaire mécanique du va et vient entre réalité et imaginaire.

Réalité et imaginaire ! Heureusement qu’un étonnant mécanicien de la conscience vous à fait vous côtoyer dans ce mouvement.

Le paysage de la vie s’en trouve moins plat, tellement plus accidenté, de ces accidents d’un parcours de l’émotionnel qui en donne tellement plus la beauté de l’existence de son être, intimement enrichi de la dualité entre existence et possible existence.

C’est la plus grande richesse de l’humain que celle de pouvoir imaginer, mais en a-t-il toujours l’imaginaire même de cela ?

Conscience, le plus grand paysage possible, lui, assurément sans limites.

Sans limites, ça fait peur parfois.

C’est pour cela que le va et vient existe.

Il est dual, il instaure une possibilité de voyage, et quel voyage ! Et il instaure aussi une halte, le retour pour souffler.

Parce qu’il faut qu’il souffle l’humain, et c‘est compréhensible.

Il a, lui l’humain, pas vraiment souvent l’émotionnel en regard des possibles de la particularité de son imaginaire.

Avoir l’émotionnel en parfaite adéquation des possibilités de son imaginaire, n’aurait plus la prévalence du besoin de va et vient, juste un glissement continu et fluide vers l’inconnu, toutes les inconnus.

L’inconnu c’est beau, ou terrible suivant d’où l’on s’est cru venir.

Mais dans l’absolu, l’inconnu c’est toujours beau à un regard qui se serait débarrassé de l’incidence d’un ressenti pour n’en conscientiser que l’indice de clarté spéculaire.

Spéculaire, c’est le punctum de quelque chose de perçu, son essence même et non sa diffraction, toutes ces diffractions possibles, suivant la diffraction que va malheureusement permettre un cristallin ou une lentille altérée.

Mais ça, ce sera pour tellement plus tard, probablement jamais.


C’te tartine de mots ! Un va et vient aussi, entre le raisonnable attendu et socialement correct d’un dire et cette avancée débridée d’yceux qui se commettent sans retenue, dévalant un clavier pourtant horizontal comme on s’abandonnerait au courant d’une rivière en pente soudaine.

Ah la pente ! Ce n’est pas rien cette affaire là aussi, l’incidence participative de son être est quasiment le geniteur de l’existence d’un mouvement.

Et c’est tant mieux car voyez-vous, toutes les choses qui se trouvent en haut et les choses qui se trouvent en bas ne pourraient se rencontrer.

Une solitude terrible serait alors à craindre pour elles.

Et l’Univers aussi déteste la solitude.

Lui, c’est le premier a s’en être rendu compte.

Il faut dire que le territoire de son existence est si grand qu’il a très vite compris qu’il fallait autant s’assembler qu’être grand voyageur.

C’est qu’il faut occuper le paysage.

C’est bien d’occuper le paysage, quelque soit le paysage, qu’il le soit dimensionnel ou par la pensée, sorte de respiration de la vie, entrer, sortir, encore un va et vient.

Il y a un être, étonnant dans le dépouillement absolu de son être qui en occupe une immense étendue, le vide.

L’Univers, celui que l’on considère dans sa matérialité et le vide sont copains de longue date.

L’un, le vide attend ou n’attend pas – pure spéculation consciente de ma part - , tel un hôte, dans sa vaste demeure que son collègue daigne venir à sa rencontre.

L’autre, l’Univers ayant des velléités de voyage, aventure un regard de son train d’onde pour aller saluer ce vide qui l’entoure.

Il y a un autre qui ne fera jamais parti de la bande, c’est le néant.

Il faut dire qu’il n’a pas de chance – autre pure spéculation de ma part - , il n’existe que par le nom qu’on donne à ce qui tout simplement n’existe pas.

N’exister que dans le laps de temps et l’immatérialité d’une pensée totalement imaginaire, ce n’est pas une situation des plus confortables, au point que pour qualifier quelqu’un de façon ultime et dont on ne souscrit pas du tout à l’être de ce qu’il est ou de ce qu’il donne à voir de son être, on l’assimile aussi à du néant.

De la part du néant, d’une telle assimilation, il y aurait de quoi être vexé de sa part, mais l’irréalité de son existence l’affranchit de ce désagrément à y avoir pensé.

Ainsi, ne pas penser affranchit de tous les désagréments et pourtant c’est beau de penser.

Encore un va et vient, penser ou non ; ou alors puisque penser, penser et penser mais il faut juste se rendre compte du va et vient entre les formes de pensées, elles ne sont pas figées, certaines, juste la respiration d’une conscience, laquelle s’y elle s’autorise à voyager ne devrait jamais s’arrêter en chemin, celui d’un trop signifiant, qu’il le soi pour soi comme pour l’autre.

( Pfuii ! Epuisé, je suis, et ce n'était pas une affaire de sanglier mort avec un morceau de bridge, cette fois, mais d'un glissement impromptu de mes lèvres vers quelques verres de whisky, ce liquide n'étant pas contrariant, se laissa tout naturellement glisser vers l'orifice ainsi présenté.))


Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "gigidelamar"
Les rêves deviennent brumeux au retour vers la "réalité" mais ils sont toujours présents tout au fond...


"I have a dream"...:-) Bonsoir gigi.

Photo de gorf
gorf (clôturé) il y a 8 ans




m 'en vais me sustenter.....

see U..

Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"Citation de "gigidelamar"Il pleut, het regent, euriaegiten avida (muxu bat Marianne. Cherchez pas c'est un rituel),it's raining, ça pleut (version arverne), pluat (non ! là y'a plus. Finito) partout !
Et dans vos coeurs comme il pleut sur l... (arrête Gigi ! C'est trop là !)

Allons ! Pensons plutôt aux zeureux sapins derrière chez Doc, aux lapins roses de Maquis (mouillés c'est sexy parait), à Annie Cordy la chanteuse préférée de Gorf (scusi Gorfy c'était pour faire plus joyeux), aux paysages enchanteurs de Marianne, au sanglier mort et... (oups non ! ça va pas coller... tant pis on fait comme si...), aux salauds de pourr...(non plus !).
Ecoutons, ressentons, frissonnons chez la Miss.

Laissons à d'autres le soin de nous torturer l'esprit, ils sont payés pour ça.

Vive nos arrière-boutiques et que notre joie demeure !

Bien le bonsoir par ici ! :-)


Un va et vient...

Le va et vient du pinceau dessine des étoiles devant mes yeux. L'extase devant la magie de l'artiste, je m'abandonne à...tout ce qu’il a à me dire.

Et il me le dit si fort et si dense depuis que je le fréquente, lui ou elle.

Lui ou elle, comment le nommer cet imaginaire, être éthéré, si immatériel ?

C’est de son immatérialité qu’il en devient plausible à mes yeux car il ne singularise rien.

Mais un rien tellement immense dans le plausible qu’il laisse entrouvert de son monde, non nommé, non signifié, où c’est tellement le voyageur qui s’y aventure, qui en découvre au gré de son avancé, le paysage de ses envies ou des désirs de sa curiosité.

Car envie, il y a chez tout être qui ne s’ignore pas, de cette ignorance qui est trop souvent comme un sommeil de son être.

Alors l’être voulant se reposer d’abord, s’en éloigner ensuite, de ses amers, de ses abimes, d’une vie soi-disant inscrite et toute tracée, veut-il quitter la terrifiante matérialité d’ycelle où ses principaux sens sont parfois mis à mal.

Un mal de voir, d’entendre, de respirer, de sentir, de toucher, de ressentir, de penser, toutes ces réalités, parfois à l’enfermement multidimensionnel certain.

Fuir tout cela, un temps, le premier où l’on s’en est cru possible, ensuite de temps en temps quand l’habitude viendra, telle une rivière au flot secourable, un fluide naissant.

Circulation d’un fluide, d’un autre fluide, que l’on s’autorise, fluide d’une pensée libérée de certains cartésianismes parfois outranciers.

Outranciers qu’ils sont pour son intime, cet intime qui voulait explorer d’autres horizons, fussent-ils de prime abord d’un apparent "sérieux penser", comme trop décalé.

Le décalage, si étrange, parfois néfaste si non perçu pour ce qu’il est et non contrôlé, est parfois magique.

Magique si on l’aborde en connaissance de cause et en en acceptant les contraintes de sa particularité.

Magique, ce va et vient, le plus significatif, le plus prégnant, celui de l’alternance de ce que simplement et seulement l’on est d’avec ce que l’on s’autoriserait à imaginer tellement – pas autre, mais juste – être !

Va et vient, inlassable mouvement, quasiment, que dis-je ? Assurément, jubilatoire, que son existence à ce va et vient.

Cette dualité, cette échappatoire de l’une par rapport à l’autre, sont-elles de merveilleuses complices dans les rouages de cette étonnante et salutaire mécanique du va et vient entre réalité et imaginaire.

Réalité et imaginaire ! Heureusement qu’un étonnant mécanicien de la conscience vous à fait vous côtoyer dans ce mouvement.

Le paysage de la vie s’en trouve moins plat, tellement plus accidenté, de ces accidents d’un parcours de l’émotionnel qui en donne tellement plus la beauté de l’existence de son être, intimement enrichi de la dualité entre existence et possible existence.

C’est la plus grande richesse de l’humain que celle de pouvoir imaginer, mais en a-t-il toujours l’imaginaire même de cela ?

Conscience, le plus grand paysage possible, lui, assurément sans limites.

Sans limites, ça fait peur parfois.

C’est pour cela que le va et vient existe.

Il est dual, il instaure une possibilité de voyage, et quel voyage ! Et il instaure aussi une halte, le retour pour souffler.

Parce qu’il faut qu’il souffle l’humain, et c‘est compréhensible.

Il a, lui l’humain, pas vraiment souvent l’émotionnel en regard des possibles de la particularité de son imaginaire.

Avoir l’émotionnel en parfaite adéquation des possibilités de son imaginaire, n’aurait plus la prévalence du besoin de va et vient, juste un glissement continu et fluide vers l’inconnu, toutes les inconnus.

L’inconnu c’est beau, ou terrible suivant d’où l’on s’est cru venir.

Mais dans l’absolu, l’inconnu c’est toujours beau à un regard qui se serait débarrassé de l’incidence d’un ressenti pour n’en conscientiser que l’indice de clarté spéculaire.

Spéculaire, c’est le punctum de quelque chose de perçu, son essence même et non sa diffraction, toutes ces diffractions possibles, suivant la diffraction que va malheureusement permettre un cristallin ou une lentille altérée.

Mais ça, ce sera pour tellement plus tard, probablement jamais.


C’te tartine de mots ! Un va et vient aussi, entre le raisonnable attendu et socialement correct d’un dire et cette avancée débridée d’yceux qui se commettent sans retenue, dévalant un clavier pourtant horizontal comme on s’abandonnerait au courant d’une rivière en pente soudaine.

Ah la pente ! Ce n’est pas rien cette affaire là aussi, l’incidence participative de son être est quasiment le geniteur de l’existence d’un mouvement.

Et c’est tant mieux car voyez-vous, toutes les choses qui se trouvent en haut et les choses qui se trouvent en bas ne pourraient se rencontrer.

Une solitude terrible serait alors à craindre pour elles.

Et l’Univers aussi déteste la solitude.

Lui, c’est le premier a s’en être rendu compte.

Il faut dire que le territoire de son existence est si grand qu’il a très vite compris qu’il fallait autant s’assembler qu’être grand voyageur.

C’est qu’il faut occuper le paysage.

C’est bien d’occuper le paysage, quelque soit le paysage, qu’il le soit dimensionnel ou par la pensée, sorte de respiration de la vie, entrer, sortir, encore un va et vient.

Il y a un être, étonnant dans le dépouillement absolu de son être qui en occupe une immense étendue, le vide.

L’Univers, celui que l’on considère dans sa matérialité et le vide sont copains de longue date.

L’un, le vide attend ou n’attend pas – pure spéculation consciente de ma part - , tel un hôte, dans sa vaste demeure que son collègue daigne venir à sa rencontre.

L’autre, l’Univers ayant des velléités de voyage, aventure un regard de son train d’onde pour aller saluer ce vide qui l’entoure.

Il y a un autre qui ne fera jamais parti de la bande, c’est le néant.

Il faut dire qu’il n’a pas de chance – autre pure spéculation de ma part - , il n’existe que par le nom qu’on donne à ce qui tout simplement n’existe pas.

N’exister que dans le laps de temps et l’immatérialité d’une pensée totalement imaginaire, ce n’est pas une situation des plus confortables, au point que pour qualifier quelqu’un de façon ultime et dont on ne souscrit pas du tout à l’être de ce qu’il est ou de ce qu’il donne à voir de son être, on l’assimile aussi à du néant.

De la part du néant, d’une telle assimilation, il y aurait de quoi être vexé de sa part, mais l’irréalité de son existence l’affranchit de ce désagrément à y avoir pensé.

Ainsi, ne pas penser affranchit de tous les désagréments et pourtant c’est beau de penser.

Encore un va et vient, penser ou non ; ou alors puisque penser, penser et penser mais il faut juste se rendre compte du va et vient entre les formes de pensées, elles ne sont pas figées, certaines, juste la respiration d’une conscience, laquelle s’y elle s’autorise à voyager ne devrait jamais s’arrêter en chemin, celui d’un trop signifiant, qu’il le soi pour soi comme pour l’autre.

( Pfuii ! Epuisé, je suis, et ce n'était pas une affaire de sanglier mort avec un morceau de bridge, cette fois, mais d'un glissement impromptu de mes lèvres vers quelques verres de whisky, ce liquide n'étant pas contrariant, se laissa tout naturellement glisser vers l'orifice ainsi présenté.))




Trop de pensées tuent la pensée? ;-)

Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 8 ans

...Je comprends l'épuisement...;-)

Photo de rienousipeu
rienousipeu il y a 8 ans

Citation de "mislead"...Je comprends l'épuisement...;-)

En fait, j'ai menti mais je ne suis pas épuisé, c'était plus pour me moquer de ma tartine de mots.

Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"Citation de "mislead"...Je comprends l'épuisement...;-)

En fait, j'ai menti mais je ne suis pas épuisé, c'était plus pour me moquer de ma tartine de mots.


Il y a toujours le Whisky (pure malt?) pour faire passer la tartine. ;-)

Photo de rienousipeu
rienousipeu il y a 8 ans

Citation de "mislead"

Trop de pensées tuent la pensée? ;-)


Jardinier en herbe, ex couillon d'la ville que je suis, on m'avait pourtant dis que lors des plantations, surtout légumineuses, il ne fallait jamais trop en mettre l'une à côté de l'autre mais alterner pour contrer l'attaque en rangées ainsi facilitées pour la faune parasitaire.

Vous croyez que c'est pareil pour la plantation de certaines fleurs ?

Photo de gigidelamar
gigidelamar (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "mislead"Citation de "rienousipeu"Citation de "gigidelamar"Il pleut, het regent, euriaegiten avida (muxu bat Marianne. Cherchez pas c'est un rituel),it's raining, ça pleut (version arverne), pluat (non ! là y'a plus. Finito) partout !
Et dans vos coeurs comme il pleut sur l... (arrête Gigi ! C'est trop là !)

Allons ! Pensons plutôt aux zeureux sapins derrière chez Doc, aux lapins roses de Maquis (mouillés c'est sexy parait), à Annie Cordy la chanteuse préférée de Gorf (scusi Gorfy c'était pour faire plus joyeux), aux paysages enchanteurs de Marianne, au sanglier mort et... (oups non ! ça va pas coller... tant pis on fait comme si...), aux salauds de pourr...(non plus !).
Ecoutons, ressentons, frissonnons chez la Miss.

Laissons à d'autres le soin de nous torturer l'esprit, ils sont payés pour ça.

Vive nos arrière-boutiques et que notre joie demeure !

Bien le bonsoir par ici ! :-)


Un va et vient...

Le va et vient du pinceau dessine des étoiles devant mes yeux. L'extase devant la magie de l'artiste, je m'abandonne à...tout ce qu’il a à me dire.

Et il me le dit si fort et si dense depuis que je le fréquente, lui ou elle.

Lui ou elle, comment le nommer cet imaginaire, être éthéré, si immatériel ?

C’est de son immatérialité qu’il en devient plausible à mes yeux car il ne singularise rien.

Mais un rien tellement immense dans le plausible qu’il laisse entrouvert de son monde, non nommé, non signifié, où c’est tellement le voyageur qui s’y aventure, qui en découvre au gré de son avancé, le paysage de ses envies ou des désirs de sa curiosité.

Car envie, il y a chez tout être qui ne s’ignore pas, de cette ignorance qui est trop souvent comme un sommeil de son être.

Alors l’être voulant se reposer d’abord, s’en éloigner ensuite, de ses amers, de ses abimes, d’une vie soi-disant inscrite et toute tracée, veut-il quitter la terrifiante matérialité d’ycelle où ses principaux sens sont parfois mis à mal.

Un mal de voir, d’entendre, de respirer, de sentir, de toucher, de ressentir, de penser, toutes ces réalités, parfois à l’enfermement multidimensionnel certain.

Fuir tout cela, un temps, le premier où l’on s’en est cru possible, ensuite de temps en temps quand l’habitude viendra, telle une rivière au flot secourable, un fluide naissant.

Circulation d’un fluide, d’un autre fluide, que l’on s’autorise, fluide d’une pensée libérée de certains cartésianismes parfois outranciers.

Outranciers qu’ils sont pour son intime, cet intime qui voulait explorer d’autres horizons, fussent-ils de prime abord d’un apparent "sérieux penser", comme trop décalé.

Le décalage, si étrange, parfois néfaste si non perçu pour ce qu’il est et non contrôlé, est parfois magique.

Magique si on l’aborde en connaissance de cause et en en acceptant les contraintes de sa particularité.

Magique, ce va et vient, le plus significatif, le plus prégnant, celui de l’alternance de ce que simplement et seulement l’on est d’avec ce que l’on s’autoriserait à imaginer tellement – pas autre, mais juste – être !

Va et vient, inlassable mouvement, quasiment, que dis-je ? Assurément, jubilatoire, que son existence à ce va et vient.

Cette dualité, cette échappatoire de l’une par rapport à l’autre, sont-elles de merveilleuses complices dans les rouages de cette étonnante et salutaire mécanique du va et vient entre réalité et imaginaire.

Réalité et imaginaire ! Heureusement qu’un étonnant mécanicien de la conscience vous à fait vous côtoyer dans ce mouvement.

Le paysage de la vie s’en trouve moins plat, tellement plus accidenté, de ces accidents d’un parcours de l’émotionnel qui en donne tellement plus la beauté de l’existence de son être, intimement enrichi de la dualité entre existence et possible existence.

C’est la plus grande richesse de l’humain que celle de pouvoir imaginer, mais en a-t-il toujours l’imaginaire même de cela ?

Conscience, le plus grand paysage possible, lui, assurément sans limites.

Sans limites, ça fait peur parfois.

C’est pour cela que le va et vient existe.

Il est dual, il instaure une possibilité de voyage, et quel voyage ! Et il instaure aussi une halte, le retour pour souffler.

Parce qu’il faut qu’il souffle l’humain, et c‘est compréhensible.

Il a, lui l’humain, pas vraiment souvent l’émotionnel en regard des possibles de la particularité de son imaginaire.

Avoir l’émotionnel en parfaite adéquation des possibilités de son imaginaire, n’aurait plus la prévalence du besoin de va et vient, juste un glissement continu et fluide vers l’inconnu, toutes les inconnus.

L’inconnu c’est beau, ou terrible suivant d’où l’on s’est cru venir.

Mais dans l’absolu, l’inconnu c’est toujours beau à un regard qui se serait débarrassé de l’incidence d’un ressenti pour n’en conscientiser que l’indice de clarté spéculaire.

Spéculaire, c’est le punctum de quelque chose de perçu, son essence même et non sa diffraction, toutes ces diffractions possibles, suivant la diffraction que va malheureusement permettre un cristallin ou une lentille altérée.

Mais ça, ce sera pour tellement plus tard, probablement jamais.


C’te tartine de mots ! Un va et vient aussi, entre le raisonnable attendu et socialement correct d’un dire et cette avancée débridée d’yceux qui se commettent sans retenue, dévalant un clavier pourtant horizontal comme on s’abandonnerait au courant d’une rivière en pente soudaine.

Ah la pente ! Ce n’est pas rien cette affaire là aussi, l’incidence participative de son être est quasiment le geniteur de l’existence d’un mouvement.

Et c’est tant mieux car voyez-vous, toutes les choses qui se trouvent en haut et les choses qui se trouvent en bas ne pourraient se rencontrer.

Une solitude terrible serait alors à craindre pour elles.

Et l’Univers aussi déteste la solitude.

Lui, c’est le premier a s’en être rendu compte.

Il faut dire que le territoire de son existence est si grand qu’il a très vite compris qu’il fallait autant s’assembler qu’être grand voyageur.

C’est qu’il faut occuper le paysage.

C’est bien d’occuper le paysage, quelque soit le paysage, qu’il le soit dimensionnel ou par la pensée, sorte de respiration de la vie, entrer, sortir, encore un va et vient.

Il y a un être, étonnant dans le dépouillement absolu de son être qui en occupe une immense étendue, le vide.

L’Univers, celui que l’on considère dans sa matérialité et le vide sont copains de longue date.

L’un, le vide attend ou n’attend pas – pure spéculation consciente de ma part - , tel un hôte, dans sa vaste demeure que son collègue daigne venir à sa rencontre.

L’autre, l’Univers ayant des velléités de voyage, aventure un regard de son train d’onde pour aller saluer ce vide qui l’entoure.

Il y a un autre qui ne fera jamais parti de la bande, c’est le néant.

Il faut dire qu’il n’a pas de chance – autre pure spéculation de ma part - , il n’existe que par le nom qu’on donne à ce qui tout simplement n’existe pas.

N’exister que dans le laps de temps et l’immatérialité d’une pensée totalement imaginaire, ce n’est pas une situation des plus confortables, au point que pour qualifier quelqu’un de façon ultime et dont on ne souscrit pas du tout à l’être de ce qu’il est ou de ce qu’il donne à voir de son être, on l’assimile aussi à du néant.

De la part du néant, d’une telle assimilation, il y aurait de quoi être vexé de sa part, mais l’irréalité de son existence l’affranchit de ce désagrément à y avoir pensé.

Ainsi, ne pas penser affranchit de tous les désagréments et pourtant c’est beau de penser.

Encore un va et vient, penser ou non ; ou alors puisque penser, penser et penser mais il faut juste se rendre compte du va et vient entre les formes de pensées, elles ne sont pas figées, certaines, juste la respiration d’une conscience, laquelle s’y elle s’autorise à voyager ne devrait jamais s’arrêter en chemin, celui d’un trop signifiant, qu’il le soi pour soi comme pour l’autre.

( Pfuii ! Epuisé, je suis, et ce n'était pas une affaire de sanglier mort avec un morceau de bridge, cette fois, mais d'un glissement impromptu de mes lèvres vers quelques verres de whisky, ce liquide n'étant pas contrariant, se laissa tout naturellement glisser vers l'orifice ainsi présenté.))




Trop de pensées tuent la pensée? ;-)


les notions de temps et d'espace ne me sont guère familiers... Ne m'y situant qu'avec difficultés, je m'y perds avec délice.
Et la matière, aussi illusoire soit-elle (selon les physiciens), m'éclate !
Trop à découvrir et à créer avant le néant. Ne lui en déplaise, en ce qui me concerne, il attendra...

Bonsoir rienousipeu, ravie de vous revoir parmi nous. :-)

Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"Citation de "mislead"

Trop de pensées tuent la pensée? ;-)


Jardinier en herbe, ex couillon d'la ville que je suis, on m'avait pourtant dis que lors des plantations, surtout légumineuses, il ne fallait jamais trop en mettre l'une à côté de l'autre mais alterner pour contrer l'attaque en rangées ainsi facilitées pour la faune parasitaire.

Vous croyez que c'est pareil pour la plantation de certaines fleurs ?



Je suis une "urbaine" je crains de ne pouvoir parler que "balconnière". Ceci dit j'aime beaucoup les fleurs des champs à la pousse colorée et anarchique. ;-)

Photo de rienousipeu
rienousipeu il y a 8 ans

Citation de "mislead"

Il y a toujours le Whisky (pure malt?) pour faire passer la tartine. ;-)


Single c'est encore mieux.

Bon, c'est pas gagné, là, une pensée unique me parait d'une complexité à mettre en œuvre...c'est qu'il faut être rigoureux.

Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"Citation de "mislead"

Il y a toujours le Whisky (pure malt?) pour faire passer la tartine. ;-)


Single c'est encore mieux.

Bon, c'est pas gagné, là, une pensée unique me parait d'une complexité à mettre en œuvre...c'est qu'il faut être rigoureux.



En "causant" de pensée...Je vais aérer la mienne...;-) Bonne soirée le post.

Photo de marianneee
marianneee il y a 8 ans

Citation de "rienousipeu"Citation de "marianneee" Hop!!

Hop ! Rien ou si peu présent, mais je suis là, c'tantard présentement.

Pour le partage, quelle voix !

https://www.youtube.com/watch?v=F5WJE-PrT4E


Une bien jolie voix,forte et douce !


Participants

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