Citation de fouthese
Passage tardif sur le fofo...
Et hop ! Tout va bien madame la...
Ben Fouthese, les cavaliers de l'apocalypse sont bientôt parmi nous ?
T'as pas pris ton kit d'urgence avec toi Fouthese ? Sinon ça risque de nuire gravement à ta santé mentale
Citation Citation de Foutaise
Et hop ! Tout va bien madame la...
C'est devenu vidéo boloko ici !
Purée tu t'arranges pas Fouthese !
Qui est TVLibertés pour info (sources Wikipédia :
«Positionnement de la chaîne»
L'Express qualifie TV Libertés, parmi d'autres sites internet, de « résidences secondaires communes » de « la nouvelle droite ultra »34.
Rue89 parle de « fachosphère » pour qualifier la chaîne 25.
La Voix du Nord parle également de « chaîne d'extrême-droite » lorsqu'un journaliste de Valeurs Actuelles est venu se justifier sur la chaîne d'un article polémique sur la ville de Roubaix
« Création et but »
« La web-télé TV Libertés fait suite au projet « Notre antenne » (NA-TV)2 initié par Gilles Arnaud, directeur de l'Agence2presse et de ProRussia3 (qu’il a « rapidement quitté »)4, et Philippe Milliau, alors dirigeant du Bloc identitaire5,6 (celui-ci étant assisté par un certain « Yann Pinault »)7, le 22 septembre 20128. Ils projettent alors une télévision « totalement libérée du politiquement correct »9. S'y étaient associés Yvan Blot, Renaud Camus, Paul-Marie Coûteaux, Pierre Descaves, Jean-Yves Le Gallou, Henry de Lesquen, Bernard Lugan10, Roger Holeindre, Gérard Marin, Michel Marmin, Robert Ménard, Christian Millau, Guillaume de Thieulloy, Pascal Gauchon, Christian Marquant11, François Bluche, Thierry Bouzard, Pierre Cassen, Olivier Dazat, Gérard Dussouy, Jean-François Mongibeaux, Jean Picollec, Marc Rousset, Rémi Soulié, Jean-Pierre Turbergue12, ou Jean Raspail13. Jean-Michel Dubernard se retire après avoir constaté sa ligne éditoriale14.
Le projet est présenté par Milliau lors de la Journée 2012 de la réinformation organisée par Polémia15. Il change d'orientation après qu'Yvan Blot et Jean-Yves Le Gallou poussent Milliau à renoncer à tout financement russe16. Se voulant le reflet télévisuel de Radio Courtoisie avec une ligne éditoriale identitaire17, TV Libertés est officiellement lancée le 30 janvier 2014. Philippe Milliau est président de la chaîne, tandis que Martial Bild prend la direction de la rédaction, et Arnaud Soyez, dit Arnaud Haisse, celle de la production4. L'ancien militant négationniste Tristan Mordrelle, fils d'Olier Mordrel, est chargé de lever des fonds pour la chaîne1 »
« Les Identitaires (connus un temps sous le nom de Bloc identitaire – Mouvement social européen) est un parti politique français d'extrême droite5,6,7,1 identitaire et nationaliste8. Le mouvement est également décrit comme nationaliste blanc9,10,11, néofasciste10,12, raciste et islamophobe12,11, utilisant l'activisme et le nationalisme régional au niveau international13.
Fondé le 30 août 2002, le mouvement est une composante de la mouvance identitaire en France. Il s'oppose à la poursuite de l'immigration extra-européenne, à l'islam et au « grand remplacement ». Contrairement à l'extrême droite traditionnelle et aux nationalistes-révolutionnaires14, il affirme rejeter toute forme d'antisémitisme et d'antisionisme. Dominique Venner et Guillaume Faye comptent parmi les principaux inspirateurs du mouvement.
Génération identitaire, son mouvement de jeunesse, mène de façon régulière des actions symboliques, comme l'occupation du chantier de la grande mosquée de Poitiers en 2012. Il prend son autonomie en 2016. «
Citation de fouthese
Mais aussi Max-la-terribeule-menace !
Bis repetita
Ben Fouthese, les cavaliers de l'apocalypse sont bientôt parmi nous ?
T'as pas pris ton kit d'urgence avec toi Fouthese ? Sinon ça risque de nuire gravement à ta santé mentale
L'heure est grave chez les blaireaux critiquant les chaînes d'infos continue pour la qualité de leurs informations, Maximo pourrait au moins recouper les informations qu'il balance dans ses vidéo s (Mère de Assange et Kit d'urgence ) pour éviter de provoquer la panique chez les gogos.
Pour info ce sont des mesures prises le 29 mai 2018 :
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@beauvau alerte remplaçant le 1er juin 2018 le dispositif SAIP mobile, lancé en mai 2016 avant l’Euro de football en France.
Communiqué du 29 mai 2018 - Alerte et information de la population en cas de danger immédiat
Le ministère de l’Intérieur s’associe à des acteurs majeurs pour prévenir la population en cas de danger immédiat
Alors que la menace terroriste reste élevée sur le territoire français, Gérard COLLOMB, Ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, a souhaité que les outils les plus efficaces et les plus répandus soient utilisés pour alerter la population d’une situation susceptible de constituer un danger immédiat.
Dès le 1er juin 2018 prochain, le ministère de l’Intérieur pourra compter sur des acteurs majeurs et particulièrement connectés pour prévenir la population si la situation l’exige. Les messages d’alerte et de prévention du ministère seront diffusés de façon prioritaire sur Twitter, Facebook et Google mais aussi certains canaux de communication de la RATP, Vinci Autoroutes, Radio-France et France Télévisions.
Concrètement, Twitter assurera aussi une visibilité toute particulière aux messages du ministère de l’Intérieur en cas de crise grave comme cela a été le cas le 13 novembre 2015 et le 14 juillet 2016. Un bandeau spécial pourra apparaître en haut du fil des Tweets de chaque utilisateur connecté pour l’informer de la situation. Parallèlement, le ministère de l’Intérieur invite l’ensemble des utilisateurs de Twitter à s’abonner et activer les notifications du compte @Beauvau_Alerte external link , qui sera lancé le 1er juin prochain et permettra à chacun d’être notifié sur son téléphone en cas d’évènement grave.
Facebook offrira la possibilité au ministère de l’Intérieur de communiquer via un dispositif de communication lié à son outil « Safety Check ». Cette fonctionnalité, créée en 2014, se déclenche lorsqu’un évènement met en danger la population et permet aux utilisateurs de Facebook d’indiquer à leurs proches qu’ils se trouvent en sécurité. Les messages du ministère de l’Intérieur trouveront donc une visibilité rapide et forte sur la page du « Safety Check ». C’est la première fois en Europe que Facebook permet aux pouvoirs publics d’utiliser cet outil pour communiquer. Ce réseau social compte 35 millions d’utilisateurs actifs en France.
De son côté, Google relaiera sur le moteur de recherche, au travers de son outil "Posts on Google", les messages du ministère de l’Intérieur pour les utilisateurs effectuant des recherches dans la zone impactée ou lorsque les mots clés tapés par un utilisateur seront en rapport avec l'événement en cours. (Attentat, Ouragan, fusillade, Lieu…).
Enfin, les sociétés RATP, Vinci autoroutes, France Télévisions et Radio France relaieront aussi via leurs applications, réseaux sociaux ou panneaux d’information les messages du ministère si la situation le nécessite.
Gérard Collomb, Ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, remercie chaleureusement ces partenaires qui permettront une diffusion plus rapide et visible des messages d’alerte et de prévention lorsqu’elle s’imposera.
Ces nouveaux dispositifs s’ajoutent à ceux déjà existant : les prises de parole des autorités ainsi que les messages d’alerte et de prévention sur les comptes Twitter et les pages Facebook de la place Beauvau, des préfectures et des différentes directions du ministère.
Fin de l'application SAIP
Le dispositif qui entrera en vigueur le 1er juin prochain se substitue au dispositif SAIP mobile, lancé en mai 2016 avant l’Euro de football qui se déroulait en France.
Destinée à prévenir la population en cas d’attaque terroriste réelle ou supposée, cette application n’a jamais connu l’audience espérée.
Au plan pratique, seules les personnes qui l’avaient téléchargée pouvaient bénéficier des messages d’alerte. En l’absence d’activité et en raison de la consommation de batterie qu’elle engendrait, nombre d’utilisateurs initiaux ont fini par la désinstaller. Ainsi, seules 900.000 personnes étaient dotées de l’application à l’été 2017, limitant son impact en cas de crise.
Au plan opérationnel, l’application, qui n’a pas été déclenchée depuis un an, a par ailleurs souffert de dysfonctionnements et de choix de déclenchement ou de non-déclenchement qui n’ont pas été compris et ont limité sa crédibilité auprès du public.
Le président Emmanuel Macron a assuré qu'il n'aurait "aucune forme de faiblesse ou de complaisance" face aux mobilisations contre sa réforme des retraites même si cette dernière devait le rendre "impopulaire", dans un entretien diffusé lundi par RTL.
"Je veux aller au bout de cette réforme, je pense qu'elle est nécessaire pour le pays donc je la défendrai. Peut-être ça me rendra impopulaire, peut-être que des gens diront +c'est insupportable, tout ça pour ça+. Je ferai tout pour qu'il n'y ait pas ces blocages, je ferai tout pour qu'on soit en soutien de nos compatriotes qui seraient bloqués, mais je n'aurai aucune forme de faiblesse ou de complaisance", a déclaré le chef de l'État.
Alors que la CGT, FO, la FSU et Solidaires ont appelé à "une première journée" de grève interprofessionnelle le 5 décembre contre la réforme, rejoignant plusieurs syndicats de la SNCF et de la RATP, Emmanuel Macron a répété son intention de transformer le système actuel en un système universel par points.
Ce n'est pas une transformation "qui nie ce que sont les droits acquis d'individus", a-t-il estimé à propos des régimes spéciaux qui doivent se fondre à terme dans le futur système.
A l'adresse de ceux qui s'opposent à leur disparition, il a ajouté: "en conscience, vous pouvez pas sincèrement et raisonnablement me dire: on va embaucher, avec les mêmes règles. C'est pas possible, c'est pas raisonnable". Mais, a-t-il nuancé, "il faut donner du temps à la transition" car "ce qui heurte nos concitoyens, ce qui aujourd'hui fait les manifestations, c'est quand même surtout les régimes spéciaux".
Le Haut commissaire aux Retraites, Jean-Paul Delevoye, a rencontré ces dernières semaines les représentants syndicaux des professions bénéficiant d'un régime spécial de retraite (avocats, fonctionnaires, RATP...) afin de préparer avec elles une "période de transition" que l'exécutif envisage d'étaler largement dans le temps.
"Ce qu'il faut gérer, c'est l'angoisse des gens qui veulent comprendre où vont, sachant qu'ils ont parfois 15 ans, 20 ans, 25 ans de carrière", a reconnu Emmanuel Macron.