L'étudiant a laissé un long message sur son compte Facebook
Le jeune homme militant au sein du syndicat Solidaires a, avant son geste, posté un message sur son compte Facebook. Il y dénonce la suppression de sa bourse, et plus largement la politique menée par le gouvernement actuel et les précédents. "Cette année je n'avais pas de bourse (...) et même quand j'en avais, 450 euros par mois, est-ce suffisant ?" , écrit-il. Et un peu plus bas : "J'accuse Macron, Hollande, Sarkozy et l'UE de m'avoir tué, en créant des incertitudes sur l'avenir de tous-tes. J'accuse aussi Le Pen et les éditorialistes d'avoir créé des peurs plus que secondaires."
Comme beaucoup éprouvent le besoin d'avoir un chef qui les déleste de leurs responsabilités,je leur ( auxdits hommes en question ) présente leur chef - avec l'expression de ses sentiments - très - distingués !
Râââââ !
Tu vas pas faire ton petiot Valentin quand même ! Un suffit et il met du cœur à l'ouvrage...
Tous les deux vous me faites penser à des gamins à qui on a donné une piécette et qui s'avancent vers un distributeur de friandises... - Je veux,tout de suite ! ( Puisque piécette il y a... )
Tu dis " fumeux " sans savoir. - Mais bon,pareille attitude m'arrive parfois...
Nous sommes de grands enfants.
Hop,un petit peu de philo: l'humain est un infini qui,dans l'ordinaire de ses jours,produit essentiellement du fini.
Bon.Banalité de base.Et souvent il se sent bridé.Bridé...
Alors il faut le remettre à sa place quand c'est nécessaire: l'infini.
De l'incommensurable ( Acte VII )
Bla-blabla. Je comprends...
Laissons donc plutôt Bibi s'amuser avec Bibi tout seul dans sa baignoire.
Citation de fouthese
Et pendant tout ce temps Duschnock & Schnockdu n'auront pas ou peu réfléchi à la meilleure façon de bouleverser la donne.
Misère de l'infini parfois...
Vouloir sans pouvoir parce que sans savoir.
Défais-toi de toutes tes chaînes intérieures pour rejoindre celui que tu es.
Ensuite commence ton questionnement avec opiniâtreté,sans jamais baisser les bras.
Alors peut-être que des réponses surgiront - pour ton plus grand étonnement !
O c cupe-toi déjà de toi ! Y a du boulot, visiblement.
T'en as au moins pour encore 44 ans de recherche avant de trouver ton Graal - en plastoc.
Modifié il y a 4 ans, le jeudi 28 novembre 2019 à 18:53
« Ce monsieur est d'une grande honnêteté.... d'une grande intelligence » janvier 2013.…
En réponse aux propos de Collon, Monsieur d’une grande honnêteté intellectuelle
à propos des intérêts de la France au Mali :
LES FAITS
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1- Les soit disant ressources du Mali dont la France est l’horrible prédateur ! :
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Uranium
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La justification des ressources déjà donnée concernant l’uranium (yellowcake)
Où sont les ressources d’uranium soit disant produites par le Mali ? Depuis 2013 aucun kg n’est sorti du Mali ? Un tour de passe passe ou est-ce du yellowcake de contrebande passé en douce ?
Pour l’or, Ah bah enfin y en a une production de 50 tonnes / an en octobre 2014 mais produites par 9 société minières de différents pays, zut alors ! :
« Le Mali produit 50 tonnes d’or par an à travers 9 sociétés minières de différents pays. Cette production représente 70% des recettes d’exploitation et contribue de 20 à 25 % aux recettes fiscales et de 4 à 5 % à la richesse nationale, soit 250 milliards de Fcfa comme contribution au budget national. Dans les 3 années à venir, il y aura 6 nouvelles mines qui vont entrer en phase de production dans notre pays. «
Ben oui on voit tout de suite les gros prédateurs français hein ! sous traitant de « Randgold Resources » d’origine Sud Africaine !
Le seul projet de Bouygues Travaux Publics au MALI sur le site de Bouygues TP :
- Mine d’or de Gounkoto en tant que sous traitant de « Randgold Resources » d’origine Sud Africaine, les Maître d’ouvrage pour une activité de travaux de minage et d’extraction. Ils ont du s’en mettre plein les poches !
« Morila SA,la société minière propriétaire et opérateur de lamine dont l’activité a débuté en 2000. Morila SA est une société malienne détenue par deux multinationales d’origine sud-africaine, Randgold (40%), Anglogold Ashanti (40%),et par l’Etat malien (20%). »
165 millions de m³ de matériaux à extraire sur 12 ans
Mali, 2011 - 2023
Description générale
En tant que sous-traitant exclusif de Randgold Resources, DTP Mining a en charge depuis 2011 les travaux de minage et d’extraction de la mine d’or de Gounkoto au Mali. D’une durée de 12 ans, le contrat prévoit l’extraction de 165 millions de m3 de matériaux.
Présent au Mali depuis 2000, DTP Mining a précédemment assurer :
• - L’exploitation de la mine de Morila (8 millions de m³ de matériaux extraits par an – 80 millions de m³ en 10 ans) pour le compte de Rangold Resources et Anglogold Ashanti de 2000 à 2009.
• - Puis la reprise et le traitement sur ce même site de 18 millions de m³ de stocks de minerai de faible teneur en or de 2009 à 2013,
• - Contrat de Push Back (extension de la mine) de Morila sur 23 mois (2013-2015) portant sur l’extraction de 10 millions de m³
• - L’exploitation de la mine de Loulo, non loin du site de Gounkoto, de 2009 à 2012
http://www.bouygues-tp.com/fr/projets/mine-d-or-de-gounkoto-
En janvier 2013 :
« François Hollande a assuré que la France n'avait pas de véritables intérêts actuellement au Mali. C'est vrai. Elle ne participe pas à l'extraction d'or, principale ressource d'exportation du pays. Mais à l'avenir, elle pourrait en avoir : dans le bassin de Taoudeni, du nom d'une oasis à cheval entre le nord du Mali et la Mauritanie, des permis de prospection ont été accordés à des compagnies algérienne, canadienne, angolaise et française (Total) pour trouver du pétrole. »
« Total a fait un premier forage (côté mauritanien), en 2010, qui a été estimé décevant. Elle avait prévu d'en faire un second, qui a été gelé en raison du conflit. Cette région malienne est, certes, très enclavée, mais elle pourrait s'avérer rentable avec la hausse du cours du pétrole, surtout si les gisements sont abondants et de qualité. »
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2 – L’intervention de la France au Mali s’est faite dans le cadre de la résolution 2 085 de l'ONU.
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« En terme de légitimité internationale, et de légalité par rapport à la Constitution française, ces deux éléments ont été respectés »
Ben oui évidemment que la France est intervenue QUE pour ses intérêts personnels à en croire les spécialistes du CNRS et de la région !
Voici une réponse de spécialistes du CNRS qui connaissent la région et le contexte un peu mieux que Collon.
Voici un extrait, le reste à lire absolument pour ce faire une idée des vraies raisons de l’intervention française et pas cette théorie du complot fumeuse.
"Il y avait un risque d'implosion du Mali"
André Bourgeot, chercheur au CNRS, spécialiste de l'Afrique saharo-sahélienne a répondu à vos questions sur les raisons de l'intervention française au Mali
Par Hélène Sallon Publié le 15 janvier 2013 à 17h04 - Mis à jour le 28 février 2014 à 17h00
« La France a déclaré la "guerre contre le terrorisme", en lançant vendredi 11 janvier une intervention armée au Mali. La décision d'intervenir a été prise à la suite d'une offensive coordonnée des islamistes armés alliés à Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) sur Kona, verrou entre le nord et le sud malien. Le nord du Mali, région en majorité désertique, est depuis fin juin 2012 sous contrôle total de ces groupes armés, qui prônent une application rigoriste de la charia (loi islamique). L'intervention française vise notamment à stopper leur progression vers le sud et
notamment Bamako, la capitale. »
« André Bourgeot, chercheur au CNRS, spécialiste de l'Afrique saharo-sahélienne a répondu à vos questions. : »
« Max : Pourquoi la France intervient-elle maintenant au Mali ?
« Elle intervient dans l'urgence pour les deux raisons suivantes : il y a eu une descente des groupes djihadistes sur le sud dont l'objectif était la conquête de la ville Sévaré qui se trouve au sud de la ligne de front. Or à Sévaré, il y aun aéroport internationl. Si Sévaré tombait entre les mains des djihadistes, il y aurait eu impossibilité pour les militaires maliens et éventuellement les militaires de la CDAO de débarquer à Sévaré pour reconquérir le nord. »
« Sévaré prise, on pouvait penser que Bamako aurait aussi été prise par les groupes armées djihadistes. Si tel avait été le cas, dans ces conditions, le Mali basculait sur un Etat de type salafiste. Et les conséquences auraient été extrêmement graves. C'est le premier élément du contexte sur le plan militaire. »
« Sur le plan politique, c'est le président par intérim de la République malienne, le professeur Dioncounda Traoré qui a sollicité l'intervention militaire de la France auprès du président François Hollande. Pour justement stopper l'avancée des djihadistes. »
« En troisième lieu, cette intervention se fait aussi dans le cadre de la résolution 2 085 de l'ONU. En terme de légitimité internationale, et de légalité par rapport à la Constitution française, ces deux éléments ont été respectés. »
Mines d'uranium : "la France n'a pas intérêt à ce que le conflit malien s'étende au Niger"
« La question des intérêts économiques de la France dans la région malienne suscite de vives polémiques. Explications d'Emmanuel Grégoire, directeur de recherche à l'IRD. «
Propos recueillis par Propos recueillis par Angela Bolis Publié le 30 janvier 2013 à 20h37 - Mis à jour le 31 janvier 2013 à 13h41
« François Hollande a assuré que la France n'avait pas de véritables intérêts actuellement au Mali. C'est vrai. Elle ne participe pas à l'extraction d'or, principale ressource d'exportation du pays. Mais à l'avenir, elle pourrait en avoir : dans le bassin de Taoudeni, du nom d'une oasis à cheval entre le nord du Mali et la Mauritanie, des permis de prospection ont été accordés à des compagnies algérienne, canadienne, angolaise et française (Total) pour trouver du pétrole. »
« Total a fait un premier forage (côté mauritanien), en 2010, qui a été estimé décevant. Elle avait prévu d'en faire un second, qui a été gelé en raison du conflit. Cette région malienne est, certes, très enclavée, mais elle pourrait s'avérer rentable avec la hausse du cours du pétrole, surtout si les gisements sont abondants et de qualité. »
« - Quels sont les intérêts de la France dans le pays voisin du Niger ? »
« Au Niger, la France n'exploite pas de pétrole : c'est la Chine qui est sur le marché, dans la région d'Agadem, et compte, à long terme, en exporter. Toutefois, c'est dans l'uranium que la France possède d'importants intérêts. Le Niger pèse en effet pour 30 % de l'approvisionnement des centrales nucléaires françaises. »
« Areva y possède deux mines, celle d'Arlit et celle d'Akokan. Et une troisième est en construction, à Imouraren. A l'horizon 2020, elle devrait produire 5 000 tonnes de minerai, et devenir la première mine d'uranium d'Afrique. Le Niger, propulsé au second rang des pays producteurs d'uranium, pèserait alors pour la moitié des approvisionnements de la France. »
« Après la prise d'otage meurtrière à In Amenas en Algérie, la France a décidé de sécuriser ses mines au Niger. Il y a eu des prises d'otage par le passé, or, avec la nouvelle mine d'Imouraren, le nombre d'employés dans les sites français devrait atteindre plus de 300 expatriés. Le président nigérien, Mahamadou Issoufou, a accepté la présence de forces françaises sur son territoire, alors que son prédécesseur s'y opposait. L'arrivée au pouvoir de François Hollande et de M. Issoufou, qui est membre de l'Internationale socialiste, a changé les relations entre les deux pays. Il a aussi prôné une intervention militaire au Mali, et a envoyé des troupes sur place, à Gao notamment. »
« - Y a-t-il un lien entre l'intervention de la France au Mali et la défense de ces ressources au Niger ? »
« Même si la France a des intérêts économiques très clairs au Niger, il n'y a pas de lien direct entre l'intervention militaire au Mali et la protection de ces mines d'uranium. Mais son objectif est bien de stabiliser la région, et de lutter contre des mouvements salafistes qui pourraient être tentés de passer la frontière entre le nord du Mali et le Niger. »
« Il est clair que Paris n'a pas intérêt à ce que le conflit malien s'étende dans ce pays voisin, et vienne perturber la production d'uranium. Le Niger non plus d'ailleurs : il tire 140 millions de dollars par an de ces mines, qui représentent 30 % des exportations de l'Etat. »
« En cas de scénario catastrophe, si la France perd ses mines d'uranium au Niger, elle peut toujours se tourner vers d'autres pays producteurs comme le Canada ou le Kazakhstan. Mais le cours de l'uranium risque de flamber. Or le prix de l'uranium extrait au Niger a déjà triplé entre 2005 et 2012. «
L'intervention au Mali, un grand succès pour la France
« « Etre lucide n’a jamais empêché d’être fier ». Comme le président François Hollande l’a rappelé, dans ses vœux du 31 décembre, il y a en effet tout lieu de l’être, fier, au moins quant à l’intervention militaire au Mali de 2013. Alors que le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian achève, ce jeudi, une tournée africaine, l’o pération Serval fêtera son premier anniversaire le 11 janvier. Un simple regard en arrière, à peine douze mois, permet de mesurer le chemin parcouru. »
« Quelle était la situation du Mali aux premiers jours de l’an dernier ? Depuis plusieurs mois, toute la moitié nord du pays était livrée aux groupes djihadistes (Aqmi, Mujao, Ansar Dine) qui y faisaient régner leur ordre, inspiré de l’idéologie d’Al Qaïda. Musique, tabac et alcool étaient strictement interdits. Les femmes cloîtrées chez elles. Au moins un couple adultère avait été lapidé à mort. Des tribunaux ordonnaient l’amputation des mains de voleurs. Des lieux saints de grande valeur artistique étaient détruits, parce qu’ils témoignaient de l’existence d’un islam traditionnel, moins sectaire. Les bandes armées régnaient sur la région, avec le cortège habituel de vols, viols et violences.
Dans leur sanctuaire, les djihadistes stockaient des armes et préparaient à ciel ouvert des actions terroristes. Six otages français étaient détenus dans la région. Dans le sud du Mali, la situation politique était désastreuse : le président élu, ATT, avait été renversé le 22 mars 2012 par un coup d’Etat militaire plutôt baroque et les nouveaux dirigeants du pays, autour du capitaine Sanogo dépassé par les événements, ne parvenaient pas à gouverner. Les militaires s’affrontaient les armes à la main, en fonction de la couleur de leur béret… Et ce Sud était directement menacé d’une opération militaire des groupes djihadistes du Nord, qui se préparaient à venir cueillir un pouvoir en lambeaux. Il y a un an, le Mali était un pays en pleine dérive. »
« Aux premiers jours de 2014, la situation est radicalement différente, preuve qu’en Afrique aussi, le pire n’est pas toujours sûr. Les groupes djihadistes ont été empêchés d’envahir le Sud et ils ont pris des coups très sévères : plusieurs centaines de combattants ont été tués, leur sanctuaire détruit, leur capacité d’action sérieusement réduite. L’un de leurs principaux chefs, Abou Zeid, a été tué. Les pratiques sectaires (amputation, lapidation, etc.) ont cessé. La légalité a été rétablie et des élections démocratiques ont été organisées, permettant l’arrivée au pouvoir d’un nouveau président, Ibrahim Boubacar Keïta, dont la légitimité n’est pas contestée par ses opposants. La communauté internationale a promis une aide de plus trois milliards d’euros pour ce pays qui reste l’un des plus pauvres du monde. »
« Certes, des difficultés subsistent. La question de l’autonomie des populations du nord (Touaregs, Maures, Arabes, Peuls…) n’a toujours pas été réglée, mais elle se pose depuis cinquante ans. La construction d’une grande route désenclavant le nord pourrait constituer une partie de la solution. Des groupes terroristes continuent d’o pérer – on l’a vu avec l’assassinat des deux journalistes de RFI - mais ils sont traqués de manière très pressante par les services de renseignement et les forces spéciales français. Ils prennent des coups très durs : dix-neuf morts en décembre. »
« Ce bilan positif est, pour l’essentiel, à mettre au crédit de la France. Préparée à la fin du mandat de Nicolas Sarkozy, l’intervention au Mali a été une priorité de l’action de François Hollande dès son élection, comme il l’annonçait durant l’été 2012. Chacun dans leur rôle, le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius et celui de la Défense Jean-Yves
Le Drian ont conçu puis mis en œuvre cette politique. Les choses se sont accélérées dans la deuxième semaine de janvier 2013 lorsque le renseignement français a repéré les colonnes djihadistes – plusieurs centaines de véhicules –descendant vers le sud. Le vendredi 11 janvier, cinq heures après que l’Elysée a a pprouvé l’o pération, les hélicoptères de combat ouvraient le feu… On connaît la suite. L’action de l’armée française a suscité l’admiration de tous les professionnels – en particulier des militaires américains et britanniques. »
« L’intervention au Mali n’est toutefois pas seulement un succès français. Africains, Européens et Américains ont été entraînés dans le sillage de Paris. En quelques jours, une dizaine de pays africains de la région ont ainsi accepté de fournir des contingents militaires pour contribuer à la sécurisation du Mali. Les Tchadiens, excellents soldats, ont combattu aux côtés des Français dans les batailles des Ifoghas. Regroupés au sein de la Minusma, une force des Nations Unies commandée par un général rwandais, ces Africains sont aujourd’hui environ 6 000. L’ONU avait promis 12 000 hommes : on en est loin, mais les contingents africains sont très sollicités ailleurs, par exemple en Somalie ou désormais en Centrafrique. »
« Contrairement à l’idée d’une France seule, Européens et Américains ont appuyé l’o pération Serval en fournissant les moyens militaires qui faisaient défaut à nos armées (transport, ravitaillement en vol, renseignement) : ainsi, près d’un tiers du transport aérien a été assuré par nos alliés. L’Union européenne a rapidement mis en place une mission de formation de l’armée malienne (EUTM-Mali), dont le quatrième bataillon, sur les huit prévus, est actuellement entre les mains d’instructeurs venus de toute l’Europe. Enfin, les Pays-Bas fournissent des moyens importants – dont des hélicoptères Apache et des forces spéciales – à la force des Nations Unies au Mali. »
« 2 500 militaires français sont toujours présents dans le pays, moitié moins qu’au moment le plus dur de la guerre. Le désengagement n’a pas été aussi rapide que François Hollande l’avait initialement promis, parlant de 1 000 hommes début janvier. Le ministre de la Défense évoque désormais « le printemps » pour atteindre ce chiffre. »
« En 2013, l’o pération Serval coûtera environ 650 millions – soit à peine 2 % du budget de la Défense. Sept militaires français y sont morts. »
« Le 20 janvier, un accord de défense sera signé entre la France et le Mali : il donnera un cadre juridique stable à la présence militaire française, notamment une grande liberté d’action dans la traque contre les groupes terroristes. Cet accord s’inscrit dans une réorganisation du dispositif française au Sahel, où, à terme, près de 3 000 hommes devraient rester présents (Mali, Tchad, Niger, Sénégal, Mauritanie, Burkina…). Des annonces devraient intervenir dans les prochaines semaines. D’une logique de coopération par Etat, l’idée générale est celle d’une approche plus régionale, où les forces basées dans un pays peuvent intervenir chez le voisin – ce qui se pratique déjà. Une sorte d’Africom, le commandement américain pour l’Afrique, à la française. »
Il suffit d'écouter le spécialiste de la région évoquer le complotisme et le fantasme du projet néo-colonial très présent dans les médias pour réfuter ce que dit Collon :
- à partir de 39mn14 - Vincent Hugeux, Grand reporter pour L’Express évoque les raisons et les problèmes politiques récurrents au Mali,
- à partir de 40mn39 - la dégradation de l'image de la France, le complotisme et le projet néo-colonial
Modifié il y a 4 ans, le jeudi 28 novembre 2019 à 20:35
Citation de fouthese
" Le Web propagandiste est de retour avec un beau montage pour les gogos ! "
Et c'est reparti pour les insinuations infondées et perfides !
J'ai bien ri et me suis bien amusé hier soir !
Cette vidéo est un montage maladroit.C'est un infographiste qui te parle là.Ça crève les yeux !
Une caricature - laquelle,comme toute caricature,est destinée à faire rire plutôt que réfléchir...
Bref t'es tombé dans le panneau !
Mais ça ne m'étonne pas de toi.
Manipulé Valentin,et il n'a rien vu venir - le spécialiste de la fake news...
Ben non Fouthese,
Je ne suis pas un de tes lecteurs prenant ça pour du réel.
A ton avis pourquoi, j'ai repris ton post sur ce montage vidéo de propagande ! CQFD
Mais combien de gogos vont être persuadés que ton Président préféré a dit ça réellement !