« Vous vous essayez de nous faire croire que c’est une propagande macroniste avec d’un côté le préfet Lallemand et de l’autre les black bloc qui sont en fait des gens qui ont fait des études supérieures et qu sont là pour tout casser pour que Macron reste au pouvoir contre Marine le Pen, la deuxième fois, mais c’est un peu simpliste pour quelqu’un qu a écrit 100 livres !... »
Sont-ce les black bloc qui sont en fait des gens qui ont fait des études supérieures et qui sont là pour tout casser ?
Heurts entre "gilets jaunes" et les forces de police, le 1er décembre 2018 sur les Champs-Elysées, à Paris
« Vous vous essayez de nous faire croire que c’est une propagande macroniste avec d’un côté le préfet Lallemand et de l’autre les black bloc qui sont en fait des gens qui ont fait des études supérieures et qu sont là pour tout casser pour que Macron reste au pouvoir contre Marine le Pen, la deuxième fois, mais c’est un peu simpliste pour quelqu’un qu a écrit 100 livres !... »
Sont-ce les black bloc qui sont en fait des gens qui ont fait des études supérieures et qui sont là pour tout casser ?
« Vous vous essayez de nous faire croire que c’est une propagande macroniste avec d’un côté le préfet Lallemand et de l’autre les black bloc qui sont en fait des gens qui ont fait des études supérieures et qu sont là pour tout casser pour que Macron reste au pouvoir contre Marine le Pen, la deuxième fois, mais c’est un peu simpliste pour quelqu’un qu a écrit 100 livres !... »
Sont-ce les black bloc qui sont en fait des gens qui ont fait des études supérieures et qui sont là pour tout casser ?
Des éléments de réponse :
« Dans la foule hétéroclite des casseurs » Par Claire Hache, Benoist Fechner, Thibaut Solano et Boris Thiolay, publié le 03/12/2018 à 17:25 , mis à jour à 17:50
« Ultra gauche, ultra droite, manifestants exaspérés, pilleurs: le mouvement des gilets jaunes est gangrené par les extrémistes. »
« Des visages en grande partie masqués par des lunettes de ski et des masques de chantiers, les têtes recouvertes de bonnets et de capuches. A la main, des pavés, des boulons, des barres de fer, des marteaux, des lance-pierres et des armes par destination de toute sorte. Même des cocktails molotov. A Paris, samedi, ce sont des groupes hétéroclites mais déterminés, gilets jaunes sur le dos, qui s'en sont pris tout au long de la journée aux forces de l'ordre et ont dégradé magasins, voitures et monuments nationaux comme l'Arc de Triomphe. »
Une violence orchestrée par les ultras, de gauche comme de droite ? « La réalité est bien plus nuancée. "Le problème, c'est que les ultras emmènent dans leur sillage des gilets jaunes lambda surexcités par l'atmosphère. Et là, c'est encore plus difficile à gérer", souffle un policier. »
LIRE AUSSI >> Policier tabassé à l'Etoile: "Il allait se faire massacrer" « Le profil des très nombreux interpellés permet en effet de dessiner un premier tableau des casseurs, présumés plus proche du père de famille habitant en région que du militant structuré. A Paris, sur les 363 personnes placées en garde à vue, dont 32 mineurs, on retrouve "beaucoup d'hommes majeurs âgés de 30 à 40 ans venant de province, avec une situation sociale établie", a précisé dimanche soir le nouveau procureur de la République de Paris, Rémy Heitz qui a dû faire face à un nombre de gardes à vue "record". "La majorité (des interpellés) sont des gilets jaunes qui se sont transformés en casseurs", a estimé ce lundi matin sur RTL le secrétaire d'Etat Laurent Nuñez. »...
la suite dans l’article de l’express en lien ci-après (il faut retirer les parenthèses pour afficher l'article, cela ne passe pas dans le post) :
non seulement les établissements poulaga sont toujours présents sur le terrain,mais voilà qu'ils se montrent autrement plus virulents !
Ils sont dopés à !'€ ?
Et combien par mois ?