" des experts...incompétents " !
Voilà qui me fait penser au sketch de Dieudonné: " le cancer ",dans lequel il évoque les spécialistes d'une maladie inguérissables...
Bonsoir à toutes et à tous
Bon soir Foutaise !
Tu devrais te présenter Foutaise toi l'expert ici, que dis-je le prédictateur !
Depuis l'ouverture de ce topic, on peut dire avec une grande certitude que tes prédications dépassent de loin celles des experts que tu cites, les tiennes étant proche du 0 %, expert de ton si cher «Ground 0 » !
Pourquoi alors je pense que tu devrais te présenter ?
C'est tout simple et tu verras que tu feras sans nuls doutes le premier expert des froncés, le seul, l'unique , l'indéboulonnable !
Voilà la démonstration :
- C'est on ne peut plus simple :
il suffit de faire strictement l'inverse de ce que tu proposes, de tes prédictions ... et oh miracle on atteint la quasi garantie de faire le plus haut score ! CQFD
Citation de fouthese
Ce que désespère de réussir un invité sur ce topic.......
« faudrait pas non plus prendre les enfants du Bon Dieu pour des ..... »
L'avenir nous le dira Foutaise et toi de refuser de faire preuve d'un minimum d'honnêteté intellectuelle en éludant le bilan de tout ce que tu as promis et prédit ici et qui est passé aux oubliettes !
Pas classe Foutaise, mais te connaissant, je ne suis pas étonné hein !
Mais je confirme, c’est bien pour les gogos ! CQFD
Tu veux encore nous enfumer Foutaise ?
Ce beau montage est une Belle récupération d’un extrait de l’émission « un soir à la tour Eiffel » du 11 février 2015 ! CQFD
En France l’ensemble de la fraude serait estimée entre 50 et 80 milliards, ce qui fait une grosse différence hein !
Pour rappel des mesures ont été prises et engagées par l’Europe et la France via les différents gouvernements, dont à l’époque Bernard Cazeneuve, qui a bien communiqué au sujet des affaires Swissleaks où des fraudeurs se sont fait connaître auprès des services fiscaux pour bénéficier d’une «période de grâce », Panama Papers avec Michel Sapin et autres Paradise Papers.
Tu ne peux pas dire que ni l’Europe ni la France ne font des efforts et luttent depuis des années et plus particulièrement en 2017 :
« Fraude à la TVA : l'Europe passe à l'offensive »
« La Commission européenne veut soumettre aux 28 Etats membres un projet de réforme pour lutter contre la fraude à la TVA. Le manque à gagner pour les finances publiques communautaires représente environ un tiers du budget de l'Union européenne. »
« Le manque à gagner (*) pour les caisses de l'Europe est faramineux. D'après des estimations de la Commission européenne publiées ce mercredi 4 octobre, 150 milliards d'euros de TVA sont perdus chaque année à l'échelle européenne. Sur ce total, environ 50 milliards (soit environ 100 euros par citoyen) sont détournés par la fraude à la TVA transfrontalière. Et rien qu'en France, le manque à gagner pour les comptes publics est estimé à 20 milliards d'euros, selon une étude de l'Institute for Advanced Study réalisée pour la Commission. Pour mettre fin à ce système, l'institution européenne a présenté des mesures destinées à rendre le système de collecte plus robuste. Pour Pierre Moscovici, commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires :... »
Comment récupérer le manque à gagner si les entreprises frauduleuses ont fait de l ‘o ptimisation fiscale ou fraudé purement et simplement ?
Un élément de réponse :
- la constitution d’un dossier de preuves pour démontrer la fraude ?
Questions :
Combien faut-il de temps pour enquêter, en France, mais aussi à l’étranger… En cas de fraude à la TVA, évasion fiscale... par exemple, impliquant plusieurs sociétés écran étrangères, collecter les éléments de preuves, comprendre les mécanismes des fraudes et les cheminements, monter un dossier solide pour éviter de perdre le procès ?
Combien d’années de procès pour obtenir réparation, s’il y a réparation ?
En cas de négociation, pour éviter la durée et les coûts de l’enquête, d’un procès … Le montant de la fraude sera t-il récupéré dans son intégralité ?
Donc ce que dit Filoche, pour la France ce sont des estimations entre 50 et 80 milliards, combien de dossiers traités dans l’année par les services des finances publiques, DGFIP, TRACFIN et la justice ?
Ce gouvernement ne lutte t-il pas contre la fraude ou l’évasion fiscale ? N’est-ce pas ce qui se passe aujourd’hui avec les GAFAM ?
Alors Fouthese, tu peux raconter ce que tu veux sur le sujet, c’est du pipeau une fois de plus et croire que l’état va récupérer tout les ans les 50 à 80 milliards de fraude estimée pour éliminer la dette annuelle de la France aux alentours des 50 milliards c’est de la Foutaise.
Parce que si tu n’as pas bien compris Filoche ne parle que de la dette annuelle, il ne parle pas des 2 435 milliards de dette publique cumulée depuis des années, ni des engagements hors bilan dont peu de personnes parlent hormis la cour des comptes et quelques politiciens et économistes sérieux peut-être pour éviter de faire peur aux français.
Je pense au contraire que ce serait bien sensibiliser la population pour qu’elle évite le gaspillage de l’argent que nos enfants n’ont pas et devront un jour être sacrifiés pour rembourser cette dette.
« Sans fraude fiscale, pas de déficit public? »/b]
« C'est une affirmation que l'on voit passer de temps en temps: "Sans fraude fiscale, il n'y aurait pas de déficit public". Elle devient de plus en plus présente, depuis quelques années. Et c'est vrai que les ordres de grandeur semblent correspondre : entre 60 et 80 milliards d'euros pour la fraude fiscale selon certaines estimations, pour un déficit public d'environ 70 milliards d'euros l'an dernier. Mais peut-on vraiment en conclure que faire disparaître la fraude fiscale ramènerait les finances publiques à l'équilibre? Certainement pas. »
[b]Estimations hasardeuses « Si le déficit public est calculé d'une manière assez précise, par définition la fraude fiscale l'est beaucoup moins. On ne peut en deviner le montant que par extrapolation. Si par exemple dans un échantillon d'entreprises on a détecté un nombre moyen de fraudeurs et un montant global de fraude, on peut essayer de deviner ce qui vaut pour l'économie dans son ensemble. Une autre méthode consiste à mesurer l'activité économique, d'en déduire le montant d'impôts qui devrait "normalement" être perçu, le comparer avec les recettes effectives, et en déduire un manque à gagner correspondant à la fraude. Avec la meilleure volonté du monde, ces méthodes peuvent au mieux donner des ordres de grandeur, avec des marges d'erreur élevées.
Ainsi l'Union Européenne estimait-elle le montant de la fraude fiscale en Europe à 1000 milliards d'euros dont 160 milliards pour la France; un rapport du Sénat en 2012 l'estimait entre 30 et 60 milliards, tandis que le syndicat Solidaires-finances publiques arrive à la fameuse estimation entre 60 et 80 milliards. Bref, l'incertitude sur les montants est énorme. Cela dit, ce n'est pas le problème principal car elle va dans les deux sens, le "vrai montant" de la fraude peut être inférieur comme supérieur au montant du déficit. Cette incertitude est un problème mais ce n'est pas l'essentiel. »
Des réponses ici :
Le coût de la lutte contre la fraude
« On pourrait imaginer un monde dans lequel les fraudeurs fiscaux, soudain pris de remords, se rueraient vers les services de Bercy en robe de bure et couverts de cendres pour régulariser leur situation et demander pardon. Sans cette éventualité, il va falloir lutter contre la fraude fiscale, et cela ne se fait pas tout seul. Aussi incroyable que cela puisse paraître, les agent des impôts travaillent déjà beaucoup à trouver des fraudeurs fiscaux et ils ne pourront pas par magie en trouver beaucoup plus.
On peut envisager d'embaucher plus de monde aux impôts (ce n'est pas tout à fait un hasard si de nombreuses estimations élevées de la fraude fiscale proviennent des syndicats d'agents des impôts). Mais cela va se heurter à des rendements décroissants. Pour être efficaces, les agents actuels privilégient les fraudes à haut rendement : celles qui permettent de récupérer le plus possible avec le moins de complications possibles. Augmenter le nombre des agents obligerait les derniers recrutés à devoir traiter des dossiers moins faciles, qui coûtent plus et rapportent moins aux finances publiques.
Il y a un point à partir duquel recruter plus d'agents coûte plus que cela ne rapporte en recettes fiscales supplémentaires. On peut espérer des gains d'efficacité mais les impôts ont déjà, au cours des dernières années, réalisé d'importants gains de productivité.
Par ailleurs à partir d'un certain point, la lutte contre la fraude requiert des moyens de surveillance et d'investigation extrêmement intrusif. La personne qui fait tailler sa haie par le fils de son voisin et le paie en liquide, les heures de baby-sitting payées de la main à la main, les femmes de ménage avec lesquelles "si c'est déclaré c'est 10 euros de l'heure plus les charges, sinon pas déclaré c'est 15 euros", tout cela est de la fraude fiscale qui pour être combattue nécessiterait une surveillance constante de chacun qui serait vite insupportable.
Se poseraient aussi des problèmes de qualité des nouveaux recrutés. Le recrutement se fait sur concours, les nouveaux arrivants risquent d'être moins compétents que les actuels. Au problème de compétence s'ajouterait un risque de corruption accru. L'administration fiscale est actuellement extrêmement intègre, mais le risque augmente au fur et à mesure de la hausse des effectifs de recruter des agents sensibles à l'argument de l'enveloppe discrète contre un peu d'indulgence.
Bref, la lutte contre la fraude n'est pas gratuite, ce qui vient réduire d'autant les gains qu'elle engendre pour les finances publiques. ... »
Ben Foutaise pourquoi ne réponds tu pas à mes propos sur les mensonges de Onfray ?
Qui ne dit mot consent alors ? Ai-je tout bon ?
Sinon Foutaise, toi qui est bon en calcul mental ?
43% jugent que les forces de l'ordre ont fait un usage proportionné et 11% insuffisant.
Ca fait combien 43 + 11 ?
« Manifestations : 45% des personnes interrogées jugent que les forces de l'ordre ont fait un usage excessif de la force, selon un sondage »
« À l'inverse, ils sont presque autant (43%) à estimer que l'usage était proportionné. Il y a un an, en janvier 2019 en pleine mobilisation des "gilets jaunes", 42% des personnes interrogées jugeaient l'usage de la force excessif. »
franceinfo Radio France
Mis à jour le 23/01/2020 | 18:41
publié le 23/01/2020 | 16:59
« 45% des personnes interrogées jugent que les forces de l'ordre ont fait un usage excessif de la force lors des manifestations de ces dernières semaines dans le cadre de la mobilisation contre la réforme des retraites, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro publié jeudi 23 janvier. À l'inverse, 43% jugent que l'usage était proportionné et 11% insuffisant. Il y a un an, en janvier 2019 en pleine mobilisation des "gilets jaunes", 42% des personnes interrogées jugeaient l'usage de la force excessif.
Dans le détail, 62% des sympathisants de la France insoumise, du PS et d'Europe-Ecologie-Les verts jugent que les forces de l'ordre ont fait un usage excessif de la force lors des manifestations de ces dernières semaines.
A l'inverse, 68% des sympathisants LR et LREM et RN estiment que les forces de l'ordre n'ont pas fait un usage excessif de la force, selon cette même enquête.
« Les actions des opposants jugées violentes pour six personnes sur dix »
« Par ailleurs, toujours selon cette enquête Odoxa-Dentsu Consulting, 60% des personnes interrogées estiment que les actions menées par certains opposants à la réforme des retraites sont des actions qui ne sont pas légitimes, et qui sont violentes et antidémocratiques. Il s'agit, notamment, de coupures de courant ponctuelles, blocages de raffinerie, intrusion dans les locaux d’autres syndicats ou encore perturbation de déplacements du président. 40% des personnes estiment que c'est un moyen de se faire entendre. »
« Dans le détail, les sympathisants de La France insoumise, du PS et du RN jugent légitimes ces actions ciblées. Les sympathisants EELV, LR et LREM ne les jugent pas légitimes. »
« Ce sondage a été effectué par internet les 22 et 23 janvier sur un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. »
Ben Foutaise pour quelle raison ne réponds-tu pas au sujet de mon post que tu cites en lien ?
Qui ne dit mot consent alors ? Ai-je tout bon ?
Manque d'arguments sur les mensonges de Onfray ?
Sinon Foutaise, N'est-elle pas belle la vision qu’on certains de la démocratie, est-ce ça que tu nous proposes ?
« "Que Macron retire sa réforme, sinon on massacre": Darmanin et Le Maire ont reçu des menaces de mort » 22/01/2020 à 12h30
franceinfoRadio France
Mis à jour le 23/01/2020 | 18:34
publié le 23/01/2020 | 17:04
« La fin de la grève est notamment demandée par les Franciliens (à 59%) qui sont particulièrement touchés par les perturbations des transports en commun. »
« Le mouvement social contre la réforme des retraites continue de diviser les Français. Ils sont 56% à souhaiter la fin de la grève contre la réforme des retraites, d'après un sondage Odoxa-Dentsu Consulting réalisé pour franceinfo et Le Figaro publié jeudi 23 janvier. Tous les acteurs du conflit, en particulier la CGT et l'exécutif, perdent en popularité au bout d'un mois et demi de conflit. »
« D'après cette enquête, 56% des Français demandent la fin de la grève contre la réforme des retraites, ce chiffre est stable depuis le début du mois de janvier. La fin de la grève est notamment demandée par les Franciliens (à 59%) qui sont particulièrement touchés par les perturbations des transports en commun. Les sympathisants du parti LREM sont les plus nombreux à exiger la fin de la grève (à 93%), tandis que 83% des sympathisants Les Républicains sont favorables à la fin du mouvement.
En revanche, 43% des sondés souhaite toujours la poursuite du mouvement après plus d’un mois et demi de conflit. Les sympathisants de la France insoumise et du Rassemblement national, sont les plus motivés : 79% des "Insoumis" souhaitent la poursuite de la grève, ainsi que 60% des sympathisants RN. »
65% de mauvaises opinions pour Emmanuel Macron
« Tous les acteurs de ce conflit pâtissent d’une mauvaise opinion, souligne ce sondage, en particulier la CGT et l’exécutif rejetés par près de deux Français sur trois. Le président de la République recueille 65% de mauvaises opinions, le Premier ministre 63%.
La CGT, en tête de la lutte, recueille 36% de bonnes opinions contre 62% de mauvaises opinions. Parmi les syndicats, c'est la CFDT qui s’en sort relativement le moins mal avec 40% de bonnes opinions. Mais sa popularité baisse de 3 points en une semaine et de 5 points en deux semaines. Il ne ressort pas vraiment "gagnant" de ce conflit, avec 58% de mauvaises opinions.
La CGT est en revanche devenue le syndicat préféré par l'ensemble des sympathisants de gauche (66% de bonnes opinions auprès des sympathisants Insoumis et 60% auprès de ceux du PS), largement préférée à la CFDT.
A noter, enfin que les salariés de la SNCF et de la RATP recueillent des mauvaises opinions de plus de six Français sur dix (62%).
Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon 1002 Français représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogés par internet les 22 et 23 janvier 2020. »