" Macron et sa violence d’État - JT du mardi 21 mars 2023 "
" Au programme de cette édition, la majorité acculée par l’Assemblée ! A neuf voix près, le gouvernement tombait mais la motion de censure a échoué. Emmanuel Macron devrait donc continuer à exercer sa violence sur les Français.
Nous nous intéresserons ensuite à la commission d’enquête parlementaire sur le meurtre d’Yvan Colonna. Des travaux parlementaires qui soulèvent d’étonnantes questions.
Et pour terminer, nous reviendrons sur le rapprochement en cours entre la Chine et la Russie, sur fond de guerre en Ukraine. Une transformation qui crispe les Etats-Unis. "
" Le sauvetage panique des dépôts bancaires par Washington… Voici ce qui va suivre "
" Pourquoi jeter l’éponge maintenant ? Nous faisons référence à la lutte tardive de la Fed contre l’inflation, qui présente peu de signes de réussite.
Pourtant, c’est ce que le troupeau de Wall Street réclame à cor et à cri. Comme d’habitude, ils veulent que les indices boursiers repartent à la hausse après une longue période de sécheresse et utilisent comme prétexte la prétendue “crise financière” des petites banques.
Non, il n’y a pas de crise évitable dans le secteur des petites banques. Comme nous l’avons démontré dans le cas de SVB et de Signature Bank, qui ne sont que la partie émergée de l’iceberg, les cow-boys imprudents qui dirigeaient ces institutions ont mis en danger leurs déposants non assurés, et tous deux devraient maintenant recevoir leur juste part.
Les options d’achat d’actions des dirigeants du secteur ont chuté ou sont devenues sans valeur, et c’est exactement comme cela que le capitalisme est censé fonctionner. De même, sur un marché libre et honnête, les grands déposants négligents devraient eux aussi perdre leur chemise.
Après tout, qui a jamais dit à ces derniers que l’oncle Sam leur garantissait 100 cents par dollar ? C’est donc à eux, et non à l’État, qu’il incombe de veiller à la sécurité de leur argent.
Si le peuple américain souhaitait réellement que les grandes banques soient renflouées, le Congrès aurait eu des décennies, au moins depuis la crise des caisses d’épargne et de crédit des années 1980, pour mettre en place un filet de sécurité pour tous les déposants. Mais il ne l’a pas fait pour la bonne raison que la garantie à 100 % des dépôts serait une recette infaillible pour la spéculation inconsidérée des banquiers sur l’actif de leurs bilans ; et aussi parce qu’il n’y a pas eu de consensus pour mettre les contribuables en danger au nom de la trésorerie des entreprises du Fortune 500, des petites entreprises, des fonds spéculatifs, des déposants fortunés et d’un assortiment de VC de la Silicon Valley, de fondateurs, de start-ups et de milliardaires, parmi d’innombrables autres personnes qui ne méritent pas d’être sauvées. "
" Les banques sont toutes fragiles selon l’un des plus grands économistes suisses "
" Les banques sont toutes fragiles.
La débâcle de Crédit Suisse illustre l’importance de la confiance des clients, elle rappelle aussi la vulnérabilité inhérente aux banques de dépôts, rappelle Charles Wyplosz, économiste au Graduate Institute de Genève et qui également le fondateur de l’Observatoire de la BNS, la banque nationale suisse qui est la banque centrale de nos amis helvètes.
Ce que vient de dire Charles Wyplosz, a été dit dans le quotidien de référence suisse Le Temps.
Bien évidemment que les banques sont fragiles, structurellement en réalité.
C’est le modèle économique même des banques qui les rend fragiles et pas uniquement la cupidité des méchants banquiers ou des vilains capitalistes !
Par définition, génétiquement, une banque de dépôts récupère et collecte les dépôts des uns pour faire des crédits aux autres. Voilà le métier, particulièrement passionnant au demeurant, du banquier et à titre personnel j’ai pris beaucoup de plaisir comme banquier à financer des entreprises, de l’activité, des investissements et de l’activité profitable au plus grand nombre.
Par définition, la banque n’a jamais, jamais tout l’argent correspondant aux dépôts de ses clients. Elle utilise presque tout… moins les 10 à 12 % de réserves !
Par définition si tous les clients veulent récupérer leur argent en même temps, aucune banque, aucune n’a les moyens de répondre à ce besoin de liquidités immédiat. AUCUNE. "
" Un an de guerre économique OTAN-Russie : Quel Bilan ? "
9 mars 2023
" Pour ceux qui pensent que c’est l’économie qui désignera le vainqueur du bras de fer OTAN-Russie en Ukraine, il est important de faire l’état des lieux un an après le début de l’o pération spéciale.
On se souvient tous de la déclaration guerrière et péremptoire du 1er Mars 2022 de monsieur Bruno Lemaire, ministre de l’économie, des finances et de la relance:
Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe. "
Citation de fouthese
" (Exclusif) Alexandre Juving-Brunet fait le bilan après 111 jours passés en détention "
" Ancien capitaine de gendarmerie, ancien Saint cyrien, candidat à l'élection présidentielle, l'homme âgé de 41 ans avait été mis en examen pour « escroquerie en bande organisée ». La banque de France lui reprochait son projet du « franc libre » et d'avoir « voulu frapper monnaie », projet qu'il avait lancé à l'été 2022. 4.500 personnes avaient souscrit à cette monnaie non autorisée, pour un total de 1,3 million d'euros. Deux jours après être sorti de la maison d'arrêt de Draguignan, Alexandre Juving-Brunet vient d'accorder une interview exclusive au magazine Nexus. Dans cet entretien d'une heure, l'homme - toujours sous contrôle judiciaire – défend notamment d'avoir cherché à « faire basculer l'État français ». "
" Affaire du Franc Libre : l'ex - capitaine de gendarmerie Alexandre Juving-Brunet remis en liberté "
Quelle honte pour l'image de la gendarmerie que cet ex taulard ose encore se prévaloir de la Gendarmerie qu'il a quitté il y a des années, tout ça pour s'offrir et profiter d'un biais d'autorité ... plutôt malvenu !
C'est fou cette façon chez les complotistes de la fachosphère Nexus, Sud Radio et Berkoff en tête de travestir la réalité !
Pour rappel, bien qu'il soit présumé innocent, J-B est en attente d'un jugement pour escroquerie en bande organisée, pourquoi ne pas préciser qu'il est remis en liberté mais en liberté provisoire avec bracelet électronique ! Une raison particulière ?
« Var. L’ancien gendarme, Alexandre Juving-Brunet, mis en examen » Par Agence de presse APEI Publié le 30 Nov 22 à 17:07
« Alexandre Juving-Brunet a été mis en examen en fin de semaine dernière pour « escroquerie en bande organisée » et placé en détention provisoire à La Ferlède.
« Négligence administrative »
Celui qui fut le meneur des rassemblements anti-vaccins à Toulon a créé, cet été, Franc Libre, une monnaie « de la résilience et de la résistance » qui avait pour but « d’anticiper l’incompétence de nos pouvoirs publics en offrant aux Français un outil d’échanges quotidiens indépendant du contrôle politique des institutions européennes. » En échange d’1 euro, les personnes recevaient 1 Franc Libre.
Un projet qui n’a pas plus à la Banque de France qui a rappelé à l’ordre Alexandre Juving-Brunet.
Ignorant ces mises en garde, il est allé un cran plus loin et a commencé à éditer des billets en papier. L’institution monétaire a alors saisi la justice.
Bilan des investigations :
« 1,3 million d’euros de souscriptions réalisées auprès de différents particuliers.
Il semble qu’une part de cette somme ait été utilisée à des fins personnelles », a détaillé Samuel Finielz, procureur de la République de Toulon.
Toujours d’après les informations du parquet, Alexandre Juving-Brunet reconnaît « la matérialité des faits mais conteste l’utilisation personnelle » et parle de « négligence administrative. » Il a fait appel de son placement en détention provisoire. »
Citation de valentin14vanves
+++++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++ +++++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++
" Affaire du Franc Libre : l'ex - capitaine de gendarmerie Alexandre Juving-Brunet remis en liberté "
Quelle honte pour l'image de la gendarmerie que cet ex taulard ose encore se prévaloir de la Gendarmerie qu'il a quitté il y a des années, tout ça pour s'offrir et profiter d'un biais d'autorité ... plutôt malvenu !
C'est fou cette façon chez les complotistes de la fachosphère Nexus, Sud Radio et Berkoff en tête de travestir la réalité !
Pour rappel, bien qu'il soit présumé innocent, J-B est en attente d'un jugement pour escroquerie en bande organisée, pourquoi ne pas préciser qu'il est remis en liberté mais en liberté provisoire avec bracelet électronique ! Une raison particulière ?
« Var. L’ancien gendarme, Alexandre Juving-Brunet, mis en examen » Par Agence de presse APEI Publié le 30 Nov 22 à 17:07
« Alexandre Juving-Brunet a été mis en examen en fin de semaine dernière pour « escroquerie en bande organisée » et placé en détention provisoire à La Ferlède.
« Négligence administrative »
Celui qui fut le meneur des rassemblements anti-vaccins à Toulon a créé, cet été, Franc Libre, une monnaie « de la résilience et de la résistance » qui avait pour but « d’anticiper l’incompétence de nos pouvoirs publics en offrant aux Français un outil d’échanges quotidiens indépendant du contrôle politique des institutions européennes. » En échange d’1 euro, les personnes recevaient 1 Franc Libre.
Un projet qui n’a pas plus à la Banque de France qui a rappelé à l’ordre Alexandre Juving-Brunet.
Ignorant ces mises en garde, il est allé un cran plus loin et a commencé à éditer des billets en papier. L’institution monétaire a alors saisi la justice.
Bilan des investigations :
« 1,3 million d’euros de souscriptions réalisées auprès de différents particuliers.
Il semble qu’une part de cette somme ait été utilisée à des fins personnelles », a détaillé Samuel Finielz, procureur de la République de Toulon.
Toujours d’après les informations du parquet, Alexandre Juving-Brunet reconnaît « la matérialité des faits mais conteste l’utilisation personnelle » et parle de « négligence administrative. » Il a fait appel de son placement en détention provisoire. »
Dit-il,lui qui a l'art de mettre en avant les propagateurs de fèques-niouzes !
Tu sais que tu ne m'as pas toujours répondu sur cette vidéo de ton cher Julien à propos d'une pièce dans laquelle les journalistes ( pauvre Julien...... ) ne sont pas admis - ce que tu appelles lad-émocratie - comme ton Julien !
Comme c'est bête......
Allez,j'envoie - ça va peut-être te rafraîchir la mémoire et secouer tes neurones défaillants !
" Comment les banques centrales organisent la crise bancaire "
23 mars 2023
" Nous l’avons souligné dans le briefing du matin : la remontée des taux décidée par la FED hier, qui a suivi la remontée des taux de 50 points de base décidée par la BCE la semaine dernière, et rapidement suivie aujourd’hui par une hausse des taux en Suisse et en Angleterre, s’insère dans une spirale de lutte contre l’inflation qui réunit les ingrédients d’une crise obligataire. Les marchés sont donc assez logiquement perturbés par cet enchaînement infernal qui favorise les « arbitrages » en épargne particulièrement dangereux lorsqu’ils obligent les établissements financiers à passer des moins-values sur des obligations revendues en urgence. La question qui se pose est de savoir si les banques centrales font le choix de déstabiliser les banques… "
" France, un petit air de bas-empire entre Caligula et Héliogabale "
" Pour une fois, notre ami Alexandre N ne nous parle pas de stratégie militaire ou de géolitique mais de l’état de la France. Ce patriote viscéral souffre de voir l’héritage de la nation dilapidé par un tyranneau capricieux. Cependant, comme le montre l’auteur, le mal vient de plus loin….
La France traverse désormais une crise profonde de régime qui va se traduire par une situation de blocage généralisée et durable face aux violences répétées et croissantes du pouvoir en place. Cette crise en fait vient de loin. Elle est le fait de dirigeants qui n’eurent de cesse de vouloir détruire subrepticement ou pas ce pays dont ils ont obtenu « démocratiquement » la charge.
Le mystère Pompidou
Que la démocratie soit souvent suicidaire, on le sait depuis les cités grecques et Rome, mais pas qu’elle puisse l’être volontairement. Tout commence avec Pompidou, un homme de la banque déjà, qui livre la France à la finance internationale.
Pourquoi de Gaulle a fait d’un tel individu, que par ailleurs il détestait, son Premier ministre ? Mystère, sauf à supposer qu’il a dû composer avec quelques forces que Napoléon avant lui avait malheureusement croisées. Par-delà le normalien adorateur de la poésie française, il y a en effet l’homme suspect qui, alors qu’il a la trentaine, n’est ni résistant ni collabo sous l&rsquocupation. Après lui, chacun à sa manière parmi les Giscard et Mitterrand qui assurent la revanche de la bourgeoisie pétainiste, le somnambule Chirac, l’Américain Sarkozy et l’ami de la finance Hollande, creusera ainsi la route de la désouverainisation française. Malheureusement, ils n’ont fait en cela que cultiver ce poison qui en fait atteint la France à partir de Waterloo. De cette défaite, la caste dirigeante produira sa vassalité à la politique étrangère anglaise ( et on dit bien anglaise ) avant qu’elle ne se place à partir de 1945 sous celle des Américains, non d’ailleurs sans avoir renoncé à la souveraineté intellectuelle face à la pensée allemande dès 1870.
Même pendant le Bas-Empire romain, les propriétaires fonciers attendirent tout de même l’ultime moment avant de le trahir au profit des barbares.
L’instinct collaborationniste des grands possédants "
" Un texte inédit du grand philosophe allemand
Qu’est-ce que le national-socialisme ?
Figure phare, avant-guerre, de l’Ecole de Francfort, célèbre pour son marxisme hétérodoxe, le grand philosophe Herbert Marcuse (1898-1979) a émigré en 1934 aux Etats-Unis. C’est là, en 1942, qu’il a écrit « Etat et individu sous le national-socialisme », une œuvre visionnaire, décisive pour la compréhension du phénomène nazi. Edité par Douglas Kellner dans « Technologie, guerre et fascisme » (Routledge, New York et Londres, 1998), ce texte majeur reste inédit en français. Son fils, Peter Marcuse, a bien voulu autoriser « Le Monde diplomatique » à en publier quelques extraits, accompagnés d’une présentation du jeune chercheur italien Raffaele Laudani.
par Herbert Marcuse
Il n’est plus nécessaire, désormais, de contester l’idée fausse selon laquelle le national-socialisme marquerait une révolution. On sait à présent que ce mouvement n’a pas bouleversé l’organisation fondamentale du processus productif dont la maîtrise reste aux mains de groupes sociaux spécifiques qui contrôlent les outils du travail sans se soucier des besoins et des intérêts de la société dans son ensemble (1). L’activité économique du IIIe Reich repose sur les grands combinats industriels qui, avant même l’ascension de Hitler vers le pouvoir et profitant largement du soutien gouvernemental, avaient progressivement renforcé leur position. Ils ont conservé ce rôle-clé dans une économie de guerre et de conquête. Depuis 1933, leurs dirigeants se sont fondus dans la nouvelle « élite » recrutée au plus haut niveau du parti national-socialiste mais n’ont pas abandonné pour autant leurs importantes fonctions sociales et économiques (2).
Le national-socialisme n’est pas, non plus, une restauration sociale et politique, même s’il a, dans une large mesure, réinstallé au pouvoir les forces et les groupes d’intérêt que la République de Weimar avait menacés ou contenus : l’armée est redevenue un Etat dans l’Etat, l’autorité du chef d’entreprise s’est vue soulagée de nombreuses contraintes, et la classe ouvrière subit une véritable emprise totalitaire. Pour autant, cela n’a pas restauré les vieilles formes de domination et de hiérarchisation.
L’Etat national-socialiste, tel qu’il se présente, possède cependant peu de points communs avec l’organisation politique de l’ancien Reich. L’armée, traditionnel terreau du féalisme et de la prééminence prussienne, a été réorganisée selon des principes de recrutement plus ouverts, tandis qu’un train de mesures pseudo-démocratiques régit les rapports sociaux. Patrons et ouvriers, réunis au sein du Front allemand du travail, sont tenus de participer côte à côte aux mêmes défilés et manifestations et d’observer les mêmes règles de conduite. Nombre de privilèges et de titres honorifiques, vestiges de l’ordre féal, ont été abolis. Du reste, et c’est plus important, l’ancienne bureaucratie et les plus hautes instances de l’industrie et de la finance ont reconnu le nouveau maître et les nouvelles méthodes de gouvernement. (...)
Nous développerons, ici, l’idée selon laquelle l’Etat national-socialiste s’est débarrassé des caractéristiques essentielles de l’Etat moderne. Ce régime tend à abolir toute distinction entre Etat et société en transférant les fonctions politiques aux groupes sociaux qui détiennent effectivement le pouvoir. (...)
L’État moderne — et c’est lui seul qui nous occupe ici — fut construit et organisé en dehors du champ des relations inter- individuelles, domaine considéré comme non politique et répondant à des lois et des modèles propres. La vie privée, la famille, l’Eglise et de larges secteurs de la vie économique et culturelle relevaient de ce domaine. (...) L’Etat reconnaissait que certains droits sociaux spécifiques lui préexistaient, et son intervention ne se justifiait et n’était admise que pour les préserver, les promouvoir, ou les restaurer. (...) Le national-socialisme a aboli cette distinction entre Etat et société. (...)
L’Etat : une machine. Cette conception matérialiste reflète bien mieux la réalité national-socialiste que les théories sur la communauté de race ou sur l’Etat-guide. Cette machine, qui contrôle partout la vie des êtres humains, est la plus terrifiante de toutes puisque, avec toute l’efficacité et la précision dont elle fait preuve, elle reste totalement imprévisible et capricieuse. Nul ne sait, exceptés peut-être quelques « initiés », quand et où elle frappera. Elle semble n’o pérer qu’en vertu de lois qui lui sont propres et s’adapte avec souplesse et diligence au plus léger changement dans la composition des groupes dirigeants. Toutes les activités humaines sont soumises aux objectifs impérieux de contrôle et d’expansion. "
" Charles Gave est enfin de retour sur @grandangleeco !
Avec le chaos bancaire qui règne, il n'est pas simple d'y voir clair et de rester optimiste. Va-t-on vers la fin du système bancaire tel qu'on le connaît ? Quelles seront les prochaines banques à tomber ? Mais, si vous êtes fait du même bois que Charles Gave, alors vous pourrez vous dire qu'il est tant de "redevenir optimiste".
Mais comment redevenir optimiste par les temps qui courent ? Charles Gave ( @InstitutdesLibertesIDL & Gavekal) vous partage sa vision et vous explique pourquoi les récentes mauvaises nouvelles (faillite de SVB, faillite de Silvergate, Crédit Suisse en mauvaise posture,...) sont peut être le signe d'un changement de direction favorable pour votre épargne.
" Au programme de cette édition, retour sur la situation explosive dans le pays. Alors que les mobilisations se poursuivent contre l’exécutif, Emmanuel Macron choisit le bras de fer. Une décision toxique pour la France et les Français.
Et puis nous reviendrons ensuite sur la question énergétique et plus précisément du nucléaire. Alors que le secteur était un atout pour notre pays, les décisions successives ont peu à peu battu en brèche notre point fort. Un retournement de situation largement incité par l’Allemagne et Bruxelles. "
" Macron : l’entêtement jusqu’à quand ? - JT du mardi 28 mars 2023 "
" Au programme de cette édition, le désordre organisé par la majorité. Après avoir semé la colère, le gouvernement récolte la violence à l’o ccasion d’une nouvelle journée de grève ponctuée par des heurts.
Nous reviendrons ensuite sur la guerre en Ukraine qui ne semble plus intéresser les médias français.
Et pour terminer, nous irons en Ecosse où un nouveau chef de gouvernement local vient d'être élu. "
12 804 vues 28 mars 2023
337 commentaires
Modifié il y a 1 an, le mardi 28 mars 2023 à 20:39