Citation de savanee
bonjour fouthese and Co ...
citation du jour ...
la pire forme d'absurdité ...
et d'accepter ce monde ...
tel qu'il est aujourd'hui ...
et de ne pas lutter pour un monde ...
tel qu'il devrait être ...
Jacques Brel
L'aventure consistant à trouver un monde convenant à tous.
Ce n'est pas gagné......
" Que se passe-t-il lorsque la majorité des citoyens d’une nation décide de ne pas se conformer aux édits tyranniques ? La Tanzanie peut fournir une réponse "
Posted le 6 juillet 2022
" RAPPORT DE TANZANIE – PLUS DE BONNES NOUVELLES D’AFRIQUE !
Par Bushiri
NOTE DE L’AUTEUR : lors de la lecture de ce qui suit, il incombe au lecteur de garder à l’esprit que le président John Magufuli était l’un des dirigeants africains les plus populaires de l’histoire récente. Sa base de soutien parmi les gens ordinaires était réelle et énorme, en raison de sa chaleur authentique, de sa détermination à faire passer le peuple en premier et à débarrasser son pays de la corruption, des gros chats et de l’oisiveté du gouvernement.
Demandez-vous simplement : quel autre dirigeant, où que ce soit dans le monde, a déjà volontairement DIVISÉ DE MOITIÉ son propre salaire et donné l’autre moitié à des causes valables ? Magufuli l’a fait, et bien plus encore, tout au long de ses cinq ans et demi de présidence.
Et tel était son succès à tirer son pays par les bottes qu’il était connu localement, et affectueusement, comme « le bulldozer ».
Que se passe-t-il lorsque la majorité des citoyens d’une nation décide de ne pas se conformer aux édits tyranniques ? La Tanzanie peut fournir une réponse
Posted le 6 juillet 2022 par mirastnews in International // 0 Comments
L’ancien président tanzanien John Pombe Magufuli.
Commentaire de Brian Shilhavy :
Un lecteur m’a envoyé ce prétendu récit de première main de ce qui s’est passé en Tanzanie après la mort de l’ancien président John Magufuli dans des circonstances suspectes après s’être opposé aux vaccins COVID-19 et à d’autres mesures COVID.
RAPPORT DE TANZANIE – PLUS DE BONNES NOUVELLES D’AFRIQUE !
Par Bushiri
NOTE DE L’AUTEUR : lors de la lecture de ce qui suit, il incombe au lecteur de garder à l’esprit que le président John Magufuli était l’un des dirigeants africains les plus populaires de l’histoire récente. Sa base de soutien parmi les gens ordinaires était réelle et énorme, en raison de sa chaleur authentique, de sa détermination à faire passer le peuple en premier et à débarrasser son pays de la corruption, des gros chats et de l’oisiveté du gouvernement.
Demandez-vous simplement : quel autre dirigeant, où que ce soit dans le monde, a déjà volontairement DIVISÉ DE MOITIÉ son propre salaire et donné l’autre moitié à des causes valables ? Magufuli l’a fait, et bien plus encore, tout au long de ses cinq ans et demi de présidence.
Et tel était son succès à tirer son pays par les bottes qu’il était connu localement, et affectueusement, comme « le bulldozer ».
Cela fait presque un an maintenant depuis l’assassinat du seul et unique dirigeant souverain au monde qui a mené une guerre ouverte contre la cabale COVID-19.
Il s’agit d’un compte rendu de première main de la situation sur le terrain en Tanzanie depuis que l’équipe de frappe a été envoyée pour éliminer le seul chef qui a combattu la Cabale et leurs « vaccins » de front, à découvert, dès le premier jour…
Quelques semaines après le meurtre du président Magufuli, sa remplaçante, Samia Suluhu Hassan, une participante au Forum économique mondial, s’est mise à mettre en place le programme COVID de la Cabale. C’était une expérience complètement déprimante. Je sais. J’étais là pour le voir. "
" Alter Échos : Qu’est-ce que la « médiocratie » ?
Alain Deneault : Quand on veut désigner ce qui est supérieur, on parle de supériorité. Pour ce qui est inférieur, on parle d’infériorité. Mais si l’on veut désigner ce qui est moyen, on ne dira pas la « moyenneté », mais plutôt la « médiocrité ». La médiocrité renvoie à ce qui est moyen. Un « médiocre » n’est pas un parfait incompétent. Ce n’est pas quelqu’un d’étourdi qui n’est pas capable de respecter un horaire, qui n’est pas capable de faire fonctionner la photocopieuse ou de dire bonjour à la bonne personne au bon moment… Mais ce n’est pas non plus quelqu’un qui a de l’initiative, des convictions, du courage ou de l’envergure. C’est quelqu’un de fonctionnel et de soumis. Il n’y a pas de problème à cela. Être « médiocre » n’est pas péjoratif. On est tous « médiocre » en quelque chose… Le problème de la « médiocratie », c’est lorsqu’on se retrouve dans un système qui nous enjoint à être un citoyen résolument moyen, ni totalement incompétent au point d’être incapable de fonctionner ni compétent au point de se savoir fort d’un pouvoir critique. La « médiocratie », c’est donc le stade moyen hissé au rang d’autorité. C’est la moyenne impérative, même lorsqu’on peut prétendre à mieux.
Ou encore sur la responsabilité de la Recherche et de l'Education...
A.É. : En quoi l’Université participe-t-elle de cette médiocratie ?
A.D. : Au Canada, plus de la moitié du budget des universités provient de fonds privés. Les professeurs savent que si les travaux n’utilisent pas les mots du vocabulaire managérial, ils n’obtiennent pas de bourse de recherche. Certaines universités ont des représentants des entreprises dans leur conseil d’administration et l’assument. En 2013, le recteur de l’université de Montréal a déclaré la même chose que l’ancien patron de TF1, Patrick Le Lay : « Les cerveaux doivent correspondre aux besoins des entreprises » ! À l’école de commerce de Montréal, il n’y a plus de numéros de local, mais des logos. Les cours ont lieu en salle « L’Oréal », « Air Transat » ou « Goodyear », du nom des sponsors. Les réformes successives de l’Université en Europe, notamment celle de Bologne, tendent vers ce modèle-là. Un modèle où le savoir est généré pour satisfaire le marché, alors que le rôle des intellectuels est de faire de l’entreprise un objet de la pensée.
Désormais on ne parle plus du bien commun, on fait comme si l’intérêt général n’était plus que la somme d’intérêts particuliers que les uns et les autres sont ponctuellement invités à défendre.
et pour finir sur le management...
A.É. : Selon vous, la politique s’efface devant la « gouvernance ». Pourquoi ?
A.D. : Les premiers à avoir formulé le terme sont les théoriciens de l’organisation, dans les années 1980. C’est Margaret Thatcher qui l’a, par la suite, propulsé dans la sphère publique. Appliquée au champ politique, la « gouvernance » prétend « gérer » l’État comme n’importe quelle multinationale, avec les mêmes critères de rendement, d’efficacité, etc. L’État devrait en quelque sorte se mettre au diapason des critères de rentabilité économique. Et cela vaut pour tout genre d’organisation, y compris les ONG, les universités et les associations civiques, qui sont invitées à rendre des comptes, à prouver que chaque centime de subvention est rentabilisé dans une perspective entrepreneuriale. C’est à partir du moment où tout n’est que gestion que la démocratie disparaît, au profit d’un management totalitaire. Désormais on ne parle plus du bien commun, on fait comme si l’intérêt général n’était plus que la somme d’intérêts particuliers que les uns et les autres sont ponctuellement invités à défendre. C’est à partir de là que la culture du grenouillage, des arrangement douteux, se développe. Or un ordre qui met en péril 80 % des écosystèmes, et qui permet à 1 % des plus riches d’avoir 50 % des actifs mondiaux n’a rien de pondéré.
" «Libération» déchiré
Le violent éditorial de Serge July contre «l’épidémie de populisme» du camp du non avait ulcéré les lecteurs et une partie de la rédaction. "
par Sibylle Vincendon
publié le 28 mai 2015 à 19h26
" Des années plus tard, certains lecteurs nous en parlent encore. «Ah non, l'édito de July, je l'ai pas digéré…» Ils sont certes moins nombreux qu'au lendemain de ce texte publié le 30 mai 2005, après la victoire du non au référendum, mais quand même…La prise de position du fondateur de Libération a laissé des traces durables. "
" Éditorial
Chef-d'oeuvre masochiste
par Serge July
publié le 30 mai 2005 à 2h22
" Ce sont des cris de douleur, de peur, d'angoisse et de colère que l'électorat de gauche a poussés dans les urnes, à l'occasion du référendum, face à la course folle du monde et face à l'incurie des hommes qui nous dirigent depuis plus de deux décennies. Comme en pareil cas, il fallait des leaders d'occasion qui nourrissent ce désarroi national. Les uns ont surenchéri dans la maladresse, les autres dans les mensonges éhontés. A l'arrivée, un désastre général et une épidémie de populisme qui emportent tout sur leur passage, la construction européenne, l'élargissement, les élites, la régulation du libéralisme, le réformisme, l'internationalisme, même la générosité. "
" La France crie son non au traité européen
par Eric Aeschimann
publié le 30 mai 2005 à 2h22
Franc et massif, aurait dit le général de Gaulle. En tout cas, net et sans bavures. Hier, appelés aux urnes pour ratifier la Constitution européenne, les Français n'ont pas fait de quartier. A 54,87 % (résultat définitif), ils ont rejeté le texte qui leur était proposé. La victoire du non avait été annoncée par l'ensemble des instituts de sondage depuis une semaine. Le désaveu n'en est pas moins cinglant pour les tenants du oui, à commencer par le chef de l'Etat, mais aussi la direction du PS. Le vote constitue également un refus sans équivoque d'une Europe considérée par une majorité de Français comme faisant la part trop belle au libéralisme. "
" Un nouveau gros non a la constitution
Trois jours après le refus des Français, les Néerlandais ont rejeté à plus de 60% le traité constitutionnel européen.
par Nathalie Dubois "
publié le 2 juin 2005 à 2h26
Amsterdam envoyée spéciale
" Par un score écrasant de près de 62 % de non, les Néerlandais ont en masse rejeté hier le projet de Constitution européenne. Selon les résultats définitifs, 61,6 % des électeurs ont voté contre, et seulement 38,4 % pour le traité. Trois jours après le non français, les Pays-Bas sont ainsi le deuxième membre fondateur de la CEE à refuser cette nouvelle étape de l'intégration européenne. Ce référendum le premier depuis l'instauration du régime parlementaire néerlandais en 1848 n'était certes que consultatif, mais les partis s'étaient engagés à en respecter le verdict, à partir d'un seuil de 30 % de participation. Seuil largement dépassé : 63,4 % des 11,6 millions d'électeurs se sont déplacés.
Renforcé. «Très déçu», le Premier ministre chrétien-démocrate, Jan Peter Balkenende, a reconnu son échec et confirmé que le gouvernement tiendrait compte du résultat : «Le peuple néerlandais a parlé ce soir. Le résultat est clair.» Mais, pour lui, «le processus de ratification doit se poursuivre dans le reste de l'Union afin que nous sachions où se situe chaque pays». "
" Y a-t-il volonté politique de réduction de la population ET des libertés? "
" chwab, Gates et autres Harari sont considérés depuis la crise covid comme les grands architectes de la réorganisation de la planète au travers du Great reset. Et cette redéfinition de la vie sur terre passe par la 4ème révolution industrielle qui doit impacter la nature même de l’être humain, allant jusqu’à remettre en question son intimité, sa conscience et bien sûr la nature biologique et naturelle de son corps. Ce sinistre projet, pourtant choquant par sa transgression de toutes les législations, aurait dû faire l’objet d’enquêtes par les police et justice des différents Etats pour mise en danger massive des populations. Pourtant, comme vous avez pu le constater cette idéologie néo-nazie ne trouve aucun obstacle en dehors de quelques voix qui crient dans le désert du Net. Pourquoi? Parce que tout simplement, ces héros du 21ème siècle sont des pions chargés de porter sur la scène médiatique un projet que nous pourrions faire remonter au minimum au 18ème siècle.
" CheckNews
Les Français ont-ils confirmé l'adhésion à l'Europe lors de plusieurs référendums, comme le dit Macron ? "
" Selon le chef de l'Etat, la «nation française» a plusieurs fois réaffirmé, dans des référendums, son «adhésion» à l'Europe. Pourtant, seul celui de 1992 sur le traité de Maastricht peut être considéré comme tel. "
" Question posée par Kortez le 13/05/2019
Bonjour,
Nous avons raccourci votre question, qui était rédigée ainsi : «Dans un discours en Roumanie, Emmanuel Macron déclare que l'adhésion à l'Europe est un choix de la nation française plusieurs fois réaffirmé et confirmé par des référendums. De quoi parle Macron ? A ma connaissance le seul référendum récent sur l'Europe, celui 2005, n'a pas montré une adhésion des Français.»
Vous faites référence à ce tweet, relayant un extrait d’un discours d’Emmanuel Macron tenu lors d’un déplacement le 9 mai, à Sibiu, en Roumanie, à l&rsquocasion d’un sommet européen informel.
VIDÉO ( laquelle vaut son pesant d'€ !!! )
-> " Quand Macron se rend compte qu'il y a comme un problème à affirmer que "l'adhésion à l'Union européenne a été le choix de la nation française, plusieurs fois réaffirmé dans des référendums".
" Pays-Bas : Le gouvernement veut réduire le cheptel d’un tiers, le pays est au bord de la paralysie complète "
Publié le 6 juillet 2022
" « Les Pays-Bas, Silicon Valley de l’agriculture », titrait non sans arrogance un article de National Geographic en 2017 vantant les prouesses de l’agriculture intensive et de la technologie de pointe en matière d’agriculture européenne. « Un pays qui prépare et incarne le futur de l’agriculture », tu parles ! Le petit pays de la crise de la tulipe n’en est plus là.
Les exportations agricoles hollandaises s’étaient arrogé le deuxième titre mondial, derrière les États-Unis certes, mais devant l’Allemagne, le Brésil et la France. Pour un territoire grand comme trois départements français, on pouvait se douter que la course à la productivité exposait à la surchauffe.
Elle était déjà pourtant largement atteinte : scandales sanitaires à répétition et épidémies à n’en plus finir ont plus qu’écorné l’image du secteur agricole. À chaque fois, les pertes furent considérables pour les exploitants, endettés jusqu’au cou dans un système libéral voué à l’épuisement et la déchéance. Fraude au lisier, épuisement des terres, fièvre aphteuse de 2001 et encore grippe aviaire, c’est la crise des œufs contaminés de 2017 qui a sans doute fourni le plus bel exemple de dérive en matière d’agriculture ultra libérale. Un insecticide frelaté et nocif pour l’homme avait été distribué par des sociétés sans scrupule à des centaines d’éleveurs habitués à utiliser les pesticides sans modération. L’empoisonnement avait entraîné un scandale sans précédent et notamment conduit l’Allemagne et les Pays-Bas à abattre des poules pondeuses par millions, sonnant du même coup le glas de la rentabilité « quoi qu’il en coûte ». "
" Elisabeth Borne : Le cirque politique - JT du mercredi 6 juillet 2022 "
" Au programme ce soir, retour sur le discours de politique générale d’Elisabeth Borne. Une prestation chahutée au point de ne pas avoir demandé de vote de confiance et agrémentée d’une motion de censure de la NUPES déposée avant l’allocution..
Nous reviendrons ensuite sur les affaires de mœurs qui agitent La France Insoumise avec les accusations de harcèlement sexuel du député Coquerel et de Taha Bouhafs.
Et puis nous reviendrons sur l’insalubrité des rues marseillaises. Le problème d’une ampleur telle qu’une nouvelle brigade de police a été mise sur le coup. "