" Metz avt hier rassemblement des soignants suspendus et familles des victimes de l'injection anti_covid , je vous laisse écouter le témoignage de Dr Benoît Ochs suspendu, d'un père d'une victime et de Dr Gauthier Bein suspendu ⤵️ ( ???? Le Reporter Indépendant) "
" La journaliste Corinne Lalo (Ex grand reporter chez TF1) "Je suis journaliste depuis + de 30 ans et J'ai constaté une dérive phénoménale des institutions qui ne font que s'affranchir de leurs propres règles et la 1ère règle qui a été violée c'est celle de libre consentement "⤵️ "
" CAF : LE NUMÉRIQUE AU SERVICE DE L’EXCLUSION ET DU HARCÈLEMENT DES PLUS PRÉCAIRES "
Posted on19 octobre 2022
" Depuis bientôt un an nous luttons au sein du collectif « Stop Contrôles »1afin de s’o.pposer aux effets de la dématérialisation et de l’utilisation du numérique par les administrations à des fins de contrôle social. Après avoir abordé la situation à Pôle Emploi, nous nous intéressons ici au cas des Caisses d’Allocations Familiales (CAF). Nous reviendrons bientôt sur les suites de cette lutte dans laquelle nous souhaitons pleinement nous engager dans les prochains mois.
« Entre la CAF et vous, il n’y a qu’un clic ». Voilà ce que l’on pouvait lire sur une affiche de la CAF en ce début d’année. Et le sous-titre laisse rêveur : « Accédez à tous les services de la CAF 24h/24 ». Vaine promesse d’un numérique facilitant l’accès aux prestations sociales, et ce, à toute heure du jour et de la nuit. Sinistre slogan masquant la réalité d’une informatisation à outrance, vecteur d’une exclusion sociale calculée.
Alors que la généralisation des démarches en ligne s’accompagne avant tout d’une réduction des capacités d’accueil physique, mode de contact pourtant essentiel pour les personnes en situation de précarité2, c’est à un algorithme que la CAF laisse le soin de prédire quel·les allocataires seraient « (in)dignes » de confiance et doivent être contrôlé·es3. Chargé de donner une note à chaque allocataire, censé représenter le « risque » qu’iel bénéficie indûment d’aides sociales, cet algorithme de scoring sert une politique de harcèlement institutionnel des plus précaires4. "
" Suite à la mise à jour des pratiques de Fact & Furious, Libération argumente le plus malhonnêtement possible pour défendre le panier de crabes."
15 décembre 2022
" L’article de Libération, sorti seulement 10 heures après l’enquête de FranceSoir sur le site Fact & Furious, est un cas d’école des travers du fact-checking. »
Paru seulement 10 heures après l’enquête de FranceSoir, l’article rédigé par le service CheckNews de Libération sur le scandale Fact & Furious est un cas d’école des travers du fact-checking. Son principe, louable mais dévoyé, vise à fournir au lecteur une version biaisée d’un récit, si ce n’est pas parfois le réécrire dans son intégralité, en recourant à plusieurs procédés. Parmi ceux-là, on recense le blanchiment de fausses informations, l’invisibilisation et la sélection de certains faits, le choix biaisé des experts ou des personnes interrogées.
À la manière d’un réalisateur d’une serie américaine en charge de l’écriture d’un scénario qui doit progressivement mener à une issue finale comique ou tragique, le fact-checker cherche à générer chez le lecteur une réaction définie par la création d’une mise en scène complète.
Le lecteur est tout d’abord happé par une mise en contexte – un panorama – volontairement biaisé afin que ce dernier soit immédiatement plongé dans une situation au décor bien calibré. Le fact-checker déroule ensuite le fil de son récit en sélectionnant soigneusement les faits qui viendront enfermer son audience dans un angle biaisé, écartant bien soigneusement ceux qui pourraient mettre à mal la trame choisie. Notons que c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles la censure sur les réseaux sociaux a été particulièrement terrible au cours de la crise covid : il faut à tout prix couper la population d’un autre discours au récit officiel. Pour légitimer son narratif, l’auteur recourt ensuite à des « experts », des sources ou bien des témoins de circonstance qui viendront confirmer et légitimer les éléments avancés. C’est dans ce cadre qu’intervient le concept de blanchiment de fausses informations dont le meilleur exemple est illustré par les opérations liées à Fact & Furious, une officine qui était erronément présentée dans la presse comme un « site indépendant de fact-checking ». Quant aux experts interrogés, très souvent, ils sont sélectionnés non pas sur la base de la justesse de leurs analyses, mais selon ce que l’on attend d’eux. Les autres experts dont le discours est en désalignement avec le récit officiel, quand bien même ils seraient plus qualifiés (on pense au Pr Perronne ou au Pr Raoult), se voient vite affublés des étiquettes de « charlatan » ou de « personnage controversé », et bien souvent accusés de « faire polémique » ou encore de « tenir un discours à rebours du consensus scientifique ».
Comme l’expliquait Fabrice Fries, PDG de l’AFP, lors de la cinquième édition de Médias en Seine le 22 novembre : « Le fact-checking est souvent confondu avec la vérification. Or, la vérification, c’est quelque chose de très différent. C’est quelque chose que tous les médias sont censés faire : vérifier avant de publier son propre contenu. Le fact-checking porte sur des contenus de tiers et qui sont déjà publiés. C’est très différent. »
Toute la problématique tient dans le mot « tiers ». L’un des biais majeurs du fact-checking est de se pencher quasiment exclusivement sur la mise en cause des propos et écrits tenus par les organisations ou les personnalités « qui dérangent ». À titre d’illustration, combien de « fact checking » d’Olivier Véran ont-ils été réalisés sur ses déclarations maintes fois contradictoires, régulièrement approximatives, parfois non sourcées, et très souvent mensongères tout au long de la crise sanitaire ? Loin d’un désir sincère de vérifier l’information, se dessine plutôt une intention de décrédibiliser par le dénigrement et les étiquetages (complotiste, anti-vax, extrême droite…) quiconque fait part de son opposition. "
Citation de fouthese
" Suite à la mise à jour des pratiques de Fact & Furious, Libération argumente le plus malhonnêtement possible pour défendre le panier de crabes."
15 décembre 2022
" L’article de Libération, sorti seulement 10 heures après l’enquête de FranceSoir sur le site Fact & Furious, est un cas d’école des travers du fact-checking. »
Paru seulement 10 heures après l’enquête de FranceSoir, l’article rédigé par le service CheckNews de Libération sur le scandale Fact & Furious est un cas d’école des travers du fact-checking. Son principe, louable mais dévoyé, vise à fournir au lecteur une version biaisée d’un récit, si ce n’est pas parfois le réécrire dans son intégralité, en recourant à plusieurs procédés. Parmi ceux-là, on recense le blanchiment de fausses informations, l’invisibilisation et la sélection de certains faits, le choix biaisé des experts ou des personnes interrogées.
À la manière d’un réalisateur d’une serie américaine en charge de l’écriture d’un scénario qui doit progressivement mener à une issue finale comique ou tragique, le fact-checker cherche à générer chez le lecteur une réaction définie par la création d’une mise en scène complète.
Le lecteur est tout d’abord happé par une mise en contexte – un panorama – volontairement biaisé afin que ce dernier soit immédiatement plongé dans une situation au décor bien calibré. Le fact-checker déroule ensuite le fil de son récit en sélectionnant soigneusement les faits qui viendront enfermer son audience dans un angle biaisé, écartant bien soigneusement ceux qui pourraient mettre à mal la trame choisie. Notons que c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles la censure sur les réseaux sociaux a été particulièrement terrible au cours de la crise covid : il faut à tout prix couper la population d’un autre discours au récit officiel. Pour légitimer son narratif, l’auteur recourt ensuite à des « experts », des sources ou bien des témoins de circonstance qui viendront confirmer et légitimer les éléments avancés. C’est dans ce cadre qu’intervient le concept de blanchiment de fausses informations dont le meilleur exemple est illustré par les opérations liées à Fact & Furious, une officine qui était erronément présentée dans la presse comme un « site indépendant de fact-checking ». Quant aux experts interrogés, très souvent, ils sont sélectionnés non pas sur la base de la justesse de leurs analyses, mais selon ce que l’on attend d’eux. Les autres experts dont le discours est en désalignement avec le récit officiel, quand bien même ils seraient plus qualifiés (on pense au Pr Perronne ou au Pr Raoult), se voient vite affublés des étiquettes de « charlatan » ou de « personnage controversé », et bien souvent accusés de « faire polémique » ou encore de « tenir un discours à rebours du consensus scientifique ».
Comme l’expliquait Fabrice Fries, PDG de l’AFP, lors de la cinquième édition de Médias en Seine le 22 novembre : « Le fact-checking est souvent confondu avec la vérification. Or, la vérification, c’est quelque chose de très différent. C’est quelque chose que tous les médias sont censés faire : vérifier avant de publier son propre contenu. Le fact-checking porte sur des contenus de tiers et qui sont déjà publiés. C’est très différent. »
Toute la problématique tient dans le mot « tiers ». L’un des biais majeurs du fact-checking est de se pencher quasiment exclusivement sur la mise en cause des propos et écrits tenus par les organisations ou les personnalités « qui dérangent ». À titre d’illustration, combien de « fact checking » d’Olivier Véran ont-ils été réalisés sur ses déclarations maintes fois contradictoires, régulièrement approximatives, parfois non sourcées, et très souvent mensongères tout au long de la crise sanitaire ? Loin d’un désir sincère de vérifier l’information, se dessine plutôt une intention de décrédibiliser par le dénigrement et les étiquetages (complotiste, anti-vax, extrême droite…) quiconque fait part de son opposition. "
" Factandfurious.com : Qui est Antoine, le mystérieux journaliste de Fact & Furious "
" A quoi sert la plateforme Fact And Furious, et à qui est-elle destinée :
De nos jours, de nombreuses informations circulent sur le net, les réseaux sociaux, ou dans les médias. Il est de plus en plus difficile de trier ces millions de données mises en ligne chaque jours. C'est dans cette optique qu'Antoine Daoust, fondateur du site Fact & Furious à surgis de nulle part tel un héros voulant sauver le monde des fameuses "fake news" dont nous serions selon lui malheureusement trop souvent victime (tant qu'il n'en rajoute pas lui même). La dernière en date ? C'est justement là que nous est venu l'idée de cet article : Un jugement sur son site basé sur des éléments absolument pas factuels et propagés tel un avion de papier jugerait qu'Idris, gérant de PremLike ne serait en parallèle pas expert dans le domaine de la Cyber Sécurité après son passage sur TPMP et que son activité se résumerai donc à... rien. Après plusieurs tentatives pour faire revoir cette diffamation publiée en ligne, la porte est restée close et les menaces de plaintes ont fusées sur son compte Twitter : nous avons donc décidé de mener une enquête plus poussée pour écrire un article complet sur les pratiques de ce Monsieur et détailler ses réels objectifs.
Ce blog, si nous pouvons l'appeler ainsi, a donc pour vocation de juger vrais ou fausses des informations globalement reprises de l'actualité venant de tout bord (du net ou des médias) et de tous horizons (à l'international) par le biais de Mr Daoust qui signe les articles qu'il diffuse et choisis les sujets à juger soit à sa guise, soit par proposition des internautes via un formulaire dédié. Mais alors, comment cet individus fait-il pour juger mieux que d'autres les informations fausses de celles vraies ? Est-ce un projet solide, fiable et rentable ?
Pour répondre à ces question, il faut plancher sur le pedigree de l'éditeur des articles en questions, et tant controversés.
Quel est le parcours professionnel d'Antoine Daoust, éditeur de Factandfurious.com :
Nous n'avons pas eu besoin de creuser bien loin pour trouver le CV de cet individu, quelques recherches sur Google ont suffit à elles seules, le tout en tapant son nom. Comme l'indique le journal La Dépèche, pour le coup, médias plutôt solide ou il semble faire l'objet d'une interview dans le cadre d'un article (lorsqu'il n'était pas encore journaliste auto-proclamé) : Antoine, serait un ancien militaire âgé de 36 ans, habitant à Colomiers et reconvertis lors de sa seconde carrière dans la création d'un site après avoir nous citons « suivi des tutos Youtube ». Selon un autre document intitulé "les mensonges du blogueur Daoust", très précis et détaillé et à charge contre ce dernier, il aurait même été garçon de café récemment, ce qui est dit long sur le parcours d'un individu se prétendant fast-checker, et qui juge avec des arguments infondés de la véracité du parcours d'autrui sans regarder le sien qui est tout juste à l'opposé de son activité actuelle (n'allons pas trop vite, laissons les détails pour la suite).
Ce premier site, dont il vantait pourtant tant les mérites en 2019 se nommait « Famous Vidé Magazine » (FVM) : défaut de succès ou changement de projet, nous n'en saurons pas plus puisque pour l'heure, le site dont nous décrivons l'activité ci-contre à depuis disparu. Pour résumer, il avait pour objectif non pas de juger et traiter des sujets d'actualité comme il le fait "actuellement" mais apparemment d'aider des nouveaux Youtubeur en les mettant en avant via ses "analyses autodidacte". En effet, il avait pour objectif de faire des thèses sous formes d'articles pour des vidé Youtube qui sortent de l'ordinaire afin de mettre en avant des nouveaux talents qui seraient prétendument noyés dans l'algorithme de Youtube et donc restés invisibles : « J'en écris quatre à cinq par jour. Pour l'instant ce n'est pas rentable, le site n'est pas encore assez reconnu, mais je me laisse jusqu'à novembre pour essayer de gagner un revenu décent de mon travail » expliquait-t-il à l'époque. Il se promettait par ailleurs, si l'on s'en réfère à l'article, de gagner de l'argent avec ce projet en « plaçant des publicités sur son site ».
Après un échec cuisant, puisque le site semble avoir fermé ses portes comme indiqué plus haut, Antoine, ancien militaire reconverti dans l'informatique en ayant suivi des tutos Youtube ne décolère pas, puisqu'il lui vient une idée de génie pour sa troisième reconversion professionnelle : si analyser des vidé Youtube pour mettre en avant de nouveaux génies n'intéresse personne, pourquoi ne pas analyser des informations d'actualité ? C'est là qu'il poursuivis ses efforts pour créer la plateforme « Fact And Furious », sans ne jamais perdre espoir.
La question que tout le monde se pose à ce stade, va t-il réussir a générer des revenus de ce nouveau projet ambitieux...
Fact & Furious veux se faire une place parmi les médias pour capter des clics et générer des revenus :
Jamais deux sans trois nous diriez vous. Comme l'idée capter des clics en donnant de la crédibilité à des prétendus nouveaux talents que Youtube n'aurait su détecter à travers son algorithme bien plus complexe qu'un simple cerveau humain n'a pas fonctionné, est-ce que l'idée de juger des personnalités et traiter des sujets d'actualité en tant que "nouveau journaliste" va t-il faire son petit effet ? Rien n'est encore compromis puisque pour l'heure, Antoine connaît la devise : « Impossible n'est pas Français ». Même quand on dispose d'un parcours sur Linkedin peu glorieux et loin du profil d'un journaliste Fact Checkeur, nous n'aurions pas pu trouver mieux :
Le premier élément qui tape à l'oeil en ouvrant sa plateforme, c'est le nombre hallucinant de thématiques que cette personne seule souhaite et prétend pouvoir traiter, il suffit d'aller voir les catégories en pied de page du site factandfurious.com, vous y trouverez : Archives Instant Critique / Articles d'opinion / Brèves / Droit de réponse / Enquêtes / Fact-checking / Hors-série / Interviews / Portraits de Complotistes / Tribunes / Vidé... et la cerise sur la gâteau "Présidentielle 2022". La liste est juste immense, et à vrai dire, a première vu et pour un ancien militaire, reconverti dans un second temps dans la création d'un site qui n'a pas perduré puis dans sa troisième carrière le journalisme, la hauteur du défi n'est décidément plus à prouver...
Nous retrouvons donc, dans la jungle numérique de Fact And Furious, tout un tas d'article donc nous ferons nous même un fast checking dans un second temps, tant le travail est poussé (blague). Une partie des articles d'actualités (pour ne pas dire tous) auraient été le plus simplement du monde tirés de l'actualité (quiproquo - pour ne pas dire plagiés) avent d'être rédigés à nouveau puis publiés sur son site - sauf si l'intéressé est apte à nous prouver comment il trouve ses éléments preuve (si ce n'est par le biais de la science infuse, se déplace t-il dans les pays en Guerre comme les journalistes internationaux) - en effet, celui-ci semble avoir obtenu à travers son parcours professionnel un sens de la critique et de l'analyse hors du commun, à l'instar de son auto dérision avec des arguments et une rhétorique aussi poussés que le nombre de catégories qu'il traite, rien n'est assez bon pour capter du clic. Si le site n'en est encore qu'à ses débuts, Antoine Daoust a toujours le même objectif, tirer des profits publicitaires comme on peut le voir dans cette image : Cliquez ICI
Il ne lui reste plus qu'à contacter Google AdSense puisque les encarts publicitaires sont déjà prêts nous diriez vous, mais avant, il faudrait trouver des visiteurs. Nous prendrons ci-dessous notre propre exemple.
Comment Antoine Daoust tente de capter du clic, en utilisant l'effet de buzz et la diffamation :
N'oublions pas une chose, si le clic se vend (on peux facilement acheter du trafic), la crédulité elle, ne s'achète pas mais se propage.
Un magnifique article a vu le jour moins de 48h après le passage de Mr Mousslie Idris au cours d'une émission sur le thème de la Cyber Sécurité en lien avec la guerre entre la Russie et l'Ukraine. Dans cet article, bien plus court que le nombre de catégories présentes sur son site, Antoine a utilisé l'effet levier 1, 2, 3 et toutes ses compétences intellectuelles en la matière pour prétendument prouver qu'Idris ne serait pas expert en Cyber Sécurité. Mais qu'est-ce que le levier un deux trois ? Cela n'existe tout simplement pas, nous entendons par la qu'il a mis en avant 3 arguments totalement non factuels pour en arriver à une conclusion purement diffamatrice. Mais à votre avis, quels sont les arguments utilisés par ce dernier pour en arriver à une telle conclusion :
1 - Idris a une page Linkedin qui n'est pas entretenus - sous entendez que pour lui, cela est un élément qui détermine si vous êtes expert en cyber sécurité.
Vous n'y voyez aucun rapport ? Nous non plus.
2 - Antoine a interrogé le brillant expert "Robert Baptiste" pour le questionner sur l'intervention d'Idris sur TPMP, celui-ci aurait jugé qu"Expert en cybersécurité est un mot valise souvent employé dans les médias pour simplifier les choses." ou encore "Il existe de nombreuses spécialités dans la cybersécurité, comme l’étude des malwares sur Windows ou sur mobile, la réponse incident, l’investigation, le SIEM (Security Information Event Management) dans les SOC (Security Operations Center) etc." - Roger ignore simplement que le public ne cherche pas à rentrer dans une conférence sur l'étude des Malwares ou le SIEM, nous pensons même que le public n'en à rien à faire, et encore moins celui de Touche Pas à Mon Poste. Le public, c'est Monsieur et Madame tout le monde, ils souhaitent s'informer et non se former, Papy et Mamie eux, veulent juste comprendre, pas en conférence mais dans la vulgarisation.
3 - Notre blog aurait des articles signés par l'administrateur du site d'après Daoust Antoine qui appuie ses dires avec screenshot du code source (véritable exploit en terme de motricité et d'informatique ?) d'une page d'un de nos articles, je cite : l’administrateur du site signe ses articles de blog avec l’identifiant de connexion au site. - vous n'arrivez toujours pas à trouver le lien entre la déduction de NON Idris n'est pas expert en Cyber Sécurité et les points mis en avants pour en arriver à sa conclusion ? Pour tout vous dire, nous non plus.
Notons que dans l'article de Fact And Furious, rédigé seulement 24h après le passage antenne d'Idris sur TPMP pour attirer un maximum de télépéctateurs en un temps record et qui a été édité 4x en raison d'un manque de rigueur et d'arguments (il l'atteste lui même dans la fin de ce dernier) - attention en ouvrant le site, une popup tentant de vous soutirer de l'argent sous prétexte de rester indépendant risque de vous piquer les yeux (comme si ce blog était le dernier rempart contre les fake news et n'en diffuserait pas lui même) - Antoine Daoust affirme, et n'en démord pas que le 11 Mars à 15h44 : "Contacté par mail, ce dernier n’a pas répondu à nos sollicitations." - Son e-mail a été envoyé la veille, soit le 10 Mars en fin d'après midi, moins de 24h après avoir publié une absurdité pareille avant de nous donner un droit de réponse (auquel nous n'avons pas donné suite mais il a bien su couper 2 phrases d'un échange avec Idris sur Facebook, 2 phrases bien entendu sorties de leur contextes et sans notre accord) avant de nous répondre par e-mail que "pour tout autre contact, il faudrait voir avec notre avocat".
Comme si ce n'était pas suffisant, il rajoute "La responsable de la communication de la chaîne C8 n’a pas donné suite à nos sollicitations." : passez nous l'envie de rire, la responsable doit contacter Mr Daoust moins de 24h avant qu'il poste son article ? Est-ce que Fact And Furious est d'une importance aussi capitale ? - La chaine C8 traite des centaines de sujets par jour et non un blog de Fast Checking - à cours d'arguments, l'intéressé ne sait vraiment plus quoi écrire.
Pour couronner le tout, suite à la réception par recommandé d'une mise en demeure de notre cabinet juridique, Antoine Daoust n'a pas hésité a publier plusieurs tweets menaçants notamment de déposer plainte, mais aussi d'autres intimidants et à charge contre Idris, le tout a été fait et programmé pour attirer un maximum d'internautes vers sa page Twitter et les rediriger ensuite vers son site, rien que dans ses Tweet il nous accuserait de vouloir le censurer ou l'intimider, or, nous réclamons un droit de rectification pour diffamation, comme l'atteste notre lettre d'huissier (autant dire qu'il doit être plus que content du nombre de Like qu'il obtient en nous diffamant sur du buzz médiatisé pour la première fois de sa vie) :
Antoine Daoust pourrait nous expliquer sur quels éléments il compte fonder un plainte suite à la réception une lettre d'huissier qui lui rappelle les articles suivants (article qui parle lui même de la liberté de la presse tout comme son tweet) - ou bien nous confirmer qu'il profite bien de l'effet de buzz :
Conformément à l'article 29 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l'identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés.
L'infraction n'est constituée que si la personne visée peut-être identifiée. L'article 29 de la loi du 29 juillet 1881 précise que la personne ne pas être expressément nommée mais être identifiable. Il n'est pas nécessaire que la victime soit identifiable par un grand nombre de personnes. L'infraction est constituée dès lors qu'un cercle restreint identifie la personne visée. La diffamation publique est punissable de 1 an de prison et de 45 000 € d'amende.
Le dénigrement de produits ou de services est un acte régulièrement condamné sur la base de l'article 1240 du Code Civil sur la responsabilité civile. En vertu de cet article, je vous rappelle enfin que tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.
Heureusement que certaines réactions en réponse à ses tweets ternissent la crédulité de certains internautes envoûtés par le contenus vide de sens que son article a propagé :
Suite a ses nombreuses menaces via Twitter, toujours dans le but de capter du trafic pour rediriger des internautes vers son site, certains se sont interrogés sur la nature de ce premier Tweet menaçant Idris de plainte, sans recevoir de réponses. Nous soulignons même le faite qu'Antoine Daoust, gérant du site factandfurious.com et responsable de l'article diffamatoire aurait supprimé une grande partie des commentaires déplaisants de son Tweet pour ne laisser que les commentaires des personnes crédules. Un jeune internaute de 16 ans a même eu le malheur de sa faire terroriser (aurait-il agacé Mr Daoust ?) devant ses plus de 10 000 Abonnés car il a simplement demandé le motif de la "plainte" au lieu de demander le motif de la "mise en demeure" que Mr Mousslie Idris a envoyé par le biais d'un cabinet juridique à l'encontre de Fast & Furious, nous vous affichons la réponse de cet individus de 20 ans son aîné, c'est affligeant (cliquez ici pour voir le tweet) - s'il se fait supprimer, voici la capture :
Peu probable qu'un vrai journaliste, avec un minimum de professionnalisme aurait osé adresser des termes aussi cru en public, devant tous ses abonnés à un mineur de 16 ans pour si peu... Comportement pour le moins enfantin digne d'une personne instable et pas digne de ce genre de profession.
Conclusion : est-ce que nous pouvons nous fier à Fact & Furious ?
Le site a du potentiel, l'idée aussi, mais l'éditeur utilise des méthodes fourbes pour arriver a ses fins : son parcours professionnel et son CV ne lui donnent pas crédit ni en tant que journaliste, et encore moins "Fast Checker". Ses motivations semblent plus financières qu'informatives d'après l'expérience tragique que l'article ci-dessus reflète, il faut dire que il ne relève pas d'une lumière journalistique : tout sa reste peu glorieux pour quelqu'un qui souhaite percer dans ce secteur d'activité. Nous nous passerons donc de donner un avis formel sur la plateforme, et son créateur, néanmoins, une chose est à retenir : quand c'est gratuit, c'est vous le client. Rappelez vous, Antoine Daoust indiquait au journal de presse La dépèche lors de son interview en 2019 qu'il espérait tirer des revenus de son premier site grâce aux publicités qu'il aurait diffusé sur celui-ci. Si le revenus est calculé à raison du nombre d'internautes qui lirons ses articles, il est dans son intérêt de capter du clic, et vite. Pour cela, utiliser des titres aguicheurs et d'actualités semble l'idéal, quitte à diffamer (dans le cas exemple que nous abordons à travers notre article) au même titre qu'il est bien plus facile de nuire à la réputation d'autrui que de nettoyer sa réputation. Notre conseil final se résumera donc à vous méfier de ce genre de blog. Espérons de tout coeur qu'il n'ait pas à effectuer à une quatrième reconversion professionnelle suite à des bourdes répétitives qui pourraient le conduire à une décision de justice en sa défaveur.
Avec un peu de chance, Mr Antoine Daoust viendra nous apporter son droit de réponse à travers un [EDIT] de notre article ? "
" Or Chinois, Electricité, Allemagne, Charles Gave et Léonard refont l'actualité. "
" Dans ce nouveau Daily D’o.pinion, du Jeudi 8 Décembre, Charles Gave et Léonard reviennent sur les sujets d’actualité suivants
Changement de ligne éditoriale : nous disons du mal du gouvernement.
1. Les coupures de courant : être furieux contre son propre gouvernement.
2 :19 Gentil flic Mauvais flic.
4 :16 Et le recours au marché spontané. Pénurie en GB.
7 :23 Barbara Pompili sur la loi de transition énergétique.
9 :23 L’examen du climat
11 :28 La suite des raisonnements erronés.
14 :28 Trop d’hommes sur terre.
15 :00 L’euthanasie
20 :48 Pourquoi réduire le nucléaire ?
22 :14 L’Eco anxiété.
27 :00 7 Français sur dix sont choqués par les coupures d’électricité.
32 :00 Le gaz de Schiste.
37 :58 La Jacquerie des Gilets jaunes.
40 :00 Seconde sujet : l’Allemagne
Achat de F35
49 :00 Discussion avec l’Arabie Saoudite.
52 :10 Les Chinois achètent beaucoup d’or.
Grosse révélation de Charles Gave.
37 Tonnes d’or de plus…. Ouiii c’est cela.
La guerre des monnaies adossée et sur l’or et sur le prix de l’Energie. A suivre."
61 373 vues 14 déc. 2022
355 commentaires
Modifié il y a 1 an, le dimanche 18 décembre 2022 à 11:21
" Les 30 ans de Maastricht - Conférence du Cercle Maupeou - Michel Clapié et Pierre-Yves Rougeyron "
" Nous vous proposons de visionner notre toute première conférence qui a eu lieu le 29 octobre 2022 au Broc Café. Il est question avant tout de l’Union Européenne, du traité de Maastricht ayant 30 ans en cette fin d'année 2022, mais également de géolitique et d'histoire.
L'intervenant principal de la conférence est le professeur de Droit constitutionnel Michel Clapié, expert notamment de la question européenne. Il enseigne à la faculté de droit de Montpellier.
Également, Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote et directeur des éditions perspectives libres, était présent pour inaugurer la réouverture de la branche locale du cercle Aristote.
Références bibliographiques :
- Michel Clapié, Droit constitutionnel : théorie générale, Ellipses, 2018, 2è éd., 285 p.
- Michel Clapié, Droit constitutionnel : la Ve République, Ellipses, 2022, 372 p.
Reprenons le moral avec le père Noël en avance ! Informons, entre autres, nos politiques en retard d’une guerre qui n’acceptent pas la réintégration des soignants. Et pourtant :
Chers collègues, il faudra bien reconnaître vos torts, cette injection était une énorme arnaque et il est temps d’aider les victimes de dégâts plutôt que de se cacher.
Ainsi en Allemagne :
Allemagne : des milliers de victimes de la « vaccination » Covid appellent à l’aide
« Ils voulaient faire preuve de solidarité, mais maintenant ils sont abandonnés. Grande ruée vers la hotline d’une association médicale, le MWGFD (Médecins et Scientifiques pour la Santé, la Liberté et la Démocratie) pour les victimes de la vaccination en Allemagne.
La Hotline a tout de suite été renforcée, car l’affluence est énorme. Les gens sont désespérés. Alors qu’ils étaient accueillis avec joie par les médecins lorsqu’ils voulaient se faire vacciner, maintenant qu’ils sont aux prises avec des problèmes de santé après l’injection, ils sont froidement ignorés. L’association fait le point — et tire une conclusion : l’accompagnement des victimes de la vaccination Covid sera désormais l’un des principaux sujets des médecins critiques.
" Le ministère israélien de la Santé («MoH») a déclaré devant le tribunal qu'il n'était pas en mesure de localiser l'accord signé avec Pfizer concernant le partage d'informations épidémiologiques sur les vaccins contre le coronavirus. Il a également dit qu'il ne savait même pas si l'accord avait été signé.
En 2020, Israël a conclu un accord avec Pfizer, promettant de partager de vastes quantités de données médicales avec Pfizer en échange du flux continu de son « vaccin difficile à obtenir ». Le document d'accord a été rendu public en janvier 2021 et une grande partie de celui-ci a été expurgée. Le ministère de la Santé a affirmé la semaine dernière que cet accord n'avait pas pu être trouvé.
Dans le cadre d'une requête auprès du tribunal de district de Jérusalem, le ministère de la Santé a admis que, bien qu'une recherche approfondie ait été effectuée, l'accord signé avec Pfizer concernant les vaccins n'a pas pu être trouvé. "Nous n'avons pas trouvé d'accord signé", a déclaré l'avocat Ahava Berman du bureau du procureur, au nom du ministère de la Santé. "Nous avons fouillé tous les endroits, y compris le bureau du PDG et le service juridique".
L'affirmation selon laquelle un accord n'a pu être trouvé a été formulée en réponse à une requête du tribunal après que le ministère de la Santé n'a pas répondu à une demande faite par l'Association des droits de l'homme en vertu de la loi sur la liberté d'information. L'Association tentait d'établir l'authenticité du document publié en janvier 2021 et s'il était signé ou non par le PDG du ministère de la Santé, Hazi Levy, et un autre responsable de Pfizer dont le nom avait été expurgé. Leurs signatures n'apparaissaient pas dans le document publié précédemment.
Dans une réponse écrite au tribunal, un représentant du ministère de la Santé a affirmé qu'« une enquête approfondie a été menée auprès de nombreux fonctionnaires du ministère de la Santé pour déterminer si l'accord a été signé ou non. En raison de l'échange gouvernemental et des organes compétents du bureau, le ministère n'a pas pu savoir si l'accord avait été signé ou non.
Les documents de la pétition ont été envoyés à Kan News et Kan News a demandé les informations au ministère de la Santé. En moins d'un jour, le ministère de la Santé a trouvé l'accord signé et l'a soumis au tribunal. "
" Ukraine : la propagande paradoxale - JT du lundi 19 décembre 2022 "
" A la Une, l’actualité du conflit en Ukraine au fil du torrent de propagande. Depuis 10 mois, les médias font une démonstration de désinformation au point que les discours dominants se contredisent entre eux.
Ce journal sera aussi l’o.ccasion de revenir sur l’entretien de Volodymyr Zelensky à LCI. La chaîne la plus belliqueuse de la télévision française a reçu sa récompense, un rendez-vous avec le président ukrainien pour une demi-heure sidérante…
Et puis nous terminerons avec un sujet plus léger. Dans l’Hérault, un homme qui se bat depuis un demi-siècle pour conserver son patrimoine, l'abbaye Saint-Félix de Monceau. "
4 003 vues 19 déc. 2022
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Modifié il y a 1 an, le lundi 19 décembre 2022 à 19:01
" Laurent Firode : « On n’est absolument plus en démocratie, on est en oligarchie ! » "
Publié le 19 décembre 2022
" Laurent Firode, réalisateur du film « Le Monde d’après », est l'invité d'Éric Morillot. Il prône la diversité dans le milieu du cinéma. Pas celle des races et cultures tellement tendance, mais celle des revenus. Dans le milieu du cinéma, personne ne touche le Smic. Le cinéma est fait par les bourgeois pour les bourgeois. D'où l'exclusion de Laurent Firode dont le dernier film, mal critiqué par la presse et mal distribué, remporte pourtant un grand succès populaire.
" Des journalistes et politiques français menacés d’assassinat par le site ukrainien Myrotvorets « Peacemaker » "
Publié le 19 décembre 2022
" Lancé en décembre 2014 par l’homme politique et militant ukrainien Georgy Tuka, le site Myrotvorets « Peacemaker » liste les personnalités qu’il considère être des ennemis de l’Ukraine. Nous pouvons y retrouver la journaliste de TF1 Liseron Boudoul, le Grand Reporter à TF1 Gilles Parrot, Xavier Moreau du site Stratpol, Ségolène Royal, Eric Zemmour, Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen, Marion Maréchal Le Pen… Daria Douguine était l’une des personnalités que ce site avait signalées. Après son assassinat, la photo de la jeune journaliste a été barrée en rouge où il est écrit « liquidée ».
Ce tristement célèbre site Web ukrainien contient les données personnelles de 327 enfants dont 162 sont des filles et 165 des garçons. Ils sont considérés d’avoir commis des actes délibérés contre la sécurité nationale de l’Ukraine, la paix et le droit et l’ordre international. La menace contre ces enfants est claire ! C’est ainsi que l’UNICEF demande au régime ukrainien de retirer les noms des mineurs de sa liste noire. "
VIDÉO
" Dans cette impunité ahurissante, le site a même sa place sur Twitter et affiche tranquillement les personnes à éliminer ici : https://twitter.com/UaPeacemaker
Selon un rapport de la Division de l’information, de la documentation et des recherches (DIDR) du ministère de l’Intérieur français, « En 2015, le Centre Mirotvorets diffuse sur son site des informations détaillées relatives à diverses personnalités o.pposées au gouvernement ukrainien, parmi lesquelles Alexander Peklushenko, ancien membre du Parlement, gouverneur de la région de Zaporizhia et membre du Parti des régions de Viktor Ianoukovitch ; Mikhail Chechetov et Oleg Kalashnikov, deux anciens membres du Parlement sous l’étiquette du même parti, et Oles Buzina un journaliste d&rsquoposition. En quelques mois, tous les quatre sont tués ou se suicident de manière suspecte : le 26 février 2015, Alexander Peklushenko est retrouvé mort par balles ; le 28 février 2015, Mikhail Chechetov « tombe » de la fenêtre de son appartement du 17e étage. Le 15 avril, Oleg Kalashnikov est tué dans la rue, et le 16 avril 2015 Oles Buzina est abattu devant son immeuble.
Le 7 mai 2016, dans le même genre, le Centre Mirotvorets publie sur son site les données personnelles de 4 508 journalistes et membres de médias nationaux et internationaux ayant été accrédités pour travailler sur le territoire des Républiques autoproclamées de Donetsk et Lougansk. Les 20 et 21 mai 2016, cette liste est complétée par plusieurs centaines d’autres noms. Parmi les personnes répertoriées figurent des journalistes de CNN, de l’Agence France-Presse (AFP), de Reuters, mais aussi de la BBC, du New York Times, de Vice News et d’Al Jazeera. La publication de l’ensemble de ces données, extraites de la base de données du ministère de la Sécurité d’État de la « République populaire de Donetsk », est accompagnée d’un commentaire du Centre Mirotvorets dans lequel celui-ci explique ne pas savoir quelles seront les conséquences de cette divulgation mais que celle-ci s’avérait nécessaire du fait que ces journalistes coopéraient avec des combattants issus d’organisations terroristes."