" Un matin, dans Le Monde, une pleine page d'IBM "pour une planète plus intelligente". Puis demultiples placards au fil des mois, des journaux et magazines, développent ce slogan en longs textesprogrammatiques par thèmes - la ville, les transports, l'entreprise, la santé, etc.- et vous vous rendezà l'évidence : IBM fait campagne pour un projet techno-étatique global.Si vous avez quelques réflexes, un peu de curiosité, de sensibilité à la question, vous tâchez decomprendre; vous remontez la trace d'International Business Machines. Éventuellement vousredécouvrez une vérité énoncée en 1943, lorsque IBM collaborait de toute son ardeur et de toute sonexpertise à la "solution finale": "L'ensemble des citoyens du monde est sous la coupe d'un monstreinternational." Mais encore ?IBM, à l'origine de l'essor des nanotechnologies grâce à l'invention, en 1972, du microscope à effettunnel dans ses laboratoires de Zürich, travaille maintenant à la numérisation du monde grâce auxpuces, capteurs et connexions rendus possibles par ces mêmes nanotechnologies. Un projet depilotage du monde-machine (cybernétique), qui complète celui de l'homme-machine sous implants électroniques. Bref IBM travaille à la société de contrainte "
" Vœux 2023 : Macron, le mégalo-menteur ? - JT du lundi 2 janvier 2023 "
" Au programme ce soir, l’allocution d’Emmanuel Macron. Cette année, l’exercice fut long, pénible, et souvent mensonger… Plein d’espoir pour cette nouvelle année donc !
Et puis nous reviendrons ensuite sur la disparition du pape émérite Benoît XVI. Il s’est éteint le 31 décembre dernier à l’âge de 95 ans, presque 10 ans après sa renonciation. Jean Pierre Maugendre reviendra pour nous sur cet événement. "
" Dominique Voynet incarne la pourriture ministérielle qui nous fait crever de froid "
10.12.2022
" L’ex-ministre de l’aménagement du Territoire et de l’Environnement, a tenu des propos dont le cynisme n’a rien à envier au président Emmanuel Macron.
Elle s’est vantée publiquement de haute trahison envers la France et les Français, quant au rôle qu’elle a joué contre la filière électrique nucléaire.
« Une vidéo qui a resurgi sur fond d’inquiétude sur les délestages que pourrait subir la France éclaire d’une lumière crue la responsabilité politique dans la situation actuelle.
« Tous ceux qui ont été de près ou de loin aux responsabilités ces 25 dernières années expliquent que non, le déclin de la filière nucléaire, ce n’est pas leur faute. Et refait surface une vidéo de Dominique Voynet, ministre verte de l’Environnement de 1997 à 2001. Une interview tournée en 2004 pour un documentaire d’Arte : « Nucléaire, histoire d’une guerre secrète ». Hilare et toute fière :
" La fenêtre d'Overton, aussi connue comme la fenêtre de discours, est une allégorie qui situe l'ensemble des idées, opinions ou pratiques considérées comme plus ou moins acceptables dans l'opinion publique d'une société. Ce terme est un dérivé du nom de son concepteur, Joseph P. Overton (1960-2003)1, un ancien vice-président du Mackinac Center for Public Policy (en)2 qui, dans la description de sa fenêtre, affirme que la viabilité politique d'une idée dépend principalement du fait qu'elle se situe dans la fenêtre, plutôt que des préférences individuelles des personnalités politique "
" Concept
Overton décrit une carte des idées du « plus libre » au « moins libre » concernant l'action du gouvernement, représentée sur un axe vertical. Comme la fenêtre change de taille ou se déplace, une idée à un endroit donné peut devenir plus ou moins politiquement acceptable. Les degrés d'acceptation7 des idées publiques sont à peu près comme suit :
Fenêtre d'Overton:
Impensable
Radical
Acceptable
Raisonnable
Populaire
Politique publique
La fenêtre d'Overton est une approche permettant d'identifier les idées définissant le domaine d'acceptabilité des politiques gouvernementales possibles dans le cadre d'une démocratie.
Les partisans de politiques en dehors de la fenêtre d'Overton cherchent à persuader ou éduquer l'opinion publique afin de déplacer et/ou d'élargir la fenêtre. Les partisans dans la fenêtre — soutenant les politiques actuelles, ou similaires — cherchent à convaincre l'opinion publique que les politiques situées en dehors de la fenêtre doivent être considérées comme inacceptables. "
" L'hôtel Matignon, où travaille le premier ministre français, a été "attaqué" par des artistes peintres. Ceux - ci sont arrêtés, mais on peut se demander ce que feront les gendarmes de garde quand une prochaine fois les "attaquants" seront équipés d'armes à feu. Car ceci ne devrait plus tarder et plusieurs pays verront ceci d'un très bon oeil.... ALLEZ FRANCAIS, AUX ARMES! "
" Révélation explosive en France : l’Etat a attribué en novembre 477 millions d’euros de contrats à des cabinets de conseil "
5 janvier 2023
" D’après le média Libération, la Caisse Nationale des Allocations Familiales (Cnaf), branche de la Sécurité Sociale (qui elle dépend de l’Etat), a attribué en novembre dernier 477 millions d’euros de nouveaux contrats à des cabinets de conseil. Une révélation de taille qui risque de provoquer une vive polémique en France
Les cabinets de conseil à nouveau sur la sellette. Alors que le dossier McKinsey qui embarrasse le gouvernement n’est pas encore clôturé, voilà qu’une nouvelle révélation faite par Libération risque, une nouvelle fois, de plonger l’Exécutif dans une tourmente politique sans précédent, en pleine crise sanitaire.
En effet, d’après les révélations faites par ce média, une branche de la Sécurité Sociale, en l&rsquocurence la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) a dépensé un pognon de dingue dans des contrats attribués aux cabinets de conseil. La somme révélée par Libération est astonomique : 477 millions d’euros, presque un demi-milliard.
« Dotée de son statut d’établissement public sous la tutelle de l’Etat, la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf), la branche famille de la Sécu, est autonome et libre de passer les appels d’offres comme bon lui semble. L’accord-cadre en cours de négociation ne s’appliquant pas de surcroît aux prestations informatiques, c’est open bar ou presque », renseigne la source. "
" Viginum : le plan de l’État français pour le flicage de la dissidence "
1 janvier 2023
" L’affaire des « Twitter Files » nous démontre la forte collusion ou imbrication entre l’État profond américain et le réseau social Twitter (il en est vraisemblablement ainsi sur les autres plateformes) pour censurer ce que les « élites » et « oligarchies » ne veulent pas voir éclater outre-Atlantique en matière de politique intérieure ou d’affaires étrangères dans leur opinion publique et au-delà. Mais les États-Unis ne sont pas seuls concernés. En France, l’État s’est doté, très discrètement, récemment, d’une politique et d’un organisme qui est destiné à assurer la même veille sur les esprits, Viginum, sous prétexte de lutte contre le « complotisme » ou les « fake news ».
Pendant que l’on nous abreuve de propos sur la liberté dont nous disposons et que le monde nous envie, le flicage de chacun d’entre nous devient une précupation majeure des gouvernements occidentaux, d’autant plus qu’ils sont sur la défensive.
Cela a été mis en place à partir d’une décision du G7, lors du Sommet de Charlevoix (Canada) en 2018, visant à « Relever les défis à la démocratie et à l’ordre international fondé sur des règles », ce qui « exige une coopération internationale » (site du gouvernement du Canada). Le Canada a été chargé par le G7 de coordonner un « mécanisme de réponse rapide » (G7 RRM). Ce RRM Canada est le secrétariat permanent du G7 RRM qui « renforce la coordination du G7 pour identifier et répondre aux menaces étrangères contre les démocraties… Ces menaces comprennent l’activité hostile de l’État ciblant les institutions et les processus démocratiques. Il comprend également l’environnement médiatique et informationnel, ainsi que l’exercice des droits de l’homme et des libertés fondamentales. » L’objectif est de lutter contre la « la désinformation parrainée par des États étrangers ».
Ne nous leurrons pas : derrière ce langage policé, c’est la Russie qui, en premier lieu, est visée, mais aussi tous ceux qui dénoncent la démocratie occidentale qui est le faux nez du pouvoir, chaque jour d’essence de plus en plus dictatoriale d’une oligarchie transnationale, apatride qui a confisqué le pouvoir dans la plupart des États dits identaux. Et les moyens utilisés sont le développement « des outils et des méthodes d’analyse de données communs pour identifier les menaces étrangères » en vue de « renforcer la capacité du G7 RIVIM pour une réponse coordonnée aux menaces étrangères ».
En conséquence, sous prétexte d’éviter les influences étrangères qui pourraient menacer le débat démocratique – entendons l’expression d’o.pinions qui ne dérangent pas le système – le fichage des « mal-pensants », autrement dit de dissidents est devenu une activité industrielle inspirée du « modèle chinois ». Cela nécessite la mise sous surveillance de toute la population.
" Benoît XVI : la fin d’un monde - JT du jeudi 5 janvier 2023 "
" A la une de cette édition, les obsèques du pape Benoît XVI ont eu lieu au Vatican ce jeudi. Un moment historique qui marque un peu plus la fin d’un monde.
Nous ferons ensuite un détour par les Etats-Unis où les Républicains envisagent le recours à un nouveau champion.
Nous évoquerons enfin le marché immobilier français qui semble basculé vers une baisse, une première depuis plusieurs décennies. "
" Notre leitmotiv c'est la chasse aux gaspillages et la maîtrise de la dépense publique ! Nous luttons avec acharnement pour une gestion économe de l’argent public, l’argent qui se trouve être celui de nos impôts !
Ensemble nous pouvons diminuer les dépenses publiques !
Grace à nos outils, nous réussissons à faire pression sur le gouvernement, les parlementaires et les élus locaux, pour un bon usage de l’argent public. Sans nous, il n’y aurait pas de contre-pouvoir et les dérives seraient encore plus nombreuses …
Ainsi, nous sensibilisons les Français à la bonne gestion de cet argent public et encourageons un esprit d’économie dans les dépenses publiques. Nous luttons contre l’excès des gaspillages en tous genres, dans le seul but que l'argent du contribuable soit utilisé à bon escient. "