" Didier Raoult porte plainte contre l’ordre des médecins "
_
2 110 vues
•20 nov. 2020 ( en matinée )
105 commentaires
Dont celui-ci:
" soutien total au Professeur Raoult
honte à l'ordre des médecins corrompu et inféé au pouvoir
honte à la clique des journaleux qui ont pendant des mois été le "porte flingue " de ce gouvernement contre ce professeur émérite !
ces mêmes journaleux qui passent sous silence le scandale du remdésivir et du rivotril !
une presse totalement disqualifiée ! "
" Vous vous demandez pourquoi BFMTV tabasse Raoult matin et soir ? Peut-être est-ce en partie parce qu’Altice (BFM) et Gilead, le labo qui a tout à perdre si le protocole Raoult est efficace, ont une grande part d’actionnaires en commun... @horus_99 " - citation
" Je refuse aujourd’hui de recommander le port du masque pour tous, et jamais le gouvernement ne l’a fait. Si nous le recommandions, ce serait incompréhensible. » De tels propos n’émanent pas de « rassuristes » ou autres « complotistes ». Ils ont été tenus par le président de la République française à la mi-avril 2020, alors que le Covid-19 avait déjà causé plus de 17 000 morts dans le pays. Dès son premier avis du 12 mars, le Conseil scientifique recommandait pourtant le renforcement des mesures barrières « en s’assurant de la disponibilité des moyens type gels hydroalcooliques et masques chirurgicaux pour les populations ». Le même conseil jugeait aussi « important pour la crédibilité de l’ensemble des mesures proposées qu’elles apparaissent dénuées de tout calcul politique ». Depuis, ne pas porter un masque est devenu passible d’une amende. "
" Le management, du nazisme à la mondialisation, ou l’art de produire le consentement et l’illusion d’autonomie chez des sujets aliénés. S’il ne dresse pas un réquisitoire contre le management et s’il ne dit pas non plus qu’il s’agit d’une invention du IIIe Reich, Johann Chapoutot, notre invité, souligne une continuité entre les techniques d’organisation du régime nazi et celles que l’on retrouve aujourd’hui au sein de l’entreprise.
Pour en parler, Raphaël Bourgois reçoit Johann Chapoutot, professeur d'histoire contemporaine à la Sorbonne (spécialiste d'histoire de l'Allemagne, auteur "Libres d'obéir : le management, du nazisme à la RFA" Éd. Gallimard).
La Grande table Idées de Raphaël Bourgois – émission du 8 janvier 2020 "
207 780 vues
•9 janv. 2020
776 commentaires
Dont celui-ci: " Enfin, un homme brillant qui rappelle le caractère profondément odieux et immoral de l'expression " ressource humaine" !
Modifié il y a 3 ans, le vendredi 20 novembre 2020 à 18:49
" Covid-19 : Pour Fabrice Di Vizio, «nous avons un gouvernement anxiogène» "
_
" Entretien du 19/11/2020 avec Fabrice Di Vizio, avocat du collectif C19. Il fait le point sur l’épidémie de coronavirus en France alors que ce 19 novembre, Olivier Véran a alerté sur la dégradation de la santé mentale des Français. "
" Macron : le faux déconfinement ! - JT du jeudi 19 novembre 2020 "
_
" Emmanuel Macron va déconfiner - un peu - en avance et assouplir certaines règles. Les annonces ont bien opportunément fuité, le tout dans un plan com’ éculé sur lequel nous nous pencherons dans cette édition.
Nous nous intéresserons également aux services de livraison. Alors qu’Amazon est pointé du doigt, ses concurrents comme Chronopost connaissent quelques déboires. Entre dégradations, vols et retards, difficile de venir concurrencer le géant américain.
Enfin, nous reviendrons sur le projet de loi pour lutter contre le séparatisme religieux. Remis mardi, le texte se veut être le nouveau bouclier contre l’islam radical mais le gouvernement a tout de même revu sa copie. "
" Covid-19 : Véran, entre mépris et incompétence - JT du vendredi 20 novembre 2020 "
_
" Nous évoquerons l’incontournable conférence de presse hebdomadaire du ministre de la Santé, Olivier Véran.
Puis, nous nous intéresserons à la misère grandissante dans notre pays. De plus en plus de Français se retrouvent à la rue et la crise économique ne va pas arranger la situation. Notre reporter est allé à la rencontre de SDF.
Nous reviendrons également sur l’affaire Elisa Pilarski. Un an après la mort de la jeune femme dans l’Aisne, le mystère a du mal à s’éclaircir mais les derniers éléments de l’enquête se tournent vers le chien du compagnon de la victime.
Et enfin nous prendrons un peu d’altitude et direction les stations de ski gravement menacées par les mesures de restrictions du gouvernement. "
27 910 vues
•20 nov. 2020
1 130 commentaires
Dont celui-ci: " Si le virus circule moins vite, leur connerie et leur cruauté est galopante ‼️ "
Citation de fouthese
" Didier Raoult porte plainte contre l’ordre des médecins "
_
2 110 vues
•20 nov. 2020 ( en matinée )
105 commentaires
Dont celui-ci:
" soutien total au Professeur Raoult
honte à l'ordre des médecins corrompu et inféé au pouvoir
honte à la clique des journaleux qui ont pendant des mois été le "porte flingue " de ce gouvernement contre ce professeur émérite !
ces mêmes journaleux qui passent sous silence le scandale du remdésivir et du rivotril !
une presse totalement disqualifiée ! "
Raoult nous fait du Trump ... jusqu'auboutiste ! La question est posée !
Des attaques frontales de Raoult ? Y aurait-il des choses qu'on nous cache ? Ou des rumeurs ou des infos qui vont sortir ... bientôt sur Raoult ? La question est posée !
Scandale Remdesivir Rivotril ? Encore des scories d'éléments de langage des Pro Raoult ?
Foutaise fèques-News ! En France ni le Conseil scientifique ni le gouvernement n'ont préconisé le Remdesivir il suffit de consulter les avis et les notes rédigées par le Conseil scientifique ! CQFD
Concernant le Rivotril c'est encore et toujours de l'intox démontée par les décodeurs du journalle monde et d'autres !
« L’intox du Rivotril et de l’euthanasie des personnes âgées »
« Plusieurs publications populaires sur les réseaux sociaux affirment, à tort, que des patients âgés seraient « euthanasiées » pendant l’épidémie de Covid-19. »
Par Assma Maad Publié hier à 16h30
« Ce que dit la rumeur »
« Pour évoquer le sort de « nos anciens, interdits d’hospitalisation pendant le confinement », corrélé au « nombre de morts a[yant] explosé dans les Ehpad », le documentaire Hold-Up tend le micro au pharmacien Serge Rader.
Pour lui, l’autorisation par le gouvernement de la vente en pharmacie du médicament sédatif Rivotril est la porte ouverte à une légalisation de l’euthanasie des personnes âgées : « Non seulement on ne les a pas amenés en réanimation, mais on leur a préparé la seringue de Rivotril avec un arrêté à la clé pour les achever complètement alors qu’ils étaient déjà en détresse respiratoire. »
Une rumeur qui a également circulé à de nombreuses reprises, sous différentes formes, ces dernières semaines. »
« POURQUOI C’EST FAUX »
« Cette accusation a déjà été portée auparavant par Serge Rader. Il n’est pas le seul : le député UDI Meyer Habib avait dénoncé sur son compte Twitter ce « permis légal d’euthanasier en France », une allégation qui avait été reprise en nombre sur les réseaux sociaux. »
« Pourquoi une telle polémique ? Le gouvernement a adopté un décret le 28 mars donnant droit aux pharmacies d’officine de dispenser sous « forme injectable » le Rivotril aux patients atteints du Covid-19 ou susceptibles de l’être. L’objectif est « la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation, ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise », expliquait la Fédération des pharmaciens d’officine (FSPF). »
Cette facilité de prescription s’est donc justifiée par la volonté d’améliorer le confort d’un malade en fin de vie, hors du cadre hospitalier. Il ne s’agissait pas d’une injection létale, d’une euthanasie.
« Cet amalgame a été dénoncé par Olivier Véran, qui a pointé des accusations « honteuses » début novembre : « On ne pouvait plus utiliser les médicaments de confort de fin de vie pour des gens qui allaient mourir, a expliqué le ministre de la santé. Il y avait deux options : ou on laissait les gens mourir d’agonie dans les Ehpad […], ou on les accompagnait pour les soulager avec un autre médicament qu’est le Rivotril, conforme aux recommandations de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs. » »
Elles servent à quoi les études sérieuses à groupe de contrôle et randomisées
Certaines ont montré une amélioration mais avec des risques d'effets secondaires, un constat après les conclusions de plusieurs grandes études internationales mener pour confirmer les Avantages/inconvénients bénéfices/risques du Remdesivir !
C'est à ça que sert la science Foutaise !
Mais pour l'hydroxychloroquine, chez l'immense majorité des spécialistes sérieux et non complotistes, c'était non ... et c'est toujours non ! CQFD
" Le management, du nazisme à la mondialisation, ou l’art de produire le consentement et l’illusion d’autonomie chez des sujets aliénés. S’il ne dresse pas un réquisitoire contre le management et s’il ne dit pas non plus qu’il s’agit d’une invention du IIIe Reich, Johann Chapoutot, notre invité, souligne une continuité entre les techniques d’organisation du régime nazi et celles que l’on retrouve aujourd’hui au sein de l’entreprise.
Pour en parler, Raphaël Bourgois reçoit Johann Chapoutot, professeur d'histoire contemporaine à la Sorbonne (spécialiste d'histoire de l'Allemagne, auteur "Libres d'obéir : le management, du nazisme à la RFA" Éd. Gallimard).
La Grande table Idées de Raphaël Bourgois – émission du 8 janvier 2020 "
207 780 vues
•9 janv. 2020
776 commentaires
Dont celui-ci: " Enfin, un homme brillant qui rappelle le caractère profondément odieux et immoral de l'expression " ressource humaine" !
Tu as déjà posté cette vidéo, de la totale foutaise ! Mais je comprends bien que t'insistes lourdement sur le côté émotionnel pour ratisser des neuneux !
Les lecteurs devraient lire l'article de Contrepoints, révélateur d'une parfaite méconnaissance de l'entreprise ! Parce qu'on est manage une entreprise on utilise des méthodes nazies ! Bein voyons !
Il y en a qui sont prêts à écrire n'importe quoi pour faire du buzz !
Question : et avant le nazisme, les manager utilisaient quelles méthodes ?
T'en as d'autres des comme ça ?
« Non, les managers ne sont pas des nazis ! » Charlie Chaplin in The Great Dictator By: Cassowary Colorizations - CC BY 2.0
Mais comment se fait-il qu’il faille le rappeler ? Sur le dernier livre de Johann Chapoutot.
Entreprise et management 30 janvier 2020
contrepoints
Par Olivier Sibony.
« Il fut un temps où, pour critiquer le management, il suffisait de rappeler ses origines américaines. L’historien Johann Chapoutot a trouvé mieux : dans Libres d’obéir : Le management, du nazisme à aujourd’hui, il soutient que « le nazisme a été un grand moment managérial et une matrice du management moderne ». « L’étude de cas » qu’il propose à l’appui de cette thèse [/u] retrace le parcours d’un ancien officier SS, Reinhard Höhn, deveu, après-guerre, le directeur d’un centre de formation au management en RFA.[/u]
La charge se veut féroce, elle est grossière. Chapoutot prend bien, dans son introduction, quelques précautions oratoires ; mais son message est clair : il existe une continuité, voire une filiation, entre le « management » nazi et la pratique moderne du même nom .
Évidemment, cette thèse néglige totalement les finalités de la pratique en question. Que le « management » soit mis au service du Reich ou de la gestion d’un supermarché semble secondaire. Comme tout ce qui est excessif est insignifiant, on pourrait se contenter d’ignorer cet essai .
Pourtant, l’accueil que lui fait la critique est (à d’heureuses exceptions près) positif, voire sans distance. Enfin, lit-on partout, la vérité éclate sur le management, non seulement utilisé, mais « inventé » par les nazis. »
« Tout et n’importe quoi »
« Premier problème de ce livre : la confusion. »
« Ce que Chapoutot nomme « management », c’est en réalité une idée élémentaire : celle de délégation de responsabilité. Il faut attendre l’épilogue du livre pour que son parti pris se révèle, mais il est limpide : le problème commence dès lors qu’« un agent X doit exécuter une tâche définie par un supérieur Y – quelles que soient les modalités de cette exécution, et quels que soient les caractères de la relation entre [eux] ». Dans toute forme de salariat, soutient donc Chapoutot, les agents en question sont « réifiés », « disciplinés et considérés comme de simples facteurs de production ». »
« Repeindre l’adversaire en brun pour le disqualifier » « Cette confusion se révèle dans des contorsions sémantiques intéressantes. Ce que les nazis appellent Menschenführung (conduite des hommes) est pour Chapoutot une simple germanisation du concept de « management » .
Cela ne saute pas aux yeux, c’est le moins qu’on puisse dire (allez voir ce qu’on enseigne dans une école de management : la « conduite des hommes » n’en constitue pas l’essentiel) .
En somme, Chapoutot recourt à un procédé bien connu, celui de l’épouvantail : il repeint son adversaire – le management, et plus largement le capitalisme – aux couleurs brunes de son domaine d’expertise – le nazisme. »
« Le manager, c’est le diable »
« Deuxième problème : la diabolisation. »
« Chapoutot pense le management comme une méthode de domination, qui permet de soumettre la « ressource humaine » indépendamment des buts poursuivis.
N’importe quel praticien du management (sans même parler des théoriciens) sait que l’adhésion à un projet est la condition de tout management, dans une entreprise comme ailleurs. Et en effet, « obtenir l’assentiment, voire susciter l’adhésion » est une préo ccupation constante des nazis, note Chapoutot. »
« Pas besoin de comprendre, le mépris suffira »
« Troisième problème : l’ignorance, réelle ou feinte, de ce qu’est le management en tant que discipline scientifique. »
« Chapoutot affecte de croire que le centre de Bad-Harzburg, où exerce après-guerre son « héros », est un temple du management moderne. Il le compare sans hésiter à Harvard, parlant même de « synthèse entre HEC et l’INSEAD ».
C’est, en réalité, un centre de formation continue pour cadres intermédiaires. L’auteur souligne, sans doute à juste titre, l’indigence intellectuelle des contenus pédagogiques qu’on y produit. Étrangement, cela ne l’empêche pas de prétendre que le « modèle de Bad-Harzburg » est « devenu totémique dans le monde académique ».
Une telle assertion serait facile à étayer, si elle était exacte. Höhn a-t-il été traduit ? A-t-il participé à des conférences ou à des congrès hors d’Allemagne ? Ses articles sont-ils publiés dans des revues de référence ? Sont-ils cités par d’autres chercheurs ? »
« Quelle ignorance, et surtout quel mépris ! »
« Tout ceci ne serait pas possible sans un dernier travers, le pire :
un mépris intense, qui suinte à toutes les pages, pour le management et ceux qui le pratiquent.
Qu’ils soient coupables d’un « mensonge fondamental » ou victimes d’une « aliénation certaine », tous les managers sont, pour Chapoutot, également médiocres.
Un seul exemple : son héros, qui a eu sous le Reich une carrière assez médiocre, devient un « professeur impressionnant pour ces cadres du privé ». Comment est-ce possible ? il « avait tout pour s’imposer dans un milieu économique et managérial où les grands esprits ne forment pas la majorité de l’espèce. » Manifestement, Chapoutot estime que le niveau intellectuel était plus soutenu dans la Waffen SS. On ne peut que lui suggérer, pour ses prochains livres, de s’y cantonner. »
« …. Il y a certainement, parmi celles et ceux qui « managent », des maladroits, des imbéciles, et des brebis galeuses. Mais des nazis ? Non. Et dans leur immense majorité, ils méritent le respect. Il est assez navrant, en France et en 2020, qu’il faille le rappeler »