L'Unité 731 (731部隊, Nana-san-ichi butai?), créée entre 1932 et 1933 par mandat impérial, était une unité militaire de recherche bactériologique de l'Armée impériale japonaise. Officiellement, cette unité, dirigée par Shirō Ishii, se consacrait « à la prévention des épidémies et la purification de l'eau », mais, en réalité, elle effectuait des expérimentations sur des humains comme des vivisections sans anesthésie ou des recherches sur diverses maladies comme la peste, le typhus et le choléra en vue de les utiliser comme armes bactériologiques1. Les expérimentations bactériologiques pratiquées au Mandchoukouo, notamment par largage aérien, ont fait entre 300 000 et 480 000 victimes2. L'Unité 731 est reconnue responsable de crimes de guerre et crimes contre l'humanité. L'État japonais ne reconnaît son existence que depuis 2022. "
" Résumé :
Dans ce récit si simple et si uni qu'il convient d'en souligner l'originalité profonde, Georges Perec tente, le premier avec cette rigueur, de mettre au service d'une entreprise romanesque les enseignements de l'analyse sociologique.
Il nous décrit la vie quotidienne d'un jeune couple d'aujourd'hui issu des classes moyennes, l'idée que ces jeunes gens se font du bonheur, les raisons pour lesquelles ce bonheur leur reste inaccessible - car il est lié aux choses que l'on acquiert, il est asservissement aux choses.
« C'est qu'il y a, dira Georges Perec, entre les choses du monde moderne et le bonheur, un rapport obligé. Une certaine richesse de notre civilisation rend un type de bonheur possible : on peut parler, en ce sens, comme d'un bonheur d'0rly, des moquettes profondes, d'une figure actuelle du bonheur qui fait, je crois, que pour être heureux, il faut être absolument moderne. Ceux qui se sont imaginé que je condamnais la société de consommation n'ont vraiment rien compris à mon livre. Mais ce bonheur demeure un possible ; car, dans notre société capitaliste, c'est : choses promises ne sont pas choses dues. » "
" Lorsque leur développement dépasse certains seuils critiques, certaines institutions deviennent les principaux obstacles à la réalisation des objectifs qu’elles visent. Cette « contre-productivité paradoxale », version moderne du mythe de la Némésis (déesse grecque de la vengeance), Ivan Illich en fait ici la théorie systématique à propos de la médecine. Il critique tout particulièrement la diminution de la santé des hommes sous l’effet du développement sans fin de l’institution médicale, en soulignant l’inefficacité globale d’une médecine coûteuse, la perte de la capacité personnelle des individus de s’adapter à des environnements variés et le mythe de l’immortalité qui conduit au déni de la douleur, du vieillissement et de la mort.
Ivan Illich (1926-2002)
Philosophe, penseur de l’écologie politique, il a fondé, au Mexique, le Centre international de documentation (CIDOC). Il est l’auteur d’une œuvre importante qui a contribué à l’analyse critique de la société industrielle, parmi laquelle on trouve les deux best-sellers Une société sans école (1971)et La Convivialité (1973). "
L'Unité 731 (731部隊, Nana-san-ichi butai?), créée entre 1932 et 1933 par mandat impérial, était une unité militaire de recherche bactériologique de l'Armée impériale japonaise. Officiellement, cette unité, dirigée par Shirō Ishii, se consacrait « à la prévention des épidémies et la purification de l'eau », mais, en réalité, elle effectuait des expérimentations sur des humains comme des vivisections sans anesthésie ou des recherches sur diverses maladies comme la peste, le typhus et le choléra en vue de les utiliser comme armes bactériologiques1. Les expérimentations bactériologiques pratiquées au Mandchoukouo, notamment par largage aérien, ont fait entre 300 000 et 480 000 victimes2. L'Unité 731 est reconnue responsable de crimes de guerre et crimes contre l'humanité. L'État japonais ne reconnaît son existence que depuis 2022. "
Deux magistrats de la Cour suprême sont assassinés. Thomas Callahan, professeur de droit à la Nouvelle-Orléans, et une de ses étudiantes, qui est également sa maîtresse, Darby Shaw (Julia Roberts), s’intéressent à l’affaire et réunissent toutes les pièces et leurs théories dans un dossier. Thomas Callahan les transmet à l’un de ses amis du FBI. Le dossier, sous le nom d’Affaire Pélican, remonte alors dans les différentes instances fédérales, jusqu’au bureau du Président des États-Unis. Puis Thomas est assassiné et la vie de Darby Shaw est clairement menacée. Elle contacte alors un journaliste du Washington Herald1, Gray Grantham (Denzel Washington), qui enquête également sur le meurtre des magistrats afin de révéler l’affaire... "
" Un reportage sur les expérimentations humaines conduites par plusieurs médecins nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, à l'Université nazie de médecine de Strasbourg et au camp de concentration de Natzweiler-Struthof. "