" Ce jour du 17 mars, veille de ceux qui fêtent leur quatre-vingtième anniversaire, mélange tous les facteurs du grand événement métahistorique : le symbolisme à l’extrême, la violence, la cruauté, le volonté populaire triomphante, la bêtise sans fin ni horizon, l’aveuglement, l’hypocrisie et la corruption, l’individualisme qui tue l’individu, l’argent qui est tout et qui n’est plus que du papier qui pourrait aller aux toilettes, et finalement le terrible voile du satanisme comme dernier recours qui s’est étendu sur cette chose promise à la dérision de la destruction nommée “O ccident”.
Et puis, si vous voulez, le simulacre bien sûr, pour les derniers croyants ;
et puis, même si vous ne voulez pas et pour tout le monde, l’incroyable rapidité des événements à cause de la communication, qui permettent aux forces d’au-dessus de nous de disposer de notre destin et d’en faire ce qu’elles ont décidé qu’il sera.
Ainsi, selon l’ancien chef du service du contre-terrorisme et officier de l’US Army servant au département d’État, Scott Bennett :
« Le taux de participation record du peuple russe et la victoire record de Vladimir Poutine indiquent les points suivants. Premièrement, le peuple russe voit que le président Poutine est le meilleur espoir de faire progresser le peuple, la culture et le pays d'une manière prospère, saine et traditionnelle. Deuxièmement, le peuple russe se voit unifié d'une seule voix et s'oppose ensemble à la violente guerre économique, diplomatique et informationnelle menée contre lui et le président Poutine, par l'ident, au cours des dix dernières années.
» Troisièmement, le peuple russe est prêt à relever n'importe quel défi et se rend compte que c'est la force de son unité qui lui permet de résister à l'agression dont il fait l'objet. »
Le triomphe de Poutine
Rarement le mariage d’un peuple et de son dirigeant aura été aussi complet que l’élection de Poutine, que les pauvres zombies occidentaux dits-“aux manettes” ont toussoté qu’il avait été truqué. Cause toujours, mon lapin. Je plains les “journalistes professionnels” (dont j’ai été pendant 45 ans) qui sont obligé de cracher leur débile pour voir remplir leurs sébiles (jeu de mots contestable j’en conviens, mais ils ne méritent pas mieux). "
" La Peur de toutes les Peurs... Le... Nucléaire !
Amis de la Vie, tous unis contre le nucléaire! Au moins, voilà qui va faire consensus, hein? Non? Ben, si, obligé... Non? Pas si sûr...
Non, là, Prune, tu vas trop loin...
Ah bon? Sûr? "
" La police de la pensée sévit en Suisse romande "
" Les livres d’Alain Soral sont-ils interdits à la vente en Suisse ? Il semblerait qu’aucune décision de justice n’aille dans ce sens. Pourtant, une association genevoise, courageuse, se voit chassée avant même l’inauguration de sa librairie. Celle-ci – ô infamie – propose à la vente quelques livres des éditions Kontre Kulture, et – ô suprême infamie –, distribue même quelques titres d’Alain Soral.
On savait déjà qu’avec la condamnation à de la prison ferme prononcée à l’encontre du président d’E&R, la Suisse s’enfonçait doucement dans une dictature molle, une dictature de juges, devenant ainsi un régime totalitaire semblable à la France. Celui-ci condamne en effet tout crime d’arrière-pensée, tout délit d&rsquoinion ; bref la meute médiatique chasse tout ce qui pense mal.
Cela semble confirmé par le déchaînement médiatique subit par cette association. Nous publions ici son droit de réponse.
Avant cela, rappelons les paroles de Maurice Bardèche :
« L’esprit messianique se démasque à la fin : il dit clairement son nouvel évangile. Toutes les cités sont suspectes. Elles ne sont en réalité que les dépositaires du pouvoir. Leur pouvoir temporel n’est plus qu’un pouvoir d’administration. Les patries ne sont plus maintenant que les gérantes d’une immense société anonyme. On leur laisse un certain pouvoir de réglementation : ainsi est circonscrit et défini leur domaine, mais sur l’essentiel elles sont dépossédées. (…) On leur retire tout pouvoir sur les consciences. Le spirituel est confisqué au profit d’une instance supérieure internationale. C’est elle qui dit le juste, c’est elle qui est la conscience du monde. Les patries sont déposées. (...)
Il y a désormais, il y a officiellement depuis le jugement de Nuremberg, une religion de l’humanité, et il y a aussi un catholicisme de l’humanité. Nous devons la soumission à la très sainte église de l’humanité, qui a des bombardiers pour missionnaires.
(…) les Etats ne seront plus que les arrondissements administratifs d’un seul Empire. Et d’un bout à l’autre du monde, dans des villes parfaitement pareilles puisqu’elles auront été reconstruites après quelques bombardements, vivra sous des lois semblables une population bâtarde, race d’esclaves indéfinissable et morne, sans génie, sans instinct, sans voix.
L’homme déshydraté régnera dans un monde hygiénique. D’immenses bazars résonnants de pick-up symboliseront cette race à prix unique. Des trottoirs roulants parcourront les rues. Ils transporteront chaque matin à leur travail d’esclave la longue file des hommes sans visage et ils les ramèneront le soir. Et ce sera la terre promise. (…) Et au-dessus régnera en effet la Personne Humaine, celle pour qui on a fait cette guerre, celle qui a inventé cette loi.
Car enfin, on a beau dire, il y a une Personne Humaine. Ce n’est pas les Allemands de la Volga, ce n’est pas les Baltes, ce n’est pas les Chinois, ce n’est pas les Malgaches, ce n’est pas les Annamites, ce n’est pas les Tchèques, ce n’est pas les prolétaires, bien entendu. La Personne Humaine, nous savons très bien ce que c’est. Ce terme n’a toute sa signification, on peut même dire qu’il n’a de signification, au sens où l’entend le Tribunal, que s’il s’applique à un individu apatride, qui est né dans un faubourg de Cracovie, qui a souffert sous Hitler, a été déporté, n’est pas mort, a quand même été ressuscité, sous la forme d’un patriote français, belge ou luxembourgeois, sur lequel nous sommes invités à reporter tout ce qui est en nous de déférence et d’adoration.
La Personne Humaine est, en outre, habituellement munie d’un passeport international, d’une autorisation d’exportation, d’une dispense d’impôt et du droit de réquisitionner les appartements. Ajoutons que la Personne Humaine ainsi définie est tout spécialement dépositaire de la conscience universelle : elle en est, pour ainsi dire, le vase d’élection. Elle possède pour cela des organes d’une sensibilité exquise qui manquent aux autres hommes : ainsi dans le pays où elle vient d’arriver, elle désigne avec sûreté les véritables patriotes et détecte à une grande distance les organismes réfractaires aux vibrations de la conscience universelle. Aussi ces précieux dons sont-ils utilisés comme il convient devant l&rsquoinion. » "
" Qui dirige le monde ? Qui contrôle Macron ? Les révélations de Claude Janvier "
19 Mar 2024
" La journaliste Stéphanie Reynaud s'entretient avec Claude Janvier, écrivain-essayiste, sur les puissances financières colossales qui dirigent le monde. Dans une situation géolitique internationale très instable avec de fortes tensions entre les blocs OTAN/Russie, la question de savoir qui conseille le chef de guerre au sommet de l'État, Emmanuel Macron, se pose. "
VIDÉO
" Claude Janvier, adepte et disciple de Pierre Desproges, a déjà écrit plusieurs livres à succès, notamment « Le virus et le président » et « Covid-19, le bilan en 40 questions ». Son dernier ouvrage, « Les démasqués – Qui dirige le monde ? », perce certains mystères.
Ces puissances financières, telles que les fonds d’investissement BlackRock et Vanguard, contrôlent en grande partie l’économie mondiale et ont une influence considérable sur les décisions politiques. En ce qui concerne Emmanuel Macron, Claude Janvier affirme que le président français est conseillé par des personnes liées à ces puissances financières, ainsi que par des réseaux d’influence tels que le groupe Bilderberg et la Commission trilatérale. Ces réseaux rassemblent des personnalités politiques, économiques et médiatiques influentes, qui œuvrent ensemble pour promouvoir leurs intérêts communs. Ainsi, pour Claude Janvier, Macron est loin d’être un dirigeant indépendant et souverain, mais plutôt une marionnette aux mains de ces puissances financières et de ces réseaux d’influence. "
" RÉUSSIR EN PARTANT DE RIEN ? : La réalité du phénomène transclasse - Chantal Jaquet "
" Chantal JAQUET est philosophe, spécialiste de Spinoza, de l'histoire de la philosophie moderne, de la philosophie du corps et de la philosophie sociale. Elle est notamment l'auteur d'un ouvrage retentissant : « Les transclasses ou la non reproduction » (Puf, 2014).
Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, Chantal Jaquet lève le voile sur la réalité des transclasse, ces individus qui sont parvenus à défier la reproduction sociale très majoritaire, en changeant de classe. Présentés comme des héros incarnant la méritocratie, ils sont en réalité tout autant soumis à un ensemble de déterminismes, et portent pour toujours en eux les marques de la lutte des classes. "