" Cet hiver a été un des plus chaud de l’histoire...
Vous avez vu passer cette info que l’hiver a été un des plus chaud de l’histoire ?
En Allemagne et en Autriche, ils sont en train de dire que ce mois d’avril est l’un des plus chauds depuis des milliers d’années.
Et les gens se foutent de leur gueule sur TikTok. "
NE LES CROYEZ PAS pic.twitter.com/YtTUFkBgDw
— AuBonTouiteFrançais ???????????? (@VictorSinclair3) April 22, 2024
" Halte aux censures qui gangrènent la démocratie "
24 avril 2024
" Sans liberté d’expression, pas de démocratie.
Le droit de se déplacer librement et celui d’exprimer ses idées et ses opinions constituent les plus essentiels des droits fondamentaux de l’homme.
La liberté d’expression conditionne l’exercice d’autres libertés comme la liberté d&rsquoinion. Elle est inscrite à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 et rappelée par l’Article 19 de celle de l’ONU : « Tout individu a droit à la liberté d&rsquoinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ». Elle est garantie par la constitution française et de nombreux traités internationaux dont la Convention européenne des droits de l’Homme.
Mais la liberté d’expression insupporte tous ceux qui n’ont pas d’arguments solides pour débattre avec leurs opposants et qui rêvent d’instaurer une censure généralisée pour imposer une pensée unique, premier pas vers le totalitarisme.
Des mairies s’érigent en censeurs
Le dernier exemple en date est la censure des mairies de Paris1 et de Lyon2 contre la publicité pour le livre « Transmania, enquête sur les dérives de l’idéologie transgenre » écrit par les féministes D. Moutot et M. Stern qui estiment qu’une femme est une femme et qu’elle ne doit pas être confondue avec les hommes de naissance qui se déclarent femme trans
On peut être partisan ou adversaire de ce livre, mais dans ce dernier cas il convient de lui opposer des arguments précis démontrant ses faiblesses ou ses erreurs. Le déclarer hérétique et le censurer n’apporte rien au débat, mais constitue un aveu de faiblesse pour éviter toute discussion et un rappel des heures sombres du nazisme brûlant en public les livres qui lui déplaisaient.
L’accusation de discours de haine ne remplace pas des arguments objectifs
Depuis quelques années, quand ils n’ont pas d’arguments objectifs à présenter pour défendre une idéologie, ses promoteurs jugent plus commode d’accuser leurs opposants d’adopter une « attitude discriminatoire » ou de propager un « discours de haine », d’être « d’extrême droite », « complotistes » ou « phobique » (grossophobe, islamophobe, raciste, transphobe, capillarophobe… etc..).
Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la mairie de Paris, a ainsi déclaré « La haine de l’autre n’a pas sa place dans notre ville… Paris n’est pas la vitrine de cette haine crasse » tandis qu’un élu vert de Lyon rajoutait l’accusation de « complotiste »3.
On ne voit pas en quoi un livre, qui critique uniquement une idéologie et les campagnes médiatiques disproportionnées de propagande qui la diffusent, pourrait être haineux ni comment le terme de « complotiste » se justifie concernant une enquête minutieuse citant soigneusement ses sources.
L’identité sexuelle est un fait biologique fondateur de l’identité de tout être humain "
" PIERRE CONESA : "LES INTELLECTUELS PARISIENS N'IRONT JAMAIS FAIRE LA GUERRE"
" Ancien haut fonctionnaire du ministère de La Défense, spécialiste des questions stratégiques, Pierre Conesa est aussi l’auteur de “La Fabrication de l’ennemi”. Il est aussi le réalisateur du documentaire “Vendre la guerre, le complexe militaro-intellectuel”
" Vous avez vu passer cette info que l’hiver a été un des plus chaud de l’histoire ?
En Allemagne et en Autriche, ils sont en train de dire que ce mois d’avril est l’un des plus chauds depuis des milliers d’années.
Et les gens se foutent de leur gueule sur TikTok.
NE LES CROYEZ PAS "
" Pourquoi veut-on fermer ou censurer les Médias indépendants comme France-Soir ou CNews ? "
22 avril 2024
" Pourquoi veut-on fermer ou censurer les Médias indépendants comme France Soir ou CNews ? Pour une raison très simple, ces médias réinforment : ils démasquent les mensonges officiels, ils empêchent de réécrire l’histoire et dénoncent les omissions. Ils dénoncent également les blocages du fonctionnement judiciaire, empêchant ainsi la désinformation, voire les manipulations qui pourraient influencer les élections Européennes.
Nous avons plusieurs exemples récents plus qu’intéressants à observer sur le sujet
1) Bloquer le fonctionnement judiciaire
Le premier date de vendredi dernier et je ne reviendrai pas sur le sujet car Xavier Azalbert en a déjà fait un article qui montre l’affolement de Laurent Truchot, Président de la 9ème Chambre de justice de l’Union européenne.
Laurent Truchot doit avoir très peur car l’article 432-1 du Code Pénal est assez explicite : "Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique, agissant dans l'exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l'exécution de la loi est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende." Cela concerne manifestement toute décision d'irrecevabilité non juridiquement motivée conformément à la loi
Les deux articles de France Soir :
Affaire des contrats d’acquisition des vaccins : Décision du magistrat Truchot en moins de 2h chrono après la publication de l’article de France-Soir "
"Erosion continue" des droits humains en France en 2023, juge Amnesty "
24 avril 2024
" Entre les "restrictions excessives" au droit de manifester ou l'introduction de surveillance algorithmique, la situation des droits humains en France a continué en 2023 son "érosion", dénonce mercredi Amnesty International dans son rapport annuel mondial.
"La situation des droits humains et du respect des droits humains en France se dégrade et la société civile doit être vigilante. Il y a de plus en plus de discours de haine décomplexée", de "plus en plus de remise en cause du droit international (....) et c'est vraiment un signe mauvais pour l'avenir de notre pays", a résumé mardi à l'AFP Jean-Claude Samouiller, président d’Amnesty International France, en marge d'une conférence de presse à Paris.
La loi autorisant l'introduction de surveillance associée à l'intelligence artificielle, que les autorités présentent comme "expérimentale" et gage de sécurité lors des Jeux olympiques et paralympiques 2024, risque notamment d'étendre "de manière excessive les pouvoirs de police en élargissant l'arsenal des équipements de surveillance de façon permanente", redoute Amnesty.
L'ONG basée à Londres s'inquiète en outre des coups portés selon elle à la liberté de manifester.
Lors de rassemblements pour contester la réforme des retraites ou le projet de mégabassine (réservoirs d'eau) ou en soutien aux Palestiniens - quand ils ont été autorisés -, les autorités ont recouru de façon "abusive à la force dans le maintien de l'ordre", déplore Amnesty dans son rapport, citant "des dispersions violentes et des matraquages aveugles".
Sur ce chapitre, plusieurs instances internationales ont rappelé la France à l'ordre.
Or, "il y a un déni qui reste très fort sur la question des discriminations systémiques par les forces de l'ordre", estime auprès de l'AFP Nathalie Godard, directrice de l'Action d'Amnesty International France, ainsi, selon elle, qu'un "déni qui reste très fort aussi sur l'impact des discours racistes et stigmatisants qui concernent les personnes musulmanes en France".
Sur la question de la liberté d'expression, "on demande depuis des années le fait que ces délits d'apologie du terrorisme soient abrogés dans les lois", dit-elle.
"Il faut limiter la liberté d'expression sur les questions d'appel à la haine, mais l'apologie du terrorisme, c'est une infraction qui est définie de manière extrêmement vague et subjective, et qui donc représente en soi un risque d'atteinte à la liberté d'expression", ajoute Mme Godard.
Cette question est de nouveau au coeur de débats politiques après l’annonce de la convocation de la cheffe de file des députés LFI (gauche radicale) Mathilde Panot par la police dans le cadre d'une enquête pour "apologie du terrorisme" ouverte après un communiqué du groupe parlementaire publié le 7 octobre, jour de l'attaque sans précédent menée par le Hamas contre Israël. "
" L’état PITOYABLE des médias en France ! (non exhaustif) "
" Tour d’horizon de quelques fait « porteurs de sens » qui se sont déroulés dans le courant du mois de mars 2024. Ces faits sont révélateurs de l’état de la liberté de la presse en France. Ils montrent certaines limites auxquelles les journalistes sont confrontés, la collusion quotidienne entre des journalistes et des membres du gouvernement et l'instrumentalisation de l'information pour des intérêts particuliers qui font commerce d’influence. "
" Art, sciences, géolitique… Quand Cocteau s’adressait à l’an 2000 dans une improbable vidéo "
VIDÉO
21 avril 2024
" C’est une allocution des plus solennelles, présidentielles même. En 1962, depuis la villa Santo Sospir à Saint-Jean-Cap-Ferrat, dont il a couvert les murs de fresques, Jean Cocteau adresse un long message au XXIe siècle dans lequel il fait état de ses espoirs mais aussi de ses doutes sur l’avenir de l’humanité, et de la jeunesse en particulier.
« J’espère que vous ne serez pas devenus des robots et, qu’au contraire, vous serez très humanisés ! » : on retrouve dans ce long et lumineux monologue de plus de vingt minutes toute l’érudition, la poésie mais aussi l’humour de cet artiste incontournable des avant-gardes, actuellement célébré à la collection Peggy Guggenheim de Venise.
L’artiste, transmetteur des forces insaisissables
« L’inspiration devrait s’appeler l’expiration. »
Le progrès ? « Il est possible qu’il soit le développement d’une erreur », suggère Cocteau, qui voit dans la science « une suite d’erreurs qui se contredisent ». La jeunesse ? Elle « est entre deux chaises : elle a perdu cette humanité qui était la nôtre et elle n’est pas encore robotique. » Passant du coq à l’âne, il évoque aussi le paysage de la Côte d’Azur à la veille du tourisme de masse, déplorant un « espéranto architectural », ou encore les guerres, devenues des « mystères diplomatiques » qui un jour, espère-t-il non sans naïveté, disparaîtront. "
Citation de fouthese
" Art, sciences, géolitique… Quand Cocteau s’adressait à l’an 2000 dans une improbable vidéo "
VIDÉO
21 avril 2024
" C’est une allocution des plus solennelles, présidentielles même. En 1962, depuis la villa Santo Sospir à Saint-Jean-Cap-Ferrat, dont il a couvert les murs de fresques, Jean Cocteau adresse un long message au XXIe siècle dans lequel il fait état de ses espoirs mais aussi de ses doutes sur l’avenir de l’humanité, et de la jeunesse en particulier.
« J’espère que vous ne serez pas devenus des robots et, qu’au contraire, vous serez très humanisés ! » : on retrouve dans ce long et lumineux monologue de plus de vingt minutes toute l’érudition, la poésie mais aussi l’humour de cet artiste incontournable des avant-gardes, actuellement célébré à la collection Peggy Guggenheim de Venise.
L’artiste, transmetteur des forces insaisissables
« L’inspiration devrait s’appeler l’expiration. »
Le progrès ? « Il est possible qu’il soit le développement d’une erreur », suggère Cocteau, qui voit dans la science « une suite d’erreurs qui se contredisent ». La jeunesse ? Elle « est entre deux chaises : elle a perdu cette humanité qui était la nôtre et elle n’est pas encore robotique. » Passant du coq à l’âne, il évoque aussi le paysage de la Côte d’Azur à la veille du tourisme de masse, déplorant un « espéranto architectural », ou encore les guerres, devenues des « mystères diplomatiques » qui un jour, espère-t-il non sans naïveté, disparaîtront. "
" Jean COCTEAU – 'Requiem', dernier recueil : Tournant religieux ? (TV, 1962) "
" Description de la RTS :
En 1962, sortie du dernier recueil de Cocteau Requiem. "Cette oeuvre a été écrite par un malade, un gisant". Le poète revient sur les circonstances de ce travail particulier. Terrassé par une grave hémorragie, il rédige un texte dans une demi-conscience. Décryptée, retravaillée quelques années plus tard, cette écriture automatique prend son sens. Il faut en conserver certains défauts comme des pépites pleines d'un sens mystérieux. C'est l'occasion d'évoquer les amis disparus de l'époque héroïque de Montparnasse. Cocteau nous livre aussi des réflexions inspirées sur la création, sur la mort, la solitude et le temps qui passe. "
" Une ONG financée par Soros veut pousser l’organisme qui gère mondialement les noms de domaine Internet à sévir contre les sites de « désinformation » "
2024-04-25
" EU DisinfoLab propose d’utiliser le système de sécurité de l’ICANN pour lutter contre la « désinformation », ce qui soulève des questions sur la gouvernance de l’Internet et les limites de la liberté d’expression.
Par Didi Rankovic
EU DisinfoLab, un organisme à but non lucratif fonctionnant officiellement de manière indépendante, mais formulant régulièrement des recommandations politiques à l’intention de l’UE et de ses États membres, fait désormais pression pour qu’une structure de sécurité créée par l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers [Société pour l’attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet]) soit utilisée dans le cadre de la « guerre contre la désinformation ».
EU DisinfoLab, qui reçoit des subventions de la controversée Open Society Foundations de George Soros, teste actuellement la possibilité de « réaffecter » une opération de sécurité de l’ICANN mise en place pour lutter contre les logiciels malveillants, le spam, le phishing, etc., et d’en faire un outil de lutte contre les « sites de désinformation ».
Tenter d’impliquer directement l’ICANN serait très controversé, c’est le moins que l’on puisse dire, du moins à ce stade. Compte tenu de son importance dans l’infrastructure de l’Internet — l’ICANN gère les noms de domaine au niveau mondial — et du fait que le contrôle du contenu ne fait pas partie de ses tâches (DisinfoLab affirme que l’ICANN « refuse » de le faire), cela représenterait un énorme changement par rapport au rôle de l’organisation tel que nous le concevons aujourd’hui.
Mais DisinfoLab propose maintenant d’utiliser « la structure déjà créée par l’ICANN » contre les menaces légitimes pour la sécurité, afin de surveiller l’Internet pour le contenu que quelqu’un décide de traiter comme de la « désinformation ». Selon un billet de blog, les registres devraient faire preuve d’une « diligence et d’une coopération minimales » pour accepter les rapports de l’ICANN et révoquer le nom de domaine d’un site.
La justification de tout cela est que les sites présumés « sosies de désinformation » utilisent des noms de domaine qui sont trompeusement similaires à des « sites d’information fiables ».
Et, selon le groupe, qui est mieux placé qu’un registraire DNS pour effacer un nom de domaine considéré comme appartenant à un « site de désinformation » — et l’ICANN est l’autorité suprême pour tous ces registraires.
Pendant la pandémie, le système de collecte et de communication d’informations sur les menaces du système de noms de domaine (DNSTICR) de l’ICANN a été utilisé pour identifier les noms de domaine contenant des termes liés à la Covid, mais l’objectif était de déterminer si les sites utilisaient abusivement le mot clé pour masquer des opérations de phishing ou de prolifération de logiciels malveillants, plutôt que de « modérer » un quelconque type de contenu lié à la Covid.
DisinfoLab souhaite maintenant utiliser un système basé sur le DNSTICR pour permettre le signalement aux bureaux d’enregistrement des « cas de désinformation flagrants » en vue de leur suppression.
Mais quelle autorité déciderait de ce qu’est un « cas de désinformation flagrant » ?
L’idée de DisinfoLab : les registres ou les bureaux d’enregistrement pourraient « accorder aux associations professionnelles des médias le statut de “notificateur de confiance” ».
Rien n’est dit sur la méthodologie que ces « notificateurs de confiance » utiliseraient pour jouer leur rôle d’« arbitre de la vérité ». "