" Au moins 2,5 milliards de T. rex auraient vécu sur Terre
À en croire les nouvelles estimations, les fossiles de T. rex dont nous disposons aujourd'hui seraient en fait d'une extrême rareté. "
" Comment la nature a inventé l’œil
Après des millions d’années à tâtonner dans le noir, la nature a donné le jour à ce qui est peut-être sa plus sublime création : l’œil. "
" Comment la nature a inventé l’œil
Après des millions d’années à tâtonner dans le noir, la nature a donné le jour à ce qui est peut-être sa plus sublime création : l’œil. "
" La perversion mathématique ; l'oeil du pouvoir "
" À propos
Qu'est-ce que les mathématiques ? Un langage absolu, une norme sans faille, la clé de tous les progrès ? Grâce à la "science", dont beaucoup estiment qu'elle se nourrit presque exclusivement de mathématiques, notre époque avait la prétention de tout comprendre, de percer tous les mystères de l'homme et de la nature. Pourtant, nous sommes chaque jour confrontés à une irritante énigme qui pique notre vanité : la mine inépuisable des informations est à notre portée, mais la grille indispensable à la lecture de notre temps nous échappe obstinément.
Quel est le prisme pervers qui fait dévier les promesses de bonheur annoncées par le siècle des Lumières ? La réponse est simple en la reconsidérant d'un autre OEil. Jusqu'à présent, nous avons désigné tous les coupables, le Marxisme, le Capitalisme, le Terrorisme, la Bourgeoisie, la Technocratie, l'idéologie, le Militarisme, l'impérialisme, l'Étatisme, la Machine... sauf le seul bon : LE DIEU DES MATHÉMATIQUES, idolâtré par Napoléon. "Les hommes sont comme les chiffres, disait-il, ils n'acquièrent de valeur que par leur position". Posées en terme de Pouvoir, les Mathématiques sont-elles "l'empire du mal" ?
Le moment était venu d'instruire le procès des mathématiques dont le système scolaire voudrait nous faire croire qu'elles constituent la référence majeure de l'intelligence. En réalité, elles finissent par constituer un instrument de sélection et de répression d'autant plus sournois qu'il se veut "neutre". Le modèle mathématique a façonné un monde où seul importe le quantitatif ; il s'est introduit dans nos consciences au point de nous faire confondre "intelligence vraie" avec "habileté mentale".
Ceux qui posent les mathématiques comme la seule valeur sûre tiennent pour nulle la valeur humaine. C'est ainsi que les mathématiques servent aujourd'hui de caution intellectuelle et de justification morale aux fausses démocraties comme aux vrais totalitarismes.
Ce livre, qui propose une critique virulente mais constructive du "modèle mathématique" est aussi un ouvrage d'espoir : il permet d'entrevoir une science des Nombres qui, dégagée des jeux du pouvoir politique, redeviendra outil de connaissance. "
" On ne peut pas être plus claire ! Les criminels aux commandes s'autoprotègent pour ne pas pouvoir être poursuivie ! FREXIT et vite et cette Mafia politique en prison ! "
" Livre blanc constituant 1.0 – Annexe 2 : Le coup d’État parlementaire, en France, du 4 février 2008 "
11 août 2020
" La Constitution doit toujours relever du peuple souverain.
Le 29 mai 2005, le peuple français, à 55 %, votait NON au référendum sur le traité constitutionnel européen (TCE). Pourtant, le 4 février 2008, les parlementaires ont été réunis en Congrès à Versailles par le Président de la République, Nicolas Sarkozy. L’ordre du jour était « Vote sur le projet de loi constitutionnelle modifiant le titre XV de la Constitution ». Ce projet de loi constitutionnelle, modifiant le titre XV de la Constitution, avait été voté en termes identiques par l’Assemblée nationale le 16 janvier 2008, et par le Sénat le 30 janvier 2008. Il devait donc être soumis au Parlement convoqué en Congrès. Que disait cette loi constitutionnelle ? Elle remplaçait le second alinéa de l’article 88-1 de la Constitution par : « Elle peut […] participer à l’Union européenne dans les conditions prévues par le traité de Lisbonne modifiant le traité sur l’Union européenne et le traité instituant la Communauté européenne, signé le 13 décembre 2007 ».
Préalablement, le 20 décembre 2007, le Conseil constitutionnel avait pris la décision n° 2007-560 DC. Le Président de la République, le 13 décembre 2007, avait saisi le Conseil constitutionnel en application de l’article 54 de la Constitution. Il lui demandait de dire si l’autorisation de ratifier le traité modifiant le traité sur l’Union européenne et le traité instituant la Communauté européenne, signé à Lisbonne le même jour, devait être précédée d’une révision de la Constitution. La réponse du Conseil constitutionnel a été affirmative pour huit raisons, toutes liées aux menaces que le traité de Lisbonne faisait peser sur la souveraineté nationale (voir annexe 1).
Prenons quelques exemples. Selon le Conseil constitutionnel, le traité de Lisbonne n’était pas conforme à la Constitution française car :
Certains aspects du « principe de subsidiarité » dans sa « mise en œuvre […] pourraient ne pas suffire à empêcher que les transferts de compétence autorisés par le traité revêtent une ampleur ou interviennent selon des modalités telles que puissent être affectées les conditions essentielles d’exercice de la souveraineté nationale ». Il était déjà reproché à ce principe, à juste titre, depuis un certain temps, d’être volontairement ambigu afin de permettre à la Commission européenne, insidieusement, d’avoir prise sur des domaines que les traités n’attribuent pas à l’Union. Ce principe est en effet, dans la réalité, une alternative ou plus exactement un contournement de la souveraineté des États.
Les dispositions du traité qui modifient les règles de décision applicables, soit en substituant la règle de la majorité qualifiée à celle de l’unanimité au sein du Conseil, « privant ainsi la France de tout pouvoir d&rsquoposition, soit en conférant un pouvoir de décision au Parlement européen, lequel n’est pas l’émanation de la souveraineté nationale, soit en privant la France de tout pouvoir propre d’initiative ».
Dans « une matière inhérente à l’exercice de la souveraineté nationale », le traité de Lisbonne permet de « substituer un mode de décision majoritaire à la règle de l’unanimité au sein du Conseil des ministres ». Le Conseil constitutionnel s&rsquopose à de telles modifications, car elles ne nécessiteront fatalement, « le moment venu, aucun acte de ratification ou d’approbation nationale de nature à permettre un contrôle de constitutionnalité». "
" Traduction réalisée sur proposition de Stéphane pour son excellente présentation sur le cannibalisme faisant suite à sa première émission sur les projets de nourriture à base d'insectes.
Dans cette vidéo, on découvre le spot publicitaire ahurissant de l'entreprise Human Meat Project nous proposant (sur une musique aux tonalités bien admises du joyeux train train quotidien) de manger de la chair humaine. "
" Existe-t-il un programme secret de répression, de torture et d’élimination contre les dissidents ? "
2024-02-06
" Si les plus éveillés sont conscients que s’o.pposer trop frontalement à l’establishment peut-être risqué, une grande partie des chercheurs de vérité internautes ou autres reste non informée des méthodes dissimulées par les gouvernements pour réprimer les contestations.
En effet, les décennies de la Guerre froide furent rythmées par un conflit opposant à la fois les blocs atlantistes et communistes, mais également par une guerre civile et une répression non déclarées qui ont toujours cours avec un degré plus violent et pervers.
Nous allons dans cet article dresser un tableau du passé, du présent et tenter d’entrevoir l’avenir du programme secret de répression des peuples par des forces auparavant obscurs.
Opération Gladio et CoIntelPro, l’histoire se répète-t-elle ? "
" Propriété privée des moyens de production et d’échange contre droit à l’existence "
" A la fin de l’année 1788, quelques mois avant que n’éclate la Révolution, Maximilien Robespierre, alors candidat aux Etats Généraux, faisait ce constat édifiant :
La plus grande partie de nos concitoyens est réduite par l’indigence à ce suprême degré d’abaissement où l’Homme, uniquement occupé de survivre, est incapable de réfléchir aux causes de sa misère et aux droits que la nature lui a donnés.
Les choses auraient-elles changé ?…
Non, bien sûr, puisque la précarisation et l’aggravation des conditions de travail des salariés – statut qui concerne désormais la majorité des travailleurs en France -, ont un impact direct sur leur vie et sur les moyens sociaux de la sauvegarder. C’est la protection sociale de la majorité de la population qui est mise en péril dans la mesure où le financement des institutions chargées de la promouvoir est assuré par l’intermédiaire de cotisations impactées sur la masse salariale. Le chômage ou encore l’allongement de la durée de la vie ne sont cependant pas les seuls responsables d’une situation dont la gravité nécessiterait peut-être de par son ampleur, un sursaut salutaire.
Car, il faut dire que les salaires, non revalorisés par rapport au coût de la vie, ne suffisent plus à financer les institutions censées protéger l’ensemble des travailleurs – mais aussi l’ensemble de la population – contre les accidents de la vie qui restent d’ailleurs étroitement liés au travail…
Rappelons qu’à partir de 1983 les différents gouvernements, de droite comme de gauche, ont libéré certains prix concernés par une ordonnance de 1945 – laquelle donnait au gouvernement le pouvoir d’interdire les hausses, de fixer leur montant ou encore, de contrôler celles décidées par le secteur privé. Une ordonnance qui finira par être abrogée par le Parlement en 1986…
Quels devaient être les bénéficiaires de ces grandes manœuvres, dont l’heureuse conséquence devait être une rémunération du travail intérieur bloquée à son minimum pour permettre à l’extérieur des ventes grassement rétribuées ? Cette mesure de libération des prix, comme bien d’autres mesures “libérales”, n’était destinée, sous couvert d’une nécessaire résistance à la concurrence internationale, qu’à servir les intérêts des propriétaires du grand capital en laissant désormais les mains libres aux entreprises exportatrices dans leurs visées de profit maximum : c’est ainsi que de 1992 à 1999 le commerce extérieur de la France aura dégagé de confortables excédents… tandis que les salaires devaient courir misérablement après le coût de la vie, et l’ensemble des travailleurs après la vie tout court… Reste à savoir combien de temps encore sera supportable cette situation indigne.
Faisons maintenant un petit bond en arrière, vers ce passé commun que les dominants s’évertuent à nous faire oublier. Devant l’Assemblée nationale constituante (élue en octobre 1945), Pierre Cot, le grand ami de Jean Moulin, avait été le rapporteur – après qu’il ait participé à son élaboration au sein de la commission compétente -, du projet d’une nouvelle Constitution pour la France. Dans ce projet figurait une Déclaration des Droits de l’Homme dont l’article 36 déclarait que…
le droit de propriété ne saurait être exercé contrairement à l’utilité sociale ou de manière à porter préjudice à la sûreté, à la liberté, à l’existence ou à la propriété d’autrui.
Or ce projet de Constitution de 1946 qui renfermait, pour la France, de même que pour les pays qui avaient été jusque-là sous sa domination, les promesses d’un renouveau social et politique, sera – tout comme l’avait été en son temps le projet de Constitution de juin 1793 qui mettait en exergue, sous l’impulsion de l’Incorruptible, le même droit à l’existence -, repoussé par… le peuple de France.
Rechercherait-il donc son propre malheur ?… La question reste, plus que jamais, ouverte. "